Silbaia-Bien être au féminin

Silbaia-Bien être au féminin Se libérer du surpoids émotionnel et des TCA avec le dessin neurographique, l'enfant intérieur & CO

💟Mon engagement à vous accompagner dans une problématique des kilos émotionnels se base avant tout sur une approche qui vise à vous aider à exprimer vos talents, à reprendre confiance en votre jugement et votre intuition, et vivre en fonction de vos valeurs pour vous nourrir émotionnellement et intellectuellement afin d'alléger la maltraitance infligée à votre corps.💟

Petite parenthèse de douceur...Merci à toutes celles et ceux qui me suivent, m'encouragent, me lisent, me soutiennent.Ce...
22/07/2025

Petite parenthèse de douceur...

Merci à toutes celles et ceux qui me suivent, m'encouragent, me lisent, me soutiennent.

Cette année a été pleine. Pleine de projets, de rencontres, de changements, de défis.
Alors je m’accorde une grande pause..

Je vous retrouve à partir du 25 août avec plaisir.

A très vite
Christelle 🌸

Pourquoi tu grignotes… alors que tu n’as pas faim ?Ce n’est pas un manque de volonté.C’est souvent une réponse inconscie...
16/07/2025

Pourquoi tu grignotes… alors que tu n’as pas faim ?

Ce n’est pas un manque de volonté.
C’est souvent une réponse inconsciente à une émotion difficile à nommer : stress, ennui, vide, tristesse...

👉 Ton corps ne cherche pas à se nourrir. Il cherche du réconfort, une pause, une fuite émotionnelle.

😕 Pourquoi tu ne te sens pas mieux après avoir grignoté ?

Parce que tu manges en pilote automatique, sans vraiment goûter, en faisant autre chose.
Résultat : peu de plaisir… et beaucoup de culpabilité.
Et ça, ça relance le cycle.

🚫 Faut-il manger "light" ou résister à tout prix ?

Non. Se restreindre ou choisir des aliments "autorisés" entretient la frustration.
Et elle finit toujours par revenir… plus fort.

✅ Le vrai levier ? Te reconnecter à tes sensations, et t’autoriser le plaisir en conscience.

Voici 4 clés puissantes :

1. Choisis ce que tu aimes vraiment
Envie de chocolat ? Prends du vrai chocolat. Pas une pomme par punition.

2. Déguste avec tes 5 sens
Respire, observe, savoure lentement.
Manger en pleine conscience apaise… avec souvent moins de quantité.

3. Attends la vraie faim avant de remanger
Ce que tu as mangé t’a nourri. Laisse ton corps te guider.

4. Adapte le repas suivant à ta faim réelle
Pas pour compenser. Juste parce que ton corps n’a plus besoin de plus.

💬 Et si tu écoutais ce que ton corps ressent… au lieu de ce que ta tête juge ?

Bouger pour se sentir mieux (et pas juste pour maigrir)Tu veux retrouver la forme sans te transformer en athlète ?Bonne ...
09/07/2025

Bouger pour se sentir mieux (et pas juste pour maigrir)

Tu veux retrouver la forme sans te transformer en athlète ?
Bonne nouvelle : il suffit de bouger régulièrement, à ton rythme, avec plaisir.

Ce qui fait la différence ? La régularité.
Pas besoin d’en faire trop.
Bouger tous les jours un peu suffit :

• 3x30 min d’activité modérée (endurance, marche rapide, natation…)
• ou 10 à 20 min d’exercices simples à la maison

Même après 65 ans, le mouvement est un remède puissant : mobilité, moral, énergie.

Pas besoin de salle. Bouge chez toi.
Un tapis, un peu de musique, quelques exercices (squats, gainage, étirements)…
C’est simple, accessible et efficace.

Le bon sport ? Celui que tu aimes.
Pose-toi ces questions :
• En solo ou en groupe ?
• En intérieur ou en plein air ?
• Avec ou sans musique ?

