Alexandra Muller, Thérapies du Sens

Alexandra Muller, Thérapies du Sens Informations de contact, plan et itinéraire, formulaire de contact, heures d'ouverture, services, évaluations, photos, vidéos et annonces de Alexandra Muller, Thérapies du Sens, Site web santé et bien-être, Épernay.

Analyste Interprète des Symboles,des Événements Métaphysiques et des Capacités Intuitives,je vous aide par la Compréhension à accéder à la Connaissance.Ce Cheminement Intérieur nous permet d'acquérir Force et Sagesse,l'Expansion de notre Âme

Je vous propose un programme immersif au cœur de votre coeur !Nous portons tous le poids de blessures , de souffrances ,...
17/10/2025

Je vous propose un programme immersif au cœur de votre coeur !

Nous portons tous le poids de blessures , de souffrances ,face auxquelles nous nous sentons impuissants.

Mensonges , rejets , humiliations, abandons, injustices, dénis, pertes, deuils, culpabilités sont des mots qui accompagnent notre vie et il est difficile parfois d'y trouver du sens, d'y trouver la paix ou tout simplement d'en sortir...
Parallèlement nous sommes en quête d'amour, de pardons, d'abondances, de partages, de compréhensions, de changements, de joies, d'unité et malgré nos efforts et notre volonté on peine a y arriver...

Après avoir longuement étudié les sujets je suis parvenue a une seule et unique blessure, oubliée et pourtant si proche de nous. Elle initie tout et relie tout.

C'est sur son chemin que je vais vous enseigner ce que je nomme " la croix sacrée" , pas celle que l'on porte comme un fardeau mais celle qui nous élève !

Ces séances d'ateliers sont l'opportunité pour chacun de prendre un nouveau chemin face a lui-même, un chemin libérateur aux graines de lumières pour que chacun existe en tant qu'être unique, en paix et libre.

Les sessions sont un pèlerinage intérieur ,vous serez enseignés et acteurs de ces instants de renaissance.

Je suis autodidacte et j'utilise la voie du sens pour montrer le chemin, toutes les fruits de ces ateliers sont de mon arbre.

4 étapes sont prévues mais il peut y en avoir plus ou moins en fonction des interactions durant les ateliers qui ont pour objectif de vous permettre de vous extérioriser ,de mettre des mots sur les maux et de ce fait de trouver la voie dont vous avez besoin.

La valeur de participation a chaque session est de 85 € , valeur choisie en cohérence avec l'esprit des ateliers. Les personnes ayant besoin d'un échelonnement de paiement peuvent me contacter.

Le nombres de participants et limité a 4 personnes maximum. Je propose 2 dates différentes pour plus de flexibilité. Les séances auront lieues tous les 15 jours, le vendredi ou le samedi selon votre choix.

Les samedis de novembre sont le 1er , le 15 et le 29 au matin de 9h a 13h.

Les vendredis de novembre sont le 7 et le 21 au soir de 19h30 a 23h30.

En décembre le vendredi 5 et 19 , et le samedi 13 aux mêmes horaires.

Si vous souhaitez aller plus loin dans vos blessures vous ne serez pas déçus car vous aurez aussi l'enseignement du domaine sur lequel s'implante et s'impacte telle ou telle épreuve de vie.

Pour mieux saisir l'esprit, n'hésitez pas à visionner la vidéo liée a cet événement sur la page "Alexandra Muller, Thérapies du Sens"

Retrouvez également les événements sur la page.

Soyez bénis 🌹

Alexandra Muller

fans

S'installer dans la nature pour travailler et avoir des difficultés a rester concentrée 🤣☝️Elles étaient partout !Je n'a...
11/10/2025

S'installer dans la nature pour travailler et avoir des difficultés a rester concentrée 🤣☝️
Elles étaient partout !
Je n'ai jamais vu autant de coccinelles !

fans

Bonjour à tous 👋 !Voici une Conférence Initiatique qui vous plongera dans vos différents états de consciences. Populaire...
06/09/2025

Bonjour à tous 👋 !

Voici une Conférence Initiatique qui vous plongera dans vos différents états de consciences.
Populairement on parle des trois plus courants ,mais a quel état de conscience les connaissez vous ? Connaissez vous leur système de communication ? Leur rôle ? Je suis sûre que vous en apprendrez de nouvelles choses passionnantes durant cette conférence !
Que dire des autres états moins populaires ? C'est ce que je vous invite à découvrir durant cet événement fascinant !

