Patricia Le Bouëdec, psychologue, coach, tournée vers les solutions

Patricia Le Bouëdec, psychologue, coach, tournée vers les solutions Cabinet de psychologie
Patricia LE BOUEDEC, psychologue, coach
Jean-François ROBERT psychopraticien

Psychologie positive, Décodage Emotionnel, Coaching, Audits Pré-conjugals, Scolarité et tests Psychométriques, Accompagnement Naissance et Maternité. Nourrissons, Enfants, Adolescents, Couples légitimes et illégitimes, Famille.

10/11/2025

Le conseil du lundi 🙂 belle semaine

La persévérance d’un homme malgré les critiques, changea l’histoire d’une nation. https://www.facebook.com/share/1Bi1CTp...
07/11/2025

La persévérance d’un homme malgré les critiques, changea l’histoire d’une nation.

https://www.facebook.com/share/1Bi1CTpUUQ/?mibextid=wwXIfr

Il ne savait ni lire ni écrire.
Alors, il inventa tout un système d’écriture.
Début des années 1800, Nation Cherokee.
Un orfèvre nommé Sequoyah observait les colons blancs avec leurs « feuilles parlantes » — ces papiers couverts de signes mystérieux capables d’envoyer des messages à distance et de conserver le savoir à travers le temps.
Les Cherokees, eux, n’avaient pas d’écriture. Leur histoire, leurs lois, leurs légendes n’existaient qu’à travers la mémoire, transmises de bouche à oreille, de génération en génération.
Et Sequoyah comprit une chose essentielle : le savoir de son peuple était fragile.
La mort d’une génération pouvait effacer des siècles de sagesse.
Alors, il décida d’agir.
Ses amis le prirent pour un fou.
Sa femme, exaspérée par son obsession, aurait même brûlé ses premiers travaux.
Les critiques se moquaient de lui — comment un homme illettré pourrait-il créer un système d’écriture ?
Même les linguistes formés échouaient à de telles tâches.
Mais Sequoyah possédait quelque chose qu’aucun érudit n’avait :
il connaissait intimement sa propre langue, de l’intérieur.
Pendant douze ans, il travailla.
Il essaya d’abord d’attribuer un symbole à chaque mot — trop nombreux pour être retenus.
Puis il tenta les pictogrammes — trop compliqués, trop limités.
D’autres auraient abandonné.
Lui, il persista.
Et un jour, il eut une révélation.
Au lieu de créer des signes pour les mots ou les idées, il allait créer des signes pour les sons.
Il décomposa la langue cherokee en ses syllabes fondamentales et inventa un caractère pour chacune.
85 symboles.
C’est tout ce qu’il fallut.
85 signes pour représenter tous les sons de la langue cherokee.
En 1821, Sequoyah présenta son syllabaire aux chefs cherokees.
Ils étaient sceptiques.
Alors, il fit une démonstration :
il écrivit les messages qu’on lui dictait, et sa fille — qui avait appris le système — les lut à haute voix depuis une autre pièce, sans avoir entendu les paroles originales.
Les chefs furent stupéfaits.
Le système fonctionnait.
Ce qui suivit fut extraordinaire.
En quelques mois, des milliers de Cherokees apprirent à lire et à écrire leur propre langue.
Le taux d’alphabétisation explosa.
Des gens qui n’avaient jamais tenu une plume écrivaient désormais des lettres, tenaient des registres, préservaient leurs récits.
Dès 1825, la majorité de la Nation Cherokee savait lire et écrire — avec un taux d’alphabétisation supérieur à celui des colons anglophones.
En 1828, le Cherokee Phoenix devint le premier journal amérindien, publié en cherokee et en anglais grâce au syllabaire de Sequoyah.
Ce qu’il avait accompli relevait du prodige :
Travaillant seul, sans éducation formelle, il avait créé un système d’écriture si élégant et intuitif que des milliers de personnes l’avaient maîtrisé en quelques mois.
Les linguistes le considèrent encore aujourd’hui comme l’un des plus grands exploits intellectuels de l’histoire humaine.
Très peu de systèmes d’écriture ont été inventés par un seul individu — et celui de Sequoyah est le seul à avoir connu un succès aussi rapide et universel.
Mais ce qui rend son histoire encore plus bouleversante, c’est le contexte.
Il fit tout cela pendant l’une des périodes les plus sombres de l’histoire cherokee.
Les pressions des colons augmentaient.
Le gouvernement américain exigeait leurs terres.
L’expulsion forcée devenait inévitable.
Au cœur de cette crise existentielle, Sequoyah donna à son peuple quelque chose qu’aucune armée ne pouvait leur enlever :
le pouvoir de préserver leur langue, leur savoir, leur identité.
Quand arriva la Piste des Larmes en 1838 — cette marche forcée où des milliers de Cherokees périrent en quittant leurs terres —,
ils emportèrent avec eux le syllabaire de Sequoyah.
Ils perdirent leur terre, leurs maisons, leurs proches.
Mais pas leur langue.
Grâce à son invention, la langue cherokee put être écrite, transmise, enseignée, publiée.
Elle survécut à l’exil, à la répression culturelle, et à des générations de tentatives d’assimilation.
Aujourd’hui encore, le syllabaire cherokee est vivant.
On l’enseigne dans les écoles, il figure sur les panneaux routiers de la Nation Cherokee, et il existe même sous forme numérique sur ordinateurs et téléphones.
📱 Oui, on peut envoyer des SMS en cherokee grâce à un orfèvre du XIXᵉ siècle qui refusa de laisser sa langue mourir dans la mémoire.
Sequoyah n’a jamais appris à lire ou écrire l’anglais.
Il n’en avait pas besoin.
Il avait créé quelque chose de bien plus précieux :
un moyen pour son peuple de se lire et de s’écrire eux-mêmes.
Dans un monde qui cherchait à effacer l’identité cherokee,
il inventa un outil pour la préserver à jamais.
Ce n’était pas seulement de l’innovation.
C’était de la résistance.
C’était de la survie.
C’était de l’amour, rendu tangible pour un peuple et une langue.
Son nom est Sequoyah.
Et il a offert à la Nation Cherokee quelque chose qu’on ne pourrait jamais leur enlever :
leurs propres mots, écrits de leur propre main,
préservés pour l’éternité. ✨