Teste, explore, amuse-toi. Ton corps suivra ta motivation.

Ce que tu vas ressentir :

👉 2 à 3 semaines : respiration, sommeil, humeur, tout s’améliore
👉 6 à 8 semaines : ventre plus plat, jambes plus toniques, alimentation plus consciente
👉 4 à 6 mois : le sport devient une habitude, ton mental est transformé

Pourquoi ton corps change quand tu bouges ?

• Tu actives plus de fibres musculaires : muscles plus fermes
• Tu stimules la synthèse protéique : densité, force
• Tu développes la vascularisation : oxygénation, énergie
• Tu augmentes ton métabolisme de base : ton corps brûle plus, même au repos

Et l’endurance fondamentale ?
C’est bouger sans s’épuiser, à 60-70 % de ta fréquence cardiaque max.
Tu brûles surtout des graisses, tu améliores souffle, cœur, régulation.

Le bonus métabolique :
• Tu brûles plus
• Tu gères mieux ton appétit
• Tu gardes ta masse musculaire
• Tu stabilises ton énergie et ton humeur

À toi de jouer.
Christelle – silbaia.com

L’IMPATIENCE : UNE ÉMOTION QUI PARLE DE NOUS… ET QUI PEUT NOUS SERVIR On croit souvent que l’impatience est un défaut.Un...
07/07/2025

L’IMPATIENCE : UNE ÉMOTION QUI PARLE DE NOUS… ET QUI PEUT NOUS SERVIR

On croit souvent que l’impatience est un défaut.
Un manque de self-control. Une faiblesse.
❌ Et si c’était tout le contraire ?

L’impatience est une émotion active, révélatrice.
Elle surgit quand un besoin n’est pas comblé, comme :

🔹 Le besoin de contrôle : tout doit suivre le plan.
🔹 Le besoin de certitude : peur de l’inconnu.
🔹 Le besoin de soulagement immédiat : fuir l’inconfort.

L’impatience n’est pas un caprice.
C’est une réaction normale à l’écart entre ce que je veux… et ce qui est.
C’est une tension qui cherche un passage à l’action.

Et si l’impatience était une boussole ?

Elle peut révéler :

Un projet qui te tient à cœur.
Un besoin de reconnaissance ou de changement.
Une valeur non respectée.

Plutôt que de la subir… écoute-la :
"Quel besoin veut s’exprimer ? Et quelle action juste puis-je poser ?"

Et côté alimentation ?

Quand l’impatience monte → le corps cherche à calmer la tension :
Grignotage émotionnel
Manger en pilote automatique
Culpabilité… et cercle qui recommence.

✅ 3 pistes pour transformer ton impatience :

Observer sans juger
→ "Tiens, je suis impatiente… Quel est mon vrai besoin ?"

S’entraîner à différer
→ Retarde une mini-satisfaction (café, sucre, scroll…).
→ Tu renforces ta patience émotionnelle.

Transformer en intention
→ Canalise cette énergie :
Pose une action claire vers ton vrai besoin.

Et toi, ton impatience du moment… que cherche-t-elle à te dire ?

Dis-le en commentaire ou garde cette question pour toi.

Manger vite, contrôler tout : quand la blessure de trahison s'invite à tableEt si ta façon de manger révélait une vieill...
01/07/2025

Manger vite, contrôler tout : quand la blessure de trahison s'invite à table

Et si ta façon de manger révélait une vieille stratégie de survie ?
Derrière la vitesse, la tension, le besoin de maîtriser… il y a parfois une blessure : celle de la trahison.

Quand l’enfant a été trahi, il apprend que faire confiance, c’est souffrir. Alors il cherche à tout contrôler – même son corps, même ses repas.

Manger devient un acte mécanique, pour ne pas ressentir. Goûter ? Trop risqué. Le plaisir est perçu comme un piège : “Si je me relâche, je perds le contrôle.”

