03/08/2025
Suite…
le 01/08/2025
Si de l’Éternel nous sommes, alors sommes-nous préoccupés que de ce qui est éternel !
J’imagine que pour suite du message, il me l’eut été donner sous formes cachées ; si en effet, je considère qu’il est en dedans ce que j’eus écrit fraichement pour une équipe avec laquelle je travaille.
En effet, travaillant avec ces gens, et les côtoyant quelques jours durant la semaine, il m’eut été demander chose suivante :
— Pourquoi nous donnes-tu des surnoms, et quels est leurs sens ?
Oui, pour certains, je les renomme, sans vraiment en connaitre la raison profonde, car cela me vient abruptement ; je le ressens, et pour d’autres qui pourtant le voudraient, rien ne m’en inspire !
Voici donc ce que je leurs ais écris, croyant qu’il y ait en dedans de lui une légère suite au Message que je me suis engagé à vous partagé parmi d’autres !
Surtout que Celui qui en moi, m'avait prévenu des jours de la suite ...
A vous de curieusement le lire, de décoder ou d’en faire de ce que vous en souhaiterez.
Mais avant :
— " Je vois que nombreux d’entre parmi nous, profites de lire toutes mes publications publiques sans me suivre !
Je n’en dis rien, car c’est Celui que vous avez fait de moi qui vous écrit, et que je n’en dis que de Celui qui est en moi !
Mais êtes-vous comme de ceux qui aiment discrètement tendre l’oreille sans s’assoir auprès de celui qui parle ?
Et de ceux qui enquêtent, ne désirant rien louper de ce qui pourrait être dit, afin de tout noter, copier, et répéter à autrui ?
Et de ceux qui viennent sans un bruit ?
Adonc, je dis : N’ayez pas peur, venez.
Ne craignez point de descendre en l’Inconnu, car en lui Dieu dirige !
Ne prenez ni ne gardez rien comme le ferais des voleurs si de lorsque vos pas sont léger et silencieux, car vous pourriez vous y confondre.
En vérité, amis, puissiez que si vous aviez choisi de vadrouiller au contour du nombre, c’est à seul but de marcher dans la lumière, et non de vous infiltré dans l’ombre !
Si vous venez, venez à cause du Nom de Celui qui vous a guidé, et soyez exaucé"
Une suite de ?
9/10 - Pardonnez vous, car je tolère les défauts plutôt que la méfiance.
4ème parties
""" Ceci n’est pourtant pas égal à quant nous discutons pendant que nous nous cherchons, car lorsque nous sommes en face, il est cru que nous soyons à l’opposé de l’autre, mais si nous croyons être en présence de celui qui nous faut, alors nous sommes appelés à nous trouver, nous approcher et être aux côté du demandé. Il s’ensuit que lorsque nous sommes aux côtés de qui nous avons appelé, nous devons lier connaissance avec lui. Ceci est vrai, ceci est évidant, car ceci est clair, et quand cela est fait, adonc d’une discussion nous commençons à nous joindre pour communiquer. Enfin, si ceci est bien fait, finalement, à communier, et à se reconnaître.
De ce préambule vous recevrez, et même si vous d’un iota vous n’en compreniez pas même un seul point.
Il n’est pas écrit pour vous enseigner. Mais si vous en jugez, alors vous en statuez ; or ceux qui fabriquent des idoles ne sont tous que vanité, et leurs plus belles œuvres ne servent à rien. Ici, de ce que l’on veut savoir, je ne vous parlerai que de ce que je vous ai baptisé, rien de plus, afin que vienne en vous le Saint-discernement, et que vous puissiez accepter chose de la Sainte Clarté ; qui, je vous le dis, est venue jusqu’à vos côtés.
Il n’est pas important de l’avoir reconnue, Elle n’est pas venue pour être vue, mais pour donner et rendre la vue spirituelle.
