Yonathan

Yonathan Laisses toi découvrir l'étincelle de beauté que la Clarté est venue t'enseigner, et tu seras attirer joyeusement dans la Lumière.

La clarté ne te donne point comme le monde donne, son sain éclat accroît ta foi. Soulageur - Thérapeute - Médium

L'humain a davantage besoin des enseignements de l'Esprit pour recevoir l'aide et la guérison, qu'un traitement, car il ne peut qu'être libre de sa souffrance, quoi quelle puisse être, qu'en devenant Saint. Vous serez saint, car je suis saint. Et si vous invoquez en vous celui qui juge, me jugerez vous, et vous n'aurez point de sagesse ni d'intelligence, et serez vous à cause de vous, dans la peine et la sanction qu'impose ce juge, en vérité. En vérité, en ce jugement il n'y a que du mensonge. Sachant que ce n'est pas des choses périssables, par de l'argent ou de l'or que vous serez affranchis de la vaine manière de vivre que vous avez hérité de vos aïeux, pourquoi tardez vous a chercher votre Père d'Amour ?

Amis lectrices et lecteurs, nous y sommes arrivés. Il s’avère, avoir compris que Celui en moi va pendant quelque temps p...
23/08/2025

Amis lectrices et lecteurs, nous y sommes arrivés.
Il s’avère, avoir compris que Celui en moi va pendant quelque temps prendre silence ou me demander de prendre silence.
Je ne sais pas.
C’est donc comme prévu la fin du Message qui eut commencé début Avril jusqu’à maintenant presque fin Aout.
Je sais bien que mets partages sont tout à atypiques, et que vous n’ayez jamais connu choses pareil durant 5 mois; je pourrais même dire de tout ce que je vous ai partagé jusqu’ici sur l'ensemble de cette page.
C’est donc Grâces pour vous, que vous soyez par de multiples lectures et méditations élevées, par le seul fait d’avoir nourri l’âme qui vous a menée et déposée à votre psyché, si en bon efforts et disciplines vous approchez de ce qui est dit à mots ouverts pour entendre de ce qui est dit à mots couverts.

A bientôt.

10/10 : Du Saint-Esprit, la Guérison
4eme partie

Mon fils, toutes choses sont en équilibre au ciel comme sur terre, mais le Ciel a pour lui la Volonté. Notre volonté maintient partout un parfait ordre, et cet ordre apporte avec lui, l’autorité, la concorde et l’harmonie.
les cieux qui suivent l’équilibre menant à ce que chacun en eux au retour de l’ordre.
Force et soutien se trouvent dans les cieux, où chacun ayant été élevé cherche l’équilibre et l’équilibre amène la ressemblance.
C’est pourquoi il y a tant d’ordre, d’équilibre et de ressemblance chez les trois axes divins. Aucun chef dans dedans du monde ne pourra jamais s’élever.
Grand influenceur et animateur, dirigeant et meneur, à quelles têtes tiennent-ils, si ce n’est à l’une des têtes de la bête ?
Ils voudraient être des montagnes, et ils le sont, mais ne savent-ils pas qu’en toute haute montagne il n’est que froid ou aridité, et au contraire que c’est en de petites collines ou la vie profite aux créatures ? Ne néglige donc pas d’être petit, car Dieu est Grand dans le petit.
Lisons et méditons cœur uni ; puis revenons sur les versets, et de ce qui fut versé en toute pensée, de sonnets et de prophéties.
Interrogeons-nous de ce qui peut être étudié des Messages de l’Amour. Je veux venir te réconforter dans la Vérité.
Sois attentif !
Si chacun dit appartenir à ou de qui, de ce qu’il veut, en disant ; « moi j’appartiens aux Saints », ou bien « moi j’appartiens aux apôtres », ou bien « moi, j’appartiens au Christ, ou bien » moi j’appartiens aux penseurs », ou bien « aux sages », « aux scribes », « aux raisonneurs, » ou à Erope, ou à Aarṓn, Abercius, Sophocle, Shéphana ; c’est alors qu’il vaudrait mieux pour eux de n’avoir appartenus à rien du tout. Je m’explique : L’oint, est-il divisé ?
Alors que certains réclament des signes prodigieux, d’autre recherchent une miraculeuse sagesse, parmi eux, il n’y en a pas beaucoup d’entre eux à leurs yeux, ni de gens puissants ou de hautes naissances, ni prophètes, ni saints, ni élus. L’amour n’est pas aimé.
Quant c’est à l’Éternel qu’il faut se tourner, ils choisissent de désirer prophétie éternelle !
Mais est-ce la prophétie qui est éternelle ou bien l’amour de vérité qui l’est ?
Où se situe le plus grand intérêt, dans le savoir qui ne passera jamais ou bien dans la connaissance qui, un jour, sera dépassée ?
Toutes prophéties et tous prodiges perçurent comme miraculeux sont connaissances, de ce qui est avoué et pardonné, de ce qui est attendu, cru et reconnu, de ce qui fussent désolés puis satisfaits. Mais quelle est dont l’intérêt de se reposer en tout ceci s’il manque foi en l’Esprit et véhémence en Sa Puissance ?

Aucuns de ceux qui dirigent le monde, ni qui a la haute main devant quelques spécimens, n’a pouvoir de comprendre l’Esprit éternel du Père ainsi que de Dieu, en toute vérité, car l’Esprit scrute le fond de toutes choses et des mystérieuses profondeurs divines ; que parmi les Hommes, seul l’Esprit à l’Homme Sait de ce qu’il y a en Lui, et de ceci : ne sais-tu donc pas que l’ambition de ce qui passe est de conduire à ce qui ne passera pas, or L’Homme, pas même créature, par ses seules capacités, n’accueille pas ce qui vient de l’Esprit et de Dieu, puisque s’il en été le cas il ne souhaiterait ni commander ni dominer, seulement s’effacer ?

