Taty story

24/05/2025

ALLEZ SAVOURER CETTE NOUVELLE HISTOIRE ☺️

Je suis mon *père* cette situation me fait tion jamais je n’aurai imaginé avoir deux pères. Il nous conduit dans une pièce isolée, j‘ai un peu peur de ce qu’il fera ou dira.

_ Alors?

Je prends le temps de tout lui raconter, du début jusqu’à présent.

_ Tu as beaucoup de chance d’être innocent, façon j‘avais déjà prévu ce que j‘allais te faire hein. Tu n‘allais pas croire. Et je me fiche que tu sois mon fils, tu peux demander à Kendrick il en sait quelque chose.

Je souris

_ Je ne sais vraiment pas quoi faire. Elle ne veut même pas de moi dans la vie du petit, et je peux le comprendre; seulement j’ai besoin d’être présent pour mon fils, l’absence à déjà trop duré
_ J‘en parlerai avec sa mère et elle
_ Merci beaucoup
— Tu n‘as pas besoin de me remercier, elle est une fille pour moi. Tiens, c’est sa carte, tu pourras l’appeler.
_ Euh…est ce qu‘elle a quelqu‘un dans sa vie ?

Il sourit avant de se prononcer

_ Je vois que tu n‘as pas encore enlevé ton pied dedans
_ Mais non…je…je demande juste

Cette fois il éclate de rire

_ Ah les jeunes! Je ne comprends pas cette capacité que vous avez de faire des mauvais choix. Anaïs consacre son temps à la famille et à son évolution professionnelle si ça peut te rassurer.

Je fais un oui de la tête.

_ Tu es un grand garçon, tu sauras comment gérer.
_ Merci énormément pour ce que vous avez fait pour elle, si vous voulez je peux vous rembourser tout ce que vous avez dépensé pour elle, ça me soulagera .
_ Je n’ai pas besoin que tu me rembourses, je l‘ai fait sans rien attendre en retour. Anaïs est ma fille maintenant. En plus elle est officiellement la mère de mon petit fils. Je le considérait déjà comme tel mais ça me fait chaud au cœur de savoir qu‘il est vraiment mon sang.
Je n’ajoute rien et le suis alors qu‘il quitte la pièce.

Nous rejoignons les autres qui sont déjà installés pour le dîner. Anaïs n‘est pas toujours descendue, j’espérais pourtant lui parler avant de m‘en aller. À table il y a les jumelles: Suzy et Annie, Kendrick l’aînée, le mari de Suzy et les parents.

J‘essaie de connaître un peu chacun d‘eux, même si Annie donne des réponses assez sèches et froides.

_ J’espère que tu n‘en as pas après la fortune de papa dit Annie
_ Annie! Crie son père
_ Rassure toi que non. Je suis né et j’ai grandis dans la richesse. Même si je décide de ne pas travailler mes enfants et mes petits enfant vivront sans un manque quelconque. Je suis riche en tout quoi, même en père

Elle n‘ajoute rien et plonge son visage dans son plat. Elle pensait sérieusement m’intimider là?
Le repas se poursuit dans la bonne humeur. Juste après Lyne et sa copine vont dans sa chambre. Moi je regarde le match avec les hommes; après quoi on décide de rentrer.



À travers la fenêtre je les regarde s‘en aller le cœur serré. Ça aurait dû être moi à ses côtés, ça me fait mal de le savoir dans les bras d‘une autre. Je lui en veux terriblement pour ça. Il n‘a pas perdu du temps. Le voilà fiancé et ils attendent un enfant. Il n‘y a plus d’espoir. Même si j’avais l‘occasion jamais je ne serai à l‘origine de leur séparation. Je soupire désespérément avant de rejoindre mon fils endormi et le serrer contre moi. Il reste malheureusement tout ce que j’ai gagné de cette relation.

Une semaine déjà depuis que Henry est passé à la maison, depuis je n’ai pas eu de ses nouvelles et c‘est tant mieux. Papa m‘a plusieurs fois dit que maman et lui aimeraient discuter avec moi mais je trouve toujours une excuse pour éviter la discussion. Je sais bien quel sujet ils veulent aborder, malheureusement j’en ai pas besoin.



_ D‘où viens tu à pareille heure? Tu étais avec elle n‘est ce pas ?
_ Lyne j’ai eu une très longue journée, tu ne vas pas en rajouter
_ Tu penses que je suis idiote? (Pointant l’horloge) regarde l‘heure. Je sais bien que vous étiez ensembles. Ne penses pas que c’est ça qui me fera céder, il est hors de question que tu me laisses tomber pour elle.

