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27/06/2023
Qu’est ce que la candidose ?Avant d’en apprendre plus sur les traitements de la candidose, il est bon de comprendre de q...
27/06/2023

Qu’est ce que la candidose ?
Avant d’en apprendre plus sur les traitements de la candidose, il est bon de comprendre de quel type de maladie il s’agit, afin d’agir plus efficacement sur celle-ci.
Définition de candidose, souches de candida, etc.
La candidose est une infection fongique causée par une levure (un type de champignon) appelée candida. Certaines espèces de candida peuvent provoquer une infection chez les humains. L’espèce la plus courante est le Candida albicans, mais il en existe d’autres.
Ces dernières années, il y a notamment eu une augmentation inquiétante du nombre d’espèces de candida non albicans telles que :
• C. glabrata ;
• C. parapsilosis ;
• C. tropicalis ;
• C. krusei ;
• C. auris.
Ces espèces sont plus susceptibles d’être résistantes aux antifongiques et ont le potentiel de provoquer des épidémies. En effet, ces souches sont généralement résistantes aux agents antifongiques les plus couramment utilisés pour le traitement des infections à candida comme le fluconazole par exemple.
Parties pouvant être infectées par le Candida
Si les candidoses buccales (langue, palais, gencives) et digestives (intestinale) sont généralement les plus courantes, le candida peut néanmoins infecter d’autres parties de notre corps, dont notamment : l’anus (candidose a***e), les tétons (candidose mammaire), les vulves ou la verge (candidose vulvaire ou génitale), la peau (candidose cutanée), l’œsophage, la gorge, les lèvres, le nez (candidose nasale), le visage, les plis, l’aine, les aisselles, le pied, les poumons (candidose pulmonaire), les ongles ou encore les yeux (candidose oculaire) et les oreilles.
Différence entre candidose chronique, invasive, systémique et candidémie
De manière normale, on retrouve le candida sur la peau et à l’intérieur du corps, dans des endroits tels que la bouche, la gorge, l’intestin et le vagin, sans qu’il ne cause de problèmes.
Toutefois, il peut devenir problématique et provoquer des infections s’il se développe de manière incontrôlable ou s’il pénètre profondément dans le corps (par exemple, des organes internes comme le rein, le cœur ou le cerveau). On parle même de candidose invasive ou de candidémie lorsque le champignon entre dans le sang. Lorsque ce champignon colonise un ou plusieurs organes internes voire l’ensemble de l’organisme, alors on parle de candidose systémique ou de candidose généralisée.
Dans ces cas très avancés de la maladie, qui ont généralement lieu à la suite d’interventions chirurgicales, pose de cathéters, etc. il est important de faire diagnostiquer la maladie le plus tôt possible, la mortalité associée à cette pathologie étant très importante (jusqu’à 50 %).
La candidose chronique, quant à elle, est une maladie insidieuse, peu reconnue en France. Aux États-Unis, les études épidémiologiques les plus récentes ont montré qu’environ 80 millions d’Américains souffrent de candidose chronique. En France, il n’existe aucune étude permettant de mesurer l’incidence de la maladie mais, selon les estimations, un tiers de la population française, surtout les femmes, souffrirait d’une manière ou d’une autre de candidose chronique.
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Symptômes en cas de candidose
Les symptômes en cas d’infection au candida sont divers et variés selon les hôtes et c’est pour cela que le diagnostic est très souvent compliqué. Voyons tout de suite la liste de tous les symptômes possibles en cas de candidose.
Candidoses digestives
Il existe plusieurs types de candidoses comme nous venons de le voir, et chacune possède ses propres symptômes et manifestations cliniques. Le candida étant naturellement présent dans notre système digestif, les candidoses digestives sont donc les affections les plus représentées, car c’est un endroit parfait pour s’y multiplier.