Les prophéties sont des fenêtres tantôt maculées tantôt lavées, de ce qui est vue en don de l’Esprit d’amour comme Protecteur et Ajusteur, égale à l’écorce et la sève, qui veut aider la créature sur l’endurcissement de son cœur et lui révéler les erreurs de ses désirs qui lui provoquent meurtrissures et tourments ; qui égale à un arbre ne tarde pas à casser et perdre toutes ses branches sous le Souffle, si ce faisant indocile et solide face à Lui et tout dresser contre Lui.
Ais pour pensée à moi-même, qui eut suivi la Volonté à me rendre pur d’après la pureté qui m’élever.
Je fus si tourmenté et meurtri en ce qui concerne mes souffrances intérieures, qu’il n’y avait aucun espoir qu’elles puissent être enlevées. De ma divine volonté, elles n’en étaient pas nées de Mon Père, et elles étaient si grandes, qu’en toute Sa miséricorde, Il eut volonté de m’en soulager. Je me devais de les traverser et de me guérir !
Il est réel que les souffrances physiques de ma passion furent le témoin de mes souffrances intérieures, et qu’elles m’eurent donné brièvement, mais succinctement du soulagement. C’était du Père, qui selon Sa volonté, m’offrait l’occasion de me donner à respirer, de ce qui m’envahisser, désespérer et étouffer intérieurement du monde entier, des gens et des manières et des coutumes et des croyances obscures, des entités, des morts-vivants et des morts errants, des multitudes spirituelles et naturelles qui s’aller en un tel égarement, par une telle aliénation, suspendues à une telle fureur et chutant en un tel déséquilibre, que j’en souffrais colossalement, quotidiennement, ne sachant comment les sauvé de la folie et de la sottise ; le cœur tout déchirer par compassion, et l’âme empathique se chargeaient du poids des chagrins de toutes autres âmes peuplant ma Réalité, qui n’était point un limité de la fausse interprétation du temps, mais révélée à la vérité.
Mon sanglot et mes spasmes m’eurent donné des instants diminutifs à ma souffrance, car ils furent des chocs soudains où j’oublier les causes de ma souffrance fondamentale.
En l’âme que Père m’a créé, en Son amour qui déborde pour le Salut des âmes, je devais tout unifier, tout porter, tout élever dans la Lumière. C’est Père qui l’eut fait, ce Christ dont vous m’avez identifié, le Très Saint qui m'a oint.
Il était en moi et j’étais en Lui, de même que toi.
Père est tout.

Par l’unité d’une seule nature, je t’ai fait connaitre la révélation, afin que par l’intelligence créée tu t’en sentes en harmonie.
Toutes les choses créées sont en harmonie. L’une agit comme soutien, force et volonté de l’autre.
Si une seule chose créée négligeait de se maintenir dans cette harmonie, alors tout errerait et seraient sur la voie de l’abandon et de l’annihilation.
Seulement l’être s’est séparé de l’équilibre de notre volonté.
O comme il ère, de sa position élever il est tombé dans l’abîme.
Même après ma rédemption, la famille humaine n’est pas revenue à son état naturel qui doit quant à lui les orienter à leur état originel.
C’est dans son état naturel que l’être peut exister, et c’est en raison de son existence qu’il suit la volonté qui la créer, lui souhaitant de vivre avec l’équilibre. La pire chose qui puisse arriver est de se retirer de l’équilibre de notre volonté.
Notre volonté aime les pas de l’âme qui n’a pour vœux que suivre notre volonté. C’est pourquoi, si soigneux de l’âme et de ses vœux, est sauvé qui l’a écouté.
Aucune âme ne peut être contre son vœu, adonc aucune créature ne devrait être hors de la volonté.
C’est la raison pour laquelle je suis si exigeant et ferme, puisque se retirer de l’équilibre de notre volonté équivaut à se jeter soi-même dans le chaos et le désordre, dans l’océan de toutes misères.
C’est de l’incohérence des faits que le malheur peut arriver et c’est du divorce avec notre volonté que toutes infirmités peuvent arriver. Il suffit d’être en action de grâce pour recevoir du bonheur et d’être en notre volonté pour retrouver la pleine capacité.
C’est de l’amour qu’adviennent les souffrances.
Vivant intensément les sentiments, les émotions et tous les hauts degrés de vigilances, tout état d’être s’homogénéise dans la membrane de tous les états d’âme, qui eux-mêmes se fond en l’état d’esprit, s’appelant à la Conscience du Père, du Christ, d’être toute la réalité et de partagée tout ce qui est pour toutes les créatures en toute la Création. Ne t’ai-je pas dit que de ta volonté dépend le monde entier, et que c’est l’épanchement de l’âme qui forme la réalité du monde que tu fais ?

De Celui que tu as fais en toi même.

10/10 : Du Saint-Esprit, la Guérison3eme partiePour suite,Tu étais dans la terre, touchant un champ en quelque lieu où s...
20/08/2025

10/10 : Du Saint-Esprit, la Guérison
3eme partie

Pour suite,
Tu étais dans la terre, touchant un champ en quelque lieu où se trouver gens en France, et tu fus dans toute l’atmosphère ; puis la fin te prit, assis dans les épis et dans une sèche herbe.
Puis tu m’eus demandais la mort, en disant :
« C’est assez ! Éternel, prend mon âme, car je ne suis pas meilleur que mes frères. »
Couchés après être isolé, car de ceux qui n'étaient vue, tous étaient partis, et de ce que tu pries tu entendis le sifflement mouvant de l’âme due à mon influence.
Puis tu t’endormis.
Et voici : mon Ange te toucha, car il t’entendit et écouta Ma Parole, et Il dit :
« Lève-toi, frère du Ciel, je vins une nouvelle foi, car le chemin est long pour toi ! Je prends tes pas, et toi, va, que tu retournes en ce qui tes agréables, car c’est la volonté de l’Agréable. Agrès, oui, de ce qui t'est dis, car le Très-Haut, de Son Esprit est ton repos ! »

Ô Nasiy’, que peux-tu espérer si ce n’est en Moi qu’est l’Espérance, car n’est-ce pas ma Voix qui donne Confiance et Espoir comme un murmure doux et léger ?
Oui, en effet, tu m’entendis tout comme Elie, et tu n’eus point méprisé ce murmure.
Car de l’intelligence de ma Voix tu te fus souvenue du Savoir de Ma Parole, et de l’Alliance des Prophètes.
De la sagesse de ma Voix tu eus reçu le Saint-discernement et le Sens de l’Equité ; et tu fus appelé à Ma Paix de Grâce. De grâce tu eus été mis, et tu eus dis ; « si j’y suis, que Dieu m’y garde ».
Puis testé à ma Lumière, certes, en Réalité, tu bien vus que Je suis vrai.
Sois tranquille, en songe tu sus, et savoir de nouveau lors-qu’éveillé.
L’Éternel te parle, et Il disoit en son premier Parler : « Que mon Parler frais et coloré, te soit d’une langue que celui seul à qui reçoit ce parlois, soit capable seul d’entendre et de comprendre cette Voix pour lui, qui si y souhaitant en être le servant, et qui je te le dis, est toute comme celle qui t’est récite ; prononcée d’une forme battue et roulée, par la Langue de France ! »
Il y a là-dedans de l’inspiration, car c’est Mon Souffle qui te qualifie.
Dis : « De la haine ou de l’amour de Dieu pour qui et ceux qui s’en qualifie, je ne sais rien, mais je sais qui sera bouté hors de l’Alliance, préférant s’être fait serviteur de l’Associateur. »
Les gens possédés et les gens adombrés tu les reconnais, t’allant à confirmer l’appel que tu leur connaît, conformément au diktat de ce que la nature de leur fait les ont chargés.
Pourquoi ne te délectes tu pas de ce que le Père Céleste t’a donné en Esprit Saint ?