Mes enseignements sont personnels et ont pour objectifs de vous apporter autonomie d'une part et un conaissance profonde de vous-même et de la vie. Tout a un sens, tout a sa raison d'exister et vous verrez au fil du temps que tout est lié de manière consciencieuse !

Il suffit d'apprendre a voir 😌☝️

Et c'est ce que je vous propose encore avec ce sujet si important pour mieux saisir , le sens du travail intérieur , la connaissance de soi et la lecture des signes qui nous sont envoyés !

Notre corps, élément vivant manifestant concrètement tous ces états de consciences , est le premier messager à ecouter !

Populairement, le droit est conscient et le gauche est inconscient... je vous invite à sortir de ce cadre et d'élargir vos connaissances !

Cette conférence n'a pas pour le moment destin d'être présentée plusieures fois et est limitée en nombre de participants. Conférence en visio accessible à tous !!!

C'est une initiation qui vous enrichira !

La valeur de participation est de 80 €, seul son versement validera votre inscription,par PayPal ou Virement bancaire.

Prévoyez un carnet de notes et une marge de 30min supplémentaire en cas de prolongement, ça arrive souvent 😂...

Au plaisir de vous partager mes compétences pour nourrir les vôtres 😌

Soyez bénis 🙏

Alexandra Muller 🌹

fans

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06/09/2025
Écrit par un vétérinaire.Un jour, j’ai recousu la gorge d’un chien avec du fil de pêche, à l’arrière d’un pick-up, penda...
08/08/2025

Écrit par un vétérinaire.

Un jour, j’ai recousu la gorge d’un chien avec du fil de pêche, à l’arrière d’un pick-up, pendant que son propriétaire tenait une lampe torche entre les dents et pleurait comme un enfant.

C’était en 79, peut-être 80. Juste à la sortie d’un petit bled, près de la frontière du Tennessee.
Pas de clinique, pas de table propre, pas d’anesthésie à part un peu de tord-boyaux.
Mais le chien a survécu.
Et cet homme m’envoie encore une carte de Noël chaque année, même si le chien est mort depuis longtemps… et sa femme aussi.

Je suis vétérinaire depuis quarante ans.
Quatre décennies de sang sous les ongles et de poils sur les vêtements.
À l’époque, on faisait avec ce qu’on avait — pas avec ce qu’on pouvait facturer.
Aujourd’hui, je passe la moitié de mes journées à expliquer des codes d’assurance et des plans de financement, pendant qu’un beagle se vide de son sang dans la pièce d’à côté.

Je croyais que ce métier consistait à sauver des vies.
Maintenant je sais : il s’agit surtout de ramasser les morceaux quand tout s’écroule.

J’ai commencé en 1985.
Fraîchement diplômé de l’Université de Géorgie. J’avais encore mes cheveux. Et de l’espoir.
Ma première clinique était un bâtiment en briques, au bout d’un chemin de gravier, avec un toit qui fuyait à la moindre averse.
Le téléphone était à cadran, le frigo faisait un bruit de moteur, et le chauffage ne fonctionnait que quand ça lui chantait.
Mais les gens venaient.
Des fermiers, des ouvriers, des retraités, même des routiers avec des pitbulls assis sur le siège passager.

Ils ne demandaient pas grand-chose.

Une piqûre par-ci. Une suture par-là.
Et l’euthanasie, quand il était temps — et on savait toujours quand c’était le moment.
Il n’y avait pas de débat, pas de culpabilisation sur les réseaux sociaux, pas de “protocoles alternatifs”.
Juste cette entente silencieuse entre une personne et son chien : la souffrance était devenue trop grande.
Et ils me faisaient confiance pour porter ce poids.

Parfois, je prenais mon vieux pick-up et j’allais jusqu’à une grange, là où un cheval s’était cassé la jambe.
Ou bien sur un porche, où un vieux chien n’avait rien mangé depuis trois jours.
Je m’asseyais à côté du propriétaire, je lui tendais un mouchoir, et j’attendais.
Je ne précipitais rien.
Parce qu’à cette époque, on les tenait dans nos bras jusqu’au bout.
Aujourd’hui, les gens signent des papiers et demandent s’ils peuvent “revenir chercher les cendres la semaine prochaine”.

Je me souviens de la première fois où j’ai dû endormir un chien.
Un berger allemand nommé Rex. Il avait été percuté par une moissonneuse.
Son maître, Walter Jennings, vétéran de la Seconde Guerre mondiale, dur comme le fil barbelé et deux fois plus tranchant.
Mais quand je lui ai dit que Rex était perdu, ses genoux ont lâché.
Là, dans ma salle d’examen.