Si déjà de votre premier prénom vous êtes distinguée, et personnifiée en vérité ; en vérité, de votre renaissance vous serez caractérisé et individualisé, par votre numinance, afin de ne plus être évidé.
Beaucoup de révélations et d’élévations le Père Céleste, Le Ciel m’a octroyé, c’est un don de grâce pour choses qui dépasse tellement de ce que le jugement des Hommes s’accorde ou considère, mais si je puis vous donné seulement pépite de ma clarté, tous et toutes un jour vous en serez gracieusement vitalisés.
C’est égal à une graine, qui sous un ciel même nuageux peut croître ; et certes par grâce que lui accorde la lumière.
Mais si recevant en plus de Son bien, une clarté, Sa clarté, adonc, de sa croissance elle est capable de bonifier toute la terre et de surcroît des multiples graines saines et de fruits charnus.
La nomination que je vous ai annoncée ne vise pas à vous éveiller, mais seulement à ce que droiture vous teniez. Puisque si sachant sur vous-même, vous seriez vous en tenir dignes, car la beauté est l’un des dons que Dieu à accordé à vos premiers parents. Ils reflétaient la Perfection, qui les avait créés. Or celle-ci était l’Esprit très pur.
Nous sommes nés, comme simples créatures de Dieu, mais nous devions devenir ses enfants !
Je ne me permets pas de parler ainsi face à vous, car il ne m’est permis de vous affranchir que si, et seulement si vous veniez à moi, et moi à vous, qui vous donnerait foi à croire à notre Seigneur et à Son Intercesseur, qui Lui, Parole de Vérité, Verbe de chair, n’aurait aucune difficulté ni mal à nous inspirer :
or vous ne me venez, au plus, qu’à coter et non pour fin de me rencontrer. Si vous auriez voulu me rencontrer, et ma clarté, vous auriez prier et demander ma présence, or encore là, lorsque vous me héler ce n’est point en demande de ma présence, mais en réclamation de votre prestance, afin que je la valide, que vous soyez ; parce que j’aurais rendu tout intérêt à votre demande.
Si je ne réponds d’intérêt, vous ne recouvrirez d’aucun aspect.
C’est ainsi que je ne puis vous dévoiler que de ma silhouette, pas même du Parfum dont je suis oint.
Et même si, je vous aurais paru être aussi paisible et doux que de coutume, rien ne vous ferriez prévoir de ce qui est éclatant, car ce que vous pourriez remarquer sans être venu à moi, mais venu à coter de moi ne serait être qu’ombres et sueurs !
Pardonnez-moi si je vous parais étrange, et si de quelques modestes mots je vous offusquais, mais en cette soirée, pour pendant que j’écris toute une amplitude d’esprit sur papier, j’eus aussi un moment d’arrêt momentané pour prendre note de ces quelques lignes, toutes hors du sujet de ma soirée, mais accordées sur la demande qui vous concerne.
Pardonnez-moi, car celui qui est en moi et avec moi, ressens une tristesse si lourde dans l’âme pour toutes celles qui soient dans la confusion et éloignée de la bénédiction.
Je disais : comme dans la partie de vous qui est égale à la partie dont je suis affilié, il y a une raison pour laquelle l’occulte s’occulte, et c’est justement pour empêcher les gens d’être affectés par des formes, des niveaux de réflexions, et des façons de perceptions ou des niveaux de voyances, qui dans le fond ne peuvent pas les servir, excepter sur le plan psychologique, très jointé à de la curiosité. Et si étant plus que le commun et initiée à la conscience, je suis probablement plus que certains et beaucoup, détacher de l’envie de paraître. Il n’est pas de mon affaire d’être reconnue, car comme pour chaque animal, qui fut tel qu’il a été créer il y a des millénaires de cela, je suis, tout à fait pareil, immuable à ma vraie nature.
