Groupement des Infirmiers pour le Développement Communautaire du Sud 2

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Groupement des Infirmiers pour le Développement Communautaire du Sud 2 cette page est créée dans le but de valoriser la profession infirmière, de faire comprendre la r?

09/05/2025

"N ap bay bon jan laswenyay, n ap pwoteje pandan n ap fè egzèsis"
Anba tèm sila nou envite tout popilasyon patisipe nan yon aktivite ekstraòdinè kote pèsonèl medikal ak lapolis ap mete soulye espò yo pou yo fè fas sou teren gabyon nan vil okay an nan yon match foutbòl amikal !

Se pa sèlman yon match, men yon fason pou nou mete aksan sou santiman inite, pwomosyon lasante, ak enpòtans egzèsis fizik pou tout moun!

Vini wè ki jan sila k ap sove lavi ak sila k ap pwoteje lavi, ap mete kè yo ansanm pou yon bon moman espò, amoni ak kè kontan!

Vini an fanmi, ak zanmi — n ap la ap tann ou!
Pou enfòmasyon Nou kapab rele nan nimewo ki nan flyers la.

05/05/2025

Chaque petite naissance prouve à maintes reprises l'existence d'un être magistral, un moment merveilleux où la vie prend forme sous les regards émus de ceux qui l’attendent. Au cœur de cet instant précieux, une figure discrète mais essentielle veille : la sage-femme. Depuis la nuit des temps, elle accompagne les femmes dans l’un des moments les plus intimes et les plus bouleversants de leur vie. C’est à elle que revient l’honneur d’accueillir les premières respirations, les premiers battements partagés entre une mère et son enfant.

Le 5 mai marque la journée mondiale de la sage-femme. On a tendance à oublier d’honorer le travail noble que ces personnels effectuent au sein d’un service de maternité.

La sage-femme est un(e) praticien (ne) spécialisé(e) dans le diagnostic et la surveillance de la grossesse et de l’accouchement. La plupart du temps, elle agit seule, sans l’assistance d’un médecin, d’un gynécologue obstétricien ou d’un réanimateur pouvant intervenir dans les cas difficiles. Elle a donc un rôle important à jouer, aussi doit-elle connaitre l’étendue et les limites de son action et de ses responsabilités.

Elle est l’agent médical qui doit prendre en charge la femme enceinte et le nouveau-né :
Auprès de la femme enceinte : elle doit être en mesure d’assurer la surveillance et les soins de la femme pendant la grossesse, l’accouchement et le post-partum et de lui donner les conseils nécessaires. Cet accompagnement comprend les consultations prénatales, l’accouchement, la consultation post-natale, les soins curatifs, les mesures préventives.

Auprès de l’enfant : elle dispense également les premiers soins aux nouveaux-nés puis aux nourrissons. Elle prend en charge les programmes de vaccinations et assure un suivi médical des enfants sains.

Comme agent médical : elle est habilitée à prescrire les traitements préventifs, à détecter des anomalies chez la mère et l’enfant, à assurer une assistance médicale et à exécuter des mesures d’urgence en l’absence d’un médecin.

Au sein de la communauté, la sage-femme mène une action d’information, d’éducation et de communication pour convaincre les populations de modifier elles-mêmes tous les comportements nuisibles à la santé.

Rendre hommage aux sages-femmes, c’est reconnaître la valeur immense de leur mission, leur dévouement sans faille, et l’amour qu’elles mettent dans chaque accompagnement. Que leur engagement inspire gratitude et admiration. Car derrière chaque naissance, il y a souvent une main douce et ferme, un regard compatissant, une sage-femme.

Écrit par : Inf. JOSEPH Marc Fretzer

27/01/2025
Le 26 janvier 2025 à compter de 3hPM, l’organisation « Groupement des Infirmiers pour le Développement Communautaire du ...
27/01/2025

Le 26 janvier 2025 à compter de 3hPM, l’organisation « Groupement des Infirmiers pour le Développement Communautaire du Sud » ayant pour sigle « GIDCOS » a organisé une séance d'éducation destinée à la chorale « Flamme d’amour du cœur immaculée de Marie » située à Bourjolly et réparti par tranche d’âge de 13 à 25 ans, sur la compréhension des pratiques sexuelles dans le but d'éviter les risques de grossesse précoce et de promouvoir un changement de comportement responsable. La session a été animée par M. Fleurose Pierre Judelin et Mme Amazan Pharengie, professionnels de la santé. Le programme a mis l’accent sur la définition de la relation sexuelle, l’utilisation du préservatif, les tabous sur la sexualité, les mauvaises habitudes sexuelles, les différentes formes de relations sexuelles, ainsi que les moyens de prévenir une grossesse précoce.
Les intervenants ont ouvert la séance en offrant la possibilité aux participants de donner leur propre avis sur la façon dont ils comprennent les pratiques sexuelles et à la manière d’adopter un comportement responsable pour éviter les risques de grossesse précoce. Les intervenants ont souligné l'importance d'une éducation sexuelle complète pour prendre des décisions éclairées concernant la sexualité, tout en évitant les conséquences négatives telles que les grossesses non désirées et les infections sexuellement transmissibles (IST).
L’un des points essentiels de la séance a été l'utilisation du préservatif comme moyen principal de protection contre les grossesses précoces et les IST. Les intervenants ont expliqué que le préservatif, qu'il soit masculin ou féminin, est la méthode de contraception la plus accessible et la plus efficace lorsqu'il est utilisé correctement. Il constitue une barrière physique qui empêche le sperme d'entrer en contact avec les organes génitaux de l'autre personne, tout en protégeant contre les IST.
L’un des intervenants a insisté sur un proverbe de notre parler créole : « aprè pòte vach pa chè » Pour faire comprendre aux jeunes sur la nécessité d’attendre qu’ils soient prêts avant d’entamer une relation pour éviter le risque de tomber enceinte pour ne pas gâcher leur vie.
Les formateurs ont insisté sur le fait que l’utilisation du préservatif devrait être systématique lors des rapports sexuels. Aussi, ils ont abordé le sujet des tabous culturels et sociaux qui entourent souvent la sexualité. Ces tabous peuvent empêcher les jeunes de discuter ouvertement de leurs préoccupations sexuelles et d’accéder à des informations précises et fiables. Cela peut aussi les amener à prendre des décisions irréfléchies, comme avoir des rapports non protégés, par manque de compréhension des risques. Il a été souligné qu’une communication ouverte et respectueuse est essentielle, non seulement avec les partenaires sexuels, mais aussi avec les parents, les tuteurs et les éducateurs. Les jeunes doivent se sentir à l’aise pour poser des questions sur la sexualité et obtenir des réponses appropriées, sans jugement.
Une démonstration pratique a été réalisée par les intervenants pour expliquer et illustrer la bonne manière d’utiliser un préservatif. Chaque étape a été soigneusement expliquée : ouverture de l’emballage, vérification de la date de péremption, mise en place du préservatif, et retrait après usage. Cette démonstration a permis de clarifier les doutes des participants et de s’assurer qu’ils comprennent bien l’importance de l’utilisation correcte du préservatif pour sa pleine efficacité.
En Conclusion La séance a été clôturée par une récapitulation des points essentiels :
L’utilisation systématique du préservatif pour éviter les grossesses précoces et les IST.
L’importance de la communication ouverte sur la sexualité et les pratiques sécuritaires.
Le respect de soi-même et des autres dans les relations sexuelles.
Le recours à des méthodes contraceptives variées et adaptées à ses besoins.