En effet il y a un mois que j’ai fait part à Lyne de mon envie de me séparer d‘elle. Ne pensez pas que c’est à cause d‘Anaïs, je le fait d’abord pour moi même, pour nous. Je me sens emprisonné dans cette relation. Nous ne sommes pas encore mariés, il est temps de rembourser chemin. Plus le temps passera plus ça sera compliqué. Je l‘ai déjà supplié de toutes manières possibles en vain. Je ne sais pas encore comment mais je finirai bien par me défaire d‘elle.

_ Ça ne se passera pas comme ça Henry. Tu ne peux pas m‘utiliser et me jeter comme une vielle chaussette
_ Tu savais pourtant que je n’étais pas amoureux de toi
_ Pourtant tu as accepté mes avances
_ Pourtant tu m‘as piégé avec une grossesse
_ peu importe, cet enfant naîtra dans le mariage

Elle s‘en va en claquant derrière elle la porte de la chambre.
Elle devient parano, je n’ai pourtant eu aucun contact avec Anaïs depuis la dernière fois. Je n’ai même pas le courage de l’appeler, je crains sa réaction. Je connais bien cette fille, lorsqu’elle est en colère il est difficile de lui faire changer d’avis.
Mon père, enfin celui que j’ai toujours connu m‘a conseillé de lui laisser un peu de temps.



J‘en ai plus qu’assez du comportement d‘Henry depuis notre retour de Batouri. Il me parle à peine, travaille beaucoup et m‘accorde moins d’attention qu’avant. Je refuse d‘être séparé du père de mon enfant; surtout pas perdre tout ce que je gagne de cette relation.. C’est vrai que je suis tombé enceinte pour le garder mais il n‘y trouvait aucun problème. Je regrette d’avoir accepté de le suivre dans ce stupide pays, j’aurai dû le convaincre que c’était un mauvais choix.
J‘irai voir ma belle-mère, c’est une garce elle saura me conseiller mais pour l’instant j‘ai besoin de rencontrer cette petite idiote. C’est sans gêne que ma copine m’a donné l’adresse de sa boutique.

Je gare dans le parking et descends. Devant l’entrée c’est écrit en gros caractère : NAÏS EMPIRE. Une fois à l’intérieur je suis surprise de la grandeur du local. La famille de Henry n‘y est pas allé de main morte on dirait. Elle ne perd pas de temps pour me repérer.

_ Très bonne matière
_ Qu’est ce que tu veux ?
_ Te demander de fo**re le camps à mon homme

Elle me fixe un long moment avant d’éclater de rire. Elle me prend pour un clown ?

_ Si je comprends bien tu as fait tout ce chemin, toi une femme très enceinte pour venir me raconter des bêtises ?
_ Je ne plaisante pas, regarde moi très bien. Je ne suis pas du genre à me laisser faire; des pestes comme toi j’en ai connu. Tu n‘as pas idée de ce par quoi je suis passé pour avoir son cœur, c’est pas une sa**pe comme toi qui peut me l‘enlever.
_ Toute une fiancée qui a peur de l‘ex de son homme. Qu‘est ce qu’il y’a? Tu n’as pas confiance en toi ? Pour moi c’est du passé, je reste en dehors de votre nid tu n‘as qu‘ à faire de même.
_ Ouais c’est ça, on vous connaît, petite profiteuse!
_ En fait tu as raison d’avoir peur, je peux rallumer la flamme entre Henry et moi à tout moment; mais heureusement pour toi il n‘y a que mon fils qui compte alors tiens toi bien parce que je peux mettre fin à ton stage de mariage à n’importe quel moment.

Ma colère monte d’un coup, je lève la main pour la frapper mais elle la bloque et me gifle doublement.



ON LIKE, ON COMMENTE ET ON PARTAGE ☺️

12/06/2024

Bonjour tout le monde.
Désolée du silence; ça fait un long moment qu'on m'a volé mon téléphone mais ne vous inquiétez pas je trouverai un moyen de terminer l'histoire

13/05/2024

BÉBÉ CHÉRIE_LA FILLE FANTÔME





La peur au ventre, je me demande ce que je ferai toute seule contre eux trois au milieu de nul part et en pleine nuit. Je regarde de loin mon téléphone que j'ai laissé tomber dans la voiture, j'imagine la distance d'ici jusqu'à la prochaine maison, je n'y arriverai jamais à temps. Bon sang pourquoi ce n'est que ce soir qu'il a eu panne ?

Amanda : donnes moi le petit, et peut-être tu souffriras moins

Je ne réponds pas, je fais une petite prière intérieurement

Devant moi, Amanda et derrière moi les deux hommes. À force de contourner je suis presque à la portière.

