Saliou Magali Thérapeute

Saliou Magali Thérapeute Thérapie conjugale et familiale. Thérapie brève. Guidance parentale. Au cabinet ou à domicile. SIRET 81535516900039

15/08/2025
15/08/2025

Élever des enfants seule, ce n’est pas pour les faibles… c’est pour les géantes.

Ce n’était pas le plan.
Ce n’était pas le rêve.
Tu n’avais jamais prévu d’être maman et papa à la fois, de te lever sans soutien, de dormir avec des inquiétudes et de te sentir parfois au bord du désespoir. Mais te voilà… et chaque jour tu te relèves.

Tu te relèves avec l’âme en morceaux, mais les bras pleins d’amour. Avec parfois les poches vides, mais le cœur débordant de dévouement.

Élever des enfants seule, c’est vivre avec la peur, mais continuer d’avancer avec courage.
C’est essuyer tes larmes avant qu’ils ne te voient pleurer, même si, à l’intérieur, tu te brises.
C’est avoir mille doutes, mais continuer avec foi.
C’est te multiplier par dix pour que tes enfants ne manquent de rien.
C’est être maman, papa, refuge, réconfort, guide et force. Tout en une seule personne.

Et même s’il y a des jours où tu as l’impression de ne plus en pouvoir, de ne pas être suffisante, d’être épuisée, invisible… tes enfants te voient autrement.
Si tu pouvais voir la lumière dans leurs yeux quand ils te regardent, tu comprendrais que, pour eux, tu es tout.
Tu es leur foyer.
Tu es leur exemple, leur guerrière, leur personne préférée.

Tu n’es pas seule.
Dieu voit chaque sacrifice que tu fais en silence.
Dieu recueille chaque larme que ton oreiller connaît.
Et même si personne d’autre ne l’applaudit, Lui ne te laissera jamais sans son soutien.

Continue d’avancer, femme courageuse.
Même si le chemin semble interminable, même si ton âme est lourde et même si personne ne semble le remarquer. Tes enfants, eux, le remarquent.
L’amour que tu leur donnes aujourd’hui sera la racine la plus solide de leur vie.

Parce qu’élever des enfants seule n’est ni une erreur ni une tragédie.
C’est un acte d’amour, de force et de foi que peu sont capables de soutenir.
Et un jour, quand tes enfants grandiront, ils comprendront tout ce que tu as fait pour eux.
Ils t’enlaceront fort et diront :
« Merci de ne pas avoir abandonné. Merci d’être tout pour moi. »

Élever des enfants seule, ce n’est pas pour les faibles.
C’est pour les géantes… et tu en es une.

— Make Me Read ©️✍️

14/07/2025

Quand tu mets la pression sur un homme faible… une pression pour communiquer, diriger, s’engager, évoluer… il ne se dépasse pas, il se retire.
Il ne s’élève pas, il s’éclipse.
Et bien souvent, il court directement dans les bras d’une femme qui exige moins, qui attend moins, et qui ne remet rien en question.

Il dira que tu es “trop” alors qu’en réalité, tu étais simplement trop vraie.
Trop honnête. Trop connectée à ce que tu veux et ce dont tu as besoin.
Il qualifiera tes exigences de “pression” parce qu’il n’a jamais été construit pour gérer une femme qui connaît sa valeur.

Une femme forte ne demande pas la perfection.
Elle demande des efforts, de la responsabilité, de la constance et de la maturité émotionnelle.
Elle veut une relation authentique… une relation où les deux partenaires grandissent et se présentent pleinement.
Mais un homme faible verra cela comme une menace pour sa zone de confort, pas comme un chemin vers l’évolution.

Alors, au lieu de s’élever à ton niveau, il ira là où il peut rester le même.
Là où il n’a pas besoin de grandir, de guérir ou d’être intentionnel.
Là où il peut être aimé pour le strict minimum.

Mais ne laisse pas cela te faire douter de toi.
Tu n’es pas le problème.
Ton amour n’est simplement pas destiné à un homme qui ne s’épanouit que dans les faibles attentes.
Tu es faite pour quelqu’un qui voit ta force, et qui, au lieu de fuir… la reflète.

14/07/2025

Tu peux supplier, t’adapter, tout donner… mais si l’autre s’en fout, tu finiras par t’éteindre.

C’est ça, le vrai drame dans une relation à sens unique. Ce n’est pas l’absence de sentiments. C’est d’en avoir trop, tout seul. C’est de vouloir réparer ce qui se brise pendant que l’autre te regarde t’épuiser en silence, sans jamais lever le petit doigt.