Si je vous dis tout ceci c’est bien pour que vous puissiez égale à ma nature commencer à vous rappeler à votre nature, semblable à Dieu. Et même si elle est in-intact ; qu’il eut, certes, des réductions structurelles, et croisements par lesquels des premières races créées ont produit des races hybrides, tout comme des acclimatements, touchants aspects de visage, longueurs d’os, et couleurs de peau, le corps, lui, n’eut cessé d’être ce qu’il est, pas plus que lion ou le chien, pas plus que le taureau ou l’oiseau, vous n’avez vous aussi jamais cessé d’être ce pour quoi vous êtes.
Il n’est qu’un unique Esprit, qui révèle ou rappel des choses secrètes, cachées, oubliées, ou dont la vérité s’altère en passant de bouches à d’autres bouches, qui n’eurent point pour seconds aveux n’être faites que pour Béatifier et Bénir.
Aucune syllabe à la Révélation contenue dans le Livre je ne peux changé, au contraire, puisque lié à la Parole incarnée et Celui qui est Lumière du monde, qui Lui connaît Vérité toute entière et la restaure sous sa forme première, il m’est donné d’offrir Clarté pour restaurer.
Comme pour Celui qui est en moi, sachez accueillir Celui qui vient à vous, et ne faites point comme les rabbins d’Israël, ni les prêtres d’Occident, qui déforment intentionnellement toute Vérité et toute Réalité, par peur juste de perdre un pouvoir à faire rajout à ce que la Sagesse révèle, et que la Parole peut confirmer et expliquer, si sachant ce qu’est la Parole, la véritable Parole.
Je commence ainsi à vous offrir de ce qui voudrait à jaillir par mes lèvres, mais qui se maintient d’un frein, lorsque je me trouve parmi vous, car avec vous, je n’ajoute clinquant à ce qui s’en vit, mais je partage à chacun d’entre nous quantité égale de Celui qui est en nous.
C’est que je vous aime.
Et à pour fin de ne point désirer vous influencer, ni à vous impressionner ni d’exister d’un ton de violence qui frapperait l’assistance ni de vous charmer, Cela Père ne pourrait l’accorder que pour renverser et calmer vos paires.
Or, moi, j’aime être anonyme, car qu’elle tendresse est plus grande que celle qui dont constitue toutes formes de respects ; et qui je le dis, ne cesse à laisser ainsi l’amour se manifester de vous, par la Glorieuse Parole, jusqu’à ses gestes doux et ses attentions délicates dont Il vous charge de témoigner.
Dans le chevauchement d’une pensée qui est cosmique, d’avec une pensée planétaire mise au galop sur tas de poussières, d’idées sociales, il est très difficile d’accélérer le cheminement qui dure des années de temps, par ce que l’Homme doit se construire une assise qui sera tenir le périsprit en équilibre, et dû à une identité psychique où demeure une identité mentale et non psychologique ou flexionnel.
Il s’ensuit que même si l’Homme ne peut être tout esprit comme Son Créateur, il peut tout à fait s’en affilier — et L’Esprit du Très Haut, par Dieu voulut qu’il en soit ainsi, et témoigner de son origine par la perfection d’un corps harmonieux et très beau, qui si saint soit-il, dit sans salissure en lui-même, ne peut par son œil regarder qu’avec sanité, et toucher d’avec un membre qu’avec pureté ; destiné à contenir un esprit sans tâche, témoignant pour quiconque donnerait souhait, de retrouver la valeur de ses propres rayons célestes.
Ce qui en ce jour, par cette lettre se donne à s’accomplir.
Et afin que vous puissiez toujours plus et mieux comprendre l’importance de votre nomination, je vous révèle ce que vous connaissez déjà, mais y ajoute valeurs inqualifiables :
C’est de Dieu dont vous provenez, et non d’un animal, que, l’ancienne loi mosaïque qualifiât durement, envers la théorie honteuse selon laquelle vous descendriez d’un singe. En effet, ayons pour pure pensée que le Puissant et l’Infini n’a certainement pas besoin d’obtenir Homme d’une évolution séculaire de singes, ni autre race ni espèces, si certes, le singe comme toute autre forme de vie fut ce qu’il est dès l’instant où il fut crée ; et fit en vérité, si parfait tels qu’il est, et pour paraître aux premiers d’un bond sur les arbres du paradis terrestre, où, en toute clarté les fruits de vos idées poussent, et que vous le lui donner pour le qualifier.