Selon les derniers constats qui ont été déjà relaté par Enquête Mortalité,Morbidité et Evaluation des Service (EMMUS VI) Le manque d’éducation révèle alors un facteur primordial de la grossesse précoce car le nombre des adolescents qui donnent naissance pour la première fois diminue nettement quand le niveau d’instruction augmente. Il passe alors de 27 % chez les jeunes femmes sans aucun niveau d’instruction à 6% chez celles ayant atteint le niveau supérieur.
Pour cela, voici nos recommandations finales :
Poursuivre les campagnes de sensibilisation sur la santé sexuelle.
Promouvoir l’éducation sexuelle continue dans les écoles et dans la communauté.
Encourager l'accès facile aux services de santé sexuelle pour des conseils et des soins.
N.B. : Les participants ont exprimé leur gratitude pour les informations reçues et ont promis de les mettre en pratique dans leurs vies quotidiennes. La session a été jugée très bénéfique et a permis de renforcer les connaissances des jeunes sur la sexualité, tout en les incitants à adopter un comportement plus responsable.

Écrit par : Infirmier JOSEPH Marc Fretzer

Vivez en photos cette séance !!!!!!

Kisa VIH la ye?VIH se yon viris ki atake sistem iminitè. Se yon enfeksyon kwonik ki pa geri men ki ka metrize.Kijan ou k...
01/12/2024

Kisa VIH la ye?
VIH se yon viris ki atake sistem iminitè. Se yon enfeksyon kwonik ki pa geri men ki ka metrize.

Kijan ou ka atrape VIH?
•Nan fè bagay san kapòt ak yon moun ki gen virus la deja
•Nan itilize bagay ki ka blese oswa pike tankou jilèt, sereng, materyèl pou fè zong.
•Nan lèt manman
•Nan pran san ( transfizyon)

Ki fason VIH la evolye?
Si enfeksyon VIH la pa jwenn medikaman a tan, li pral evolye nan 4 faz. Dire chak faz sa ka diferan kay chak moun.

•Lè viris la fenk antre nan kò a, li atake selil CD4 yo. Lè sa globil blan yo ki la pou defann kò a kont mikwòb pral miltipliye yon fason pou yo goumen ak kò etranje sila, ki se viris la. Nan faz sa , moun nan ka santi lafyèv,grip, kò kraze......

•Etandone kò a pwodwi antikò pou konbat viris la, sentom nan premye faz la disparèt. Kòm pa gen okenn medikaman, viris la ap kontinye miltipliye nan kò a.

•Viris la kontinye ap miltipliye e antikò yo vin paka reponn. Konsa sistèm iminitè Vin afebli. Lè sa moun nan ap gen fyèv, dyare, glann. Moun nan ap swe lannwit. Nan stad sa li ka gen lòt maladi tankou tibèkiloz, zona.... ki antre sou li byen fasil.

•Kò a vin san defans. Sentom yo vin pi plis e la moun nan ap tonbe malad. Lap gen lafyèv, dyare, bouton sou po li, bouton anndan bouch li. Fi yo ka gen bouton nan boubou yo. Moun nan ap pèdi pwa, lap fèb.

Eske VIH gen tretman?
Apre pèsonèl sante yo fin dekouvri viris la nan san yon moun ,yap mete li sou medikaman. Medikaman sa yo rele ARV ki pral anpeche viris la miltipliye men li pa la pou l geri.Yon moun ki sou tretman ARV dwe pran medikaman yo jan pèsonèl sante yo endike l la e li dwe toujou vin nan randevou.

Kisa w dwe konnen lè w ap viv ak yon moun ki gen viris la?
Ou dwe konnen moun ki gen VIH se Yon moun menm jan ak tout moun. Yo merite ankadreman nan sosyete a e yo dwe viv san nou pa diskrimine yo. Ann pote kole pou yon mond san transmisyon VIH, san diskriminasyon.

Tèks sa ekri : Miss Elysée Anaïca

15/11/2024

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