Mais ce contrôle permanent épuise… jusqu’à craquer. On mange trop, trop vite, sans pouvoir s’arrêter. Puis vient la culpabilité, et le besoin de reprendre le contrôle…
Cercle vicieux.

✨ Et si tu essayais autre chose ?
3 exercices simples :

1. Goûter en pleine conscience
Choisis un aliment. Respire. Goûte. Ressens. Laisse fondre.

2. Ancrage ventre-cœur
Avant de manger, une main sur le cœur, l’autre sur le ventre. Respire 5 fois. “Je suis en sécurité.”

3. Journal des vérités
Chaque soir, une chose positive + “Je choisis d’avoir confiance en moi, même sans tout contrôler.”

Ton corps n’a pas besoin d’être maîtrisé.
Il a besoin d’être écouté 💛

Auto-sabotage & reprise de poids : quand ton corps pense te sauverTu perds du poids, tu es motivée…Et puis soudain, tout...
27/06/2025

Auto-sabotage & reprise de poids : quand ton corps pense te sauver

Tu perds du poids, tu es motivée…
Et puis soudain, tout repart.
Tu crois manquer de volonté ?
Et si c’était ton cerveau émotionnel qui freinait ?

Pour lui, “maigrir” peut rimer avec danger :

1. Visible = vulnérable
Ton amygdale garde en mémoire les regards intrusifs, les jugements ou les blessures du passé.
Elle t’invite à “te cacher” derrière du poids.

2. Mince = on attend plus de moi
Performances, disponibilité… ton inconscient anticipe une pression insoutenable.

3. Changer = risquer de perdre l’amour des autres
(Ogden, 2023) Le sabotage peut venir de l’entourage : petits freins “bienveillants” qui réveillent une peur d’exclusion.

Ton cerveau reptilien en rajoute :
la lateral habenula s’active quand tu ne vois pas de résultats rapides.
Elle te coupe ton élan, et tu replonges sans comprendre pourquoi.

Ce n’est pas "dans ta tête", c’est dans ton système de survie.

3 pistes pour contourner l’auto-sabotage :

Cesser de lutter contre toi-même : ton corps te protège, maladroitement

Écouter ses messages : de quoi as-tu peur, en vrai, si tu changes ?

Travailler les racines profondes (EFT, visualisation, schémas émotionnels…)

Tu ne te sabotes pas.
Tu te protèges avec une carte ancienne.
Et tu peux en dessiner une nouvelle.

Christelle | Reprogrammation psycho-émotionnelle
silbaia.com

Quand manger devient un réflexe pour ne pas sentir...Il y a ces moments où l’on ne mange pas pour se nourrir,mais pour n...
26/06/2025

Quand manger devient un réflexe pour ne pas sentir...

Il y a ces moments où l’on ne mange pas pour se nourrir,
mais pour ne pas ressentir.

Pas pour le goût,
mais pour calmer ce qui monte.
Ce nœud dans la poitrine, cette tension invisible qui serre,
cette pensée qu’on ne veut pas entendre.

Et si on ne cherchait pas à "gérer" nos émotions,
mais simplement à changer notre manière d’y répondre ?
Pas pour les effacer, elles sont utiles, elles nous parlent mais pour ne plus les confondre avec un danger.

Une mini routine EFT à refaire à chaque fois que l’envie de "craquer" arrive.

Commencer toujours par le point karaté (tranche de la main), à répéter 3 fois :

Même si j’ai envie de croquer, je m’aime et je m’accepte complètement.
Même si j’ai envie de manger tout ce qu’il y a dans le placard, je choisis de m’écouter autrement.

Même si je ressens cette envie puissante de combler un vide, je m’autorise à rester avec moi, sans me juger.

Puis passer à la routine sur les points EFT :
1. Je sens cette émotion monter.

