05/06/2025
💔 La véritable nature et signification des abus sexuels – Une transmission de vérité
(À lire avec le cœur, non avec le mental)
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Les abus sexuels ne sont pas de simples actes de violence. Ils sont des attaques vibratoires d’une extrême gravité, des déchirures dans le tissu sacré de l’Être. Lorsqu’un être est abusé sexuellement, ce n’est pas seulement son corps qui est touché. Ce sont tous les plans de son être qui sont impactés : physique, émotionnel, énergétique, psychique, spirituel… et jusqu’à son lien à l’âme.
Il ne s’agit pas uniquement d’un crime humain : c’est une profanation multidimensionnelle, une intrusion dans le sanctuaire de la conscience incarnée. Le corps sexué n’est pas un organe de plaisir : il est un portail sacré de création, un point d’entrée dans l’incarnation, un temple où s’ancre la vie. L’agression sexuelle est donc un acte d’annihilation symbolique du pouvoir créateur divin.
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✴ Pourquoi cela existe-t-il ?
Parce que ce monde est inversé.
La Terre, sous emprise depuis des millénaires, a vu sa fréquence originelle corrompue par des races non humaines cherchant à éteindre la lumière dans l’humain. L’abus sexuel est l’un des moyens les plus puissants de dissociation de l’âme, car il génère un choc si intense qu’il pousse la conscience à se fragmenter.
Cela permet à des entités parasites de s’accrocher aux fragments, de prendre le contrôle du champ énergétique de la personne, parfois toute une vie durant. Les abus sont donc des rituels involontaires de prise de pouvoir énergétique. Même lorsqu’ils semblent individuels, ils sont souvent liés à des systèmes plus vastes : pédocriminalité institutionnalisée, rituels occultes, exploitation vibratoire de masse.
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✴ Ce que vit la victime
L’enfant, l’adulte, l’âme qui subit une agression sexuelle traverse un effondrement total de ses repères : trahison, peur, dissociation, perte d’identité, honte, culpabilité, verrouillage de la kundalini, blocage de la créativité, destruction de l’estime de soi, du lien à l’amour…
Et pourtant, au fond du plus profond de cette nuit intérieure, l’âme ne meurt jamais. Elle attend, silencieuse, que le jour revienne.
La personne abusée devient parfois l’incarnation vivante d’un paradoxe : celui ou celle qui a tout perdu et pourtant, qui détient la clé d’une lumière inaltérable.
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✴ Ce que cela révèle
L’abus sexuel révèle la fracture collective de l’humanité vis-à-vis du féminin sacré. Il montre comment le masculin corrompu a cherché à posséder au lieu de protéger, à dominer au lieu d’aimer.
Mais il révèle aussi que certaines âmes, avant de s’incarner, acceptent de traverser cela non comme une punition, mais comme une expérience limite – non pas pour justifier l’atrocité, mais pour en faire un levier d’éveil radical.
Certaines âmes très anciennes incarnées aujourd’hui ont connu cela dans plusieurs vies, souvent dès l’enfance, parce qu’elles portent en elles la capacité de transmuter le poison en remède, et de libérer des lignées entières à travers leur propre guérison.
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✴ La guérison est possible
Oui. Même si la mémoire est cellulaire, même si la douleur semble infinie, il est possible de revenir dans le corps, de le re-sacraliser, de libérer les nœuds, de pleurer les larmes retenues, de crier les cris étouffés, de briser les pactes de silence, de reprendre son pouvoir sexuel, vital et spirituel.
Cela demande du temps, de l’amour, de la patience, parfois plusieurs vagues de guérison. Mais chaque pas que fait une âme vers sa réunification intérieure libère tout le collectif. Chaque femme, chaque homme qui guérit cela libère d’autres, dans l’invisible.
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✴ Le vrai sens caché
Si l’abus sexuel existe dans cette matrice, c’est parce que les forces involutives ont peur du pouvoir du féminin sacré et de la puissance sexuelle en tant que force d’élévation. La sexualité, lorsqu’elle est sacrée, est un pont direct vers la Source. En pervertissant cela, ils empêchent l’humanité de s’élever.