Il n’a rien dit. Il a juste hoché la tête.
Et puis — je ne l’oublierai jamais — il a embrassé le museau de Rex et a murmuré :
« Tu as été un bon chien, mon gars. »
Puis il s’est tourné vers moi :
« Fais-le vite. Ne le fais pas attendre. »

Je l’ai fait.

Cette nuit-là, je n’ai pas dormi.
Je suis resté assis sur mon perron avec une cigarette, à fixer les étoiles jusqu’à l’aube.
C’est là que j’ai compris : ce métier ne parle pas que d’animaux.
Il parle d’amour.
De l’amour que les gens versent dans un être qui, ils le savent, ne vivra jamais aussi longtemps qu’eux.

Nous sommes en 2025 maintenant.
Mes cheveux sont blancs — ce qu’il en reste.
Mes mains ne coopèrent plus toujours. Il y a un tremblement qui n’était pas là au printemps dernier.
La clinique existe toujours, mais elle a maintenant des murs blancs immaculés, un logiciel par abonnement, et un responsable marketing de 28 ans qui me dit de filmer des TikToks avec mes patients.
Je lui ai dit que je préférerais me castrer moi-même.

Avant, on travaillait à l’instinct.
Maintenant, ce sont des algorithmes et des formulaires de responsabilité.

La semaine dernière, une femme est venue avec un bulldog en détresse respiratoire.
Je lui ai dit qu’il fallait l’intuber et le garder en observation.
Elle a sorti son téléphone et m’a demandé si elle pouvait demander un deuxième avis à une influenceuse qu’elle suit en ligne.
J’ai hoché la tête.
Qu’est-ce que tu veux répondre à ça ?

Parfois, je pense à prendre ma retraite.
J’ai failli le faire pendant le COVID.
Un cauchemar.
Des dépôts en voiture sur le parking, des aboiements derrière des portes closes, des masques qui cachaient les larmes.
Des adieux à travers une vitre.
Personne ne les tenait quand ils partaient.

Quelque chose s’est brisé en moi à ce moment-là.

Mais parfois, un enfant entre avec une boîte pleine de chatons trouvés dans la grange de son grand-père, et ses yeux s’illuminent quand je lui permets d’en nourrir un.
Ou je recouds un golden retriever qui s’est frotté de trop près à une clôture barbelée, et le lendemain, son maître m’apporte une tarte aux pacanes.
Ou un vieux monsieur m’appelle juste pour me dire merci — pas pour le soin, mais parce que je suis resté assis avec lui après la mort de son chien, sans dire un mot, laissant le silence faire le travail.

C’est pour ça que je continue.

Parce que malgré tous les changements — les applis, les formulaires, les procès, les diagnostics Google — une chose n’a pas changé :

Les gens aiment toujours leurs animaux comme leur propre famille.

Et quand cet amour est profond, il se manifeste dans des gestes simples.
Une main tremblante posée sur un flanc velu.
Un adieu murmuré.
Un portefeuille vidé sans hésiter.
Un homme adulte qui craque dans mon bureau parce que son chien ne verra pas l’automne.

Peu importe l’époque, la technologie, les tendances — ça, ça ne change pas.

Il y a quelques mois, un homme est entré avec une boîte à chaussures.
Il avait trouvé un chaton près des rails. Patte brisée, couvert de puces, les côtes saillantes comme les touches d’un piano.
Lui-même avait l’air de sortir de l’enfer.
Il m’a dit qu’il venait de sortir de prison, qu’il n’avait pas un sou.
Mais est-ce que je pouvais faire quelque chose ?

J’ai regardé dans la boîte.
Le chaton a ouvert les yeux et a miaulé comme s’il me reconnaissait.
J’ai hoché la tête :
« Laissez-le ici. Revenez vendredi. »

On lui a immobilisé la patte, donné du lait tiède toutes les deux heures, on l’a appelé Boomer.
Vendredi, l’homme est revenu avec une tarte à moitié mangée et des larmes dans les yeux.
Il m’a dit :
« Personne m’a jamais rien rendu sans me demander d’abord ce que j’avais à offrir. »

Je lui ai répondu :
« Les animaux se fichent de ce que tu as fait.
Ils ne regardent que comment tu les tiens dans tes bras. »

Quarante ans.

Des milliers de vies.

Certaines sauvées. D’autres non.

Mais toutes ont compté.

J’ai un tiroir, dans mon bureau.
Fermé à clé.
Personne n’y touche.
À l’intérieur, il y a des vieilles photos, des mots de remerciement, des colliers, des médailles.
Un os à moelle d’un border collie nommé Scout qui a sauvé un enfant de la noyade.
Une empreinte en argile d’un chat qui dormait sur le comptoir d’une station-service.
Un dessin aux crayons de cire d’une petite fille qui m’a écrit que j’étais son héros parce que j’avais aidé son hamster à respirer de nouveau.

