Tala tegana

Tala tegana aimez vous notre village ?????

04/01/2023

Un magasin de vente en detail semences, plantes, materiel & fourniture pour l'agriculture; produits phytosanitaire à usage agricole sis au village Tala Tegana; commune Freha;cherche un vendeur(se) diplomé Agronomie.
Email:magasinagricole1992@gmail.com

02/09/2021

à la recherche de notre frère kadri nassim qui est sorti de la maison le jeudi 26/08/2021 matin du village sabaw el kedim commune de beghlia père de famille atteint de trouble psychologique et depuis aucune nouvelle de lui,nous lançons un appel à toute personnes qui l'ont aperçu de nos donner de c nouvelles svp svp svp🙏🙏🙏
Contactez nous au : 0558846879
0560 87 31 41

06/09/2020

Objet perdu:

Salut je ne sais pas si vous pouriez partager ce message en annonyme
Celui ou celle qui a perdu une somme d argent au village qu'il me contacte pour lui rendre.
Merci d' avance.

20/03/2020

Bon a savoir !

CORONAVIRUS:

OMS a donné une conférence en voici le résumé : l'infection à coronavirus ne provoque pas un rhume avec un nez mouillé ou une toux avec un rhume, mais une toux sèche et rude, c'est la chose la plus simple à distinguer.
Le virus ne résiste pas à la chaleur et meurt s'il est exposé à des températures supérieures à 26-27 degrés, il doit donc être consommé c des infusions, des bouillons ou simplement
Evitez de boire de l'eau glacée ou des boissons avec de la glace (glaçons). Pour ceux qui le peuvent, prenez un bain de soleil.
Le coronavirus a une grande taille (diamètre de 400 à 500 nanomètres) de sorte que n'importe quel masque peut l'arrêter, les masques spéciaux ne sont pas nécessaires dans la vie quotidienne.
La situation est différente pour les médecins et les hygiénistes qui sont exposés à de lourdes charges du virus et doivent utiliser des équipements spéciaux

Si une personne infectée éternue devant nous ; à trois mètres de là, le virus tombera au sol et empêchera qu'il ne nous tombe dessus.
Lorsque le virus se trouve sur des surfaces métalliques, il survit pendant environ 12 heures. Par conséquent, lorsque vous touchez des surfaces métalliques telles que des portes, des appareils, des rampes de transport, etc.
Le virus peut vivre niché dans les vêtements et les tissus entre 6 et 12 heures, les détergents courants peuvent l'exterminer, les éléments qui ne peuvent pas être lavés quotidiennement sont recommandés pour être exposés au soleil et le virus mourra.

Comment elle se manifeste :
Le virus s'installe d'abord dans la gorge, provoquant une inflammation et une sensation de sécheresse ; ce symptôme peut durer entre 3 et 4 jours
Le virus voyage à travers l'humidité présente dans les voies respiratoires, descend dans la trachée et s'installe dans les poumons, provoquant une pneumonie qui dure environ 5 ou 6 jours
La pneumonie se manifeste par une forte fièvre et une difficulté à respirer. Elle n'est pas accompagnée du froid classique, mais il peut y avoir une sensation d'étouffement. Dans ce cas, vous devez immédiatement consulter votre médecin.

Comment éviter l'infection
La transmission du virus se fait généralement par contact direct avec des tissus, des étoffes ou des matériaux sur lesquels le virus est présent : Le lavage des mains est essentiel.
Le virus ne survit sur nos mains que pendant environ 10 minutes, mais pendant ce temps, beaucoup de choses peuvent arriver, se frotter les yeux, se toucher le nez, - pour donner un exemple - cela permet au virus de pénétrer dans votre gorge. Par conséquent, pour notre bien et pour le bien de tous, lavez-vous les mains très souvent et désinfectez-les

Ils peuvent se gargariser avec des solutions désinfectantes qui éliminent ou minimisent la quantité de virus pouvant entrer dans la gorge, ce qui permet de l'éliminer avant qu'il ne descende dans la trachée puis dans les poumons.

Désinfectez le clavier et la souris du PC. Le volant de la voiture
Nous devons prendre soin de nous-mêmes et des autres

AUTRES AVERTISSEMENTS
Le nouveau coronavirus PCN peut ne pas présenter de signes d'infection pendant plusieurs jours, avant lesquels il n'est pas possible de savoir si une personne est infectée. Mais au moment où vous avez de la fièvre ou de la toux et où vous allez à l'hôpital, vos poumons sont à 50% fibreux, et il est trop t**d !