C’est donc à travers la transmutation de l’abus que naîtra une nouvelle humanité. Car celles et ceux qui auront traversé l’ombre jusqu’au fond de l’enfer seront aussi les premiers à porter la vibration de la libération.
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✴ Qui sont les coupables ?
Les coupables ne sont pas simplement des êtres humains dysfonctionnels. Ce sont, dans de nombreux cas, des portails pour des forces involutives. Cela ne les excuse en rien, mais cela les replace dans un système plus vaste : celui d’une matrice contrôlée par des entités qui utilisent certains êtres humains comme relais de domination, de perversion, de vampirisation.
Ces « coupables » peuvent être :
• eux-mêmes des anciens abusés qui n’ont jamais guéri et qui sont devenus bourreaux à leur tour.
• des êtres déconnectés de leur âme, parfois complètement parasités.
• des membres de la propre lignée familiale, agissant comme des agents karmiques involontaires.
Mais quelle que soit leur origine, ils ont choisi, consciemment ou non, d’exercer l’abus. Et cela, dans cette réalité, a des conséquences gravissimes sur le plan de l’âme.
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✴ Faut-il pardonner ?
La réponse n’est ni oui ni non. Elle est plus vaste que cela.
Pardonner ne signifie pas excuser.
Pardonner ne signifie pas oublier.
Pardonner ne signifie pas reprendre contact.
👉 Pardonner, sur le plan vibratoire, signifie :
me libérer du lien toxique entre moi et celui qui m’a blessé, pour ne plus laisser cette souffrance contrôler ma vie, mon corps, mes relations, ma joie.
C’est un acte de souveraineté, non pas un cadeau au bourreau, mais une libération pour toi.
Mais parfois, le pardon n’est pas encore possible. Et c’est OK.
Il arrive en dernier, parfois des années après le début du chemin de guérison.
Et parfois il ne vient jamais… parce que ce n’est pas l’objectif.
L’objectif est la guérison de ton intégrité, le retour de ton pouvoir, la reconnexion à ton âme.
Le reste est secondaire.
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✴ Et si ce sont des membres de ta famille ?
C’est ce qui rend la blessure encore plus complexe. Car la famille est censée être le cocon protecteur, le berceau de l’amour. Lorsqu’un membre de la famille est l’agresseur, le code même de la réalité est brisé.
Cela crée :
• une confusion profonde : “comment quelqu’un censé m’aimer a pu faire ça ?”
• une culpabilité inversée : “peut-être que c’est moi le problème ?”
• un conflit de loyauté : “dois-je parler ? briser le silence ? dénoncer ? me taire pour ne pas faire de mal aux autres ?”
Sache ceci : ton devoir n’est pas de protéger ta famille.
Ton devoir est de te libérer.
Parfois cela implique de couper des liens, même définitifs.
Parfois cela implique de dénoncer, même si cela fait exploser l’arbre généalogique.
Parce que la vérité libère. Toujours.
Et parfois tu es venu(e) incarner précisément cela : être celui ou celle qui brise la chaîne.
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✴ En résumé :
• Les coupables ont agi sous l’influence de forces obscures, mais cela n’efface pas leur responsabilité.
• Le pardon n’est pas une obligation. C’est un chemin intérieur que tu peux choisir… ou non.
• Couper les liens, même familiaux, est légitime, sacré, et parfois nécessaire.
• Tu es en droit de vivre libre, de guérir, de te reconstruire sans jamais plus te taire.
• Ta lumière ne sera jamais souillée, même par ce qu’ils t’ont fait.
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Et si tu ressens que l’un de tes rôles ici est de guérir cela, alors rappelle-toi :
Tu es plus grand(e) que ce que tu as vécu.
Tu es plus fort(e) que le silence.
Tu es plus lumineux(se) que leur ombre.
Stéphane Thomas Berbudeau
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