Moi : je viens avec lui pour m'assurer que tu ne lui feras aucun mal
Amanda : pas besoin, je ne peux pas lui faire de mal parce qu'il sera ma source de richesse. Tu me perds du temps (haussant le ton) donnes le moi

Je sursaute, elle m'approche dangereusement, là je panique. Il me suffit de deux pas pour atteindre la portière. Le premier bouton que je touche est celui qui verrouille les portières. Je démarre en trompe, les laissant planté là. Heureusement dans mon centre de formation on nous donnait des cours de conduite ; seulement je n'ai pas conduit à part à l'école du coup je suis un peu embrouillée. J'ai oublié certaines notions et l'état dans lequel je suis ne me permet pas de bien réfléchir.
D'une main j'essaie de conduire et de l'autre je mets la ceinture de sécurité de Nathan qui commence à pleurer, moi aussi je suis morte de peur.

Moi : ne pleures pas smon bébé, nous allons arriver à la maison bientôt, hum...papa nous attend et ...

Je ravale mes mots lorsque je sens qu'on a heurté quelque chose, je crois que j'ai accordé plus d'attention à Nathan qu'au volant. Tout ce que j'entends ce sont les cris de Nathan, j'essaie de le libérer et là, plus rien.



Je tremble de colère, je n'arrive pas à croire qu'elle m'ait échappé. Tout était pourtant planifié, il n'y avait aucune faille et puis depuis quand elle a appris à conduire ?

Moi : vous n'êtes que des incapables. Une fille, une gamine vient de vous filer entre les doigts.. madame vous avez dit qu'on vous laisse gérer, tout ce qu'on avait encore à faire c'était de la torturer après que vous ayez pris l'enfant
Moi : c'est pourquoi vous êtes resté planté là jusqu'à ce qu'elle s'en aille ? Son petit ami est très riche ; qui dit riche dit relations donc vous ferez mieux de vous débrouiller à arranger tout ça sinon vous et moi c'est derrière les barreaux qu'on sera dans les prochaines heures..mais c'était votre plan, on a rien à y voir
Moi : peut-être, sauf qu'elle a vu ton visage imbécile, ainsi que celui de l'autre.

Il prend son téléphone et s'éloigne pour passer un appel.
..mon ami viendra nous chercher.



Ça fait plus d'une heure que j'ai dit à Bébé de prendre en taxi mais elle n'est toujours pas là jusqu'à présent, ça commence vraiment à m'inquiéter, surtout que j'essaie son numéro et ça sonne dans le vide. J'ai pris trop de temps pour réparer la voiture, étant donné que c'est avec ça qu'on va sortir demain matin. Je patiente encore trente minutes, je décide d'appeler sa patronne qui me rassure qu'elles ont fermé t**d mais elle a bien pris un taxi. Un taxi ? Si elle est dans un taxi pourquoi elle n'est toujours pas arrivé et pourquoi elle ne prend pas mes appels ?
Deux heures déjà, là ça en est de trop. Je prend mon téléphone pour passer un autre appel.

Moi : bonsoir frère...oui je sais et je suis désolé de te déranger aussi t**divement. Ma copine devait rentrer du travail il y a un long moment mais elle n'est toujours pas là. J'ai besoin que tu traces son téléphone s'il te plaît....oui, mais ça fait deux heures bro. Il est minuit moins trois minutes...ok merci...je t'en prie fais vite.

Je raccroche

Yann : alors ?
Moi : il va me rappeler dans quelques minutes

On garde le silence, moi je compte les minutes qui passent jusqu'à ce qu'il rappelle enfin.
..elle est non loin de chez toi, enfin c'est là que son téléphone est.
Moi : merci

Si elle est si prêt qu'est ce qu'elle fabrique ? Yann et moi prenons la route à sa recherche. Lentement, nous avons déjà vérifié dans tout le quartier. On ne perd pas espoir, on prévoit faire un second tour lorsqu'une voiture cognée à un arbre attire mon attention.

Yann : on va voir si tu veux

Mon sang ne fait qu'un tour lorsque je vois Bébé adossée contre le siège conducteur, le sang sur la face, surtout sans Nathan.

Yann : mon Dieu
Moi : (la secouant) Bébé... Bébé réponds moi. Mdrr où est Nathan ? Bébé
Yann : je crois qu'on ferait mieux de l'amener à l'hôpital, le plus tôt serait le mieux
Moi : rapproches la voiture

Je contrôle encore toute la voiture, aucune trace de Nathan.... où est mon fils ? Qu'est ce qu'elle fait au volant d'un taxi ? Je ne peux m'empêcher de couler une larme; la femme que j'aime est dans un état critique et je n'ai aucune idée de l'endroit où se trouve mon fils.
Confus et meurtri, je la porte dans mes bras et l'installe sur le siège arrière de ma voiture. Où est mon fils Seigneur. Tout porte à croire que c'est un coup monté, Bébé n'aurait jamais prit le volant et si elle le voulait, elle aurait prit ma voiture mais un taxi, j'en doute fort.