Les experts à Taiwan suggèrent de faire une simple vérification chaque matin :
Prenez une grande respiration et retenez-la pendant 10 secondes. Si cela est réalisé, sans toux, sans difficulté et/ou sensation d'oppression, etc., cela montre qu'il n'y a pas de fibrose dans les poumons, ce qui indique l'absence d'infection. Il est nécessaire en ces temps critiques de faire ce contrôle chaque matin dans un environnement à l'air pur

C'est un conseil sérieux et excellent des médecins japonais qui traitent COVID-19 de cette manière. Nous devrions tous nous assurer que notre bouche et notre gorge sont toujours humides, jamais SÈCHES, vous devriez boire une gorgée d'eau au moins toutes les 15 minutes PARCE QUE ? Même si le virus entre dans la bouche avec de l'eau ou d'autres liquides, il passera par l'œsophage directement dans l'estomac où les acides gastriques détruisent le virus. Si vous ne buvez pas assez d'eau régulièrement, le virus peut passer dans la trachée et de là dans les poumons, c'est très dangereux.

Partagez ces informations avec votre famille, vos amis et vos connaissances par solidarité et sens civique !
Et surtout, lisez-le jusqu'au bout et mettez-le en pratique.
LE CORONAVIRUS EST VAINCU PAR LA CONNAISSANCE ET L'INTELLIGENCE, ET NON PAR LA PANIQUE.

_____________Avis de décès ___________C'est avec une immense tristesse que nous venons d'apprendre le décès de  Iguer  M...
04/10/2019

_____________Avis de décès ___________

C'est avec une immense tristesse que nous venons d'apprendre le décès de Iguer Mohand dit Mohand Oumehand pere de Arezki. ramdane Saadi Et Hocine, a l'age de 82 ans.

La veillée aura lieu ce soir à son domicile à ath mehand. et l'enterrement demain au cimetière de vilage tala tegana (igeur bouvdir )

En cette douloureuse circonstance nous présentons nos sincères condoléances à la famille..

À dieu nous appartenons et à lui nous retournons.

____________ Avis de décès : C'est avec une immense tristesse que nous vous annonçons le décès du docteur Mr Larbi Hacen...
29/08/2019

____________ Avis de décès :

C'est avec une immense tristesse que nous vous annonçons le décès du docteur Mr Larbi Hacene à l'âge de 50 ans, frère de Mahrez , Sofiane , Jugurtha , Samir. Assassiné hier soir à Agouni Charki suite à six (6) balles .

A dieu nous appartenons , et a lui nous retournons.

A lire  .. MA DERNIÈRE RENCONTRE AVEC ABANE.Enfin des vérités révélées. Il était temps que la vérité soit dite. Abane, K...
23/08/2019

A lire ..

MA DERNIÈRE RENCONTRE AVEC ABANE.

Enfin des vérités révélées. Il était temps que la vérité soit dite. Abane, Krim et ceux qui ont collaboré à la plateforme de la Soummam n’ont pas hésité à assassiner ou faire assassiner les Kabyles qui luttaient pour une Kabylie libre et non pour une Algérie arabo-musulmane prônée par ces individus devenus des héros par la magie du FLN, parti unique et totalitaire.
Je possède des enregistrements de personnalités qui ont connues ces ferveurs défenseurs de l’arabo-islamisme. Si je les avais mis en ligne, on m’aurait traité de DRS, de KDS etc.

J’ai la chance d’avoir enregistré des conversations que j’ai eues, pour n’en citer qu’un, avec Abdel-Kader Rahmani, fondateur de l’académie berbère, qu’on ne peut pas taxer de harki tout de même ! ainsi que d’autres qui sont encore en vie ou ne sont plus de ce monde !
« Les dirigeants qui assassinent leurs pairs risquent eux-mêmes d’être assassinés »

Je vais d’abord essayer de retracer l’affaire dite « Berbériste », avec clarté et simplicité. Ce dont on ne peut pas parler, il faut le taire. Et on peut appeler cela la dignité du silence. La crise « anti-berbériste » de 1949, qui a privé les Algériens de leur algériannité, a été provoquée par le bureau politique du PPA-MTLD, qui avait écrit fin 1948 dans un mémorandum d’une cinquantaine de pages adressé aux Nations unies : « L’Algérie est une nation arabe et musulmane depuis le VIIe siècle ». Tandis que la nation algérienne n’est pas née au VIIe siècle, mais existe depuis des millénaires.

