Rhumatologue a tizi ouzou -Dr Allache

07/08/2025

L'utilisation excessive des téléphones peut avoir plusieurs effets néfastes sur l'organisme. En voici quelques inconvénients potentiels :

1. Problèmes de vision : Le fait de fixer un écran de téléphone pendant de longues périodes peut entraîner une fatigue oculaire, une vision floue et des maux de tête.

2. Troubles du sommeil : L'exposition à la lumière bleue émise par les écrans des téléphones peut perturber le cycle naturel du sommeil, ce qui peut entraîner des problèmes d'insomnie.

3. Stress et anxiété : L'utilisation excessive des téléphones, en particulier sur les réseaux sociaux, peut augmenter le stress et l'anxiété en exposant les utilisateurs à des contenus négatifs ou en les faisant se comparer à d'autres.

4. Douleurs musculaires : Tenir un téléphone pendant de longues périodes peut entraîner des douleurs au niveau du cou, des épaules et du dos, souvent désignées sous le terme "text neck".

5. Risque accru d'accidents : L'utilisation du téléphone en marchant ou en conduisant peut augmenter le risque d'accidents et de blessures.

6. Dépendance et isolement social : L'utilisation excessive des téléphones peut entraîner une dépendance et un isolement social, car les utilisateurs peuvent préférer interagir avec leur téléphone plutôt qu'avec les personnes qui les entourent.

7. Exposition aux radiations : Bien que les preuves scientifiques soient encore limitées, certaines études suggèrent que l'exposition prolongée aux radiations émises par les téléphones portables pourrait avoir des effets néfastes sur la santé.

8. Diminution de la productivité : L'utilisation excessive des téléphones peut entraîner une diminution de la productivité au travail ou à l'école, car elle peut entraîner des distractions fréquentes.

9. Impact sur la santé mentale : L'utilisation excessive des téléphones est associée à une augmentation du risque de dépression, d'anxiété et de stress.

Il est important de trouver un équilibre dans l'utilisation des téléphones

07/08/2025

La tribu Buton, en Indonésie, est connue pour une particularité génétique rare qui fait que certains de ses membres ont des yeux bleus étonnants et étincelants. Cette particularité est due au syndrome de Waardenburg, une maladie génétique rare qui affecte la pigmentation et peut également être associée à une perte d'audition. Bien qu'elle vive en Asie du Sud-Est, où les yeux bleus sont extrêmement rares, cette maladie a donné à la tribu une apparence distinctive et attachante.

06/08/2025

🔻Le papa de Margarita aime chatouiller sa petite fille. La petite fille ne cesse de rire, au point d'en pleurer parfois, mais.....

🔻C'est bon ?

🔻 Pas nécessairement. Parfois, cela peut même être très mauvaise.

🔻 C'est génial de faire rire les enfants. Si vous les "tuez" de rire avec des blagues et des gestes, avec des remerciements et des clowneries, c'est magnifique. Ce rire est très sain à tous points de vue ; pour la respiration, pour la circulation, pour le diaphragme et surtout pour l'âme.

🔻Mais les chatouillements ne le sont pas. Du moins pas toujours.

🔻Saviez-vous que les chatouillements sont une méthode de torture depuis l'Antiquité ?

🔻Avec les chatouillements, le rire est un réflexe inévitable et involontaire. Il entrave la respiration et génère un stress si intense qu'il peut causer des dommages permanents.

🔻Lorsqu'elles ne sont pas arrêtées à temps, les chatouillements deviennent une forme de domination. La victime, qui est dans ce cas, est incapable de respirer et ne peut même pas dire "stop".

🔻C'est une angoisse dont on se souvient toute sa vie, comme peuvent en témoigner ceux d'entre nous qui ont subi cette forme de torture dans leur enfance.

🔻Vous pouvez chatouiller, oui, mais arrêtez immédiatement s'il dit "non".

🔻Si l'enfant ne veut pas être chatouillé, ne le chatouillez pas, point final. C'est un abus qui est perpétré par la force et l'enfant, incapable de s'arrêter de rire, se sent humilié, même s'il est heureux pour vous, il ne l'est pas.

🔻Si l'enfant vous demande de le chatouiller parce que cela l'amuse, c'est très bien, mais arrêtez immédiatement au premier "pas plus".

Salutations !

05/08/2025

05/08/2025

🤷🤷

04/08/2025

😝🤔🤔

30/07/2025

TROUBLES DU SOMMEIL :

I. Définition

Les troubles du sommeil correspondent au trouble d’un besoin de base de l’individu : celui de dormir.

Parmi les troubles du sommeil, on distingue :

L’insomnie
L’hypersomnie et la narcolepsie
La parasomnie
Les troubles du rythme circadien
Le syndrome des jambes sans repos
Le syndrome d’apnée du sommeil


II. Insomnie

L’insomnie correspond à la perturbation qualitative et/ou quantitative du sommeil.