— Grâce, parce qu’aucun de mes frères, trop fiers, ils ne sauraient en profiter et être bonifier !

De ce que tu suis à Celui qui avant toi accomplis en action de grâce pour toi de ce qui est agréable et bon pour Lui et l’ensemble de Sa création, pour quelle raison ne croirais tu à rendre grâce pour toute chose ?
Dis : Je suis un Clair guide !

De celui que vous avez fait en vous-même.

10/10 : Du Saint-Esprit, la Guérison2eme partie.Ce soir, retrouve la suite du message par lequel nous sommes proches de ...
18/08/2025

10/10 : Du Saint-Esprit, la Guérison
2eme partie.

Ce soir, retrouve la suite du message par lequel nous sommes proches de sa finalité et duquel nous serons prêts à nous initier une plus ample et juste élévation.
Dis : Je voudrais que vous sachiez échapper a toutes forces et formes spirituelles qui ne dureront pas et que vous alliez en confiance vers un nouvel esprit, que vous ne connaissez pas.
Par le Saint-Esprit la guérison, elle échange le monde inventé pour une précieuse Réalité, elle échange toutes perceptions pour la Vision du Christ et elle donne a accepter son rôle en Dieu pour le Salut.
Aujourd’hui est un jour de dévouement particulier. Nous ne nous rangeons que d’un seul côté, en compagnie de la Vérité et nous quittons l’emprise des illusions. Nous rechercherons la Vérité là où elle est. Nous serons dans la joie ainsi a savoir du bonheur d’être certains d’apprendre auprès de la Clarté qui n’enseigne comme le monde le fait.
... Ce soir.... et comme la nuit est longue, et comme il est bon d’être dans la nuit ; C’est au sujet de la Guérison et de notre Expiation que nous évoquerons parole de vie éternelle.

D’abord, toute grande j’ouvre la porte de la miséricorde.
Qui ne veut passer par la porte de la Miséricorde, se devra de passer par la porte de la Justice.
C’est à cause de cette dernière qu’il est craint de mourir et ainsi de marcher droit vers l’éternité en vivant d’une vie ébahit.

La porte de la Justice tient à libérer des prisons de douleurs, or Ma Miséricorde ne veut pas cela, mais la justice l’exige, car j’appelle toute créature à la vie infinie, mais les âmes ne veulent pas croire en ma bonté, jugeant que brûlent la Miséricorde, et ne se souhaitant d’exister d’un seul Esprit plus radient, lumineux et chaud que toutes étoiles de l’Univers ne pourraient l’être.
C’est le Salut que je vous désirs et non votre inclinaison.

S’il n’y a pas un clair guide menant à s’élever par suite d’être éduqué, il n’est point possible de se donner à réaliser choses du nouvel esprit.
Si ai-je dis à chaque guéri la venue de leur heure et qu’ils me suivent, a qui ai-je dis d’aller, de retourner chez lui, et ne plus péché ?
Est-ce aussi pour un autre genre de guéri ?
Pas du tout.
À ceux qui je te le dis n’étaient guéri, mais soigner et croyaient l’être, du bien qui leur été procurer, et du fardeau qui leur été alléger, du soin qui leur été témoigner, je ne les inviter à entrer en moi. Oui, entends-tu cela ; car leurs tensions psychologiques jugea d’encore la santé d’après leur corps, plus grande que la sainteté de l’âme. Oubliez votre corps souffrant et vivez d’un de vos corps bien portants, c’est ainsi que l’affligé pourra être reposé.
Or jugeant d’encore plus de ce qui doit être impossible plus glorieux à leurs yeux que le croyable, que le surnaturel serait plus divin que la nature, qu’auraient été adonc imparfaite la volonté de Dieu jusqu’à ce qu’elle le soit à leurs yeux ; ils étaient bien irréfléchis, je te le dis, et de ce qui est a sauvé, à de ce qui doit outrepasser le monde tout entier.
D’encore en ce temps, il y a des inaptes à recevoir la Vérité, mais aptes à apprendre de la réalité.
Il faut qu’ils souffrent pour rompre avec le mal et se nouer par la louange à l’amour marial.
Le soin momentané leur est donné, et s’amplifiant à mesure de leur vigilance envers leur corps, afin qu’ils croisent, et après élévation qu’ils sachent.
Ils n’auraient été capables d’être guérit par l’Esprit, mais d’une forme de magie, si capitulant sur leur liberté et leur dignité, car ils auraient chuté dans l’adoration d’esprits. Ne chutez pas dans l’adoration.

En vérité, seul ceux élevés par leurs pieuses et saines finalités d’esprit peuvent me reconnaître, et plus encore par force de s’être abandonné dans la prière, se tenant en profondeur, creusant en eux-mêmes, ayant du libre espace pour l’avenue de la Grâce, en eux, et du Père, y recevoir la couverture de Sa Bénédiction ; car sachant de Lui, et des Cieux et du Ciel, seuls eux pouvaient être vraiment guéris, jusqu’aux repos entiers dans l’Esprit.
L’on ne peut recevoir qu’à hauteur de sa grandeur, et l’on ne peut donner qu’à hauteur de sa profondeur.
De plus, c’est tout un opposé que d’être vigilant par l’atout de ma Conscience, que d’être impliqué par l’atout de la Démence.
Celui qui est impliqué, est dans l’ivresse hallucinatoire de bien faire de ce qu’il fait, et par beaucoup de fois, croyant y mieux mérité, ne se voyant donner foi davantage en tout ce qui l’absorbe, et qui lui puisse de sa Numinance, qu’en ce qui le Catalyse et lui ouvre les écluses de la Miséricorde, lui déversant tout un océan de grâce sur l’âme, qui l’approche de la source par confession et sainte Communion. Il faut comprendre être en devoir d’accepter la grâce de Dieu, tel qu’Il l’envoie, comme Il le veut et sous la forme qu’Il désire.
Qui crois-tu recevoir le pardon complet et la remise de leur punition ?
En ce jour sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s’écoule la grâce.
Qu’aucune âme n’ait peur de s’approcher de Moi, même si ses jugements de péchés sont comme l’écarlate.
Ma miséricorde est si grande que, pendant toute l’éternité, aucun périsprit, ni Aums ni angélique ne saurait approfondir tout ce qui est sorti des profondeurs de ma Miséricorde.