Tu continues d’y croire, encore et encore, parce que tu t’accroches à ce que ça a déjà été, ou à ce que ça pourrait redevenir... mais pendant ce temps-là, tu oublies de voir ce que c’est devenu : une lutte à sens unique. Un combat dans lequel il n’y a plus qu’une seule personne debout.

Quand tu es la seule personne à vouloir que ça fonctionne, tu ne vis plus une histoire d’amour, tu vis une guerre invisible. Tu t’inventes des excuses pour expliquer l’indifférence de l’autre, tu minimises ton mal-être, tu portes la relation à bout de bras en espérant qu’un jour, il ou elle ouvrira enfin les yeux.

Mais ce jour-là n’arrive pas. Et plus tu attends, plus tu t’abîmes. Parce que porter l’amour tout seul, ça pèse lourd. Trop lourd pour un seul cœur.

Tu fais tout pour que ça marche. Tu fais des efforts, tu changes, tu t’adaptes, tu t’excuses même quand t’as rien fait de mal. Tu ravales tes besoins, tu fermes les yeux sur ce qui te blesse, tu smiles pour cacher ce que tu ressens.

Et tu finis par croire que c’est toi le problème. Tu t’oublies, un petit peu chaque jour, pour ne pas déranger, pour ne pas brusquer, pour garder quelqu’un qui n’a plus envie d’être là depuis longtemps. Mais ce que tu ne vois pas, c’est que plus tu te perds pour l’autre, plus tu disparais pour toi-même.

Et pourtant, l’amour, le vrai, n’est jamais censé être une torture émotionnelle. Il n’est pas censé te faire douter de ta valeur, ni te forcer à mériter la moindre attention.

L’amour ne devrait jamais être une performance. C’est un lien qu’on entretient à deux, ou qu’on laisse mourir à deux. Mais jamais quelque chose qu’on fait semblant de vivre pendant que l’autre est déjà ailleurs.

Alors si tu te reconnais dans ce que tu vis, si tu es celui ou celle qui porte tout sans jamais être porté, rappelle-toi ceci : ce n’est pas ton devoir de te battre pour quelqu’un qui ne sait même pas ce que c’est, te choisir.

Ce n’est pas à toi de supplier qu’on te voie, qu’on t’écoute, qu’on te respecte. L’amour mérite mieux qu’une personne absente. Et toi aussi.

Parce qu’un jour, tu vas finir par te vider complètement. Et ce jour-là, l’autre remarquera enfin ton absence… mais ce sera trop t**d.

Pas parce que tu ne l’aimes plus. Mais parce que tu n’as plus rien à offrir à quelqu’un qui n’a jamais pris soin de ce que tu étais prêt(e) à lui donner.

© Gabriel Tellier

➡️ Et si ce que tu viens de lire résonne en toi, c’est peut-être le bon moment pour reconstruire ce que cette relation t’a fait perdre : ta paix, ta confiance, ton pouvoir personnel. Mon ami Francis a créé un programme de 52 semaines pour ça. Je t’ai mis le lien dans en commentaire 👇

08/07/2025

Personne ne te prépare au silence que laissent les enfants quand ils grandissent…

Pas le silence de la maison vide,
mais celui qui s’installe doucement dans le cœur…
quand ils ne te demandent plus quoi faire,
quand ils ne cherchent plus tes conseils,
quand ils commencent à vivre… sans toi.

Et toi, tu souris, bien sûr.
Parce que c’est ce que tu voulais : les voir s’envoler.
Mais à l’intérieur… quelque chose se brise.

Parce qu’être maman d’enfants adultes, c’est autre chose.
C’est ravaler ses mots quand on les voit se tromper.
C’est retenir l’envie d’appeler quand ils ne répondent pas.
C’est apprendre à aimer sans envahir.

C’est regarder de loin, les mains immobiles,
et le cœur qui tremble.

Parfois, ils te racontent des choses… mais souvent, non.
Et toi, tu fais comme si ça ne faisait pas mal.
Mais si, ça fait mal.
Ça fait mal de ne plus faire partie de tout comme avant.
Ça fait mal de voir qu’ils n’ont plus besoin de toi… du moins, plus comme avant.

Et pourtant, tu es toujours là.
Préparant leur plat préféré quand ils viennent.
Replaçant les photos de quand ils étaient petits.
Priant pour eux chaque nuit, comme si cela suffisait à les protéger du monde.

Parce qu’au fond, une mère ne cesse jamais de veiller.
Elle apprend simplement à le faire depuis l’ombre.
Depuis un coin.
Depuis une prière.

Et c’est une forme d’amour que personne ne voit…
mais qui soutient tout.

