Les mémoires de naissance

Les mémoires de naissance Impression de ne pas y arriver, de tourner en rond, de ne pas voir le bout du tunnel ? Peur du vide, Entrez dans cet univers incroyable et émouvant !

Sylvie Prager-Séchaud artiste et psy vous propose un spectacle, un livre et des formations pour découvrir les Mémoires de naissance.

Le corps est un génie
28/10/2025

Le corps est un génie

L’enfant qui ne naquit jamais… mais ne partit jamais
L’histoire de Rosa et de son bébé pétrifié

Rosa avait 74 ans lorsqu’elle arriva à l’hôpital.
Des douleurs abdominales chroniques, une sensation de masse dans le ventre, et un passé médical aussi silencieux que sa souffrance.
Elle vivait dans une zone rurale, loin de tout, où la médecine était un luxe et la douleur, une habitude. Depuis des décennies, elle avait appris à cohabiter avec ce mal diffus qu’elle attribuait simplement aux années.

Mais cette fois-ci, quelque chose clochait.
L’échographie révéla une présence étrange.
Une masse dure, calcifiée, à la forme troublante de familiarité.
Le corps médical demanda une tomodensitométrie.
Et là, l’impensable apparut : un fœtus pétrifié.

Un enfant qui n’était jamais né…
mais qui avait vécu en elle pendant plus de trente ans.

Rosa ne sembla pas surprise.
Elle baissa simplement les yeux et murmura :

« Je savais… je savais que quelque chose était resté en moi. »

Elle raconta qu’à quarante ans, elle avait ressenti tous les signes d’une grossesse : les nausées, les mouvements, l’abdomen qui s’arrondit.
Mais elle vivait isolée, loin des médecins, loin des échographies.
Puis un jour, les mouvements s’étaient arrêtés.
Les symptômes s’étaient effacés lentement, sans saignement, sans accouchement, sans réponse.
Il ne resta qu’un vide… et cette masse muette dans son ventre, qui grandissait sans bruit.

Ce que portait Rosa avait un nom : lithopédion, ou « enfant de pierre ».
Une anomalie rarissime.
Lorsque la grossesse survient hors de l’utérus, dans l’abdomen, et que le fœtus meurt sans pouvoir être expulsé ni réabsorbé, le corps le recouvre lentement de calcium.
Un ultime réflexe de survie : enfermer la mort pour éviter l’infection, apaiser l’immunité.

Parfois, il peut rester là des décennies…
invisible, oublié… mais toujours présent.

En salle d’opération, les chirurgiens retirèrent avec précaution les restes calcifiés.
L’esquisse d’un petit squelette apparut : une cage thoracique, un crâne minuscule, une toute petite main.

Les médecins étaient bouleversés.
Mais pas Rosa.

Pour elle, ce n’était pas une curiosité médicale.
C’était son enfant.
Celui qui n’avait jamais pleuré.
Celui qu’elle n’avait jamais vu naître.
Mais qui avait toujours été là.

Aujourd’hui, son histoire dépasse les murs de l’hôpital.
Elle nous rappelle que le corps garde en lui des souvenirs que l’esprit préfère oublier.
Et qu’au-delà des diagnostics les plus rares…
il y a une vie, une peine, et un amour que personne n’a jamais osé nommer.

13/09/2025

Il neonato, quando ha fame o ha un disagio o ha paura di stare solo o ha paura del vuoto, piange.
Se la mamma accorre e lo cambia, lo nutre, lo culla, lo rassicura e lo tiene fra le sue braccia, il neonato "capisce" che c’è qualcuno che tiene a lui e comincia a tranquillizzarsi perché sente che, quando ne avrà bisogno, qualcuno si prenderà cura di lui.

Se questo qualcuno tarda ad arrivare perché ha paura che il piccolo si vizi, il bambino comincerà a sentire che non è un "fatto sicuro" che quando lui sta male qualcuno verrà ad aiutarlo.

E questo è davvero molto triste, ma veramente molto triste.

Quindi è importante, quando state con vostro figlio, che gli facciate "capire" che voi siete lì per lui.

Il bambino, per esempio, ha paura anche del vuoto. Se lo spogliate n**o, lui con le braccine annaspa, cerca qualcosa a cui aggrapparsi perché ha paura.

Non è "fatto" per il vuoto, ha bisogno di avere un "terreno" e di avere qualcosa che lo ricopre.

Il neonato, se viene vestito, è più tranquillo, perché c’è qualcosa che, in qualche modo, gli fa sentire che la sua pelle è riparata, per cui oltre all’abbraccio occorre che il bambino sia prontamente rivestito.

Quando lo togliete dal bagnetto, bisogna che il bambino senta le vostre mani che lo contengono: dovete mettergli subito un asciugamano e lo dovete contenere.

Il bambino ha paura, come tutti i cuccioli, e se non volete che abbia paura lo dovete riparare.

E, se siete insensibili alla sua paura vuol dire che non lo amate e che non amate nemmeno voi stessi.

❤️
Gabriella Tupini

24/04/2025

Lorsqu'une femme est enceinte, les cellules de son bébé migrent dans son sang, puis reviennent vers l’enfant. Ce phénomène, aussi mystérieux que bouleversant, porte un nom : la microchimérisme fœto-maternel.
Pendant quarante et une semaines, ces cellules voyagent, échangent, s'entrelacent entre la mère et l’enfant dans une danse silencieuse, presque sacrée. Et lorsque le bébé vient au monde, nombre de ces cellules demeurent dans le corps de la mère, imprimant à jamais leur présence dans ses tissus, ses os, sa peau, jusqu’à son cerveau. Un souvenir biologique, un tatouage invisible de la maternité.
Chaque enfant que la mère portera ensuite laissera, lui aussi, cette empreinte discrète mais durable.

Même si une grossesse n’arrive pas à son terme, même après une interruption volontaire ou spontanée, les cellules du bébé trouvent malgré tout le chemin du sang maternel.
Et ce n’est pas tout : des études ont révélé que, lorsque le cœur d’une mère est blessé, les cellules fœtales affluent vers la zone endommagée, se métamorphosent en cellules réparatrices, comme si l’enfant, dans un élan d’amour instinctif, s’efforçait de soigner celle qui lui a donné la vie.

L’enfant bâtit sa mère autant que la mère façonne l’enfant.
N’est-ce pas merveilleux ?
Peut-être est-ce là l’explication aux maladies qui s’évanouissent parfois durant la grossesse : le corps de la mère se mobilise pour protéger son enfant coûte que coûte, tandis que l’enfant, lui aussi, prend soin de sa mère pour grandir en paix et en sécurité.

Et ces envies folles, incongrues, irrésistibles ?
Peut-être ne sont-elles que le cri silencieux du bébé signalant ce dont sa mère manque, pour qu’ensemble, ils trouvent l’équilibre.

Des chercheurs ont même retrouvé des cellules fœtales dans le cerveau de mères, dix-huit ans après l’accouchement.
N’est-ce pas stupéfiant ?

Si vous êtes mère, vous savez combien vous ressentez vos enfants, même lorsqu’ils sont loin…
Et maintenant, la science confirme ce que le cœur savait déjà : nous portons nos enfants bien après les avoir mis au monde.

02/06/2024
18/05/2024

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