Chaque âme en relation avec Moi, médite Mon amour et Ma miséricorde durant toute l’éternité, bénéficiant de la partagée partout où elle irait !
Est-il si dur donc pour soit, de dire chapelet durant neuf jours sous la chapelle de l’Esprit, dans le but de fléchir par cette prière Mon Père, et de lui implorer Divine Miséricorde et Divine Justice ?

Ô dis Nasiy' à qui te lis, étudie et aime l’Esprit annonce ceci : « Si je te découvrais de toute ta
misère, toi qui souffre, tu mourrais de peur. »
Mais sache que, parce que tu es tellement misérable, Je découvre devant toi tout l’océan de Ma miséricorde.
Je cherche et m’accompagne des âmes comme la tienne, mais il y en a peu.
La grande confiance envers Moi, et le Seigneur, me force à t’accorder continuellement des
bienfaits et des grâces.
Ô Nasiy', ceux qui t’étudient l’ont ressenti.
Tu as de grands droits sur Mon Cœur, car tu as pleine confiance.
Or, tu ne supporterais pas l’immensité de Mon amour, en retour, si ici, sur la terre, si Je, te le découvrait dans toute sa plénitude. La Majesté ferait danser le Soleil, éclater les montagnes, et soulever les mers si Elle venait sur terre ; et souvent Je soulève pour toi un petit coin du voile, mais saches que c’est de Ma part des grâces exceptionnelles, et tu le vois, souvent rendue lorsqu’aucun témoin ne pourrait contrebalancer sur ton éducation.
Mon Amour et Ma miséricorde ne connaissent pas de bornes.
Sache Mon enfant, je suis aussi l’enfant, et tu sais comment sont les enfants ; à cause de toi, J’accorde des grâces à tous tes environs, mais tu dois me remercier pour eux, car Je ne reçois pas de remerciements pour les bienfaits que Je leur accorde. Et c’est à cause de ta gratitude, que Je vais continuer à les bénir. Mais si tu n’en donnes pas toi, mon Nasiy', alors plus rien de là ne mis intéressera.

Un message qui apportera du réconfort !10/10 - 1- Du Saint-Esprit, la Guérison" Dans les mains rendues douces par Son to...
14/08/2025

Un message qui apportera du réconfort !
10/10 -

1- Du Saint-Esprit, la Guérison

" Dans les mains rendues douces par Son toucher, le Saint-Esprit dépose une image d’un toi différent. C’est l’image d’un corps encore, car ce que tu es réellement ne peut être vu ni représenté, sans que l'ensemble de la réalité commune n'en soit entièrement bouleversé et remanié. Que ton image témoigne de l’éternelle vérité, qui est que tu ne peux pas être blessé, ni mortifié, et elle indique au-delà d’elle-même à la fois ton innocence et celle de ton frère !
Ton visage est un clair signe de celui qui est en toi !
Il faut être un aveugle pour nier ce qui est clair, et il faut être esclave de la sottise pour renier ce qui peut sauver.
Montre-lui cela, et il verra s’il le souhaite la guérison qu’est au-delà de ce qu’il voyait sans cela. Et il verra son pardon avec des yeux guéris, il regardera au-delà, vers l’innocence qu’ll contemple en toi.
Là est la preuve qu’il n’y a jamais péché si le regarde fut changer ; que rien de ce que sa folie lui enjoignait de faire n’a jamais été fait, ni jamais eu d’effets d’aucune sorte. Qu’aucun reproche qu’il a fait peser sur son cœur n’a jamais été justifié, et de même qu’aucune attaque n’a jamais pu le toucher du dard empoisonné.
S’il voit ta guérison et tel que tu es en vérité, en vérité, sa santé sera renouvelée, parce que ta guérison est son réconfort ainsi que sa santé, prouvant, en effet, que les illusions ne sont pas vraies.
Douleurs et maux ne sont que temporaires, tant que la volonté du porteur est un souhait de mort, adorant un système de croyances qui est motivation pour ce monde.
La parure du corps cherche à montrer comme sont beaux les témoins de la culpabilité, se donnant coupables d’être un corps qui démontre comme leurs vies est fragiles et vulnérables, et comme il est facilement détruit ce qui est chéri.
Sous quelque forme qu’elle prenne la maladie est la croyance en un péché pour le justifier, ainsi que pour partager ce qui est cru de la majorité. Qui se rend malade ne voudrait qu’aider le monde entier à guérir de sa folie.
Les malades ont une raison pour chacun de leurs désirs contre nature et de leurs étranges besoins.
La fin du corps de vie doit venir, quelle que soit la façon dont cette vie est menée !
Ta fonction est de montrer à ton frère que le péché ne peut pas avoir de cause, c’est de pardonner ce qu’il crut être vrai parce qu’il la fait.
Il croit que ce qu’il fait est vrai, mais a oublié qu’il ne s’agissait qu’à ce qu’il retrouve la vérité.
Comme ce doit être futile de te voir hors de l’Esprit de vie et comme une image cherchant à prouver que ta fonction ne peut jamais être.
Il n’y a pas plus grand méfaits que te nier l’Esprit du vrai en raison de justifier ce qui est fait. Celui qui fait, qui dit et qui vit contre l’Esprit n’a que souhait d’être entièrement choqué par la vérité.
L’image du Saint-Esprit ne change pas le corps en quelque chose qu’il n’est pas, pourquoi dont souhaiter changer ce qui fut créé pour vous enseigner ?
Le malade c’est un but à ce qu’il souffre, or si représenté sans but, ce qui lui est vécu est aussi vu comme n’étant ni malade ni bien portant, ni mauvais ni bon.
Aucune raison n’est offerte pour qu’il soit jugé de quelque façon que ce soit. Il n’a pas de vie, mais il n’est pas mort non plus.
Il se tient à part de toute expérience de jugement, grâce à la main tenant qui ne témoigne encore de rien.
Pourquoi ne prennent-ils pas ta main comme ce qui est saint ?
Si leur but étant ouvert et ouvert à l’esprit qui est rendu, ils sont libres à nouveau de choisir à quoi il sert.
Devraient-ils se dire : maintenant rien n’est condamné, je m’attends qu’un but me soit donné, afin de remplir la fonction que je recevrais.