08/07/2025

Je suis la femme “trop”. Mais aussi la femme “pas assez”.

Je suis la femme qu’on dit avec trop de caractère,
parce qu’elle dit ce qu’elle pense,
parce qu’elle ne baisse pas les yeux quand quelque chose sonne faux,
parce qu’elle n’enrobe pas ses vérités pour les rendre plus faciles à avaler.

Je suis trop franche, trop sensible, trop intense,
celle qu’on accuse d’en faire trop alors qu’elle ne sait faire qu’avec le cœur entier.
Je suis la femme trop indépendante, trop libre, trop entière pour ceux qui n’aiment pas quand une femme tient debout toute seule.

Mais je suis aussi la femme qu’on a regardé un jour comme pas assez.
Pas assez jolie, pas assez douce, pas assez souriante , pas assez mince,
pas assez calme, pas assez effacée, pas assez “comme il faut”. Jamais assez .
Pas assez simple à aimer pour ceux qui ne savaient pas aimer profondément.Je m’en suis fais du mal à essayer de me conformer .

Pas assez légère quand je pleurais.
Pas assez solide quand je tombais.
Pas assez pour ceux qui n’avaient jamais appris à voir au-delà des apparences.

Je suis cette femme, entre les “trop” et les “pas assez”,
et longtemps j’ai cru qu’il fallait que je me réajuste, que je me réduise, que je me retienne.

Aujourd’hui, je sais.
Je ne suis ni trop, ni pas assez.
Je suis exactement ce que je suis.
Et ça, c’est déjà beaucoup.

Je ne suis pas faite pour plaire à tout le monde.
Je suis faite pour me choisir.
Et pour être aimée, vraiment, sans condition, sans mesure,
par ceux qui savent voir la beauté qu’il y a à ne jamais s’excuser d’exister.

Charlotte Cellier

07/07/2025

Tu t’appliques à être parfait ou parfaite pour l’autre. Présent·e, attentionné·e, compréhensif·ve. Tu dis oui quand tu ressens un non profond. Tu ravales tes besoins, tu t’effaces parfois, pour que ça marche, pour qu’on t’aime plus… ou juste qu’on t’aime encore. Mais à force de vouloir être à la hauteur de ce que l’autre attend, tu t’éloignes de toi-même. Lentement, subtilement, mais sûrement.

Tu ne te demandes même plus : “Est-ce que j’aime vraiment cette relation ?” Tu te demandes : “Est-ce qu’il ou elle m’aime encore ?” Et là, tu perds. Parce que ton bonheur devient conditionnel. Parce qu’au lieu de vivre l’amour, tu gères une peur. Peur de ne pas être assez. Peur d’être quitté·e. Peur qu’il ou elle découvre que tu n’es pas aussi solide, drôle, séduisant·e que tu essaies de paraître. Et cette peur t’arrache ta spontanéité, ta légèreté, ta capacité à aimer librement.

Tu t’imagines que si l’autre te valide, te rassure, t’admire, ça comblera enfin ce vide que tu ressens. Tu crois qu’une preuve d’amour de plus calmera cette insécurité que tu caches si bien. Mais non. Ça t’apaise une seconde… puis ça revient. Parce que la seule validation qui soigne vraiment, c’est la tienne. Celle qui dit : Je m’aime même quand je doute. Même quand je suis imparfait·e. Même quand je ne suis pas choisi·e.

Ce besoin d’être aimé à tout prix, il t’emprisonne. Il te pousse à rester dans des relations qui ne te respectent pas toujours. Il te fait accepter ce que tu ne devrais jamais tolérer. Il t’apprend à te taire, à excuser, à tout justifier. Tu te convaincs que c’est ça, l’amour : résister, prouver ta valeur, te battre pour exister. Mais l’amour ne devrait jamais te coûter ta dignité.

Ce n’est pas de l’amour si tu dois te perdre pour qu’on te voie. Ce n’est pas de l’amour si tu dois supplier pour avoir une place. Ce n’est pas de l’amour si tu dois constamment prouver que tu mérites d’être aimé·e. Et si tu continues comme ça, tu risques de ne jamais goûter au vrai : celui qui commence quand tu n’as plus besoin de performance, quand tu es enfin toi.

Imagine une relation où tu es pleinement toi. Où tu peux dire non sans trembler. Où tu poses tes limites avec calme. Où tu n’as plus besoin de séduire, d’impressionner, de jouer un rôle. Une relation où tu choisis, au lieu de mendier. Tu vois cette version de toi ? Elle existe. Mais elle demande du courage : arrêter de chercher la validation extérieure… pour enfin te valider toi.

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© Francis Machabée

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