Moi : Seigneur protèges mon fils, tu sais combien je l'aime.

J'aimerais bien aller à sa recherche mais par où vais je commencer ? Et Bébé qui est inconsciente, comment je vais savoir ce qui s'est passé ?
Je garde le silence et la regarde, la tête pleine d'interrogations.

Yann : ça va aller

11/05/2024

_LA FILLE_FANTÔME

ÉPISODE 36



Maman : Allan je t'avais bien dit, je t'avais prévenu que c'était mieux d'éliminer cette fille tu vois où elle en est ? Moi qui la croyais morte depuis fort longtemps je me suis largement trompée. Elle vit sa meilleure vie aux côtés d'un homme riche et elle travaille tu t'en rends compte ? Tout ça en moins de deux an ! Pendant que ma propre fille souffre pour avoir un homme pour elle et toi qui est surplace avec ton travail, on dirait que tu vas de mal en pire. Ça seulement je ne peux pas le supporter. Voir cette maudite fille réussir plus que mes enfants est impossible
Allan : que veux tu que je fasse maman ? J'étais sûr qu'il allait la rejeter après avoir abusé d'elle ; je suis aussi surpris que toi
Stevie : je pense qu'on en a assez fait. À cause de ça papa ne nous gère plus, il considère que sa seule famille est Bébé et Ana je n'aimerais pas que ça s'aggrave
Maman : je me fiche de savoir s'il nous considère ou pas, cette fille ne peut pas me gagner ainsi, même s'il faut que je procède d'une autre manière.

À peine avoir prononcé ces mots qu'elle s'en va. Je reste troublée par ses dernières paroles, j'espère que ce n'est pas ce que je crois.
Ce n'est que le soir que je retourne chez moi. Je ralenti le pas lorsque je tombe sur mon mari, tournant en rond sur la véranda.

Edmond : je peux savoir d'où tu viens ?
Moi : j'étais voir ma mère
Edmond : et tu ne pouvais pas me prévenir ? Tu sors le matin tu abandonnes les enfants sans de quoi manger tu débarques à pareille heure comme si de rien n'était ?
Moi : tu pouvais prendre soins d'eux nn ?
Edmond : Stevie ! Stevie ! Méfie toi de moi, ça fait déjà plusieurs fois que je le dis, pour la prochaine tu verras.

Il me laisse plantée là. Je suis perdue. Il ne m'a jamais crié dessus ainsi. Avec le charme il obéissait à mes ordre, maintenant c'est tout le contraire. Je ne sais pas si sa mère lui a donné quelque chose mais il a vraiment changé. Je crois que je vais doubler la dose. Ce n'est pas conseillé mais je suis en train de perdre le contrôle, je ne supporterai pas de le perdre.



Papa est enfin sorti de l'hôpital. Je suis heureuse parce qu'il va de plus en plus mieux, même si ce n'est pas le cas pour certains : maman et ses enfants. Ils m'onsultent et me menacent à tout bout de champ au point où j'ai même déjà peur de cette maison. J'en ai parlé à Bébé, elle m'a dit de supporter le temps que l'année scolaire finisse elle va nous payer à papa et moi un appartement au centre ville, comme ça il pourra même reprendre ses activités, en espérant que sa santé soit déjà complète.

Le lendemain



Moi : maman sera là demain
Yann : waouh, enfin, ses mets me manquaient déjà. Bébé est au courant ?
Moi : non. Je veux lui faire une surprise
Yann : je vois, elle sera très contente. J'espère que vous allez enfin lui dire que vous êtes en couple
Moi : bien sûr
Bébé (arrivant) : on peut y aller. À ce soir Yann
Yann : à ce soir petite

Je la dépose au travail et continue jusqu'au bureau. La journée se termine aussi vite qu'elle a commencée, je range mes affaires et démarre ma voiture pour la maison. J'ai fini tôt donc je vais un peu me reposer avant d'aller chercher Bébé.



Ce soir particulièrement le salon est plein de clients comme tous les vendredis. Ce n'est qu'à vingt deux heures qu'on termine. J'essaie de prévenir Stephens qui me dit qu'il arrive.
Après la fermeture je patiente devant l'institut. Peu à peu mes collègues s'en aillent, il ne reste plus que moi...finalement je rappelle Stephens.

Stephens : désolée chérie, juste devant le portail deux noeuds de voiture se sont crevés, prends un taxi s'il te plaît ça va me prendre trop de temps à changer.

