Julia Riggenbach Kinésiologue

Julia Riggenbach KinĂ©siologue 📌 MĂ©decine Alternative, Stress, blocages physiques ou Ă©motionnels, Aix en Provence SantĂ©/beautĂ©

L’amitiĂ©_On parle toujours de ses amis d’enfance, mais peu des amitiĂ©s qu’on a trouvĂ© sur notre chemin d’adulte. Je m’ém...
28/07/2025

L’amitiĂ©_

On parle toujours de ses amis d’enfance, mais peu des amitiĂ©s qu’on a trouvĂ© sur notre chemin d’adulte. Je m’émerveille encore de dĂ©couvrir que l’amitiĂ© peut pointer le bout de son nez au dĂ©tour d’une rencontre Ă  tout Ăąge. Un peu comme un coup de foudre, on ne s’y attendait pas et c’est bien lĂ . On sait que dĂ©sormais, on trouveras des « toujours » dans nos questions.

le dit si bien « ĂȘtre ami, c’est avoir cette capacitĂ© Ă  oublier les mauvais cĂŽtĂ©s de l’autre et faire en sorte d’arranger le monde pour qu’il soit moins difficile Ă  vivre pour lui ».

Être un ami, c’est ĂȘtre celui qui connaĂźt par cƓur, sans faire d’efforts pour Ă©couter, ce n’est pas forcĂ©ment se voir ou se parler tous les jours, mais ĂȘtre vraiment prĂ©sent quand on se voit mĂȘme des mois aprĂšs. C’est quelqu’un qui ose dire ce qui doit ĂȘtre entendu. C’est ĂȘtre celui qui aide quand on est dans le doute, qui relĂšve quand on tombe. Être en prĂ©sence d’un ami, c’est s’accorder le droit d’ĂȘtre soi-mĂȘme sans se sentir jugĂ©, pouvoir ĂȘtre bizarre, fatiguĂ©, mal dans sa peau sans avoir Ă  donner d’explications.

DerriĂšre les photos Ă  2 qu’on expose sur les rĂ©seaux il y a tellement plus, des heures de discussions, des « je suis là » mĂȘme quand on ne demande rien, le souvenir des Ă©motions Ă©prouvĂ©s quand on parle, la mĂ©moire des mots, l’écoute attentive de chaque instant.

Être ami avec quelqu’un ce n’est pas s’appartenir, mais laisser la possibilitĂ© de multiplier les amitiĂ©s Ă  l’autre s’il en ressent le besoin.

Être ami c’est ĂȘtre Ă  l’aise avec le silence de l’autre, sa distance. C’est ĂȘtre cette personne qui reste quand on semble ĂȘtre trop pour les autres. C’est quelqu’un qui nous accepte au point que que nous n’avons pas peur de le perdre si nous nous montrons tel que nous sommes. Quand nous faisons des erreurs, quand nous pleurons ou que nos petons des plombs, quand nous sommes dans notre vĂ©ritĂ©, l’amitiĂ© sera toujours lĂ .

« En fait, ĂȘtre un ami, c’est offrir un espace de sĂ©curitĂ© Ă  l’autre, pour qu’il baisse la garde et soit pleinement lui-mĂȘme."

Tagguez votre coup de cƓur amical, vos amis de longues dates, vos amis d’avant, d’aprùs


_Une cliente m’a dit un jour avec beaucoup de sagesse, qu’on ne pouvait pas regretter un choix fait avec le coeur.Parce ...
25/07/2025

_Une cliente m’a dit un jour avec beaucoup de sagesse, qu’on ne pouvait pas regretter un choix fait avec le coeur.

Parce qu’on y a cru au point d’engager chaque pulsation quitte Ă  le faire exploser en plein vol. Parce que ce choix nous pousse Ă  traverser la tempĂȘte des complications que cela peut nous apporter avec la force de l’espoir.

Avec le sentiment que mĂȘme si c’est peut-ĂȘtre difficile, on ne pouvait pas faire autrement que de suivre ce choix qui nous fait vibrer et pousse Ă  vivre. Ce choix qui pourtant parfois nous paraĂźt insensĂ© ou ĂȘtre une dĂ©cision irrationnelle, Ă  l’encontre de laquelle il nous est impossible d’aller.

