23/10/2025
Fin du Kali Yuga ou début d’un nouveau cycle ?
Les textes indiens décrivent le Kali Yuga comme l’âge de l’oubli :
celui où la conscience s’éloigne de son axe solaire,
et où la lumière semble se retirer du monde.
Mais pour la tradition, il ne s’agit pas d’une fin
plutôt d’un cycle.
Selon les Purāṇa (Vishnu, Bhāgavata…),
le Kali Yuga aurait commencé vers 3102 av. J.-C.,
et durerait 432 000 ans : nous n’en serions qu’au commencement.
Mais d’autres maîtres ont proposé une lecture plus courte et dynamique.
Dans The Holy Science (1894), Sri Yukteswar Giri
explique que ces cycles suivent le mouvement des astres et durent environ 24 000 ans. (Cf post le grand basculement)
🜂 Selon l’astronomie, le cycle complet de la précession des équinoxes dure environ 26 000 ans.
Sri Yukteswar, dans The Holy Science (1894), en propose une lecture spirituelle : un cycle de 24 000 ans où la conscience descend puis remonte vers la lumière.
Le point le plus dense du Kali Yuga aurait été atteint vers l’an 500,
et depuis, l’humanité serait déjà en phase ascendante
celle du Dvāpara Yuga, l’ère de l’énergie subtile et de la conscience.
Deux visions donc :
l’une voit le Kali Yuga comme un long crépuscule,
l’autre comme un passage déjà en transformation.
Et si les deux disaient vrai à des échelles différentes ?
Car pendant que les cycles cosmiques se déroulent,
le Soleil, lui, entre dans son propre pic d’activité :
le Cycle Solaire 25,
où ses champs électromagnétiques interagissent fortement avec la Terre.
Cette résonance solaire agit comme un catalyseur :
elle stimule nos structures biologiques,
nos systèmes nerveux, nos champs de conscience.
Ce n’est pas une fin : c’est une mise à jour vibratoire.
Ce moment marque la Transition Solaire
le passage d’une perception fragmentée
à une conscience réaccordée au vivant.
C’est dans cette dynamique qu’Originem prend tout son sens :
comme un portail d’intégration,
où l’on apprend à laisser circuler la lumière intérieure,
à redevenir Champ vivant, pleinement conscient de lui-même.
Paris immersion 8 novembre
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