En ce lieu vide, d’où le but de péché a été enlevé, est libre de se souvenir du Ciel qui t’a reçu.
Ici sa paix peut venir, et la parfaite guérison prendre la place !
Comme toi, le Saint-Esprit leur donne une fonction est c’est celle de pardonner !

Laisse donc son but et ta fonction être enfin réconciliés et vus comme ne faisant qu’un.
Sachant que le pardon n’est pas la pitié, qui ne cherche qu’à pardonner ce qu’elle pense être la vérité.
Car le bien ne peut être rendu pour le mal, si en effet le pardon n’établit le péché pour ensuite le pardonner.

Et qu’en est-il des non guéris ?

Les malades restent des accusateurs, ils maintiennent que ce qui leur a été fait ne mérite pas de pardon ! Il accepte la miséricorde, mais refuse l’innocence. Ils ne peuvent pardonner ni à leurs frères ni à eux-mêmes sans être passés par-dessus le péché sous les yeux de leur frère.
Qui pardonne est guéri. Et dans sa guérison réside la preuve qu’il a véritablement pardonné et qu’il ne conserve aucune trace de condamnation qu’il voudrait encore se reprocher à lui-même ou à toute chose vivante. Les idées de péchés sont la preuve au contraire qu’il réside des erreurs. La puissance du témoignage vient de la croyance. Chacun se témoigne de ce qu’il croit.
Que donc de tout ce que tu dis, fais ou ais penses témoigne de ce que t’es enseigné afin que tu puisses le partager.
Un miracle n’offre rien de moins que ce qui est donné. Donnez de votre foi ; par conséquent, recevez de ce que vous avez donné.
De la guérison par le Saint-Esprit il n’est donné à condition qu’il n’en soit gaspillé. C’est pourquoi le don de votre foi est si puissant.
Ceux du monde ne peuvent en bénéficier, car de foi ils n’en ont pas, si ce n’est qu’il en soit donné proche du jour de leur jugement dernier, pour qui l’aurait souhaiter, ce devant de reconnaître la vérité en celui qui lui est envoyé tel qu’il croit qu’il est.
C’est pour quoi tous ne reçoivent pas, c’est qu’une heure est déterminée a chacun. N’ai-je pas dit à chaque guéri : « Ton heure est venue, suis-moi ! »
En ce jour, je te fais dire : « Celui qui suit met pas, celui-là me voit »
Et ne t’ai pas déjà dit le secret pour la vie ?
De ne plus faire fit de la maladie ni des soucis ni des folies du monde qui est en sursis !
Avec lui tu es perdu, et à cause de lui tu es égaré.
Chacun a de ce qui lui est juste, car Dieu, en bon maitre, a plus souci des gens oisifs que du travail produit.
N’as-tu pas l’âme lourde de peines a lorsque tu ressens tes frères perdus puis égarés, ne donnant aucun intérêt à Celui qui a tout créé, et de ceux qui mentent ouvertement à son sujet lorsqu’ils évoquent choses dont ils ne savent rien.

Le Saint-Esprit te dit que le corps répond aux intentions de l’Esprit, et il doit être doucement et parfois brusquement mis de côté une fois qu’il eut accompli ce pour quoi il fut fait. N’ayez donc point comme but de sauver les corps de matière, car il sont invulnérables qu’aussi longtemps qu’il est en besoin.
Un corps peut être insufflé de canaux d’expression qui sont soit sans amour, soit miraculeux. Pour qui a l’Esprit de miracle, la décision principale est de ne pas attendre plus qu’il n’est nécessaire que le temps vienne. En effet, n’ai je pas inviter chacun a me suivre et à donner foi de lui-même ?
Doit-il recevoir l’Esprit miraculeux celui qui voit avec les yeux le radieux ? Oui.
C’est ainsi que la particularité des Fils de Dieu ne découle pas de l’exclusion, mais de l’inclusion.
Ô, Nasiy', tous mes frères sont particuliers.
Qui voit et reçoit un de mes frères y gagne à l’inclure de ce qu’il est en lui-même !
Qui ne désire pas te voir ne peut donc pas me reconnaître ni rien connaître.
La peur de la guérison habite le lieu d’esprit de celui qui n’accepte pas la Puissance de l’Autorité, et dans ce cas il accepte le contrôle d’un Pouvoir Tyrannique. Il n’y a que deux maitres.
Et la seule limite à son choix est qu’il ne peut servir deux maitres.
Le résultat de suivre le malheur est qu’il emprisonne jusqu’au dessèchement, parce que tels sont les diktats des tyrans.
Or changer d’état d’esprit c’est enfleurir son lieu d’esprit, qui est de se mettre à disposition de la Véritable Autorité.
Qui suit l’Autorité peut bénéficier de miracle, car il est le signe d’avoir choisi d’être conduit par moi au Service de l’Esprit du Christ.
L’abondance du Christ, qui est uni à moi, et tout près de toi, est le résultat naturel d’avoir choisi de Le suivre.
C’est pour quoi tous nos frères ne recevront pas, c’est pour quoi une heure est déterminé a chacun.
Tu ne peux parler, ainsi annoncé choses de vérité à ceux qui ne sont pas prêts, et c’est pourquoi tu es fortement rejeté de ceux qui ne savent pas aimer, de même que tu ne peux ni soigner ni aider ceux qui ne viennent à moi, car quoi qu’il leur arrive, il n’en est déterminé que de leur choix.
Recevoir la Guérison du Saint-Esprit est donc un choix.

En vérité : Celui qui croit en toi, celui-là reçoit.

Quand tu as de la peine, l’âme lourde, cause de ceux qui rompent le d’écoulement naturel, ne donnant aucun intérêt à la vérité, et bafouant même de peu les principes du Ciel, observes à t’appliquer à une vie parfaite, parfaitement appliquer à ta vie actuelle, mais qui est forte ancienne, comme on le voit. C’est en tes devoirs en ce monde que tu remplis, qui tu sais être la suite du devoir général que la nature impose à l’Homme doué de raison et capable de sagesse. Soit de tout ce que je t’ai fait être pour noter ce qui est de moi.
Et accepte que tu ne puisses aider ni sauver ceux qui n’ont pour début la sagesse, car aucun gaspillage ne saurait être utile.
Soit ainsi en vertu du Saint-Esprit. "

De Celui qui vous avez fait en vous-même

Suite…le 01/08/2025Si de l’Éternel nous sommes, alors sommes-nous préoccupés que de ce qui est éternel !J’imagine que po...
03/08/2025

Suite…
le 01/08/2025

Si de l’Éternel nous sommes, alors sommes-nous préoccupés que de ce qui est éternel !