Ce choix du cƓur, c’est aussi le choix de se respecter. D’ĂȘtre libre d’ĂȘtre qui on est. Et c’est si juste. On ne doit pas regretter cette part de qui on est qui nous a poussĂ© Ă  vivre ce que notre cƓur nous dicte.

RĂ©cemment, j’ai ressenti le besoin de partir quelques jours et de renouer avec le passĂ©, ce choix m’a demandĂ© beaucoup de rĂ©flexion. J’ai mis du temps avant de rĂ©server mon voyage. Mais une fois arrivĂ©e tout m’a semblĂ© Ă©vident. Alors, oui, ça n’a pas Ă©tĂ© simple, j’ai eu peur. Mais j’ai vibrĂ© fort.

Je ne regrette rien, c’était un choix du cƓur.

C’est quoi le choix que vous avez fait avec le cƓur rĂ©cemment ?

Merci pour ce rappel ♄

J’ai beaucoup vu passer la trend « prendre un cafĂ© avec la « moi » d’y il y a 10 ans ». Mais je n’ai pas eu envie de pre...
18/05/2025

J’ai beaucoup vu passer la trend « prendre un cafĂ© avec la « moi » d’y il y a 10 ans ». Mais je n’ai pas eu envie de prendre un cafĂ© avec la moi d’il y a 10 ans.

DĂ©jĂ , je n’aime pas le cafĂ©.
Et puis je ne sais pas si je prendrai un cafĂ© avec la minotte que j’étais en 2015. Ça aurait servi Ă  quoi que je lui dise qu’aujourd’hui elle ne ressemble plus du tout Ă  ce qu’elle est ? C’est juste le cycle de la vie non ? Puis, elle n’est pas moins bien que moi aujourd’hui. Je l’aime bien. Elle est attendrissante. À quoi bon lui projeter ses Ă©checs et ses rĂ©ussites dans la tĂȘte. Il faut qu’elle les vive. Parcontre, j’ai terminĂ© de vider et de ranger mon disque dur, et c’était presque mieux que prendre un cafĂ© avec moi-mĂȘme.

Dans mon dossier 2015, il y avait un joyeux bo**el. Un peu comme l’annĂ©e que je venais de passer. En rĂ©alitĂ©, elle a Ă©tĂ© extra cette annĂ©e-lĂ . J’étais en pleine reconstruction et tout me rĂ©ussissait. Je me sentais vraiment Ă  ma place et reconnue. AprĂšs les deux derniĂšres annĂ©es de galĂšre que j’avais eue, je me sentais enfin vraiment bien. 2015 m’a soulagĂ©. C’est Ă©trange. Je me suis dĂ©lestĂ©e de quelques kilos depuis 2015, mon visage de jeune femme arrondie est lĂ  sur toutes les photos comme un rappel de cette vie que je croquais Ă  pleines dents. Si je me rencontrais Ă  cet Ăąge-lĂ  je crois que je me dirais juste de continuer Ă  profiter comme je le fais, et vivre avec cette intensitĂ© rare qu’on a Ă  la vingtaine. Qu’on se fiche de donner du sens Ă  tout, car tout prendra sens quand il sera temps.

Trier ces instants de vie et voir Ă  quel point ma vie a changĂ© chaque annĂ©e depuis 2015 me fait simplement rĂ©aliser qu’il n’existe pas une seule Julia. Et que toutes les facettes de ce que je suis m’ont aidĂ© Ă  m’incarner, le bon comme le mauvais. Le dĂ©testable comme l’admirable. Si j’avais contrĂŽlĂ© tout, je n’aurais rien appris, rien gagnĂ©. C’est aussi simple que ça. Alors ce cafĂ©, je ne le prendrai pas. Car la fille que je vois sur les photos de 2015 n’a juste pas besoin de connaĂźtre l’avenir, mais de vivre l’instant prĂ©sent. Sans jugement, leçon de moral, ni permission de celle que je suis maintenant.
J’embrasse vos « moi » de 2015.

07/05/2025

Harry Potter est-il kinésiologue ?

Kinésiologie à distance ?

La kinésiologie repose sur le test musculaire.

Qui dit muscle Ă  tester dit corps physique.

Qui dit corps physique dit présentiel. 