De même, l’Aum fut créé avant de se faire fils de l’Être et homme de chair, et il fut ce qu’il est dès l’instant ou en Dieu il se fit paraître depuis d’où il se sentit tout à fait insufflé de l’Esprit, du Père, du Géniteur du Dieu.
Le Doux hôte dis ;
« « Quand on dit ; Le Fils de l’Aum est le vainqueur du combat et la royauté universelle lui est remise, Souverain de la Création visible, il fut créé avec le pouvoir d’exercer sa domination sur toutes les créatures et nations » ; Il faudrait réfléchir a ce que cela signifie !
En effet, comprenez que la Grâce est autre dons reçus en l’Homme depuis le premier instant de son existence en tant qu’Aum, dit d’âme fusionnée, le rend capable d’exercé sa royauté aussi bien sur lui-même, qu’en ses parties les plus élevées que sur sa partie la plus inférieure.
Pour quoi avez vous dont perdu connaissance de vos fins dernières ?
C’est alors que ma Clarté, ma Géniture, je vous ai envoyée. Et non pour les plus arrogants d’entre ceux qui, sont remplis d’une philosophie de rouleaux ni de religiosités de bureau. Oui, je vous envoie ma clarté, qui mon envoyé est, et témoigne afin d’annoncer choses de foi. Et choses parfaites, choses égales, à ce que vous, toutes créatures du Créateur soyez consciente d’être vraiment parfaite, nées de ce qui n’eut pas de limite dans la création ; et parfaites selon le but pour lequel chacune d’elles a été conçue !
Voilà sottise que de croire que Père, après avoir décidé de se donner une Création, Dieu, ait pu faire des choses informes ou incomplètes, et attendre d’en être glorifié seulement à la fin d’un cycle évolutif ; or en tant que créature, si une ou toutes les créatures ensembles, atteignent la perfection de leur nature, en devenant enfin aptes a satisfaire le but de la nature pour laquelle elles ont été créées, remarqueront que d’un simple instant situé à l’intérieur d’un espace de temps limité, si serait il vécut en sainteté, le lui pourrait leur rappeler à plus forte raison ce qui doit s’appliquer, et à l’homme dans un but surnaturel, destiné à la gloire du Ciel.
Si vous aviez perdu non par votre faute la perfection physique, morale et spirituelle de votre initial, c’est que vous portez pour réparer les résidus de la faute, les cicatrices de la grande blessure, qu’aucune créature si redondante de vie soit-elle et si tant donnant grâce à tous baptisés ne pourrait à elle seule réparer.
C’est pour quoi, qu’en dehors de votre raison, il vous est fait de vous-même plusieurs multiples, « plier sur soi-même » !
C’est à cause de l’ordre que règle toutes les divines opérations, que vous avez, après été fut créé, et choisie d’exister, non pour vous seule, ni pour violé ce que l’Esprit vous à donnée, ni rendre impossible votre survie, ni horrible cette vie, mais pour tout début, avant que la Terre ne soit constituée dans toutes ses parties, rendre tout à fait confortable la création avant et pour ce qu’elle soit rendue lumineuse, belle, fertile ; et par le Soleil, et par la Lune et les innombrables étoiles, mais aussi et surtout de grâce à vos rayons célestes bénéfiques projetés de votre Présence Véritable.
