الصحة المدرسية في الجزائر

الصحة المدرسية في الجزائر santé scolaire

10/10/2025
لما يجيك طفل مثل هذا الي عيادتك والاهل خائفين من هذة الورم في فم الطفل قالين:ماهذا الورم دكتور?  هل سرطان?  هل هو مضر? و...
10/10/2025

لما يجيك طفل مثل هذا الي عيادتك والاهل خائفين من هذة الورم في فم الطفل قالين:ماهذا الورم دكتور? هل سرطان? هل هو مضر? والعديد من الاسئلة_ انت كدكتور اسنان بمجرد تشخيصك للحاالة_طمن الاهل بأن هذا ليس مخيفا وهو ورم لفترة موقتة وهو علامة لبزوج الاسنان ويسمي eruption cyst يعني كيس بزوغ الاسنان.. سوف تنموا الاسنان وينتهي الورم بدون اي تدخل جراحي.
واحيانا يتم التدخل جراحيا في بعض الحالات...

10/10/2025





10 أكتوبر

جميعنا نعرف أن أعراض الضغط النفسي تؤدي لآلام مختلفة مثل آلام الصداع أو البطن. لكن ما لا تعرفونه، أن الضغط النفسي الشديد يمكنه أيضا الإضرار بصحة الفم و الأسنان حيث أن القلق والتوتر والعصبية تؤدي إلى رفع مستوى هرمون الكورتيزون في الجسم مما يؤدي إلى تقليل مناعة الجسم فيصبح الطريق مفتوحا للبكتيريا التي تنشط و تقوم بمهاجمة اللثة والأنسجة المحيطة بالاسنان .
كما أن العادات السيئة المرتبطة بالتوتر كالتدخين وتناول الكحوليات تزيد من مخاطر الإصابة بمشكلات اللثة والأسنان بالإضافة إلى تغيير بعض العادات الغذائية مثل تناول الوجبات غير الصحية أو الإكثار من تناول السكريات مع اهمال نظافة الأسنان.
ولضمان صحة أفضل للأسنان ،ينصح لمرضى الاضطرابات النفسية اتباع ما يلي:
1- تنظيف الأسنان بالمعجون والفرشاة مرتين يوميا.
2- شرب كميات وفيرة من المياه على مدار اليوم، للحفاظ على ترطيب الفم.
3- مضغ العلكة الخالية من السكر، وذلك لدورها الفعال في تقوية عضلات الفك، وتحفيز الغدة اللعابية لإفراز المزيد من اللعاب.
4- تجنب الأطعمة والمشروبات السكرية، وفي حالة تناولها، يجب الاهتمام بمضمضة الفم بالماء الجاري، للتخلص من السكريات العالقة بالأسنان.
5- زيارة طبيب الأسنان بصورة منتظمة، لأن الكشف المبكر عن الأمراض من شأنه أن يساهم في التعافي منها سريعا.

09/10/2025

Chez l’enfant, l’anesthésie locale représente une étape délicate qui exige à la fois compétence technique et sensibilité psychologique. La difficulté réside souvent dans la peur de l’enfant, liée à l’inconnu ou à la phobie de l’aiguille, un phénomène très fréquent en médecine. Le praticien doit donc adapter son approche en fonction de la personnalité du petit patient et instaurer un climat de confiance avant tout geste technique. L’attitude verbale joue un rôle fondamental : il est essentiel d’éviter les mots porteurs d’anxiété tels que « douleur », « piqûre », « seringue » ou « aiguille », et de bannir les phrases négatives du type « n’aie pas peur, ça ne fera pas mal », car le cerveau de l’enfant retient les mots « peur » et « mal », renforçant ainsi son appréhension. Le langage doit être positif, rassurant et imagé, pour détourner son attention de l’acte.

Sur le plan technique, certaines précautions permettent de minimiser la douleur. L’utilisation préalable d’un anesthésique topique peut être utile, même si son application reste plus difficile sur les zones dures comme le palais ou la face linguale. L’angle d’introduction de l’aiguille doit être très faible (inférieur ou égal à vingt degrés), avec la partie plane du biseau posée sur la muqueuse afin de limiter la pénétration brutale. L’injection doit ensuite être effectuée lentement, car une injection rapide provoque une surpression tissulaire souvent perçue comme douloureuse. Cette lenteur, associée à une main douce et stable, conditionne la réussite du geste anesthésique chez l’enfant.

Il est indispensable d’informer l’enfant et son entourage du risque de morsure ou d’automutilation post-anesthésique, en particulier après une anesthésie mandibulaire. L’hypoesthésie prolongée des tissus peut amener l’enfant à mordre involontairement sa lèvre ou sa joue, entraînant des plaies parfois importantes. Pour prévenir ces incidents, il est conseillé de placer une compresse entre les dents et la lèvre jusqu’au retour complet de la sensibilité.