âžĄïž Les sĂ©ances de kinĂ©siologie se pratiquent en prĂ©sentiel.



_Un doute dans le cƓur prend toujours plus de place que toutes les certitudes.Pour les hypersensibles, comme moi, un rie...
21/02/2025

_Un doute dans le cƓur prend toujours plus de place que toutes les certitudes.

Pour les hypersensibles, comme moi, un rien peut faire tout vaciller. Un jour, tout va bien, on est au summum du bonheur, et le lendemain sans crier garde, une petite poussiÚre se glisse dans le rouage et ça y est, on se met à douter de tout.

C’est difficile d’apprivoiser la peur, surtout quand on a l’impression que tout peut arriver. On a peu confiance, en la vie, mais surtout en soi, et c’est en gĂ©nĂ©ral pour ça qu’on ne croit pas vraiment en la vie finalement. On a l’impression que c’est pas juste, que ça ne peut se passer que comme ça, c’est une fatalitĂ©.

Et ça prend toute la place, souvent, quand un doute s’immisce. On ne contrĂŽle plus rien. Tout ce qui avait du sens, en perd, et est remplacĂ© par des tas de questions sans rĂ©ponses et une tristesse profonde. C’est Ă©puisant.

Souvent, on me demande, mais comment on surmonte ça ?

Et bien dĂ©jĂ , je crois qu’il ne faut pas lutter. C’est un fait. Ça existe, c’est la. Ça fait partie de nous. Une fois qu’on en a pris conscience, on arrive mieux Ă  identifier qu’on panique dĂšs que le chĂąteau de cartes menace de s’effondrer. Il faut prendre conscience petit Ă  petit, qu’à nos yeux, il est fragile ce chĂąteau qu’on a construit, et que peut-ĂȘtre, il est temps de mettre un peu des remparts autour.

Ces remparts, ce sont les choses qui nous font du bien, auxquelles on peut se raccrocher, qui nous Ă©lĂšvent et nous sortent de la torpeur. Cela permet de rester dans le rĂ©el, de rationaliser. Il est important de ne pas se laisser envahir par une projection du futur alors qu’on ne sait pas ce qu’il va arriver et retenir que de toutes façons on ne maĂźtrise rien.

L’instant prĂ©sent, c’est l’essentiel.

Je me dis toujours :

- qu’est-ce qui te fait du bien à l’instant T, c’est ça qui est suffisant.

Et sinon, j’applique toujours un petit exercice quand mon esprit s’égare trop loin :

Penser Ă  2 choses que :

- J’entends
- Je ressens
- Je vois
- Je sens
- J’ai goĂ»tĂ©

Revenir aux sens, c’est primordial quand on doute.

Prenez soin de vous.

Les ex_Il y a peu, j’ai croisĂ© mon ex. Étrange expĂ©rience que d’ĂȘtre dans la mĂȘme piĂšce qu’une personne qu’on connaĂźt et...
13/02/2025

Les ex_

Il y a peu, j’ai croisĂ© mon ex. Étrange expĂ©rience que d’ĂȘtre dans la mĂȘme piĂšce qu’une personne qu’on connaĂźt et se sentir Ă©trangĂšre. On s’est quittĂ©s parce qu’il Ă©tait temps. Parfois, c’est juste comme ça. Je l’ai regardĂ© et nous avons Ă©changĂ© un sourire. Je ne sais pas si je dois dĂ©passer les limites imposĂ©es par notre rupture. Alors, je fais comme d’habitude, je me questionne de loin. Je l’entends parler, et puis rire, il y a des choses qui ne changent pas. Mais ce que je vois aujourd’hui ce n’est plus l’homme d’avant.

En fait, non.

Ce que je vois, c’est que mon regard a changĂ© sur lui. Avec le temps, j’ai compris beaucoup de choses sur ce que nous avons Ă©tĂ©. Je suis reconnaissante d’avoir grandi auprĂšs de lui. Je le regarde de loin. Et en fait, c’est surtout moi que je revois : « j’étais comme ça avant ?Vraiment
 ». Je me suis rendu compte que je lui avais trop bien appris Ă  m’aimer, Ă  ĂȘtre parfait. De cette part de moi, je n’ai plus voulu. Cette façon de faire en sorte qu’il comble toutes mes zones d’ombres dĂšs que je lui demandais. J’avais peut-ĂȘtre peur d’ĂȘtre mal aimĂ©e, ou de ne pas mĂ©riter d’amour, ou de ne pas savoir ce que c’est rĂ©ellement que d’ĂȘtre aimĂ©e.