La candidose digestive peut avoir lieu au niveau de l’œsophage, on parle alors de candidose œsophagienne. Les symptômes sont alors une sensation de brûlure lors de l’ingestion des aliments (pyrosis) et une sensation de gêne ou de blocage ressentie lors du passage des aliments dans l’œsophage (dysphagie). La muqueuse est généralement enflammée et on peut apercevoir des traces blanchâtres.
Le candida peut également s’établir au niveau gastro-intestinal, dans ce cas, on remarque, lors de l’examen, du muguet sur la muqueuse au niveau de l’intestin, de l’estomac ou du côlon, ainsi que des ulcérations. Les symptômes liés à cette affection sont des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements.
D’autres symptômes digestifs comme des problèmes de transit (diarrhées ou constipation), des ballonnements ou des gaz sont également possibles.
Candidose orale ou buccale
Cette candidose, souvent superficielle, fait également partie des candidoses les plus répandues. Comme son nom l’indique, la candidose buccale est une infection de la bouche. Elle peut alors toucher la langue, le palais, les gencives, l’intérieur des joues, les lèvres, la gorge ou même l’oropharynx, on parle alors de candidose oropharyngée.
Cette candidose est notamment la plus présente chez les enfants et chez les personnes ayant un système immunitaire affaibli, dit les sujets immunodéprimés, comme les personnes atteintes du VIH ou d’un cancer. Cependant, elle touche également des sujets sains, et peut être soit indolore, soit très douloureuse.
Les symptômes dans ce type de candidose sont l’apparition de muguet buccal (plaques blanchâtres d’aspect velouté), de lésions buccales et de douleurs lors de la déglutition ou au moment de parler.
N’hésitez pas à consulter votre médecin si cela devient douloureux ou dès lors d’apparition de fièvre.
Candidose génitale ou urogénitale
La candidose génitale est très fréquente chez la femme, du fait que le candida fait partie des champignons qui vivent naturellement dans le vagin de celle-ci.
Chez la femme, on parle alors de candidose vaginale ou vulvaire (vulvo-vaginite) lorsque le candida se développe anormalement et que certains symptômes en découlent. Ces symptômes sont des pertes blanches inodores abondante (leucorrhées), des démangeaisons souvent intenses (prurit), des brûlures locales ou des douleurs pendant les rapports sexuels.
Chez l’homme, bien que la plupart du temps, la candidose est inapparente, certains symptômes peuvent également apparaître en cas d’infection. La candidose mycosique appelée également balanite candidosique chez l’homme, se manifeste alors par une inflammation avec démangeaisons du gland et du prépuce. Dans de rares cas, ces lésions peuvent évoluer vers un phimosis avec écoulement purulent.
Candidose mammaire (allaitement)
La candidose mammaire surgit sur la poitrine de la femme, généralement au niveau du téton. L’infection a tendance à ressembler à une éruption cutanée rouge, brillante et si la prolifération du champignon s’aggrave, la peau peut également se fissurer et saigner.
Comme d’autres infections à candida, les démangeaisons, les brûlures et la douleur sont des symptômes courants. Les mycoses mammaires peuvent également causer une mauvaise odeur. Chez certaines femmes, les seins sont douloureux sans identifier de point sensible ou de masse douloureuse et une sensation de coups de poignard dans les seins derrière le téton peut être ressentie.
Candidoses cutanées et unguéales (ongles)
La candidose cutanée est une infection de la peau par le champignon candida. Lorsqu’une prolifération de candida se développe sur la peau, une infection peut survenir.
La candidose de la peau provoque souvent la formation d’une éruption cutanée rouge avec démangeaisons et se trouve le plus souvent dans les plis de la peau. En effet, les champignons candida prospèrent et poussent dans les zones chaudes et humides. C’est pourquoi la maladie affecte souvent les zones où il y a des plis de la peau. Cela comprend les zones des aisselles, de l’aine, le coin de la bouche, entre les doigts ou les orteils et sous les seins.
Dans certains cas, l’infection peut provoquer des fissures et des douleurs dans la peau. Des cloques et des pustules peuvent également apparaître.