On distingue :

L’insomnie aiguë qui dure quelques jours
L’insomnie chronique qui dure quelques mois ou quelques années
Plusieurs types d’insomnies

Totale : le sujet ne dort ni le jour ni la nuit (rare)
D’endormissement : difficultés à s’endormir
Liée à des difficultés pour se rendormir
Liée à des réveils nocturnes
Matinale : réveil précoce à 3/4 heures du matin
Étiologie

Prédispositions génétiques
Facteur déclenchant (stress, anxiété, dépression …)
Hygiène de vie
Qualité de l’environnement
Affections médicales ou psychiatriques
Conséquences

Fatigue
Somnolence
Troubles de l’attention
Troubles de la mémoire
Difficultés de concentration


III. Hypersomnie et narcolepsie

L’hypersomnie correspond à un besoin excessif de sommeil et des épisodes de somnolence excessive pendant la journée.

Elle concerne 5% de la population.

La narcolepsie est un type d’hypersomnie :

Étiologie : mécanisme auto-immun
Signes : endormissement incontrôlable, attaque de cataplexie, hallucinations
On parle de clinophilie lorsque l’individu a tendance à rester la quasi-totalité de son temps dans son lit à somnoler.

Caractéristiques

Allongement de la durée de la nuit
Somnolence diurne excessive
Endormissement facilité
Épuisement chronique
Étiologies, hypersomnie secondaire à :

Une pathologie somatique : syndrome d’apnée du sommeil, narcolepsie
Une pathologie psychiatrique : dépression
Une prise médicamenteuse ou une prise de toxiques


IV. Parasomnie

La parasomnie correspond à la survenue d’un évènement anormal/indésirable à l’endormissement, pendant le sommeil ou au réveil.

Étiologies :

Forte prédisposition génétique
Maladie neurodégénérative
Stress
Fièvre
Certains médicaments
On distingue plusieurs types d’évènements anormaux :

Somnambulisme : déambulation nocturne inconsciente (aucun souvenir au réveil)
Terreurs nocturnes : fréquentes chez l’enfant
Cauchemars : rêve terrifiant
Hallucinations hypnagogiques : troubles sensoriels à l’endormissement
Énurésie : émission involontaire et inconsciente d’urine
Somniloquie : fait de parler en dormant
Catathrénie : bruits non articulés (gémissements, grognements …)
Sexsomnie : comportement sexuel inconscient
Bruxisme : grincement des dents pendant le sommeil
Troubles alimentaires nocturnes


V. Autres troubles

Les troubles du rythme circadien correspondent à un dérèglement de l’horloge biologique :

Re**rd de phase : sommeil à une heure avancée de la nuit
Avance de phase : difficulté à rester éveillé après 19h
Troubles épisodiques (ex : décalage horaire)
Le syndrome des jambes sans repos correspond à un besoin irrépressible de bouger les jambes :

Étiologies : prédisposition génétique, carence en fer et/ou en dopamine, prise de certains médicaments
Perturbe l’endormissement
Le syndrome d’apnée du sommeil correspond à l’obstruction des voies respiratoires par le relâchement des muscles du pharynx :

Facteurs de risque : âge, surpoids, obésité
Induit des micro réveils
Favorise la fatigue et la somnolence diurne


VI. Complications

L’altération de la qualité du sommeil augmente le risque de :

Maladies cardiovasculaires
Obésité
Diabète
Cancer
Accidents


VII. Traitements

Le traitement repose tout d’abord sur la recherche et le traitement de la cause.

Traitements médicamenteux

Hypnotiques (benzodiazépine ou apparenté)
Psychotropes
Mélatonine
Autres traitements

Thérapie cognitive et comportementale
Hygiène de vie
Relaxation comportementale

29/07/2025

💢💀🥼😨 Un simple ajustement cervical chez son chiropracteur l’a emprisonné à jamais dans son propre corps, incapable de bouger ou de parler…

Jonathan Buckelew n’avait que 27 ans lorsqu’il se rendit en 2015 à une séance de routine en Géorgie. Lors de la manipulation du cou, il a commencé à se sentir étourdi et confus 😵. Quelques minutes plus t**d, son corps ne répondait plus. 🚑

Aux urgences, les médecins n’ont pas détecté à temps ce qui se passait réellement : une grave dissection artérielle provoqua un infarctus du tronc cérébral 🧠💔. Ce ret**d de diagnostic a scellé son destin.

Jonathan a développé le syndrome d’enfermement (locked-in syndrome) – une condition terrible où l’on reste conscient, mais totalement paralysé, ne pouvant communiquer que par les yeux 😢👁️👁️.

Son histoire a déclenché un scandale de négligence médicale et révélé les risques méconnus mais potentiellement mortels de certaines manipulations chiropratiques ⚠️💀.

Sa famille, qui l’entoure depuis le drame, décrit leur douleur comme la perte totale de la vie d’avant. Des années plus t**d, un jury lui a accordé 75 millions de dollars en compensation 💸⚖️.

👉 Aujourd’hui, l’histoire de Jonathan est un avertissement glaçant sur les conséquences irréversibles que peut entraîner un simple mal de cou… 😔💔

29/07/2025

☺️☺️☺️