Ce n’est pas de sa faute. Il est arrivĂ© au pire moment de ma vie, et honnĂȘtement, il a contribuĂ© Ă  mon sauvetage in extrĂ©mis. Il a fait comme il a pu. Toujours avec gĂ©nĂ©rositĂ©. Longtemps, j’ai regrettĂ© cet amour dont j’étais littĂ©ralement au centre. On s’est sincĂšrement aimĂ© trĂšs fort. Mais peut-on vraiment ĂȘtre heureux en choisissant la maniĂšre que les autres ont de nous aimer ? La façon qu’a l’autre de remplir les vides ? De panser les plaies ?

Je pense que le plus important c’est de laisser la possibilitĂ© Ă  l’autre de nous aimer Ă  sa maniĂšre, tout en respectant qui l’on est, sans pour autant tout dicter. Si l’amour est lĂą, l’amour se construira avec l’ADN de chacun comme fil conducteur. Mais pour ça il faut lĂącher prise, et ne pas avoir peur d’ĂȘtre aimĂ© finalement. Et le premier pas vers ça, c’est s’aimer soi. Et c’est le premier cadeau qu’on puisse se faire aujourd’hui. Pour demain. Joyeuse fĂȘte de tous les amoursâŁïž

#♄

Janvier est terminĂ©, enfin_Si vous ne le saviez pas encore, je dĂ©teste Janvier. J’ai l’impression que c’est une espĂšce d...
04/02/2025

Janvier est terminé, enfin_

Si vous ne le saviez pas encore, je dĂ©teste Janvier. J’ai l’impression que c’est une espĂšce de seuil qui est lĂ  pour finir le travail commencĂ© en dĂ©cembre. C’est long. On nous en demande beaucoup alors qu’on est encore Ă  moitiĂ© coincĂ© entre ce qu’on a laissĂ© et ce qui va advenir. Une nostalgie mĂȘlĂ©e Ă  une excitation timide. On est censĂ©e avoir fait nos bilans de l’an passĂ©, et hop en faire table rase alors que dĂ©jĂ , on doit poser les jalons de la nouvelle, on doit souhaiter nos vƓux sans savoir pleinement ce qu’on se souhaite d’abord Ă  soi-mĂȘme. Tout va trop vite et tout est trop lent Ă  la fois. Parce que malgrĂ© tout, on veut avancer. Laisser ce qui n’a plus besoin d’ĂȘtre, et surtout Ă©clore Ă  soi-mĂȘme. Parce que finalement l’idĂ©e derriĂšre la nouvelle annĂ©e, n’est ce pas une nouvelle version de soi finalement ?

Pour moi, janvier, c’est du temps en plus pour finir l’introspection. Tout ne s’est pas terminĂ© le 31 dĂ©cembre Ă  minuit. Il a Ă©tĂ© encore temps. Temps de repenser Ă  nos rĂ©ussites, nos victoires, nos peurs et nos projets, Ă  ce qu’on s’était promis. Et temps de se crĂ©er de nouvelles envies. À notre rythme. On parle de rĂ©solutions, mais moi, j’ai plutĂŽt envie de voir ça comme des impulsions, imprĂ©gnĂ©es de ce que l’on a appris et ce qu’on rĂȘve Ă  venir. Les premiers jours de janvier, nous apportent une Ă©nergie qui nous rĂ©veille, mais tout ne peut pas changer d’un coup. Soyons patients. FĂ©vrier est lĂ , et tout ce travail ne sera pas vain.

De mon cĂŽtĂ©, j’ai dĂ©cidĂ© que cette annĂ©e, j’allais vraiment cocher des cases. En bonne gĂ©meaux que jsuis, j j’ai des to do list Ă  foison. Des envies par milliers et des rĂȘves Ă  n’en plus finir. Si je dois faire le bilan de Janvier, j’ai plutĂŽt bien semĂ©e les graines que j’espĂ©rais pour la suite de l’annĂ©e. J’espĂšre que FĂ©vrier fera germer tout ça. Étape par Ă©tape, avec douceur et ardeur.