L’anti-berbérisme séculaire a fait partie de la culture de la direction PPA-MTLD, pour qui les Berbères, dont les racines plongent dans les entrailles de la nation, doivent abandonner leur culture et leur langue, s’intégrer et s’assimiler dans l’arabité, devenir Arabes. Le recours aux racines du peuple permit de s’attaquer aux racines du mal. Détruire par intention et par omission tamazight, véhicule et témoin de la culture et de la pensée de millions d’Algériens, relève d’une injustice, qui a pour nom ethnocide.

L’ethnocide est une politique volontaire de destruction d’une culture, souvent un schéma de domination qui aboutit à l’étouffement d’une politique donnée, ou à son absorption, intégration ou assimilation. Les Amazighs ne sont pas arrivés par les voies maritimes ou terrestres comme des envahisseurs. Ils sont habitants de ce pays depuis des millénaires. L’important, l’essentiel n’est pas de savoir qui est Berbère de longue date dont les ancêtres n’ont jamais eu un ailleurs que l’Algérie, mais qui se revendique Algérien, seulement Algérien. L’Algérie n’est ni romaine, ni arabe, ni française, mais algérienne, seulement algérienne. Nous sommes donc tous Algériens d’une Algérie algérienne de tous les Algériens et Algériennes. Nos ancêtres ont fait l’Algérie, il nous reste à faire les Algériens. Il faut cependant donner sa place, toute sa place à l’amazighité niée, sacrifiée, blessée, meurtrie, qui a son sens, son originalité et sa nécessité. Le croisement de l’histoire, de la géographie, de la politique et de la culture reflètent l’identité nationale. L’important, ce n’est pas d’où l’on vient mais où l’on va ensemble, vers une communauté de destin. Le peuple algérien est comme un rivière tranquille fidèle à sa source et ses racines, suit son cours, s’élargit, grossit, s’enrichit de nouveaux apports qu’elle intègre et fait siens, ne porte pas le nom d’un de ses affluents si important soit-il, mais celui de sa source.
La mort de Amar Ould Hammouda

Qui est-il ? Il a délaissé une vie confortable pour adhérer au PPA clandestin et demander au peuple algérien de prendre en main son destin. Sa mission, consacrer une bonne partie de son activité à créer et former des groupes de l’Organisation spéciale (OS), d’abord en Oranie en sa qualité de membre de l’état-major de l’OS, puis en Kabylie, comporte un seuil élevé de risques qu’il sait évaluer avec intelligence, obstination et courage. Amar Ould Hammouda est très proche de Bennaï Ouali. Il est son ami, son frère, son bras droit, son conseiller et son confident. Il incarne à ses yeux, par sa stature, sa compétence, son élégance, son expérience, mais surtout par sa maturité politique, l’homme qui constituera son oeuvre et assurera la relève. L’islam est universel, n’a rien à voir avec l’appartenance ethnique et personne n’est obligé d’être un Arabe pour être musulman. Dans le monde un musulman sur cinq est un Arabe et les Arabes ne sont pas tous des musulmans, il y a des chrétiens. Début janvier 1956, je recevais un message de Kabylie m’informant qu’Ahmed Zaïda, compagnon de la crise dite berbériste 1949, avait besoin de mon aide. Il arrive avec Tahar Achir, passe la nuit chez moi, et m’informe qu’il est responsable d’une opération appelée « Oiseau bleu ».

Il est convoqué au nouveau commandement militaire français pour qu’il informe sur ses actions. Mon aide consistait à lui poser toutes les questions possibles, afin qu’il ne soit pas pris au piège dans ses réponses. Au début d’avril 1956, il part d’Alger un lundi matin sur Azazga où il habite, mais il est revenu le lendemain matin pour une urgence. Il m’apprend que Amar Ould Hammouda et Embarek Aït Menguelet, qui avaient contacté Amar Cheikh pour rejoindre le maquis, leur a donné rendez-vous pour vendredi au moulin, à Agouni, au marché hebdomadaire de Djemaâ Ouffela et qu’il va les exécuter. Cette nouvelle déconcertante est incompréhensible, et le vieux maquisard Amar Cheikh, chef important, ne peut que rejoindre et se plier à un ordre. Et Ahmed Zaïda m’apprend que tous les responsables militaires lui ont demandé de contacter Amar Ould Hammouda afin qu’il n’aille pas au rendez-vous. Et il a ajouté comme reponse à ma question que ses responsables ont essayé de contacter Amar Cheikh, néanmoins ils ne savaient pas où il se trouvait. Nous avons toutefois essayé de prendre contact avec le frère de Amar Ould Hammouda, Salah, sans succès car le délai est très court.