J’imagine que pour suite du message, il me l’eut été donner sous formes cachées ; si en effet, je considère qu’il est en dedans ce que j’eus écrit fraichement pour une équipe avec laquelle je travaille.
En effet, travaillant avec ces gens, et les côtoyant quelques jours durant la semaine, il m’eut été demander chose suivante :
— Pourquoi nous donnes-tu des surnoms, et quels est leurs sens ?

Oui, pour certains, je les renomme, sans vraiment en connaitre la raison profonde, car cela me vient abruptement ; je le ressens, et pour d’autres qui pourtant le voudraient, rien ne m’en inspire !

Voici donc ce que je leurs ais écris, croyant qu’il y ait en dedans de lui une légère suite au Message que je me suis engagé à vous partagé parmi d’autres !
Surtout que Celui qui en moi, m'avait prévenu des jours de la suite ...
A vous de curieusement le lire, de décoder ou d’en faire de ce que vous en souhaiterez.
Mais avant :
— " Je vois que nombreux d’entre parmi nous, profites de lire toutes mes publications publiques sans me suivre !
Je n’en dis rien, car c’est Celui que vous avez fait de moi qui vous écrit, et que je n’en dis que de Celui qui est en moi !
Mais êtes-vous comme de ceux qui aiment discrètement tendre l’oreille sans s’assoir auprès de celui qui parle ?
Et de ceux qui enquêtent, ne désirant rien louper de ce qui pourrait être dit, afin de tout noter, copier, et répéter à autrui ?
Et de ceux qui viennent sans un bruit ?
Adonc, je dis : N’ayez pas peur, venez.
Ne craignez point de descendre en l’Inconnu, car en lui Dieu dirige !
Ne prenez ni ne gardez rien comme le ferais des voleurs si de lorsque vos pas sont léger et silencieux, car vous pourriez vous y confondre.
En vérité, amis, puissiez que si vous aviez choisi de vadrouiller au contour du nombre, c’est à seul but de marcher dans la lumière, et non de vous infiltré dans l’ombre !
Si vous venez, venez à cause du Nom de Celui qui vous a guidé, et soyez exaucé"

Une suite de ?
9/10 - Pardonnez vous, car je tolère les défauts plutôt que la méfiance.
4ème parties

""" Ceci n’est pourtant pas égal à quant nous discutons pendant que nous nous cherchons, car lorsque nous sommes en face, il est cru que nous soyons à l’opposé de l’autre, mais si nous croyons être en présence de celui qui nous faut, alors nous sommes appelés à nous trouver, nous approcher et être aux côté du demandé. Il s’ensuit que lorsque nous sommes aux côtés de qui nous avons appelé, nous devons lier connaissance avec lui. Ceci est vrai, ceci est évidant, car ceci est clair, et quand cela est fait, adonc d’une discussion nous commençons à nous joindre pour communiquer. Enfin, si ceci est bien fait, finalement, à communier, et à se reconnaître.
De ce préambule vous recevrez, et même si vous d’un iota vous n’en compreniez pas même un seul point.
Il n’est pas écrit pour vous enseigner. Mais si vous en jugez, alors vous en statuez ; or ceux qui fabriquent des idoles ne sont tous que vanité, et leurs plus belles œuvres ne servent à rien. Ici, de ce que l’on veut savoir, je ne vous parlerai que de ce que je vous ai baptisé, rien de plus, afin que vienne en vous le Saint-discernement, et que vous puissiez accepter chose de la Sainte Clarté ; qui, je vous le dis, est venue jusqu’à vos côtés.
Il n’est pas important de l’avoir reconnue, Elle n’est pas venue pour être vue, mais pour donner et rendre la vue spirituelle.

Si déjà de votre premier prénom vous êtes distinguée, et personnifiée en vérité ; en vérité, de votre renaissance vous serez caractérisé et individualisé, par votre numinance, afin de ne plus être évidé.
Beaucoup de révélations et d’élévations le Père Céleste, Le Ciel m’a octroyé, c’est un don de grâce pour choses qui dépasse tellement de ce que le jugement des Hommes s’accorde ou considère, mais si je puis vous donné seulement pépite de ma clarté, tous et toutes un jour vous en serez gracieusement vitalisés.
C’est égal à une graine, qui sous un ciel même nuageux peut croître ; et certes par grâce que lui accorde la lumière.
Mais si recevant en plus de Son bien, une clarté, Sa clarté, adonc, de sa croissance elle est capable de bonifier toute la terre et de surcroît des multiples graines saines et de fruits charnus.

La nomination que je vous ai annoncée ne vise pas à vous éveiller, mais seulement à ce que droiture vous teniez. Puisque si sachant sur vous-même, vous seriez vous en tenir dignes, car la beauté est l’un des dons que Dieu à accordé à vos premiers parents. Ils reflétaient la Perfection, qui les avait créés. Or celle-ci était l’Esprit très pur.
Nous sommes nés, comme simples créatures de Dieu, mais nous devions devenir ses enfants !

Je ne me permets pas de parler ainsi face à vous, car il ne m’est permis de vous affranchir que si, et seulement si vous veniez à moi, et moi à vous, qui vous donnerait foi à croire à notre Seigneur et à Son Intercesseur, qui Lui, Parole de Vérité, Verbe de chair, n’aurait aucune difficulté ni mal à nous inspirer :
or vous ne me venez, au plus, qu’à coter et non pour fin de me rencontrer. Si vous auriez voulu me rencontrer, et ma clarté, vous auriez prier et demander ma présence, or encore là, lorsque vous me héler ce n’est point en demande de ma présence, mais en réclamation de votre prestance, afin que je la valide, que vous soyez ; parce que j’aurais rendu tout intérêt à votre demande.
Si je ne réponds d’intérêt, vous ne recouvrirez d’aucun aspect.
C’est ainsi que je ne puis vous dévoiler que de ma silhouette, pas même du Parfum dont je suis oint.
Et même si, je vous aurais paru être aussi paisible et doux que de coutume, rien ne vous ferriez prévoir de ce qui est éclatant, car ce que vous pourriez remarquer sans être venu à moi, mais venu à coter de moi ne serait être qu’ombres et sueurs !
Pardonnez-moi si je vous parais étrange, et si de quelques modestes mots je vous offusquais, mais en cette soirée, pour pendant que j’écris toute une amplitude d’esprit sur papier, j’eus aussi un moment d’arrêt momentané pour prendre note de ces quelques lignes, toutes hors du sujet de ma soirée, mais accordées sur la demande qui vous concerne.
Pardonnez-moi, car celui qui est en moi et avec moi, ressens une tristesse si lourde dans l’âme pour toutes celles qui soient dans la confusion et éloignée de la bénédiction.