Joyeux FĂ©vrier Ă  tous, parce que tout commence quand on l’a dĂ©cidĂ©.

Un point c’est tout.

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_2024 a Ă©tĂ© une annĂ©e en dents de scie. J’ai passĂ© plus de jours fatiguĂ©e qu’en forme plus de jours Ă  ruminer qu’à profi...
12/01/2025

_2024 a Ă©tĂ© une annĂ©e en dents de scie. J’ai passĂ© plus de jours fatiguĂ©e qu’en forme plus de jours Ă  ruminer qu’à profiter. Ma fin d’annĂ©e a Ă©tĂ© particuliĂšrement difficile bien que nĂ©cessaire. Pourtant tout n’a pas Ă©tĂ© horrible dans cette annĂ©e. Au milieu d’un brouillard souvent prĂ©sent, le sourire de ma fille, celui qui balaye les doutes et les peurs et qui met de l’amour partout. Parfois je me demande comment elle peut ĂȘtre si sereine quand sa propre mĂšre est juste paumĂ©e. J’ai priorisĂ© son bonheur avant le mien, quitte Ă  m’oublier, j’ai fait ce qui me semblait ĂȘtre juste Ă  ce moment-lĂ  ou tout simplement comme je pouvais, je ne regrette rien, on a vĂ©cu des moments extraordinaires toutes les deux. Je sais que toute cette ambivalence est liĂ© Ă  ce rĂŽle de maman, mais je crois aussi avoir profondĂ©ment changĂ©. Et c’est super bien, parce que ça faisait longtemps que j’attendais ça. Une petite rĂ©volution intĂ©rieure. Cependant ça m’a carrĂ©ment mise Ă  l’épreuve plus d’une fois cette annĂ©e. MĂȘme si 2024 n’a pas Ă©tĂ© ce que je me suis souhaitĂ© fin 2023 j’ai de quoi ĂȘtre fiĂšre de moi parce que dans tout ça j’ai accompli quand mĂȘme des choses qui peuvent paraĂźtre insignifiantes mais qui sont importantes pour moi. Des petites choses que j’avais en tĂȘte depuis longtemps et que je n’osais pas faire ou que je mettais de cĂŽtĂ©. Comme rĂ©aliser un bilan de compĂ©tence, ce qui a carrĂ©ment boostĂ© ma confiance en moi sur le plan pro. Envoyer mon CV pour un job auquel je n’avais jamais pensĂ©, mĂȘme si je n’ai pas une de rĂ©ponse positive, je me suis senti forte de l’avoir fait. Ou encore porter un tee shirt lĂ©opard, ça c’est un truc que j’aurais jamais fait avant, mais en fait moi aussi j’ai le droit. Trouver une super crĂšche pour ma fille, c’était pas gagnĂ© et j’ai pas lĂąchĂ© l’affaire pour avoir une place. Mettre des limites dans certaines relations et reprendre ma place, ça c’est l’essentiel je crois. C’est Ă  ça que j’ai envie de me raccrocher pour envisager 2025, Ă  ces choses que je dois faire pour mon propre bien ĂȘtre. Je veux ĂȘtre maĂźtre de mon bonheur. Et arrĂȘter d’attendre que ça vienne des autres. AllĂ© hop!

Soyez votre propre bonheur pour 2025. Best - Gift - Ever♄

17/11/2024

Mon métier_

Je profite d’une pause dans ma vie, je me suis challengĂ©e avec cette petite vidĂ©o, j’espĂšre que cela vous plaira !

Les choses arrivent rarement par hasard. Cette pause imposĂ©e me permet de souffler et de prendre du recul. Il n’y a pas trĂšs longtemps, j’ai eu la sensation de marcher sur un fil, surtout au travail. Je tremblais, comme si j’allais tomber. Mais, hors de question pour moi, je suis restĂ©e droite. J’ai eu l’impression d’ĂȘtre en plusieurs morceaux, c’est drĂŽle, c’est exactement ce que mon corps subissait en fait. J’ai doutĂ©,beaucoup.