💡 Bon à savoir : les bébés peuvent également développer des candidoses de la peau, notamment au niveau des fesses (érythème fessier du nourrisson). Une couche tend à fournir un environnement idéal pour le candida.
La candidose des ongles : le candida peut également provoquer des infections des ongles ou du bord des ongles, on parle alors de candidose unguéale ou d’onychomycoses à candida. L’onychomycose débute généralement par une atteinte de la peau se situant autour de l’ongle (périonyxis). Celle-ci devient alors tendue, parfois érythémateuse et souvent douloureuse. Dans certains cas, il peut y avoir du pus. L’atteinte de l’ongle est secondaire, celui-ci devient petit à petit jaune ou opaque, s’épaissit, se dédouble ou se craquèle et finit parfois par tomber entièrement.
Candidose chronique
En cas de candidose chronique, une multitude de symptômes peut survenir dont notamment une association de :
• troubles digestifs : des diarrhées, de la constipation, ou une alternance des deux, le syndrome du côlon irritable, des ballonnements et des gaz, des spasmes, des crampes, une langue chargée (parfois blanche) et une mauvaise haleine.
• troubles neurologiques : fatigue, dépression, humeur fluctuante, maux de têtes, brouillard mental, perte de mémoire, anxiété, narcolepsie et pulsions pour les sucres.
• troubles génitaux : cystites, vulvo-vaginites, dysménorrhée, perte de libido et / ou endométriose.
💡 Bon à savoir : si vous êtes constamment fatigué, que vous n’avez pas le moral, que vous prenez du poids facilement (avec pulsions pour le sucre) et que vous souffrez de problèmes digestifs (ballonnements, gaz), une candidose chronique en est probablement la cause.
Causes et diagnostic de la candidose
Les causes de la candidose
👉 L’utilisation d’antibiotiques et de mauvaises pratiques alimentaires (alimentation industrielle, transformée et sucrée) sont généralement les principales causes de la candidose car elles abaissent l’immunité et favorisent un lieu propice à son développement.
Par ailleurs, la chimiothérapie peut également entraîner une fongémie (présence de champignons dans le sang) causée par Candida albicans. La colonisation vaginale augmente lors d’un diabète sucré, d’une grossesse et de l’utilisation de contraceptifs oraux. La candidose buccale, quant à elle, est très étroitement associée au VIH. Plus de 90 % des patients VIH présentent une candidose.
De même, chez les patients atteints de leucémie ou de lymphome, du fait de la consommation de corticoïdes ou de médicaments cytotoxiques, leur immunité est compromise, conduisant à une infection candidosique.
D’autres facteurs prédisposant à la candidose comprennent la tuberculose, le myxoedème, l’hypoparathyroïdie, la maladie d’Addison, les carences nutritionnelles (notamment vitamine A, B6, fer), le tabagisme, les prothèses dentaires mal entretenues, les tubes intraveineux, les cathéters, les valves cardiaques, la vieillesse et la petite enfance [3].
Comment la diagnostiquer ?
La prévention de la candidose et sa gestion dépendent largement de deux facteurs : la détection précoce et l’identification des souches de candida. En effet, l’utilisation de traitements antifongiques appropriés est primordiale. Par exemple, C. albicans est assez sensible aux traitements azolés alors que les souches non albicans telles que C. glabrata et C. krusei sont résistantes à cet antifongique.
Mais alors comment diagnostiquer la candidose ? En fait, ce n’est pas si simple quand il s’agit d’une candidose digestive. En effet, une candidose digestive est plus difficile à diagnostiquer qu’une vaginite à candida, la vaginose ou le muguet buccal car ces moisissures ont la capacité de produire un bio film, permettant au champignon d’adhérer à notre épithélium intestinal. On ne le retrouve donc pas toujours dans les selles, la coproculture est donc peu fiable.
Par ailleurs, lorsqu’on évoque les symptômes à son médecin généraliste, la diversité et le caractère diffus des symptômes font que très souvent les médecins ont tendance à ne pas suspecter une candidose et les tests sanguins ne sont pas encore courants. Il reste pourtant primordial de consulter son médecin en cas de suspicion de candidose ou d’autres symptômes, afin d’écarter toute autre potentielle maladie.
