Lanima Informations de contact, plan et itinéraire, formulaire de contact, heures d'ouverture, services, évaluations, photos, vidéos et annonces de Lanima, Éguilles.
(1)

Je forme les coachs et thérapeutes à être reconnus pour un accompagnement profond et efficace, en intégrant gestion émotionnelle, inconscient et intuition, grâce à la méthode Lanima issue de mes 20 ans d’expérience.

Narcissique, quand tu nous tiens !Les narcissiques sont partout.Dans nos familles, nos ex, nos conjoints, nos collègues,...
28/07/2025

Narcissique, quand tu nous tiens !

Les narcissiques sont partout.
Dans nos familles, nos ex, nos conjoints, nos collègues, nos patrons.

Et ils ne ressemblent pas toujours à des monstres.
Certains sont brillants, séduisants, généreux, en apparence.
Leur force, c’est le masque.
Leur emprise, c’est le doute.

Comprendre, c’est sortir du piège.

Ce n’est pas un “profil difficile”, mais un fonctionnement basé sur la prédation émotionnelle.
Ce que vous vivez n’est pas une relation, c’est une stratégie.

Dans cette stratégie, tout est inversé :
• Vous cherchez la paix, ils sèment le chaos.
• Vous êtes sincère, ils jouent un rôle.
• Vous doutez de vous, ils vous accusent.
• Vous essayez de comprendre, ils exploitent.

Phase 1 : Séduction
Trop d’attention, trop vite.
Vous vous sentez enfin vu·e, compris·e.
Mais ce n’est pas de l’amour. C’est du repérage.

Phase 2 : Déstabilisation
Vous doutez de vous. Vos émotions sont niées.
Vous vivez un double langage.
Silences qui punissent, compliments toxiques, gestes ambigus.
Vous analysez tout. Vous vous adaptez.

Phase 3 : Épuisement
Vous devenez prudente, raisonnable.
Mais ce n’est pas de la maturité : c’est de la suradaptation.
Votre corps s’épuise, votre intuition se brouille.
Et vous vous dites : “Si je fais encore un effort…”

Phase 4 : Perte de repères
Vous les défendez. Vous culpabilisez.
Mais ce n’est pas une blessure. C’est un système.
Ils ne veulent pas réparer. Ils veulent dominer.

Pourquoi comprendre est vital ?
Parce que si vous utilisez votre empathie, ils la retourneront contre vous.
Ils n’aiment pas. Ils imitent.
Et cela ne changera pas.

La seule issue : la clarté.
Nommer. Mettre à distance.
Protéger votre espace.
Et retrouvez-vous, posez un cadre clair ou coupez le contact.

Le bouche-à-oreille n’est pas mort.Parce que le bouche-à-oreille, c’est la preuve du résultat.Pas la preuve d’une straté...
26/07/2025

Le bouche-à-oreille n’est pas mort.
Parce que le bouche-à-oreille, c’est la preuve du résultat.
Pas la preuve d’une stratégie.
Pas la preuve d’un bon storytelling.
Pas la preuve qu’on sait appuyer là où ça fait mal pour vendre.

Le bouche-à-oreille, c’est ce qui survit quand le marketing s’effondre.
Quand les lumières s’éteignent.

Le marketing, lui, peut booster une visibilité.
Mais il ne garantit ni la qualité, ni la profondeur, ni les résultats.
Et c’est bien là tout le problème.

Aujourd’hui, on vous fait croire que seul le marketing fonctionne.
Que si ça brille, c’est que c’est bon.
Que si c’est viral, c’est que c’est vrai.

Faux.
Ce qui marche, ce n’est pas toujours ce qui transforme.
Et ce qui transforme vraiment met souvent du temps à marcher.

La subtilité ? Elle est là :
On est bombardés de contenus bien packagés, bien pitchés, mais creux.
Des méthodes “révolutionnaires” qui, en réalité, n’ont révolutionné que les finances de ceux qui les vendent.

Des milliers d’euros engloutis.
Des heures perdues.
Et derrière, une vérité gênante : aucun changement réel.

Mais ce n’est pas le pire.

Le pire, c’est qu’une partie des personnes flouées continuent de défendre ces vendeurs.
Pourquoi ?
Parce qu’admettre qu’on s’est fait avoir, c’est insupportable pour l’ego.

En neurosciences, on appelle ça la dissonance cognitive.
Quand une expérience ne correspond pas à nos attentes, au lieu de remettre en question l’expérience, on réécrit nos attentes.

On se persuade que “ça a quand même servi un peu”.
On s’attache au message pour ne pas voir le vide du résultat.

Et pendant ce temps-là, ceux qui bossent vraiment, ceux qui transforment les gens en profondeur, font leur chemin.
Sans paillettes.
Mais avec de vraies histoires.
De vraies transformations.
Et des personnes qui parlent d’eux, longtemps après.

Alors non, le marketing n’est pas à jeter.
Mais il doit accompagner la qualité, pas la masquer.
Et si on veut une activité durable, ancrée, alignée :
Le bouche-à-oreille reste la boussole.
La qualité reste le socle.

