وعي و وقاية في الصحة المدرسية

وعي و وقاية في الصحة المدرسية santé scolaire

17/12/2025

Les aphtes semblent être plus fréquents chez les personnes présentant des carences nutritionnelles, notamment en fer, en acide folique (vitamine B9) et en vitamine B12. Ces éléments jouent un rôle essentiel dans le renouvellement cellulaire et la santé des muqueuses buccales. Lorsqu’ils viennent à manquer, la muqueuse devient plus fragile, favorisant l’apparition d’aphtes récidivants.

C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles les femmes sont plus souvent touchées que les hommes. En raison des pertes sanguines liées aux menstruations, elles sont davantage exposées aux carences en fer, pouvant aller jusqu’à l’anémie. Cette fragilité biologique explique la fréquence et parfois la persistance des aphtes chez certaines patientes.

Identifier et corriger ces carences par un bilan biologique et un traitement adapté (supplémentation, alimentation équilibrée) permet souvent de réduire la fréquence, l’intensité et la récidive des aphtes. Ainsi, face à des aphtes répétitifs, il est essentiel de ne pas se limiter à un traitement local, mais d’en rechercher la cause générale.

Stomatologie f

17/12/2025

Les traitements locaux des ulcérations buccales regroupent l’ensemble des substances appliquées directement sur la lésion afin de soulager la douleur, protéger la muqueuse et favoriser la cicatrisation. Ils comprennent principalement les anesthésiques locaux, les revêtements protecteurs, les corticoïdes topiques ainsi que certaines techniques physiques ou chimiques comme le laser ou la cautérisation.

Les anesthésiques locaux, tels que la dyclonine ou la lidocaïne, peuvent être utilisés sous forme de bains de bouche pour diminuer la douleur. Toutefois, en raison de l’insensibilisation de la bouche et de la gorge qu’ils provoquent, leur usage doit être prudent, notamment chez l’enfant, afin d’éviter les fausses routes alimentaires. La lidocaïne peut également être appliquée localement sous forme de gel visqueux directement sur l’aphte. Il est impératif de respecter strictement les doses recommandées afin de prévenir tout effet toxique.

Les revêtements protecteurs, à base de sucralfate ou d’antiacides contenant de l’aluminium et/ou du magnésium, ont un effet apaisant lorsqu’ils sont utilisés en bain de bouche. Ils forment une barrière protectrice sur la lésion, réduisant ainsi l’irritation et la douleur. Certains praticiens associent à ces préparations d’autres substances comme la lidocaïne ou la diphénhydramine, un antihistaminique. La pâte d’amlexanox constitue également une alternative intéressante. Il est important de souligner que ces produits soulagent les symptômes mais ne traitent pas la cause sous-jacente des ulcérations. Les bains de bouche contenant de l’alcool doivent être évités, car ils peuvent aggraver l’inflammation et retarder la cicatrisation.

Les corticoïdes locaux, administrés sous forme de bains de bouche ou de gels à application directe, peuvent être prescrits pour réduire l’inflammation et accélérer la guérison. Avant toute prescription, le médecin doit impérativement exclure une origine infectieuse de l’ulcération afin d’éviter toute complication.

Enfin, certaines ulcérations buccales peuvent bénéficier de traitements plus spécifiques comme le laser de faible puissance, qui procure un soulagement rapide de la douleur et réduit souvent le risque de récidive. La cautérisation chimique à l’aide de nitrate d’argent peut également diminuer la douleur, bien que son efficacité soit généralement inférieure à celle du laser.

Stomatologie f

17/12/2025

La stomatite aphteuse récurrente (SAR) se caractérise par l’apparition de petits aphtes douloureux à l’intérieur de la bouche. Elle débute généralement pendant l’enfance et réapparaît fréquemment. Les aphtes se forment surtout sur les tissus mous : intérieur des lèvres, joues, langue, plancher de la bouche, palais mou ou gorge. La cause exacte est inconnue, mais plusieurs facteurs semblent impliqués, notamment une prédisposition génétique, un dysfonctionnement du système immunitaire, l’exposition à certains conservateurs ou ingrédients de dentifrices, ainsi que des traumatismes locaux. Le stress, comme celui lié aux examens, et certains aliments (chocolat, café, arachides, œufs, céréales, amandes, fraises, fromage, tomates) peuvent également déclencher des poussées. Les réactions allergiques ne semblent pas impliquées.