On m’a remis en cause. Moi, ma pratique, mon travail, ma vie. AĂŻe, ça pique. Pourtant, parfois, c’est ce qu’il faut, secouer le cocotier. J’ai eu la sensation de plus ĂȘtre au bon endroit, de mal faire, ou de faire mal. C’est d’ailleurs ce qu’on m’a dit, que je ne faisais pas comme il fallait, et plus prĂ©cisĂ©ment que ce n’était pas « comme ça » la KinĂ©siologie.

MĂȘme si j’ai toujours gardĂ© confiance, j’ai du mal Ă  soigner mon estime de moi. Et c’est ce qui m’a fragilisĂ©. Je sais que je parais confiante, mais je suis loin de m’estimer. Comme beaucoup d’entre vous, j’ai un tout petit problĂšme de lĂ©gitimitĂ©. Si on remet en cause mes compĂ©tences, je peux avoir toute la confiance du monde que je me sentirai complĂštement nulle.

Alors il a fallu cheminer, et s’interroger sur pourquoi tout ceci est venu me fragiliser. Et finalement comprendre, que je suis trĂšs bien comme je suis, et que si on vient me voir c’est pour une bonne raison. Des gens se dĂ©placent de loin, j’ai des appels par paquet de personnes qui veulent se former et viennent prendre mon avis, et j’ai mĂȘme rencontrĂ© rĂ©cemment quelques cĂ©lĂ©britĂ©s ! (Ok, je me la pete!).

Ces derniĂšres annĂ©es, j’ai vu rĂ©ellement un changement dans ma clientĂšle au cabinet. Avec des personnes qui arrivent avec des quĂȘtes et des espoirs auxquels je ne peux rĂ©pondre seule. Je suis ravie que la KinĂ©siologie se dĂ©mocratise, mais je vois tellement de choses nuisibles autour.
Moi, je veux rester dans l’humain, sur terre,hors de question de changer, je vais rester fidĂšle Ă  ce que je crois ĂȘtre bon pour vous.

Quelques nouvelles
Patience ✹_Je suis sur la ligne de dĂ©part pour quelque chose de nouveau. Ça y est. Je ne sais pas enc...
15/11/2024

Quelques nouvelles


Patience ✹_

Je suis sur la ligne de dĂ©part pour quelque chose de nouveau. Ça y est. Je ne sais pas encore de quoi il s’agit , ni ce qui m’attend. Mais je le sens, et puis ma Kinesiologue me l’a dit. Et mĂȘme si c’est une sorciĂšre, je la crois ! (Vous comprendrez bientĂŽt pourquoi je rigole de ça!).

Il y aura un avant et un aprĂšs cette opĂ©ration. Ça y est, je suis alignĂ©e.

Je suis Ă  la fois excitĂ©e, car maintenant, tout ira mieux, mais trĂšs attristĂ©e car le chemin va ĂȘtre long jusqu’à me dĂ©barrasser de ce vieux souvenir. Je vais devoir rĂ©apprendre Ă  vivre, d’une autre façon. Et le moment oĂč je pourrai me dire que c’est bon, c’est du passĂ©, me semble un peu loin.

C’est fou tout le sens que je trouve Ă  ce que je vis en ce moment, ce n’est pas pour me dĂ©plaire. Mais cela me fait aussi un peu peur. On m’a rĂ©parĂ© de comment j’ai Ă©tĂ© créée. De ce qui m’a accompagnĂ© dans ma vie. Est ce que je peux dire que je suis quelqu’un de nouveau du coup, si cela ne fait plus partie de moi ?. On m’a parlĂ© d’un handicap que je vais avoir pour le reste de mes jours. Mais est ce que cela doit me dĂ©finir, ou plutĂŽt m’orienter ?.

J’ai envie de choisir la rĂ©silience. De ne voir que ce que cela va m’apporter de bon. Car, j’y crois sincĂšrement, ce que j’ai endurĂ© va me permettre d’avoir une belle vie. Peut ĂȘtre que cela aurait pu ĂȘtre plus doux, mais peut ĂȘtre pas.

C’est mon chemin, c’est tout. J’étais sĂ»rement supposĂ©e vivre ça, Ă©voluer et tout dĂ©construire littĂ©ralement pour renaĂźtre.