2. Je sens l’appel de la nourriture pour la calmer.

3. Mais je m’offre un espace avant d’agir.

4. Je n’ai plus besoin de me fuir.

5. Je peux rester là, avec cette émotion, sans me noyer.

6. Je choisis de répondre autrement, avec plus de conscience.

7. Je n’ai plus besoin de m’éteindre pour me sentir mieux.

8. Je traverse ce moment avec présence et douceur.

Je ne cherche pas à guérir.
Je choisis de vivre en paix avec ce que je ressens.
Avec mes émotions. Avec mon histoire.
Et de me nourrir autrement.

Le surpoids sarcopénique : quand le poids masque une faiblesse musculaireTu peux avoir une masse musculaire apparente… e...
25/06/2025

Le surpoids sarcopénique : quand le poids masque une faiblesse musculaire

Tu peux avoir une masse musculaire apparente… et pourtant ressentir de la fatigue, un manque de force, et des difficultés à bouger.
C’est ce qu’on appelle le surpoids sarcopénique.

Cette condition encore méconnue associe une masse musculaire conservée ou augmentée… à une fonction musculaire altérée.
Autrement dit : ce muscle, même s’il est là, ne fonctionne pas efficacement.

Les deux causes principales :
• Insulinorésistance : le muscle utilise mal le glucose, devient inefficace et s’infiltre de graisse.
• Cortisol élevé (stress, inflammation) : il favorise la dégradation musculaire et la fatigue chronique.

Un muscle en bonne santé :
• Produit de la force et de l’endurance
• Stabilise le corps
• Régule la glycémie
Il a besoin de protéines, d’oxygène, de mitochondries actives… et de mouvement régulier.

Mais dans le surpoids sarcopénique :
• Le muscle est infiltré de graisse, appauvri, peu actif
• Il se fatigue vite
• Même marcher devient épuisant

Conséquences :
Mobilité réduite – métabolisme ralenti – douleurs – risque de chutes – baisse d’autonomie.

4 actions clés :

1. Bouger régulièrement (marche, renforcement doux, yoga)

2. Manger des protéines de qualité chaque jour

3. Réduire sucre et inflammation (végétaux, oméga-3, non transformé)

4. Diminuer le stress (sommeil, respiration, rythme)

Ce trouble ne se voit pas toujours sur la balance… mais il change tout.
Réactiver le muscle, c’est restaurer sa vitalité.

Christelle – silbaia.com

L’histoire de Mariette : quand mincir, c’est laisser partir ce qu’on n’a jamais reçuMariette ne voulait pas seulement pe...
18/06/2025

L’histoire de Mariette : quand mincir, c’est laisser partir ce qu’on n’a jamais reçu

Mariette ne voulait pas seulement perdre du poids.
Elle voulait s’alléger.
S’alléger d’un corps qu’elle trouvait lourd, pas seulement physiquement, mais émotionnellement.
Un corps qui ne collait pas à l’image qu’elle avait d’elle-même : une femme libre, douce, féminine, vivante.

Mais voilà.Malgré sa motivation, ses engagements, ses efforts... quelque chose la retenait.
Un vieux réflexe, une main invisible qui venait l’attraper en pleine lancée : les grignotages, les écarts, l’abandon du projet.
Chaque fois, elle revenait à la case départ, avec un mélange de honte et d’incompréhension.

Jusqu’au jour où, ensemble, nous avons mis un mot sur ce frein silencieux : la peur de perdre une deuxième fois.

Mincir, pour Mariette, ce n’était pas juste perdre du poids.
C’était revivre une perte.
Une sensation de vide déjà connue.
Car dans son enfance, Mariette n’avait pas eu ce à quoi elle aspirait : la tendresse, la sécurité, la reconnaissance.
Son inconscient avait fini par remplir ce manque autrement.
Par des couches protectrices.
Par une armure de chair.
Par une forme de présence concrète, qu’elle seule pouvait contrôler : son corps.