Toutefois, si votre rendez-vous médical n’a rien donné, nous vous recommandons de consulter un naturopathe qualifié. La plupart des naturopathes sont familiers à ce problème, et n’hésitent pas à vous poser une multitude de questions concernant votre hygiène de vie afin de pouvoir diagnostiquer votre trouble.
Certains naturopathes pourront également vous recommander des analyses urinaires, comme notamment le dosage des Métabolites Organiques Urinaires (MOU) que proposent certains laboratoires d’analyses.
Une fois détectée, la candidose doit être traitée le plus rapidement possible car cela peut prendre du temps pour réussir à l’éliminer lorsqu’elle est présente depuis longtemps dans l’organisme.
Traitements naturels contre la candidose chronique
La meilleure stratégie pour combattre le candida consiste non seulement à agir sur la levure elle-même par des traitements antifongiques mais aussi à régénérer son propre microbiote et à solidifier son système immunitaire et digestif. Ainsi, les traitements adaptés (phytothérapie, aromathérapie, pro et prébiotiques, compléments alimentaires) permettent de lutter contre l’infection fongique, renforcer l’immunité et restaurer la fonction intestinale. Ces traitements, bien que recommandés pour une candidose digestive chronique, vous aideront également en cas de candidose vaginale ou orale.
COMBIEN DE TEMPS CONSERVER CE REGIME ALIMENTAIRE ? QUAND REVENIR A UNE ALIMENTATION TRADITIONNELLE ?
Une fois que les symptômes liés à une infection à candida albicans disparaissent, il est possible de réintroduire certains aliments. Néanmoins, il est essentiel de veiller à ne pas reproduire les mêmes habitudes ayant conduit au développement anormal du champignon. En effet, rappelons que le candida albicans se développe dans un milieu malsain. Par conséquent, le retour à une alimentation qui favorise son développement favorisera inévitablement son retour en force dans l’organisme.
Soulignons que l’alimentation traditionnelle moderne ne répond majoritairement pas aux besoins vitaux de l’organisme. Ainsi, une alimentation plus saine est à favoriser au quotidien. Seuls quelques écarts pourront être envisagés selon l’état de santé de chacun. Enfin, certains aliments devront évidemment être réintroduits au quotidien après diminution de la présence du candida albicans. Exemple : fruits et légumes.
2. Renforcer son système immunitaire
On veille également à renforcer son système immunitaire. Pour cela, en parallèle d’une alimentation saine et équilibrée, on favorise un sommeil réparateur et suffisant (7h à 8h minimum) et on prévoit une activité physique modérée d’au moins 30 minutes chaque jour + une activité physique intense par semaine.

Les signes ou symptômes de la leucémie peuvent varier en fonction de la forme de leucémie dont vous êtes atteint, soit a...
26/06/2023

Les signes ou symptômes de la leucémie peuvent varier en fonction de la forme de leucémie dont vous êtes atteint, soit aiguë ou chronique.
La leucémie aiguë peut causer des signes et des symptômes semblables à ceux de la grippe. Ils apparaissent soudainement en quelques jours ou en quelques semaines.
La leucémie chronique ne cause souvent que peu ou pas du tout de symptômes. En général, les signes et symptômes apparaissent graduellement. Beaucoup de personnes atteintes d’une leucémie chronique disent simplement qu'elles ne se sentent pas bien. On découvre souvent la maladie lors d'une analyse de sang courante.