Si vous vous reconnaissiez, vous mettriez un trait d’union entre le monde spirituel et le monde matériel, et toutes parties d’entre eux deux, en être, où la matière sert de tabernacle à l’esprit, et vous pourriez être vivifié dans la matière non seulement pour la vie mortelle, mais aussi pour la vie immortelle qui doit venir après votre résurrection finale ! »
Vous croyez qu’il est sot et futiles choses d’Esprit, car vous croyez plus à vos sciences qu’au monde, et au monde plus qu’à vous-même. Or l’on ne dira jamais assez que la science est de la paille, qui remplit, mais ne nourrit pas, semblable à une fumée qui cache au lieu d’éclairer, et étouffant la foi et la sagesse, elle en réalité, un poison spirituel qui tue.
Et de plus, j’ajouterai que vos sciences sont aussi égales à de l’ivraie qui produit du fruit de faux prophètes, qui annonce propos nouveau et nouvelle théorie qui ne sont ni Parole divine, ni Philosophie divine.
Or de ce qui est divin, en science ou savoir, il ne pourrait rien en être changer, ni réitérer, mais seulement partager, multiplier, doubler et s’en réverbérer pour fin de oui renouveler, et non de ce qui fut donné, mais de ce qui eut été reçu.
J’aurais pu traiter plus amplement de ce sujet, mais comme la foule, non pris seule, mais tenue ensemble, vous n’auriez pu échapper à la tentation de vous satisfaire que de fables, à rêver choses que de votre journée qui déjà vous avez affronté, et ne voulant dont devenir un préparadis, si éveillé hors de votre rêve. Mais vous pouvez sommeiller, sans tout à fait tombé endormis, c’est alors que vous verrez une porte de sortie à la nuit qui tout assombris.
En vérité, qui accomplit volonté de Celui qui l’a envoyé, même s’il vint au monde 6 mille ans après le premier, serait pourtant, pour l’Esprit de Dieu, avant lui, pour conséquence, que l’aum puisse reprendre sa place d’honneur, et recommencer a agir avec son Créateur.
C’est ainsi qu’il m’est donné l’opportunité de baptisé, pour qu’à mon tour, j’offre en toute autre chose vos appellations remplies d’inspirations, même si, pour vous, vous n’y voyez en elles que de rigollot surnoms. Mais de cela vous dites bien et en bien, oui, car surpassant votre première nomination que le monde vous à aspirer à témoigner.
Vos Prénoms témoignent que vous êtes plus que la descendance charnelle, qui vous charge de fardeaux, de traditions, et de toutes générations, et de leurs nominations où sont entreposés tous leurs méfaits et leurs erreurs ; non, vos prénoms sont déjà en soi une renaissance pour votre sang, afin d’être en opportun sur le fait à la créature que vous déployez, en qui resplendit et demeure l’Esprit Créateur.
Il s’ensuit que si donc vous renaissiez de nouveau, vous seriez nouvelle Créature. De sexe masculin comme de sexe féminin, vous serez fait en vérité, Aum nouveau, qui, part une fusion d’entre l’être et l’âme, s’actionne et se devenant capable d’aimer et en droit d’aimer Celui qui dépasse tout autre existant, à un tel point, que cet Aum, tenu par un respect écrasant, ne serait pas en mesure de désirer de l’aimer sans le don d’un divin soutient, perçu pour seulement en honorant ainsi dont tout ce qui fut créé à Soi, toutes formes de vie, qui le lui donne à s’exister, à se paraître et à lui être envoyée.
L’homme a rendu pour lui-même toute l’Oeuvre incomplète, reniant toutes suites.
L’idée ne lui est jamais venue d’acquérir de nouveau ce qu’il avait rejeté de Nous. Mais s’il n’eut cela en pensée, Nous, sachant tout sur la Pensée, Nous y pensions.
Pensions ensemble ardemment au retour de la volonté humaine dans la Mienne. Dit le Doux Hôte !
Avec elle, tous pourriez apprendre en bien et du bien, car il n’est pas meilleur moyen d’apprendre qu’en mime, dit en suivant l’exemple de Celui qui est exemplaire. """
De Celui qui est en vous même !