Et mincir, c’était risquer de laisser partir ce qu’elle n’avait jamais vraiment eu.
Comme si ce poids était le seul témoin de cette injustice.
Comme s’il portait, malgré lui, la mémoire de l’enfant qu’elle avait été.

Alors nous avons commencé un travail que j’appelle le "réparentage".
Une approche douce, puissante, où l’on vient recontacter l’enfant intérieur pour lui offrir, aujourd’hui, ce qu’il n’a pas reçu à l’époque.
De l’écoute.
Du respect.
Des mots qu’on n’a jamais dits.
Et parfois, une image mentale très concrète : celle de soi, adulte, qui vient prendre soin de soi, enfant.

Ce travail ne fait pas “maigrir” en soi.
Il fait devenir libre.
Et c’est là que tout change.

Car quand Mariette a compris qu’elle n’avait plus besoin de porter ce poids pour être fidèle à son histoire…
Quand elle a ressenti qu’elle avait le droit de devenir la femme qu’elle veut être, sans trahir celle qu’elle a été…
Alors son corps a commencé à se délester.
Naturellement

Et si l’activité physique était insécurisante quand on est en surpoids ?Comprendre pourquoi bouger peut réveiller des bl...
17/06/2025

Et si l’activité physique était insécurisante quand on est en surpoids ?

Comprendre pourquoi bouger peut réveiller des blessures invisibles

Quand on vit avec un surpoids, on entend souvent : “Tu devrais bouger plus…” “C’est une question de volonté…”

Mais pour beaucoup, le blocage n’est pas physique.
Il est émotionnel, neurologique, inconscient.
Et profondément humain.

Car bouger peut réveiller des mécanismes de survie profondément ancrés dans le corps.

Le corps, la peur, et le cortisol : un trio bien huilé

Quand le corps a été maltraité physiquement, psychologiquement ou sexuellement, il garde en mémoire des traumatismes sensoriels.
Ces souvenirs s’inscrivent dans les tissus, la respiration, la posture.
Et cette mémoire est réactivée dès que le cerveau perçoit un danger, même symbolique.

Le cortisol, hormone du stress, est alors sécrété par les surrénales.
En cas de danger, il :

augmente l’énergie disponible dans le sang,

maintient l’alerte et l’hypervigilance,
inhibe les fonctions non urgentes (digestion, réparation),encode l’événement dans la mémoire.

Mais après des traumatismes répétés, ce système reste bloqué en alerte.
Le cortisol reste élevé, même sans danger réel.
Un simple effort ou une sensation physique peut devenir un signal de menace.

Résultat :
le corps se contracte pour se protéger,
l’envie de fuir, figer ou s’arrêter prend le dessus.

Quand le mouvement ravive la mémoire traumatique

Le cerveau traumatisé ne fait pas toujours la différence entre un souvenir et une sensation actuelle.

Une tension musculaire, une posture, une respiration peuvent suffire à réactiver l’émotion d’un événement ancien.
Sans image précise, sans souvenir clair… mais avec une intensité écrasante.

Ce processus mobilise :
l’amygdale (alerte danger),
l’hippocampe (perte de repère temporel),
le tronc cérébral (réactions automatiques de survie).

Trois pistes pour contourner le blocage

✅ 1. Bouger en sécurité, sans enjeu de performance
Danser 2 minutes, marcher en place, soulever une bouteille assis.
L’idée : réassocier mouvement et sécurité.

✅ 2. Toucher son corps avec bienveillance
Se masser...

✅ 3. Se faire accompagner EMDR...

✅ 4. Les plantes adaptongènes

Et si, au lieu de corriger ton corps, tu te réconciliais avec ton passé ?💬 “Je veux juste être en bonne santé.”💬 “Je veu...
16/06/2025

Et si, au lieu de corriger ton corps, tu te réconciliais avec ton passé ?

💬 “Je veux juste être en bonne santé.”
💬 “Je veux juste me sentir bien dans mon corps.”