D’autres affections médicales peuvent causer les mêmes symptômes que la leucémie. Consultez votre médecin si vous éprouvez ces symptômes :
• fatigue;
• sensation générale d’inconfort ou de maladie (malaise);
• perte d'appétit;
• perte de poids;
• fièvre;
• essoufflement;
• pâleur;
• battements de cœur rapides (palpitations);
• faiblesse;
• étourdissements;
• tendance aux ecchymoses;
• saignements de nez fréquents ou importants;
• gencives qui saignent;
• saignements au milieu du cycle menstruel ou menstruations abondantes;
• petites taches rougeâtres et plates sur la peau causées par un saignement sous-cutané (pétéchies);
• infections fréquentes aux poumons, aux voies urinaires ou aux gencives ou autour de l’anus;
• feux sauvages fréquents;
• vomissements;
• maux de tête;
• maux de gorge;
• sueurs nocturnes;
• douleur osseuse ou articulaire;
• ganglions lymphatiques enflés au cou, aux aisselles, aux aines ou au-dessus des clavicules;
• malaise abdominal ou sensation de plénitude;
• troubles de la vue;
• lésions dans les yeux;
• enflure des testicules;
• chlorome

– amas de cellules leucémiques, ou blastes, sous la peau ou dans d'autres parties du corps;
• leucémie cutanée – lésions ou plaques de n'importe quelle taille et habituellement roses ou rouge-brun;
• angéite allergique – trouble semblable à une réaction allergique cutanée qui se manifeste habituellement sous la forme de lésions sur les mains et les pieds;
• syndrome de Sweet, ou dermatose neutrophilique aiguë fébrile − affection de la peau qui provoque la fièvre et l'apparition de lésions douloureuses n'importe où sur le corps.
Urgences dues au cancer
Dans certains cas, la leucémie ou ses traitements peuvent causer de graves problèmes. Ces urgences dues au cancer doivent être traitées immédiatement.
Le syndrome de lyse tumorale peut apparaître quand on administre une chimiothérapie comme traitement de la leucémie aiguë et que les cellules cancéreuses meurent rapidement, ne permettant pas aux reins d’évacuer assez vite du sang les substances qu’elles libèrent. Apprenez-en davantage sur le syndrome de lyse tumorale.
Le syndrome de compression de la veine cave supérieure (SCVCS) peut apparaître quand trop de cellules leucémiques se forment dans le thymus, le faisant ainsi grossir et bloquer la trachée. Le SCVCS peut survenir en présence d’une leucémie lymphoblastique aiguë (LLA). Apprenez-en davantage sur le syndrome de compression de la veine cave supérieure.
La coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) est un trouble caractérisé par la formation de caillots sanguins dans le sang circulant et par des saignements. La CIVD survient plus souvent en présence d’une leucémie promyélocytaire aiguë, mais elle peut aussi le faire avec d’autres sous-types de leucémie myéloïde aiguë (LMA). Apprenez-en davantage sur la coagulation intravasculaire disséminée.
Quelles sont les complications de la leucémie lymphoïde chronique ?
La leucémie lymphoïde chronique (LLC) est grave par ses complications qui restent heureusement rares. Ses complications éventuelles sont :
• des infections bactériennes (bronchopneumonies, infections urinaires, par exemple) ou opportunistes (« réveil » d’infections anciennes comme l’herpès, le zona, le cytomégalovirus, les candidoses, la toxoplasmose, etc.). Elles apparaissent en particulier chez les patients traités (certains traitements de la LLC ont eux-mêmes un effet immunosuppresseur). Ces infections sont responsables de la moitié des décès liés à la LLC.
• des maladies auto-immunes au cours desquelles le système immunitaire attaque les globules rouges (anémie hémolytique) ou les plaquettes sanguines (thrombopénie), par exemple. Ces complications touchent environ 10 % des patients atteints de LLC.
• un lymphome agressif ou syndrome de Richter. Ce lymphome grave se traduit par la croissance soudaine d’un ou plusieurs ganglions et exige la mise en place rapide d’un traitement de chimiothérapie. Il touche entre 3 et 10 % des personnes atteintes de LLC.
De plus, l’existence d’une leucémie lymphoïde chronique augmente légèrement le risque de développer certains cancers : cancer du poumon, cancer basocellulaire de la peau, cancer du côlon (gros intestin) et cancer du sein. Les patients atteints de LLC âgés de 50 à 74 ans doivent effectuer un dépistage des cancers du côlon et du sein tous les deux ans.