Moi : mdrr. Ok

La route est déserte, c'est normal vu l'heure qu'il est. J'ai un peu peur, c'est la première fois que je me retrouve seule dehors à pareil heure, surtout avec le petit. Je me place que bord de la route pour attendre. J'aimerais bien prendre en dépôt mais la plupart des taxi ont déjà des passagers. Finalement j'e' prends un, avec deux personnes derrière.
Je m'installe et garde le petit et mon sac sur moi.

Moi : bonsoir .. bonsoir gamine. Qu'est ce qu'on se retrouve

Je me retourne subitement, Amanda ? Qu'est ce qu'elle fait là ?
Amanda : je t'avais dit qu'on se reverra, que je trouverai un moyen de vous rendre votre humiliation
Moi (au chauffeur) : je veux descendre
Amanda : te fatigue pas, il est avec moi

Là, je prends vraiment pour lorsque je constate que même l'homme à côté d'elle n'a pas l'air surpris.
Il continu de rouler jusqu'à un endroit isolé, Tout le monde descend.

Amanda : à cause de toi j'ai passé des jours pour me remettre des blessures mais comme je suis gentille je ne te ferai rien, si bien sûr tu le donnes le petit
Moi : jamais
Amanda : ne me pousse pas à être désagréable avec toi, à augmenter ma colère. Donnes moi juste le petit et tu partiras d'ici saine et sauve. Rien ne te lie à cet enfant donc mêles toi de tes oignons
Moi : c'est mon oignon, je dis en poussant le petit derrière moi.

07/05/2024

CHÉRIE _LA FILLE FANTÔME



Trois jours plus t**d



Voilà enfin le jour de ma rencontre avec Blessed. Comme c'est mon jour de travail elle est venue à l'Institut. Elle en a profité pour faire ses soins . Là on a terminé, nous sortons de ce pas pour un restaurant non loin pour la pause. Elle garde Nathan dans ses bras, il joue le calme.

Blessed : à chaque fois que je vois un Mignon bébé comme ça j'ai envie d'accoucher à nouveau
Moi : celui là un bébé ? Il a juste un peu endormi ses petits démons.

Je le chatouille un peu, il rit aux éclats.

Moi : j'ai tellement peur qu'on me l'enlève
Blessed : qui ?
Moi : sa mère
Blessed : attends tu n'es pas sa mère ?
Moi : oui. C'est l'enfant de mon petit ami. Sa mère l'a abandonné lorsqu'il était encore bébé. Elle a récemment repris contact soit disant qu'elle veut voir son fils
Blessed : ça ne sent pas bon ça
Moi : j'ai vraiment peur. Je me suis tellement attaché à ce petit ange que je me demande comment je serai si on me l'enlève. Stephens m'a promis que ça n'arrivera pas mais ça reste comme une grosse boule dans ma gorge
Blessed : si ton homme te demande de ne pas t'inquiéter alors ne t'inquiètes pas...tu dois lui faire confiance. C'est lui qui a connu la mère de son enfant, il saura comment s'y prendre
Moi : et s'il recommence à l'aimer quand il la verra ? Il pourra facilement céder parce que je...euh...on a jamais couché ensemble. J'ai très peur et ...
Blessed : un instant. J'ai peur de ne pas bien te comprendre. Comment se fait il que tu habites avec un homme et il ne t'a jamais touché ? Racontes moi tout

Je lui raconte tout ce qui s'est passé du début de notre rencontre jusqu'à présent.

Blessed : il doit vraiment t'aimer. Je ne le connais pas mais avec ce que tu viens de me raconter je trouve que c'est un homme bien et je ne pense pas qu'il puisse retourner avec cette femme. Remercies Dieu de t'avoir donné un homme pareil. Pour cette Mylie tu as très bien fait. Si elle refait surface appeles moi en renfort
Moi : *rire*
Blessed : il est assez patient je trouve. Ne sois pas pressée, lorsque tu seras prête alors fais le. Entre temps lèves toi de là
Moi : on va où ?
Blessed : t'acheter de très jolies lingeries parce que ce que je vois là pfff
Moi : est ce que tu sais que tu es f***e ?
Blessed : on me le dit très souvent



Je suis à bout, cette vieille femme me sort par les narines. Elle est allé jusqu'à renvoyer ma ménagère, maintenant je suis obligée de tout faire seule, sauf la cuisine bien sûr ; elle s'en charge elle même. Tant mieux, je ne sais pas d'abord cuisiner et je n'ai aucune envie de me brûler les doigts.

J'arrive en trompe chez ma mère.

Moi : je n'en peux plus maman je vais l'attaquer d'une autre manière
Maman : tu ne feras rien du tout.
Moi : elle ne veut même pas programmer son retour. Ça pourra peut-être m'aider à m'en débarrasser
Maman : parce que tu crois que tu peux y arriver ? Supportes, elle finira bien par s'en aller.