Nous avons également informé sa famille à « Tassaft », persuadés qu’il va leur rendre visite avant son départ au maquis. Car, il est marié et père de trois enfants et une épouse attendant un quatrième. Un mois après, Ahmed Zaïda m’informait que Amar Ould Hammouda n’a pas été chez lui, mais il avait passé une nuit chez son ami à lui à Ath Yenni et qu’il s’est présenté au rendez-vous. Est-ce la vérité ? Bien plus t**d, nous avons appris que Amar Ould Hammouda et Embarek Aït Menguelet ont été condamnés au village « Aït Ouabane » par un tribunal composé de Krim Belkacem, Mohammedi Saïd, Amar Ouamrane et Amar Cheikh. Krim a fait ret**der leur exécution de 15 jours. Est-ce pour informer Abane Ramdane ? Ahmed Zaïda reçoit après le Congrès de la Soummam l’ordre de Krim Belkacem de rejoindre le maquis, car l’affaire « Oiseau bleu », s’est ébruitée. Il a eu un accident de voiture près de Réghaïa et il a été hospitalisé à El Harrach. Il est blessé au dos, mais il s’est levé pour me remettre une petite valise rouge pleine de billets de banque neufs. Deux jours après, Ahmed Zaïda me rappelle pour lui remettre la valise, car il devait quitter l’hôpital à minuit pour rejoindre ensuite le maquis avec mille hommes.
Ben Youcef Ben Khedda semble vouloir être, après avoir été

Début octobre 1956, j’ai déjeuné avec Bennaï Ouali à la rue Bab Azzoun et nous faisions les cent pas à 13 heures au Square Bresson (Square Port Saïd). Chergui Brahim, responsable du FLN, me signale, de toute urgence, au CCE. Je suis ainsi convoqué par Ben Khedda. L’odeur de la mort est dans l’air. Il faut en parler. Derrière ses lunettes qui dissimulent à peine son regard, il m’apprend avec délicatesse et détours, qui lui sont familiers, que Bennaï Ouali est condamné à mort par le CCE. La vie, dit-il, est faite d’un destin qui nous dépasse. On ne peut ni ret**der ni avancer l’heure de la mort fixée par le destin, fulmine-t-il. Le besoin de crier monte, me gonfle, me prend la gorge, mais je me maîtrisais et je serrais mes mâchoires. Ma tête éclate de colère et de rage qui grandissent, mais je les jugulais pour que Ben Khedda ne découvrit pas ma détresse. Je retenais ma respiration jusqu’à en devenir rouge. Néanmoins, un cri de détresse sortait de mes lèvres et je n’avais pas pu le retenir.

Nous sommes donc revenus à la « crise berbériste » de 1949. La haine est partie intégrante des dirigeants PPA-MTLD qui se détruisent les uns les autres. Les adolescents politiques ne deviennent pas toujours adultes. La décision du CCE d’exécuter Bennaï Ouali a été prise sous la pression des anciens du PPA, qui ont pris le train de la Révolution en marche, se sont retrouvés dans la locomotive, mais aussi chef de train. La température a atteint au cours de notre entretien un niveau d’ébullition. La tension a fait jaillir en Ben Khedda qui est maître de sa pensée et de son verbe, une colère vite maîtrisée pour ne pas donner libre cours à ses sentiments. « Le Congrès de la Soummam, dit-il, est un moment-clé de la Révolution. C’est de cette autorité suprême de la Révolution qu’émane la décision de l’exécution de Bennaï Ouali. Le CCE ne fait qu’appliquer la sentence prononcée par cette institution. » Ben Khedda a une grande complicité avec Abane sur les choses essentielles, d’autant plus qu’ils vivaient ensembles, depuis un an et demi. Il le rassure, le stabilise et le complète. Ensuite, je rencontre Bennaï Ouali, une semaine après mon entrevue avec Ben Khedda.
« Si tu rencontres Abane, tu lui diras de ma part… »