Je disais : comme dans la partie de vous qui est égale à la partie dont je suis affilié, il y a une raison pour laquelle l’occulte s’occulte, et c’est justement pour empêcher les gens d’être affectés par des formes, des niveaux de réflexions, et des façons de perceptions ou des niveaux de voyances, qui dans le fond ne peuvent pas les servir, excepter sur le plan psychologique, très jointé à de la curiosité. Et si étant plus que le commun et initiée à la conscience, je suis probablement plus que certains et beaucoup, détacher de l’envie de paraître. Il n’est pas de mon affaire d’être reconnue, car comme pour chaque animal, qui fut tel qu’il a été créer il y a des millénaires de cela, je suis, tout à fait pareil, immuable à ma vraie nature.
Si je vous dis tout ceci c’est bien pour que vous puissiez égale à ma nature commencer à vous rappeler à votre nature, semblable à Dieu. Et même si elle est in-intact ; qu’il eut, certes, des réductions structurelles, et croisements par lesquels des premières races créées ont produit des races hybrides, tout comme des acclimatements, touchants aspects de visage, longueurs d’os, et couleurs de peau, le corps, lui, n’eut cessé d’être ce qu’il est, pas plus que lion ou le chien, pas plus que le taureau ou l’oiseau, vous n’avez vous aussi jamais cessé d’être ce pour quoi vous êtes.
Il n’est qu’un unique Esprit, qui révèle ou rappel des choses secrètes, cachées, oubliées, ou dont la vérité s’altère en passant de bouches à d’autres bouches, qui n’eurent point pour seconds aveux n’être faites que pour Béatifier et Bénir.
Aucune syllabe à la Révélation contenue dans le Livre je ne peux changé, au contraire, puisque lié à la Parole incarnée et Celui qui est Lumière du monde, qui Lui connaît Vérité toute entière et la restaure sous sa forme première, il m’est donné d’offrir Clarté pour restaurer.
Comme pour Celui qui est en moi, sachez accueillir Celui qui vient à vous, et ne faites point comme les rabbins d’Israël, ni les prêtres d’Occident, qui déforment intentionnellement toute Vérité et toute Réalité, par peur juste de perdre un pouvoir à faire rajout à ce que la Sagesse révèle, et que la Parole peut confirmer et expliquer, si sachant ce qu’est la Parole, la véritable Parole.
Je commence ainsi à vous offrir de ce qui voudrait à jaillir par mes lèvres, mais qui se maintient d’un frein, lorsque je me trouve parmi vous, car avec vous, je n’ajoute clinquant à ce qui s’en vit, mais je partage à chacun d’entre nous quantité égale de Celui qui est en nous.
C’est que je vous aime.
Et à pour fin de ne point désirer vous influencer, ni à vous impressionner ni d’exister d’un ton de violence qui frapperait l’assistance ni de vous charmer, Cela Père ne pourrait l’accorder que pour renverser et calmer vos paires.
Or, moi, j’aime être anonyme, car qu’elle tendresse est plus grande que celle qui dont constitue toutes formes de respects ; et qui je le dis, ne cesse à laisser ainsi l’amour se manifester de vous, par la Glorieuse Parole, jusqu’à ses gestes doux et ses attentions délicates dont Il vous charge de témoigner.

Dans le chevauchement d’une pensée qui est cosmique, d’avec une pensée planétaire mise au galop sur tas de poussières, d’idées sociales, il est très difficile d’accélérer le cheminement qui dure des années de temps, par ce que l’Homme doit se construire une assise qui sera tenir le périsprit en équilibre, et dû à une identité psychique où demeure une identité mentale et non psychologique ou flexionnel.
Il s’ensuit que même si l’Homme ne peut être tout esprit comme Son Créateur, il peut tout à fait s’en affilier — et L’Esprit du Très Haut, par Dieu voulut qu’il en soit ainsi, et témoigner de son origine par la perfection d’un corps harmonieux et très beau, qui si saint soit-il, dit sans salissure en lui-même, ne peut par son œil regarder qu’avec sanité, et toucher d’avec un membre qu’avec pureté ; destiné à contenir un esprit sans tâche, témoignant pour quiconque donnerait souhait, de retrouver la valeur de ses propres rayons célestes.
Ce qui en ce jour, par cette lettre se donne à s’accomplir.
Et afin que vous puissiez toujours plus et mieux comprendre l’importance de votre nomination, je vous révèle ce que vous connaissez déjà, mais y ajoute valeurs inqualifiables :
C’est de Dieu dont vous provenez, et non d’un animal, que, l’ancienne loi mosaïque qualifiât durement, envers la théorie honteuse selon laquelle vous descendriez d’un singe. En effet, ayons pour pure pensée que le Puissant et l’Infini n’a certainement pas besoin d’obtenir Homme d’une évolution séculaire de singes, ni autre race ni espèces, si certes, le singe comme toute autre forme de vie fut ce qu’il est dès l’instant où il fut crée ; et fit en vérité, si parfait tels qu’il est, et pour paraître aux premiers d’un bond sur les arbres du paradis terrestre, où, en toute clarté les fruits de vos idées poussent, et que vous le lui donner pour le qualifier.
De même, l’Aum fut créé avant de se faire fils de l’Être et homme de chair, et il fut ce qu’il est dès l’instant ou en Dieu il se fit paraître depuis d’où il se sentit tout à fait insufflé de l’Esprit, du Père, du Géniteur du Dieu.