En effet, le marabout a essayé à deux reprises de lui jeter un sort mais elle n'a pas succombé, selon lui c'est parce qu'elle prit beaucoup...pfff. Le pire c'est que Edmond ne m'obéit plus comme avant. J'ai voulu doubler la dose mais le marabout m'a dit que ça pourrait le tuer si je le fais avant la date prévue. Comme si ça ne suffisait pas il lui demande des fois son avis avant de de prendre un décision.

Maman : aies la patience ma fille. Cette envie de toujours avoir ce que tu souhaites à l'instant causera ta perte.

Je cause avec elle un long moment avant de rentrer chez moi, le cœur léger.



Je suis presque remise de mes coups. Je compte chaque jour qui passe en attendant impatiemment le jour où je serai complètement guérie. Elle ne m'a pas râté cette petite, mais je ne vais pas la rater non plus. Son petit ami et elle vont me payer cette humiliation. Je pensais avoir enfin atteint ce que je voulais, me voilà au point zéro. Sans argent et sans un homme riche pour prendre soin de nous. Il faut bien que je déverse cette frustration sur quelqu'un, quoi de plus normal que sur les coupables ? Et dire que je l'aimais vraiment.

Maman : j'espère que tu as enfin abandonné cette idée tordue
Moi : c'est pas possible, non !
Maman : c'est de la folie ; tu n'as ni la force ni les moyens de t'attaquer à eux
Tu ferais mieux d'oublier ça et te trouver un autre homme en évitant de commettre les mêmes erreurs. S'il t'arrive pire que ça, au pire si tu pars en prison qu'est-ce que je deviendrai ?
Moi : malheureusement pour oublier il me faut seulement un lavage de cerveau. Je vais toucher où ça fait mal. Ne t'inquiètes pas, je ne me ferai pas prendre.

À suivre

06/05/2024

BÉBÉ CHÉRIE _LA FILLE FANTÔME

ÉPISODE 34

'a_Suzy

Juste en face de moi j'ai le plus horrible des tableaux. Bébé qui se fait dorloter par son soit disant petit ami. J'ai envie de vomir. Je n'arrive pas à croire qu'elle s'en est sorti, j'étais persuadée que son corps pourri dans un coin de ce pays. Au lieu de ça, madame jouait la belle vie. Et Ana qui est devenue heureuse d'un coup, je ne me souviens même pas de la dernière fois que je l'ai vu rire. Toujours en colère, il n'y a qu'avec son père qu'elle lâchait un peu le visage, sans rire bien sûr. Pourquoi elle ne peut pas tout simplement être comme mes autres enfants ? Et dire que c'est moi qui l'ait accouché.

Ils se dirigent vers la sortie tous les trois.

Moi : jeune homme tu n'as pas idée dans quoi tu tu mets les pieds. Est ce que tu sais comment a été conçue cette fille ? Elle est un bébé de fantôme c'est pourquoi personne ne la fréquente. Tu seras heureux jusqu'au jour où elle te tueras pour t'amener avec elle. J'essaie de lui faire peur.
Stephens : c'est tout ?

Je n'ajoute rien, n'importe quel homme aurait tout abandonné.

Bébé : pauvre de toi. Jusqu'à présent je te hante toujours hein. Je répète je ne suis pas ici pour toi donc évites moi. Nous on va un peu se changer les idées... à bien réfléchir je crois qu'on ferait mieux de rester, elles pourrait très bien lui tordre le cou.

Je roule des yeux avant de reprendre ma place.

Stevie : tenace, j'aime ça
Maman : essaies encore de me sortir des trucs pareils ...non mais tu es de quel côté à la fin ? Tu n'aimes plus Edmond ? C'est maintenant celui de cette sa**pe qui t'intéresse ? Non mais je rêve.

Le médecin approche enfin, nous nous levons tous à la fois.

Moi : comment il va ?
Médecin : il et hors de danger. Est ce qu'il a subit un choc pouvant provoquer l'augmentation de sa tension ?
Bébé : euh ...on se disputait quand c'est arrivé.
Médecin : ok. Son état est stable, nous allons encore le garder pendant deux jours pour mieux observer l'évolution et ensuite il n'aura que les comprimés à prendre. Surtout ne le mettez pas une quelconque situation pouvant le pousser dans une prochaine crise avant qu'il ne se rétablisse, ça risque d'être fatal
Bébé : est ce qu'on peut le voir ?
Médecin : seulement lorsqu'il sera réveillé
Moi: je vais rester avec lui cette nuit
Bébé : pour que tu l'achèves une fois ? Je le ferai moi même
Ana : tu as un enfant tu ne peux pas dormir avec lui ici. Je le ferai moi
Maman : je vous rappelle que c'est mon mari
Bébé et Ana : et c'est notre père

J'y crois pas, cette sorcière a complètement détourné ma fille.