Les symptômes débutent par une brûlure ou une douleur, suivie en un ou deux jours par l’apparition de petites ulcérations rondes ou ovales (

17/12/2025

Les aphtes sont des lésions buccales bénignes mais particulièrement douloureuses et gênantes au quotidien. Leur cause exacte reste souvent difficile à identifier, mais plusieurs facteurs favorisants sont bien connus : la prise de certains médicaments, le stress, la fatigue, certaines maladies inflammatoires ou digestives comme la maladie de Crohn, ainsi que les carences en fer ou en vitamine B12. L’alimentation joue également un rôle important dans leur apparition. Certains aliments augmentent le risque d’ulcérations buccales, notamment le café, qui irrite la muqueuse, ainsi que les fruits à coque comme les noix de cajou ou les amandes, dont l’effet peut être atténué en les faisant tremper une trentaine de minutes dans l’eau. Les aliments acides sont aussi fortement impliqués : l’ananas, les tomates crues, les fraises et les agrumes favorisent l’irritation de la muqueuse buccale. Les fromages affinés tels que le comté, le gouda ou le parmesan sont également associés à l’apparition des aphtes. Chez certaines personnes, ces lésions peuvent révéler une maladie cœliaque, suggérant un lien entre les aphtes et les aliments riches en gluten. Enfin, les épices, souvent riches en histamine, peuvent déclencher des réactions inflammatoires locales et contribuer à la formation d’aphtes. Adapter son alimentation et corriger les carences éventuelles permet souvent de réduire la fréquence et l’intensité de ces ulcérations.

Stomatologie f

16/12/2025

Astuces en cas de saignement après un acte dentaire

Toute intervention dentaire, même mineure, peut être suivie de complications hémorragiques. En règle générale, l’hémostase est obtenue à la fin de l’acte chirurgical. Lorsque le saignement est maîtrisé, il est indispensable de transmettre au patient des consignes simples mais strictes afin de prévenir toute reprise hémorragique. Il est recommandé d’éviter de cracher ou de se rincer la bouche pendant les 48 premières heures, de ne pas consommer d’aliments ou de boissons chaudes, et de privilégier une alimentation molle et tiède. Le respect de ces consignes favorise la stabilisation du caillot sanguin, élément clé de la cicatrisation.

Dans certaines situations, un caillot trop volumineux peut paradoxalement entretenir le saignement. Dans ce cas, il est préférable de l’éliminer délicatement à l’aide d’une compresse stérile, de rincer doucement à l’eau froide, puis de placer une nouvelle compresse stérile en exerçant une pression continue pendant au moins dix minutes. Concernant les patients sous traitement antithrombotique, les extractions dentaires ne nécessitent, dans la majorité des cas, ni arrêt ni modification du traitement, conformément aux recommandations de la Société Française de Chirurgie Orale (SFCO), à condition d’une prise en charge locale rigoureuse.

Plusieurs moyens simples et efficaces permettent de contrôler un saignement post-opératoire. L’utilisation d’une éponge hémostatique associée à une suture résorbable constitue une méthode de référence. Physiologiquement, les plaquettes sanguines sont activées par le collagène exposé lors d’une brèche vasculaire. L’éponge hémostatique, en apportant du collagène exogène, augmente la surface d’adhésion plaquettaire et favorise la formation du clou plaquettaire. Les sutures, quant à elles, renforcent la compression tissulaire et maintiennent le matériau hémostatique en place, optimisant ainsi l’hémostase.

L’empreinte sectorielle compressive représente également une solution très efficace. Réalisée à l’aide d’un élastomère de haute viscosité placé dans un porte-empreinte en occlusion, elle permet de maintenir une pression constante sur le site opératoire immédiatement après l’intervention. Cette empreinte peut être remise au patient, qui pourra la repositionner facilement à domicile en cas de reprise du saignement. Le silicone est particulièrement intéressant car il est bien toléré, n’adhère pas au caillot et limite la formation de caillots volumineux.

L’application d’une compresse vaselinée est une autre astuce utile. La vaseline empêche l’adhérence du caillot à la compresse, évitant ainsi son arrachement lors du retrait et réduisant le risque de reprise hémorragique. Enfin, l’utilisation d’une compresse imbibée d’Exacyl® (acide tranexamique) constitue une option efficace. L’acide tranexamique est un antifibrinolytique qui favorise la stabilisation du caillot en inhibant la transformation du plasminogène en plasmine. Plutôt qu’un bain de bouche, qui peut entraîner l’élimination du caillot lors du crachat, il est souvent préférable de demander au patient de verser le contenu de l’ampoule sur une compresse stérile, de la rouler puis de la maintenir en pression sur la zone concernée pendant 15 à 20 minutes, après élimination préalable d’un caillot proéminent si nécessaire.

Source : 150_trucs_et_astuces_pour_le_chirurgien-dentiste

Santé bucco-dentaire
16/12/2025

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