D’un point de vue médical, les réactions allergiques aux anesthésiques locaux sont plus fréquemment rapportées chez l’enfant, sans toutefois être systématiques. En cas de doute, un avis allergologique est recommandé, d’autant qu’il n’existe pas d’allergie croisée entre les différentes familles d’anesthésiques locaux, ce qui permet de disposer d’alternatives sûres.

Le calcul de la dose constitue un autre aspect essentiel. Le faible poids de l’enfant rend le risque de surdosage plus élevé. Ainsi, la dose maximale doit toujours être calculée individuellement en fonction du poids corporel (en milligrammes par kilogramme). Le métabolisme des anesthésiques étant comparable à celui de l’adulte, les mêmes règles de calcul s’appliquent, mais avec une rigueur accrue. Le praticien doit donc connaître la concentration exacte du produit, la dose maximale autorisée et le volume par carpule pour adapter le nombre de cartouches à utiliser.

Alors, quel que soit le type d’anesthésie choisi, la réussite du geste repose sur une approche globale combinant maîtrise technique, empathie et communication adaptée. L’enfant doit se sentir compris, écouté et en sécurité. L’objectif du praticien ne se limite pas à endormir une zone à traiter, mais à créer une expérience positive et sans traumatisme, pour favoriser une relation de confiance durable avec le soin dentaire.

Source : Dr Néhémie Édouardi

08/10/2025
Complications de l'anesthésie locale en médecine dentaire
07/10/2025

Complications de l'anesthésie locale en médecine dentaire

07/10/2025

L’hypotension artérielle, définie par une pression systolique inférieure à 90 mmHg, est une urgence clinique fréquente au cabinet dentaire, souvent sous-estimée. Elle traduit une diminution transitoire ou prolongée du débit sanguin cérébral et peut compromettre la conscience, la respiration et la stabilité hémodynamique du patient. Cette chute tensionnelle peut être liée à divers mécanismes : baisse du tonus vasculaire, diminution du volume sanguin circulant, ou dysrégulation neurovégétative.

Chez le patient au cabinet, plusieurs facteurs peuvent en être responsables :
– Une hémorragie peropératoire non compensée ;
– Une prémédication sédative ou anxiolytique excessive ;
– Une injection trop rapide d’anesthésique local contenant de l’adrénaline, entraînant un effet vasodilatateur secondaire ;
– La fatigue, le jeûne, ou la déshydratation avant la consultation ;
– Une réaction vagale induite par la peur, la douleur ou la vision du sang ;
– Enfin, certains traitements antihypertenseurs, diurétiques ou antidépresseurs peuvent également fragiliser la régulation tensionnelle.

Sur le plan clinique, les signes d’hypotension apparaissent souvent de façon insidieuse : sensation de vertige, bourdonnement d’oreilles, vue trouble, faiblesse musculaire ou sueurs froides. La pâleur du visage, la lenteur du pouls et la respiration superficielle sont caractéristiques. Dans les cas plus graves, le patient peut présenter une lipothymie (perte de connaissance partielle) ou une syncope complète, avec relâchement musculaire et chute brutale.

La prise en charge doit être immédiate et adaptée à la gravité de la situation :

1. Arrêter tous les soins en cours et s’assurer de la sécurité du patient.

2. Allonger le patient en position déclive, jambes surélevées, afin de restaurer la perfusion cérébrale.

3. Desserrer les vêtements et aérer le local pour améliorer l’oxygénation.

4. Surveiller la tension artérielle, la fréquence cardiaque et la respiration.

5. Si la bradycardie persiste malgré le repositionnement, administrer de l’atropine (0,5 à 1 mg en IV lente). Et faire appel aux services des urgences.

6. En cas de collapsus ou de non-réponse, utiliser de l’adrénaline à faible dose sous stricte surveillance.

7. Si un état de choc s’installe, perfuser une solution saline isotonique pour restaurer le volume circulant et solliciter les urgences médicales pour une prise en charge hospitalière.

Du point de vue préventif, le rôle du dentiste est essentiel. Avant tout acte, il est nécessaire de rechercher les antécédents médicaux : traitements hypotenseurs, troubles cardiaques, diabète, épisodes syncopaux antérieurs, etc. Une bonne communication et un environnement rassurant permettent de diminuer le stress et de prévenir les réactions vagales. De même, il convient d’éviter le jeûne avant les soins, de faire lever le patient progressivement après une longue position allongée, et de respecter les doses d’anesthésiques locaux.

L’hypotension n’est pas anodine : elle constitue souvent un signal d’alarme physiologique que le praticien doit reconnaître sans délai. En cas de mauvaise réaction, la rapidité de la réponse et la connaissance des gestes de premiers secours peuvent sauver une vie. Le chirurgien-dentiste, en tant qu’acteur de santé, doit donc rester formé, vigilant et préparé à affronter ce type d’urgence médicale dans son cabinet.

Source : Docteur Néhémie Édouardi

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