22/06/2023
A.V.CUne faiblesse d'un seul côté de votre corps. Un engourdissement ou un fourmillement au niveau du visage dans les br...
22/06/2023

A.V.C
Une faiblesse d'un seul côté de votre corps. Un engourdissement ou un fourmillement au niveau du visage dans les bras ou dans les jambes. Une difficulté à parler ou à comprendre ce que disent les autres. Des troubles de la vue, comme une vision double ou l'incapacité de voir, surtout d'un œil
Qu'est-ce qu'un AVC?
L’accident vasculaire cérébral (AVC) correspond à une interruption du flux sanguin au cerveau ou à une rupture d’un vaisseau sanguin cérébral. Dans un cas, comme dans l’autre, l’AVC entraine la mort de cellules privées d’oxygène ou bien il les endommage. En effet, les cellules cérébrales nécessitent un apport constant d’oxygène et de glucose; une interruption du flux sanguin de quelques minutes seulement peut provoquer des dommages irréversibles.
Certaines personnes s’en remettront complètement tandis que d’autres en conserveront des séquelles plus ou moins importantes, selon la partie du cerveau affectée et les délais d’intervention médicale.
Les types d’AVC
Il existe différents types d’AVC. Ils doivent tous être pris au sérieux et nécessitent, dans tous les cas, une intervention rapide.
L’AVC ischémique (ou infarctus cérébral) (85%des cas)
L’artère est bouchée par :
: Lorsqu’un caillot de sang bloque un vaisseau sanguin du cerveau. Une partie du cerveau ne reçoit alors plus de flux sanguin.
L’AVC hémorragique (15% des cas)
: Lorsqu’une artère dans le cerveau se rompt. Il se produit alors une fuite de sang dans les tissus cérébraux. Ces ruptures se produisent lorsque les artères se fragilisent à travers les années, entre autres causées par l’hypertension artérielle.
Accident ischémique transitoire (AIT) : Lorsqu’un petit caillot bloque temporairement une artère. Les symptômes ressentis durent moins d’une heure et parfois uniquement quelques minutes. Cependant, même si les symptômes disparaissent rapidement, il faut communiquer avec le 911. L’AIT, aussi appelé mini AVC, correspond effectivement à un état temporaire, il s’agit toutefois d’un avertissement sérieux. Un AVC plus grave peut être imminent.
Quels sont les signes avant-coureurs d’un AVC?
L’AVC a une particularité : ses signes précurseurs sont totalement absents. Toutefois, les personnes ayant subi un accident ischémique transitoire (AIT), celles qui sont atteintes d’un trouble cardiaque (anomalie, insuffisance cardiaque ou arythmie), de diabète, de migraines, d’apnée du sommeil, d’hypercholestérolémie (taux élevé de cholestérol) ou d’hypertension artérielle sont plus à risque.
Quels sont les symptômes d'un AVC?
Les symptômes de l’AVC sont nombreux. Voici ceux à surveiller :
• étourdissements;
• perte soudaine d’équilibre;
• engourdissement et affaissement d’une partie du visage, d’un bras, d’une jambe ou d’une partie du corps;
• confusion;
• difficulté à s’exprimer ou à comprendre;
• perte soudaine de la vue ou vision trouble d’un œil;
• mal de tête subit et intense, parfois accompagné de vomissements.
Puisque la rapidité d’intervention est cruciale, la Fondation des maladies du cœur a réalisé un acrostiche – VITE – afin que l’on se souvienne des principaux symptômes et que l’on puisse réagir le plus vite possible.
V : Visage – est-il affaissé?
I : Incapacité – pouvez-vous lever les deux bras normalement?
T : Trouble de la parole – avez-vous des problèmes de locution?
E : Extrême urgence – composez le 911.
Quel que soit le symptôme, il est urgent de contacter les services d’urgence pour obtenir une aide médicale. Plus l’intervention est rapide, moins les séquelles sont importantes.