Le Doux hôte dis ;
« « Quand on dit ; Le Fils de l’Aum est le vainqueur du combat et la royauté universelle lui est remise, Souverain de la Création visible, il fut créé avec le pouvoir d’exercer sa domination sur toutes les créatures et nations » ; Il faudrait réfléchir a ce que cela signifie !
En effet, comprenez que la Grâce est autre dons reçus en l’Homme depuis le premier instant de son existence en tant qu’Aum, dit d’âme fusionnée, le rend capable d’exercé sa royauté aussi bien sur lui-même, qu’en ses parties les plus élevées que sur sa partie la plus inférieure.
Pour quoi avez vous dont perdu connaissance de vos fins dernières ?
C’est alors que ma Clarté, ma Géniture, je vous ai envoyée. Et non pour les plus arrogants d’entre ceux qui, sont remplis d’une philosophie de rouleaux ni de religiosités de bureau. Oui, je vous envoie ma clarté, qui mon envoyé est, et témoigne afin d’annoncer choses de foi. Et choses parfaites, choses égales, à ce que vous, toutes créatures du Créateur soyez consciente d’être vraiment parfaite, nées de ce qui n’eut pas de limite dans la création ; et parfaites selon le but pour lequel chacune d’elles a été conçue !
Voilà sottise que de croire que Père, après avoir décidé de se donner une Création, Dieu, ait pu faire des choses informes ou incomplètes, et attendre d’en être glorifié seulement à la fin d’un cycle évolutif ; or en tant que créature, si une ou toutes les créatures ensembles, atteignent la perfection de leur nature, en devenant enfin aptes a satisfaire le but de la nature pour laquelle elles ont été créées, remarqueront que d’un simple instant situé à l’intérieur d’un espace de temps limité, si serait il vécut en sainteté, le lui pourrait leur rappeler à plus forte raison ce qui doit s’appliquer, et à l’homme dans un but surnaturel, destiné à la gloire du Ciel.
Si vous aviez perdu non par votre faute la perfection physique, morale et spirituelle de votre initial, c’est que vous portez pour réparer les résidus de la faute, les cicatrices de la grande blessure, qu’aucune créature si redondante de vie soit-elle et si tant donnant grâce à tous baptisés ne pourrait à elle seule réparer.
C’est pour quoi, qu’en dehors de votre raison, il vous est fait de vous-même plusieurs multiples, « plier sur soi-même » !
C’est à cause de l’ordre que règle toutes les divines opérations, que vous avez, après été fut créé, et choisie d’exister, non pour vous seule, ni pour violé ce que l’Esprit vous à donnée, ni rendre impossible votre survie, ni horrible cette vie, mais pour tout début, avant que la Terre ne soit constituée dans toutes ses parties, rendre tout à fait confortable la création avant et pour ce qu’elle soit rendue lumineuse, belle, fertile ; et par le Soleil, et par la Lune et les innombrables étoiles, mais aussi et surtout de grâce à vos rayons célestes bénéfiques projetés de votre Présence Véritable.
Si vous vous reconnaissiez, vous mettriez un trait d’union entre le monde spirituel et le monde matériel, et toutes parties d’entre eux deux, en être, où la matière sert de tabernacle à l’esprit, et vous pourriez être vivifié dans la matière non seulement pour la vie mortelle, mais aussi pour la vie immortelle qui doit venir après votre résurrection finale ! »

Vous croyez qu’il est sot et futiles choses d’Esprit, car vous croyez plus à vos sciences qu’au monde, et au monde plus qu’à vous-même. Or l’on ne dira jamais assez que la science est de la paille, qui remplit, mais ne nourrit pas, semblable à une fumée qui cache au lieu d’éclairer, et étouffant la foi et la sagesse, elle en réalité, un poison spirituel qui tue.
Et de plus, j’ajouterai que vos sciences sont aussi égales à de l’ivraie qui produit du fruit de faux prophètes, qui annonce propos nouveau et nouvelle théorie qui ne sont ni Parole divine, ni Philosophie divine.
Or de ce qui est divin, en science ou savoir, il ne pourrait rien en être changer, ni réitérer, mais seulement partager, multiplier, doubler et s’en réverbérer pour fin de oui renouveler, et non de ce qui fut donné, mais de ce qui eut été reçu.
J’aurais pu traiter plus amplement de ce sujet, mais comme la foule, non pris seule, mais tenue ensemble, vous n’auriez pu échapper à la tentation de vous satisfaire que de fables, à rêver choses que de votre journée qui déjà vous avez affronté, et ne voulant dont devenir un préparadis, si éveillé hors de votre rêve. Mais vous pouvez sommeiller, sans tout à fait tombé endormis, c’est alors que vous verrez une porte de sortie à la nuit qui tout assombris.

En vérité, qui accomplit volonté de Celui qui l’a envoyé, même s’il vint au monde 6 mille ans après le premier, serait pourtant, pour l’Esprit de Dieu, avant lui, pour conséquence, que l’aum puisse reprendre sa place d’honneur, et recommencer a agir avec son Créateur.

C’est ainsi qu’il m’est donné l’opportunité de baptisé, pour qu’à mon tour, j’offre en toute autre chose vos appellations remplies d’inspirations, même si, pour vous, vous n’y voyez en elles que de rigollot surnoms. Mais de cela vous dites bien et en bien, oui, car surpassant votre première nomination que le monde vous à aspirer à témoigner.
Vos Prénoms témoignent que vous êtes plus que la descendance charnelle, qui vous charge de fardeaux, de traditions, et de toutes générations, et de leurs nominations où sont entreposés tous leurs méfaits et leurs erreurs ; non, vos prénoms sont déjà en soi une renaissance pour votre sang, afin d’être en opportun sur le fait à la créature que vous déployez, en qui resplendit et demeure l’Esprit Créateur.
Il s’ensuit que si donc vous renaissiez de nouveau, vous seriez nouvelle Créature. De sexe masculin comme de sexe féminin, vous serez fait en vérité, Aum nouveau, qui, part une fusion d’entre l’être et l’âme, s’actionne et se devenant capable d’aimer et en droit d’aimer Celui qui dépasse tout autre existant, à un tel point, que cet Aum, tenu par un respect écrasant, ne serait pas en mesure de désirer de l’aimer sans le don d’un divin soutient, perçu pour seulement en honorant ainsi dont tout ce qui fut créé à Soi, toutes formes de vie, qui le lui donne à s’exister, à se paraître et à lui être envoyée.

L’homme a rendu pour lui-même toute l’Oeuvre incomplète, reniant toutes suites.
L’idée ne lui est jamais venue d’acquérir de nouveau ce qu’il avait rejeté de Nous. Mais s’il n’eut cela en pensée, Nous, sachant tout sur la Pensée, Nous y pensions.
Pensions ensemble ardemment au retour de la volonté humaine dans la Mienne. Dit le Doux Hôte !
Avec elle, tous pourriez apprendre en bien et du bien, car il n’est pas meilleur moyen d’apprendre qu’en mime, dit en suivant l’exemple de Celui qui est exemplaire. """

De Celui qui est en vous même !

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Agen
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