Ces phrases semblent douces… mais parfois, elles cachent des exigences camouflées.
Comme si “être en bonne santé” voulait dire “être mince, lisse, tonique”.
Comme si “se sentir bien” voulait dire “ne plus avoir mal du tout”.

🎯 Et si l’objectif n’était ni le poids, ni la perfection,
mais vivre dans un corps habité, sincère, un peu cabossé, mais vivant ?

Et si on cherchait à s’alléger… autrement ?
Pas de kilos, mais du poids des silences, des injonctions, des loyautés invisibles ?

Et si on osait se dire :

✅ “Je n’ai plus à porter ça.”
✅ “Je peux vivre sans me faire petite.”
✅ “Je mérite la paix, même sans être réparée.”

3 pistes pour te reconnecter à toi autrement :

Écoute-toi sans vouloir te réparer.
Pose-toi cette question : “Et si c’était logique que je ressente ça ?”

Bouge pour sentir, pas pour changer.
Danse, marche, respire… sans but. Juste pour être là.

Réécris ton histoire avec tendresse.
Et si ton corps racontait non pas tes échecs,
mais ta force et ta survie ?

On n’a pas besoin d’attendre la “version réparée” de soi-même pour vivre.
On peut commencer aujourd’hui, avec tout ce qu’on est déjà.

Christelle



Le cerveau ne "craque" pas.Il choisit la seule option qu’il connaît et qu’il peut atteindre.Ce n’est pas une faiblesse.C...
12/06/2025

Le cerveau ne "craque" pas.

Il choisit la seule option qu’il connaît et qu’il peut atteindre.

Ce n’est pas une faiblesse.
C’est une stratégie de survie.

Tu crois que tu manques de volonté.
Mais en réalité, ton cerveau n’a pas cédé à la tentation,
il a simplement pris ce qui était :
— connu,
— disponible,
— capable de procurer un soulagement immédiat.

Tu rentres chez toi, fatiguée, tendue.
Tu ouvres le placard. Il y a du chocolat.
Il n’y a pas de câlin, pas de moment de pause, pas de joie prévue.
Alors ton cerveau choisit le chocolat.
Pas parce qu’il est irrésistible, mais parce qu’il est là, connu, atteignable.

Le cerveau ne désire que ce qu’il connaît et peut atteindre.
Et plus c’est accessible, plus il le désire.

Si l’alimentation n’a jamais été associée à du plaisir sain, à de la joie stable, à du vrai réconfort,
alors il ne pourra pas l’associer à autre chose qu’à une décharge, un soulagement rapide, une zone refuge.

Si tu n’as jamais connu le plaisir d’un vrai moment de détente après le travail,
ni le soulagement d’une parole douce, d’un bain chaud ou d’un silence enveloppant,
alors ton cerveau n’associera le réconfort qu’à ce paquet de biscuits.
Pas parce qu’il est "mauvais", mais parce qu’il est le seul lien entre toi et l’apaisement.

Et s’il n’y a pas d’autres sources de plaisir ailleurs ?
Le cerveau reviendra toujours vers la seule qu’il peut contrôler : manger.

Quand aucune autre porte émotionnelle n’est ouverte — pas de moment pour toi,
pas de liberté dans ton emploi du temps,
pas d’espace pour respirer ou jouer —
alors ton cerveau revient à celle qui a déjà fonctionné :
celle du placard, celle du frigo, celle de la bouche pleine et du calme provisoire.

L’accessibilité renforce le désir.
Le cerveau ne cherche pas ce qui est parfait.
Il cherche ce qui est immédiatement possible.

Alors, si tu veux changer tes réflexes,
ne commence pas par interdire.

Commence par ajouter :
— un rituel rassurant (une tisane chaude dans ton fauteuil préféré),
— un réconfort corporel (un son, une texture, une lumière qui te calme),
— une attention intérieure (même un mot doux que tu t’adresses en silence),
— une respiration, une pause, une micro-dose de perm

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