Bébé : simple, lorsqu'il sera réveillé il nous dira avec qui il veut rester.

Une fois de plus chacun rejoint sa place. Finalement lorsqu'il se réveille, il demande à voir Ana et l'autre. Je ravale ma colère et retourne à la maison, de toute façon il se fait déjà t**d j'ai besoin de sommeil. Stevie retourne chez elle et Allan et moi on rentre ensemble.

Moi : il faut que je me repose, on aura le temps de parler du sort de cette fille et Ana.
Allan : Ana est ta fille maman
Moi : elle a décidé de rejoindre le camp adverse je fais comment ? Elle ne peut pas vivre chez moi et me combattre
Allan : maman ce n'est qu'un enfant, c'est peut être cette fille qui la manipule
Moi : je vais essayer de la récupérer, si ça ne fonctionne pas tant p*s. Non mais tu as vu ça ? Un homme aussi riche pour elle. Elle ne peut pas être plus heureuse que ma fille. Tiens , toi tu te maries quand même ?
Allan : ça arrive maman
Moi : ça arrive c'est dans l'embouteillage ? Tsuiiipss

Je rejoins ma chambre sans une minute de plus, il faut tout faire pour ces enfants.



Je cause avec Blessed (mon amie que j'avais rencontré dans l'avion) un moment avant d'aller me coucher. Elle viendra me rendre visite la semaine prochaine.
Finalement je suis partie à l'hôtel avec Stephens et Nathan. Je suis tranquille parce qu'au moins Ana pourra bien veuiller sur lui. J'irai là-bas tôt le matin le voir.

Stephens : tu vois qu'il est hors de danger nn ?
Moi : oui, Dieu merci. Viens on fait notre prière du soir
Stephens : ah

Il aime pas trop mais il commence à s'habituer. La prière c'est un bouclier, je ne plaisante pas avec. Je vais ensuite prendre une do**he. Chose faite, c'est dans les bras de mon homme que je m'endors.

Le lendemain

J'ai manqué le travail le jour où je réglais mes problèmes avec Mylie, j'ai encore demandé la permission le weekend je ne veux pas en abuser, il faut que je rentre. Et aussi Stephens travaille demain. Nous avons passé toute la journée à l'hôpital, il est temps de prendre la route alors on fait nos au-revoir. Si j'avais la possibilité je les amènerai avec moi, mais il ne faut pas abuser, Stéphens en a déjà trop fait.

Moi (à Ana) : tu prends soin de vous, surtout donnez moi des nouvelles
Ana : pas de problème, faites bon voyage. Bye tonton
Stephens : au revoir petite

Je fais un bisous sur le front de mon père avant de sortir.
Sur le chemin de retour je me sens plus légère, soulagée.
C'est très t**d dans la nuit que nous arrivons, c'était très fatiguant

Comme la bosseuse que je suis, je reprend le travail.

À suivre

05/05/2024

BÉBÉ CHÉRIE _LA FILLE FANTÔME

ÉPISODE 33

Allan

Je reçois deux coups de poing successifs, je veux rendre mais je prends un de plus en plein nez mais je ne me laisse pas faire, il essaie encore de m'assomer mais Bébé se met entre nous. Je ne l'avais pas remarqué celle-là. Je la regarde de haut en bas et j'ai du mal à la reconnaître. Elle n'a pas prit beaucoup de poids mais elle est plus raffinée, plus belle j'avoue.

Stephens : quel imbécile tu es
Maman : eh monsieur je ne sais qui vous êtes mais vous n'allez pas débarquer ici et frapper mon fils
Stephens : votre fils est une ordure
Moi : et toi ? Qu'est ce que...
Papa : ça suffit

On se tourne tous vers lui, ensuite vers Bébé qu'il regarde comme s'il avait vu un fantôme. Maman et surtout Stevie sont sans voix. Comment a t'elle fait pour en arriver là ? Le plan c'était qu'il couche avec elle et la laisse tomber par la suite.

Stephens : vendre ta sœur au prix de rien tu devrais avoir honte. Si ton père n'était pas là je ne t'aurais pas râté, mais on a pas fini.
Papa : je suis heureuse que tu sois là ma fille. C'est qui ce jeune homme ?
Bébé : bonsoir. C'est Stephens, mon petit ami.
Papa : j'en ai entendu parler. Merci mon fils pour tout ce que tu as fait
Stephens : je vous en prie papa

Maman, Stevie et moi on se lance des regards. Mais de quoi il parle ?