En quoi Bennaï Ouali peut-il être aussi dangereux pour la Révolution ? Il n’a pourtant pas pris part à une quelconque conspiration que ce soit, et encore moins à un complot contre la Révolution. Il a intégré la mort dans son existence, car c’est une réalité qu’il a vue de près durant sa vie clandestine. Le tragique s’est trop tôt invité dans sa vie. Il a côtoyé la mort dont il est un habitué. Pourquoi ce besoin psychique de purifier la Révolution par la condamnation des berbéristes considérés comme des facteurs de dérive, de comploteurs, alors qu’ils sont tous pourtant au service de la Révolution, dès la première heure ? C’est le condamné à mort par le CCE qui parle (Bennaï Ouali). Je ne fais que transcrire ses paroles avec mon stylo : « Nous sommes chargés de cinq mille ans d’histoire. C’est le prix d’être un peuple, avec son histoire, sa source, ses racines, sa culture, sa langue, sa terre fertilisée par le sang des meilleurs de ses fils pour la libérer des envahisseurs. Le droit à n’être ni colonisé ni soumis à la domination d’une personne étrangère, est le message de Jugurtha écrit par Mohammed Cherif Salhi et saboté par la direction PPA-Mtld, qui a éliminé la période antéislamique du peuple algérien. Je refuse de m’inscrire devant cette condamnation à mort, illégitime, sans procès. Et remuerais ciel et terre pour la combattre. J’ai servi le parti et mon pays au prix de renoncement et de multiples sacrifices. Je reste dans mon pays, parce que c’est mon devoir, et toute fuite est une désertion. Fuir est contraire à ma conscience et à mon honneur, deux choses qui ne s’aliènent pas et dont je suis le seul dépositaire. Et si tu rencontres Abane, tu lui diras de ma part : “En creusant ma tombe, tu creuses aussi la tienne.” »
Ma dernière rencontre avec Abane

C’était un certain soir de début de l’année 1957, Mme Ben Osmane, qui habitait le même immeuble que moi à la rue Dar-Souk, sonna à ma porte et me demanda de la rejoindre chez elle pour rencontrer un ami. En rentrant, je me retrouve face à face avec Abane Ramdane que je n’ai pas revu depuis octobre 1956, après une explication orageuse sur la grève des huit jours. En ma qualité de responsable de l’Ugta, je n’avais qu’un moyen pour me battre, me battre encore pour que le CCE (Abane et Ben Khedda en particulier) comprennent que la grève des huit jours est une catastrophe nationale qu’il fallait limiter à deux jours et seulement pour le département d’Alger. Faire une grève de huit jours sur l’ensemble du territoire national, c’est livrer bataille sur un terrain où l’on est sûr de se faire battre. Elle sera un cuisant échec pour le CCE, un désaveu de stratégie et de politique.

Abane avec ses crises de colère aussi brusques et violentes m’avait dit :« Nous ne te demandons pas ton avis, mais seulement d’obéir, de te soumettre ou de te démettre. » Le CCE est une équipe composée de cinq membres avec un leader Abane Ramdane, architecte de la plate-forme de la Soummam. Abane est visionnaire, doué d’une intelligence stratégique. C’est la boussole de la Révolution. Homme de l’aube tourné vers le soir, homme du présent orienté vers l’avenir. Abane creuse de profondes fondations pour bâtir la Maison Algérie après l’Indépendance.

Il est surtout habité d’un grand dessein qui s’est tracé et qu’il assure : le triomphe de la Révolution. Il est compétent, créatif, dynamique, a le goût du pouvoir et la volonté têtue que cela implique, assume sa fonction exigeante, multiple et complexe avec habileté et talent.
L’exécution de Bennaï Ouali

Le CCE a donc ordonné l’assassinat de Bennaï Ouali. Le colonel Mohammedi Saïd, dit Si Nacer, chef de la wilaya III a exécuté la sentence du CCE, le 13 février 1957, à El-Djemaa N’Saharidj, dans son propre village qui l’a vu naître en mars 1917 et qui l’a vu mourir en 1957, à l’âge de 40 ans. Son nom ne tombera pas dans l’oubli et entrera dans l’Histoire.