Et ça, aucun hook émotionnel ne pourra jamais l’imiter.

Parce que ce qui prend racine lentement, dure longtemps.

Les formats courts détruisent notre capacité émotionnelle.Et ce n’est pas une métaphore.C’est un phénomène neuropsycholo...
21/07/2025

Les formats courts détruisent notre capacité émotionnelle.

Et ce n’est pas une métaphore.
C’est un phénomène neuropsychologique documenté.

Nous consommons chaque jour des dizaines de contenus “pédagogiques” ultra brefs :
➤ 30 secondes sur l’attachement
➤ 3 phrases sur le trauma
➤ 2 mn sur la culpabilité
➤ une citation sur l’enfant intérieur.

Le problème ?
Chaque fragment déclenche une activation émotionnelle.
Mais sans cadre, sans lien, sans intégration.
Juste assez pour secouer. Jamais assez pour transformer.

Le cerveau humain n’a pas évolué pour traiter une succession de micro-éclats émotionnels.

C’est ce que les chercheurs appellent une stimulation liminaire répétée :
– Ça excite le système limbique
– Ça épuise le cortex préfrontal
– Et ça sur-sollicite notre système nerveux autonome.

Résultat :
fatigue mentale, confusion intérieure, saturation affective, et une perte progressive de notre capacité à relier, à comprendre en profondeur, à penser lentement.

Et dans les métiers de l’accompagnement, c’est une bombe à retardement.

Parce que beaucoup adaptent leur contenu et même leur posture à cette logique :
➤ Simplifier à l’extrême
➤ Offrir des solutions “digestes”
➤ Répéter des concepts en boucle
➤ Donner l’illusion qu’on peut “tout régler” en 2 posts et 3 outils et quelques podcasts.

Mais nous ne sommes pas faits pour ça.
Et l’humain que nous accompagnons encore moins.

Cette époque a besoin de nouvelles façons de transmettre.
Des approches plus enracinées.
Plus intelligentes.
Plus en lien avec la réalité biologique, émotionnelle et sociale.

C’est exactement pour ça que j’ai créé la méthode LANIMA.
Pour remettre du sens, du rythme, du lien.
Et aider les pros à retrouver une vraie endurance émotionnelle.

📅 Chaque mercredi à 20h, je propose un atelier en ligne.
J’y déconstruis les idées reçues, j’ouvre des pistes nouvelles, et je partage les fondements de LANIMA : une méthode pensée pour cette époque, pour cette complexité.

🔗 Le lien est dans la bio pour s’inscrire à l’atelier.

Un thérapeute neutre est un thérapeute absent.Pendant des décennies, on a enseigné aux psychologues et aux thérapeutes q...
29/06/2025

Un thérapeute neutre est un thérapeute absent.

Pendant des décennies, on a enseigné aux psychologues et aux thérapeutes qu’ils devaient être neutres : ne pas réagir, ne pas s’impliquer, surtout ne rien montrer.
Mais ce mythe de la neutralité est l’un des plus grands malentendus de la psychothérapie moderne.

Et il fait des dégâts.

Car il installe une illusion d’objectivité là où il y a toujours une co-présence, une résonance, une inter-influence.
Nous ne sommes jamais des murs blancs. Nous sommes des êtres vivants.

Même en silence, nous influençons.
Par un regard, une micro-expression, une posture.
Les neurosciences interpersonnelles l’ont prouvé : notre système nerveux réagit à celui de l’autre, même quand on veut se “retenir”.

Le psychiatre et chercheur Dan Siegel parle de “co-régulation implicite”.
Carl Rogers, fondateur de l’approche centrée sur la personne, parlait déjà dans les années 60 de présence congruente.
Pour lui, l’essentiel n’est pas la neutralité, mais l’authenticité empathique.
Le thérapeute qui fait avancer son patient est celui qui est là, pleinement là, avec toute son humanité, pas celui qui se cache derrière une façade technique.

Neutralité n’est pas intégrité.
L’intégrité, c’est de rester aligné.
Lucide. Non-jugeant.
Mais présent. Touché. Transformé, parfois.

Parce que dans la relation thérapeutique, la rencontre compte plus que la méthode.
Et toute rencontre vraie fait bouger quelque chose.

Le mythe du thérapeute neutre est un mensonge confortable : tout être humain impliqué réagit, influence, vibre. Ce n’est pas la neutralité qui soigne, c’est la présence lucide et engagée.

Pourquoi c’est si important de connaître l’histoire de son métier ?Parce qu’elle nous rappelle que ce qu’on considère au...
25/06/2025

Pourquoi c’est si important de connaître l’histoire de son métier ?

Parce qu’elle nous rappelle que ce qu’on considère aujourd’hui comme des évidences, a parfois été une révolte hier. Et sera peut-être dépassé demain.

Moi, j’ai été tout de suite attirée par les approches humanistes et existentielles.
Celles qui placent la personne au centre, dans toute sa complexité, sa liberté et son potentiel.