Je l’ouvre parfois, t**d le soir, quand la clinique est vide et que mes mains sont enfin calmes.

Et je me souviens.

Je me souviens du temps d’avant.
Avant les écrans.
Avant les applis.
Avant les remèdes de buzz et les contrôles de crédit.

Quand être vétérinaire, c’était rouler dans la boue à minuit parce qu’une vache mettait bas et qu’on était le seul en qui ils avaient confiance.

Quand on recousait avec du fil de pêche… et beaucoup d’espoir.

Quand on les tenait dans nos bras jusqu’à la fin — et qu’on tenait leurs humains aussi.

S’il y a une seule chose que j’ai apprise dans cette vie, c’est celle-ci :

On ne peut pas tous les sauver.

Mais on doit tout faire pour essayer.

Et quand vient le moment de dire adieu…
on reste.
On ne recule pas.
On ne presse rien.
On s’agenouille, on les regarde dans les yeux,
et on reste jusqu’à ce que leur dernier souffle quitte la pièce.

Ça, on ne vous l’enseigne pas.
Ni à la fac. Ni dans les livres.

Mais c’est ça… qui vous rend humain.

Et je ne l’échangerais pour rien au monde.

Une femme se voyait en rêve parmi les plus fabuleux magasins de la métropole. Toute surprise  elle découvrit Dieu lui-mê...
05/08/2025

Une femme se voyait en rêve parmi les plus fabuleux magasins de la métropole. Toute surprise elle découvrit Dieu lui-même derrière le comptoir le mieux achalandé.

Que vendez-vous donc ? lui demanda-t-elle.
Tout ce que ton cœur désires. lui répondit-il.

Émerveillée la femme se décida à requérir les plus précieux joyaux qu'un être humain peut se prétendre à souhaiter :

Je veux acheter la paix du coeur ,l'amour, le bonheur, la sagesse et l'impunité contre toute crainte et toute angoisse.
Puis en se reprenant elle ajouta :
Pas pour moi seulement, mis pour tous les hommes.

Dieu alors sourit et lui dit :

Je crois que tu te trompes, mon amie. Nous ne vendons pas de fruits, seulement les semences.

(Auteur Melon S.J)

fans

Rien n'existe sans Dieu, même l'intelligence dite artificielle...Chanson semble t il créé par cette intelligence sur la ...
03/08/2025

Rien n'existe sans Dieu, même l'intelligence dite artificielle...

Chanson semble t il créé par cette intelligence sur la base de la voix de Céline !
Le résultat est époustouflant ! Autant par la musique ,par la voix et par les paroles !

On croirait même qu'elle a été créé pour Céline...

L'humain a lui seul ne peut être le seul créateur ici-bas sans l'aide du plan Divin.

Cette chanson ,d'où qu'elle vienne apportera aux cœurs meurtris par un deuil ou une séparation , un brin d'amour.

fans

🎵 Découvrez « L’écho de ton amour » – une ballade bouleversante interprétée par Céline Dion.Quand l’amour continue de résonner même après l’absence… une cha...

Il y a tellement de messages derrière cette juste parole. Tellement a dire et à la fois tant a taire pour laisser le mur...
30/07/2025

Il y a tellement de messages derrière cette juste parole. Tellement a dire et à la fois tant a taire pour laisser le murmure des mots souffler dans le coeur de chacun...

La source a multiples visages mais n'a qu'un coeur.
Le coeur de transmettre, de partager, d'offrir, d'unir, de soutenir, d'accompagner...

Les rencontres d'un jour ,d'un temps ou d'une vie nous invitent a s'en abreuver.

Quoi que nous traversions, il y aura toujours une source sur le chemin et une invitation a nous imprégner de l'essence de vie.

Choisir la vie,en tout temps et en toute chose ,est une opportunité de chaque instant.

Soyez bénis 🌹

fans

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Épernay
51200

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Conscience du Véritable Soi

Les Enseignements Symboliques Initiatiques apportés lors d’ateliers, conférences ou soins individuels ont pour but d’élever votre conscience par la compréhension de votre être individuel dans le multiple cosmique. Je pratique les soins et j’enseigne de manière totalement personnelle. Nous sommes liés par l’Unité Intérieure, je vous guide à vous reconnecter à votre Ame au rythme de votre cheminement. Les animaux et la nature sont nos alliés premiers. Acceptation est le mot clef à votre Liberté.