Depuis l’assassinat de Amar Ould Hammouda en avril 1956, Bennaï Ouali était un mort en sursis. Car, c’était lui qui se trouvait dans l’œil du cyclone et n’avait aucune chance d’échapper, et le savait bien. L’épuration des militants de la crise berbériste de 1949, se faisait en les fusillant à la hâte et au hasard, au coin d’une forêt, sur une route ou dans une rue. « Le disparu, si l’on vénère sa mémoire est plus présent et plus puissant que le vivant », écrit Saint-Exupéry. Le grand chêne a été abattu, mais il a laissé des glands qui se sont enracinés, et qui sont devenus de jeunes chênes vigoureux, qui représentent le flambeau.

Les dirigeants qui assassinent leurs pairs risquent eux-mêmes d’être assassinés, car selon la Révolution française de 1789 : « Un pur trouve toujours un plus pur qui l’épure. » Le premier des droits de l’homme, c’est d’être une fille ou un fils du peuple, c’est promouvoir sa langue maternelle qui est une patrie et la première des patries. Le long combat pour inscrire tamazight dans l’Identité nationale en qualité de langue officielle, ne fait que commencer.

Ali Yahia Abdennour, L’expression

C'est avec une immense tristesse que nous venons d'apprendre le décès Aouakli Mohand (moh hmidouche )  père de Ahmed akl...
21/08/2019

C'est avec une immense tristesse que nous venons d'apprendre le décès Aouakli Mohand (moh hmidouche ) père de Ahmed akli Brahim Hamza Farid Younes du village Tala tegana commune de Freha.
Nous présentons les plus sincères condoléances à la famille Aouakli et ses Proches
A dieu nous appartenons et à lui nous retournons

Quelques photos rares durant le congrès de la Soummam 20 Août 1956 à IFRI - Ouzellaguen
21/08/2019

Quelques photos rares durant le congrès de la Soummam 20 Août 1956 à IFRI - Ouzellaguen

😍😍😍😍😍
27/06/2019

😍😍😍😍😍

Aménagement de la mosquée du cimetière ( jama3 igeur bouvdir ) du village pour faire la prière en attendant la réalisati...
20/06/2019

Aménagement de la mosquée du cimetière ( jama3 igeur bouvdir ) du village pour faire la prière en attendant la réalisation de la nouvelle mosquée

Notre établissement est classé 16 ème à l'échel wilaya avec un taux de réussitede 100%.Un grand merci à Mr SARY le direc...
19/06/2019

Notre établissement est classé 16 ème à l'échel wilaya avec un taux de réussitede 100%.
Un grand merci à Mr SARY le directeur de l'établissement et à tous les éducateurs qui ont honorés notre village.

Nous sommes parmis les meilleures merci a toi   d'avoir honnorer notre établissement et tous les élèves.
19/06/2019

Nous sommes parmis les meilleures merci a toi d'avoir honnorer notre établissement et tous les élèves.

_____________Avis de décès ___________C'est avec une immense tristesse que nous venons d'apprendre le décès de  Igeur Am...
12/06/2019

_____________Avis de décès ___________

C'est avec une immense tristesse que nous venons d'apprendre le décès de Igeur Amar dit Amar lbardj frère de Arezki belkacem ramdane (marthane) et rabah a l'age de 67 ans.

La veillée aura lieu ce soir à son domicile à tala tegana. et l'enterrement demain le 13 Juin 2019 a 12h au cimetière de vilage igeur bouvdir

En cette douloureuse circonstance nous présentons nos sincères condoléances à la famille..

À dieu nous appartenons et à lui nous retournons.

 :La famille IGHIT YAZID recherche leur fils Abdeslam âgé de 09 ans, disparu depuis ce matin â 10h00 le 17/05/2019 à El-...
18/05/2019

:

La famille IGHIT YAZID recherche leur fils Abdeslam âgé de 09 ans, disparu depuis ce matin â 10h00 le 17/05/2019 à El-had Timezrit

Contactez les numéros suivants :
0670411451
0550046826
0558713218

12/05/2019
C'est avec une immense tristesse que nous venons le décé de MHENNI Boussaid à l'age de 40ans.La veillée aura lieu demain...
07/02/2019

C'est avec une immense tristesse que nous venons le décé de MHENNI Boussaid à l'age de 40ans.
La veillée aura lieu demain jeudi 7fevrier2019 et l'enterrement vendredi le 8fevrier 2019 au cimetière de Tala Tguana
À dieu nous appartenons et à lui nous retournons.

و اجركم عند الله
27/01/2019

و اجركم عند الله

Adresse

Tizi Ouzou
15124

Téléphone

05559996665

Site Web

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Tala tegana publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Vidéos

Partager