Que faire si l’on soupçonne un AVC?
À moins d’être un secouriste chevronné, il vous sera difficile d’aider la personne aux prises avec un AVC. Vous pourrez toutefois lui demander de sourire, de lever les deux bras ou de prononcer une phrase très simple. Si la personne en est incapable, aidez-la à s’assoir ou à s’allonger et placez-la en position latérale de sécurité (*). Composez immédiatement le 911. Le patient a plus de chances de récupérer s’il est vu rapidement par un médecin. En attendant les secours, continuez de parler à la personne afin de la rassurer.
Si vous croyez être victime d’AVC, que vous en reconnaissez ses symptômes, communiquez immédiatement avec le 911.
(*) position latérale de sécurité : la victime est placée sur le côté, tête en arrière, bouche ouverte et dirigée vers le sol. Ainsi, sa langue ne peut plus tomber dans sa gorge et ses vomissements s’écoulent librement sur le sol.
Comment prévenir l’AVC?
Il est possible de prévenir l’AVC, les crises cardiaques et les ruptures d’anévrisme en adoptant de saines habitudes de vie telles que :
• L’abandon du tabagisme
• Une consommation modérée d’alcool
• De l’exercice physique régulier
• Le maintien d’un poids santé
• Une meilleure gestion du stress
• Un suivi médical régulier.

Des facteurs de risque qu’on ne peut contrôler
Néanmoins, certains facteurs de risque ne peuvent être contrôlés ni modifiés. C’est le cas pour :
• L'âge (le risque augmente à partir de 55 ans);
• Le sexe (les hommes sont plus susceptibles de faire un AVC, mais les femmes qui en font sont plus susceptibles d'en mourir)
• Les antécédents familiaux
• L’origine ethnique (Les individus d’origine africaine, sud-asiatique et autochtone ont plus de risques de souffrir de diabète et d’hypertension. ce qui augmente le risque d’AVC.)
Des facteurs de risque liés à des problèmes de santé
De plus, des problématiques au niveau de la santé peuvent augmenter les risques d’AVC :
• L’hypertension artérielle;
• Le diabète;
• Un taux élevé de cholestérol;
• Une fibrillation auriculaire;
• Un déficit cognitif d’origine vasculaire.
Pour diminuer les risques qui y sont associés, il faut suivre les recommandations de son médecin afin de contrôler ces maladies ou problèmes de santé.
La femme et l’AVC
Il faut aussi savoir que l’AVC affecte davantage la femme, à certains moments de sa vie, entre autres durant la grossesse, pendant la ménopause et après la ménopause.
La recherche et l’étude dans le monde rappelle que plus de femmes que d’hommes meurent d'un AVC, les séquelles sont souvent plus importantes chez la femme et les défis qui s’ensuivent sont plus grands.
Quoi faire après un AVC?
Après avoir survécu à un AVc, les patients doivent d'abord demeurer vigilants sur les signes d'un autre AVC qui pourrait se manifester.
Dès que possible, les patients devraient de plus débuter différentes thérapies, selon les besoins : physiothérapie, le traitement naturel reste pour le moment la meilleur solution, . Le cerveau démontre une certaine plasticité et possède des habilités pour récupérer, en particulier durant les premiers mois après un AVC.
Une autre chose importante : mettre en place des stratégies d'adaptation chez les patients, afin de minimiser le risque de chute ou d'accident.
Finalement, du soutien psychologique, que ce soit en suivi individuel ou sous forme de groupe de support, est primordial pour bien vivre cette période de transition.
Chose certaine : soyez attentifs aux moindres symptômes d'AVC et n’hésitez pas à consulter un professionnel. Après tout, il y va de votre vie. TEL WHATSAP 6 79 91 07 79
NB ! : N’oubliez pas qu’on n’as que deux vies partir du moment qu’on se rend compte qu’on a qu’une seul vie la deuxième Vien de commencer.

10/06/2023

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(237) 699 97 5856
Douala

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