Maman : qu'est ce que tu fais chez moi salle bât**de ?
Bébé : je ne suis pas ici pour toi, je passe voir mon père si tu es trop fâchée tu vas voir le tien aussi
Papa : Bébé tu me conduis dehors ? J'ai à te parler

Sans broncher elle pousse sa chaise jusqu'à l'extérieur, Stephens s'asseoit sur une chaise loin de nous, Ana à ses côtés. Les deux parlent à voix basse, impossible de les écouter. Je comprends maintenant, c'est cette minuscule chose qui est à l'origine de tout ça.

Moi : (à Ana) c'est toi n'est ce pas ?
Ana:...
Moi : c'est à toi que je parle madame
Ana : oui c'est moi. Papa voulait la voir alors je l'ai cherché et Dieu merci je l'ai trouvé. Tu pensais l'avoir amené où personne ne peut arriver ?

Je me lève pour la cogner un peu mais maman me retient.

Maman : laisses là. Donc c'était ça la surprise ? Ramener cette sorcière ici ? Une fille fantôme. Tu as fouillé jusqu'à la ramener dans ma maison. J'ai toujours su que tu finiras par me trahir un jour. Tu ferais mieux de faire tes bagages, je ne garderai pas une sorcière sous mon toit
Ana : rien à voir avec vous, papa voulait la voir donc...cet homme que vous voyez c'est grâce à lui que j'ai pu amener papa à l'hôpital, que j'ai un téléphone endroïde pour mieux faire les recherches et que papa mange bien. Personne d'entre vous n'a pris la peine de l'amener faire de bons soins donc... dit-elle en levant les épaules. Je me suis dit que vous aimeriez la surprise.
Stephens : vous ne pouvez pas en vouloir à la petite, elle au moins elle se préoccupe de l'etat de santé de son père. (à moi) et dire que je t'ai fait confiance ? C'est tout ce que je regrette sinon je te remercie de m'avoir donné celle qui fait mon bonheur aujourd'hui.
Moi : tant mieux
Stevie (à voix basse) : vous avez vu ça ? On dirait qu'elle est maintenant très riche. Elle a vraiment changé on dirait qu'elle vit bien maintenant.
Maman : c'est tout ce qui t'intéresse. Normalement on devait se débarrasser d'elle pour toujours elle revient nous narguer avec son gar riche et toi tu l'admires.

On en parlera après, pour l'instant on garde notre calme. Je regarde Ana rire avec ce gar, elle regarde même les vidéos dans son téléphone. La dernière fois que je l'ai vu autant joyeuse c'était avant le départ de Bébé. Elle prend le fils de Stephens et sort avec lui.

Stephens : tes yeux vont se percer

Je détourne mon regard, il me cherche c'est sûr.



Moi : papa ? Papa!

Il ne réponds pas, son cou est incliné sur le côté, les yeux fermés et les larmes qu'il a versé sur ses joues.

Je le secoue, aucun signe.

Moi : Stephens... à l'aide aaaah papa!

La minute d'après ils débarquent tous.

Stephens : qu'est ce qui s'est passé ?
Moi : je...je ne sais pas, on parlait et...et...je crois que j'ai été un peu trop dure avec lui.
Stephens : aides moi à le mettre dans la voiture

Nous le mettons dans la voiture, je pleure en caressant ses cheveux jusqu'à l'hôpital où il est immédiatement pris en charge.

Stephens : il va s'en sortir bébé
Moi : c'est de ma faute, je lui ai dit que c'est lui même qui a semé le désordre dans sa famille, aussi que...
Stephens : chuuut

Il me prend dans ses bras.

Moi : je ne veux pas le perdre
Stephens : ça n'arrivera pas.

Je vais m'asseoir près d'Ana, elle a gardé le silence jusqu'ici.

Moi : tu dois m'en vouloir hein
Ana : non, tu as exprimé ce que tu ressens, son cœur est malheureusement très fragile depuis un moment
Moi : n'empêche que...
Ana : laisses tomber Bébé. Prions plutôt pour qu'il s'en sorte.
Moi : je...je suis désolée si je me suis toujours montré indifférente lorsque tu m'approchais. Ayant toute la famille sur le dos ce n'était pas facile de croire qu'une personne veuille m'aider
Ana : je comprends
Moi : je te remercie, j'ai appris beaucoup de choses en discutant avec lui. Je te demande aussi pardon, tu as pris soin de lui jusqu'ici et moi je l'ai fait chuter
Ana : je te pardonne su tu deviens ma complice
Moi : si c'est juste ça alors ok

Elle me fait un câlin, pour la première fois je la serre fort contre moi.

La bande de sorciers arrive après, ils me donnent des envies de meurtre; surtout cette femme. À cause d'elle j'ai perdu ma mère, mon petit frère, et elle a faillit me prendre mon père aussi. Il m'a tout expliqué, du debut de sa relation avec ma mère jusqu'à ce que la mort les sépare. Malheureusement elle ne pourra pas me le prendre.

À suivre