Je les ai pratiquées pendant des années.
Et je continue à les honorer profondément.

Mais aujourd’hui, je tends vers un autre courant : la psychologie évolutionnaire.
Un courant plus récent, pluridisciplinaire, qui relie notre histoire biologique, culturelle et émotionnelle.
Il ne s’agit plus seulement de “comprendre” ou de “réparer”, mais de faire évoluer la personne dans son lien au monde.
C’est une approche qui mêle la biologie, les sciences cognitives, la philosophie, la culture, la relation, et qui considère que notre souffrance a souvent ses racines dans un désalignement évolutif.

Je vous en reparlerai bientôt.

Mais aujourd’hui, j’avais envie de revenir à la psychologie humaniste, à ses piliers, à ses fondateurs, à sa révolte féconde.
C’est ce que je vous ai préparé dans ce carousel.

Nous sommes à la fin d’une époque.Celle où les métiers de l’accompagnement, de la psychologie, de la santé mentale et de...
18/06/2025

Nous sommes à la fin d’une époque.

Celle où les métiers de l’accompagnement, de la psychologie, de la santé mentale et de la compréhension des comportements humains s’appuient encore, trop souvent, sur des modèles à bout de souffle.

Des concepts qui, pour certains, relèvent du folklore New Age.
D’autres, d’une modélisation trop aléatoire de l’humain.
Ou encore, d’approches cliniques figées dans un cadre devenu inadapté aux enjeux d’aujourd’hui.

Mais cette transition n’est pas inédite.
Il y a déjà eu des moments dans l’Histoire où des « évidences scientifiques » se sont effondrées sous le poids de leur absurdité.
Des récits savants, promus avec certitude, et appliqués sans nuance.
Jusqu’à ce que certains osent dire : non.

C’est au XIXe siècle que la phrénologie, cette pseudo-science qui prétendait lire les caractères dans les bosses du crâne, a été érigée en vérité.
Elle a influencé des politiques publiques, des pratiques éducatives, des diagnostics psychologiques.
Avant d’être discréditée.

Et si nous étions aujourd’hui à un tournant similaire ?

Il y aura celles et ceux qui s’accrocheront aux modèles anciens comme à leur peau.
Et celles et ceux qui prendront le risque d’être critiqués pour faire respirer un nouvel air.

Je vous laisse découvrir dans ce carrousel ce que les bosses du crâne ont réussi à raconter au XIXe siècle.

Et peut-être, vous demander : à quoi ressemblent nos bosses idéologiques d’aujourd’hui ?

Et si, dans 100 ans, on se moquait de nos pratiques d’aujourd’hui ?(Peut-être même dans 10…)Il fut un temps où l’on croy...
12/06/2025

Et si, dans 100 ans, on se moquait de nos pratiques d’aujourd’hui ?
(Peut-être même dans 10…)

Il fut un temps où l’on croyait que l’utérus se baladait dans le corps.
Un autre où la lobotomie était considérée comme un progrès médical.
Et encore plus récemment, certains affirmaient que les émotions n’avaient pas leur place en thérapie.
Oui, tout cela a été dit, pratiqué, enseigné. Et défendu avec passion.

Alors quand j’entends aujourd’hui des professionnels expliquer :
« Moi, je reste fidèle à ce qu’on m’a appris il y a 30 ans », je m’interroge.
Pas sur leur sincérité, mais sur leur rapport à l’évolution.

Car notre métier est mouvant.
Il vit avec les êtres humains, leurs souffles, leurs chutes, leurs métamorphoses.
Il ne peut pas rester figé, enfermé dans des certitudes passées.

La psychologie a toujours évolué.
Et elle continuera à le faire.
À condition qu’on ait le courage de remettre en question nos repères, même les plus anciens.
Pas pour les renier.
Pour mieux comprendre ce qu’ils ont permis à une époque.
Et mieux voir ce qu’ils freinent aujourd’hui.

Je vais partager avec vous, des bouts d’histoire pour rappeler que le savoir n’a jamais été statique.
Que chaque époque a ses vérités, et ses absurdités.
Et qu’on ferait bien de s’en souvenir.

“Ceux qui ne peuvent se souvenir du passé sont condamnés à le répéter.”
– George Santayana

🎉 C’est ce soir ! 🔥On se retrouve EN DIRECT à 20h pour le dernier atelier live avant plusieurs semaines !Un moment fort ...
28/05/2025

🎉 C’est ce soir ! 🔥
On se retrouve EN DIRECT à 20h pour le dernier atelier live avant plusieurs semaines !

Un moment fort pour échanger ensemble, poser toutes vos questions, et surtout… faire un vrai pas en avant.
Ne ratez pas cet événement 🙌

À ce soir avec toutes vos belles intentions ✨

Lien en commentaire 👇🏼« Initiation à la méthode Lanima: Atelier 100% offert »

Adresse

Éguilles

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Lanima publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Partager