Je vous Ă©cris du fond de mon lit, extrĂȘmement fatiguĂ©e et douloureuse. Mais avec l’idĂ©e qu’aujourdhui je me rapproche un peu plus du bonheur et du bien ĂȘtre. Je ne perçois pas encore tout ce que cela va changer, mais c’est dĂ©jĂ  en cours.

DĂšs que je le peux, je reprendrai les sĂ©ances. Ce qui est certain c’est que ça ne sera pas avant 2025. D’ici lĂ , merci pour votre prĂ©sence sur ce chemin. Encore une fois, c’est si prĂ©cieux.

Merci đŸ˜»C’est tellement toujours gratifiant de recevoir ce genre de retour par surprise !Bien souvent je n’ai pas de nouv...
12/10/2024

Merci đŸ˜»

C’est tellement toujours gratifiant de recevoir ce genre de retour par surprise !
Bien souvent je n’ai pas de nouvelles aprĂšs les sĂ©ances, et savoir que ça vous a aidĂ© m’apporte une grande joie đŸ„°

Toulouse, ✹_Je te hume, je te frĂŽle, je m’exalte. Deux ans que nous ne nous Ă©tions pas vues. Tu es toujours aussi belle,...
27/09/2024

Toulouse, ✹_

Je te hume, je te frĂŽle, je m’exalte. Deux ans que nous ne nous Ă©tions pas vues. Tu es toujours aussi belle, aussi solaire, aussi chantante. Je vagabonde sur tes berges, quelques souvenirs me tiennent la main. Mes premiĂšres annĂ©es Ă  te traverser Ă  pied, Ă  respirer le bonheur de me perdre dans tes rues pour enfin te connaĂźtre sur le bout des doigts. Ces bus ratĂ©s, ces marches Ă  monter, les apparts Ă©tudiants, l’excitation, le doute, la fac, ces histoires d’amour que tu as gardĂ©es avec toi quand je suis partie et qui m’ont permise de m’aimer un peu plus. Quand je te regarde, je vois mes Ă©checs et beaucoup de belles rĂ©ussites. Ces amis trouvĂ©s, perdus, retrouvĂ©s, disparus. Ce soir oĂč tout a basculĂ©, mais qui ne me hante plus. Je traverse ces places qui ont Ă©tĂ© le théùtre de ma vie. Je t’observe, je souris, tu t’illumines le soir, rassemblant tellement d’ñmes sur tes quais, liants tellement de destins sur tes ponts.

Tu es mon Jardin d’Eden, fait d’amour et d’amitiĂ©, de soirĂ©es folles, de sentiments indescriptibles, tu m’as forgĂ©e. Tu fais partie de mon ADN, tu m’as appris Ă  grandir, Ă  m’épanouir. Quand je suis partie de chez mes parents pas une seule fois j’ai eu peur. C’était une Ă©vidence de te faire confiance. Je savais que n’importe oĂč, je serai en sĂ©curitĂ©. Tu as accompagnĂ©e une des pĂ©riodes les plus belles de ma vie, mĂȘme si sombre elle l’a Ă©tĂ© aussi.

Je me suis toujours sentie moi-mĂȘme quand j’écumais tes lieux. Aujourd’hui quand je te revois, j’aimerais revenir Ă  cette Ă©poque Ă©blouissante. J’aimerais redevenir la jeune adulte insouciante et pleine de vie, goĂ»ter Ă  nouveau Ă  toutes ces belles choses que tu m’as donnĂ©. Juste une fois. Des souvenirs j’en ai des caisses, je crois que mĂȘme ceux qui me font mal me manquent. Je dĂ©borde de nostalgie. Je marche et j’ai envie de revenir chez moi. Car tu es mon chez moi. Pour toujours.

Aujourd’hui je foule tes pavĂ©s avec ma fille. Ça me serre le cƓur. J’espĂšre que si elle doit me quitter un jour ça sera pour un ailleurs comme toi. Et que quand elle en parlera elle aura ces milliers d’étoiles que j’ai dans les yeux quand je te vois.

Ô Toulouse, tu resteras Ă  jamais ma prĂ©fĂ©rĂ©e.

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14 Rue De La Fourane
Aix-en-Provence
13090

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Mardi 14:00 - 20:00
Mercredi 14:00 - 20:00
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