ATTENTION ET MÉMORISATION : COMMENT AIDER MON ENFANT À APPRENDRE ?Proposé par : Anne Savi, orthopédagogue, spécialiste d...
06/11/2025

ATTENTION ET MÉMORISATION : COMMENT AIDER MON ENFANT À APPRENDRE ?
Proposé par : Anne Savi, orthopédagogue, spécialiste des apprentissages
📍 Date/heure/lieu : mardi 18/11/2025, 20:30-22:00 | L’Ermitage International School, 10 Avenue Desaix, 78600 Maisons-Laffitte
👤 Public : Parents d’enfants scolarisés en élémentaire, collège ou lycée
💰 Tarif : Gratuit ou participation libre
📝 Description : Conférence interactive accessible aux parents et éducateurs de toutes les écoles. Conférence en Français et questions/réponses en Français et Anglais

ATTENTION ET MÉMORISATION : COMMENT AIDER MON ENFANT À APPRENDRE ?Proposé par : Anne Savi, orthopédagogue, spécialiste d...
06/11/2025

ATTENTION ET MÉMORISATION : COMMENT AIDER MON ENFANT À APPRENDRE ?
Proposé par : Anne Savi, orthopédagogue, spécialiste des apprentissages
📍 Date/heure/lieu : mardi 18/11/2025, 20:30-22:00 | L'Ermitage International School, 10 Avenue Desaix, 78600 Maisons-Laffitte
👤 Public : Parents d’enfants scolarisés en élémentaire, collège ou lycée
💰 Tarif : Gratuit ou participation libre
📝 Description : Conférence interactive accessible aux parents et éducateurs de toutes les écoles. Conférence en Français et questions/réponses en Français et Anglais

06/11/2025

« Gérer ses émotions «
Expression qui est souvent interprétée comme un contrôle des émotions alors que cela veut dire accepter de les vivre sans les juger, de les traverser pour mieux grandir.
C’est valable pour les petits comme pour les grands

Les jeunes et les écrans Encore ? Oui Mon prof de judo explique régulièrement que les enfants de 4 ans du début de sa ca...
05/11/2025

Les jeunes et les écrans
Encore ? Oui
Mon prof de judo explique régulièrement que les enfants de 4 ans du début de sa carrière arrivaient à faire ce qu’un enfant de 7 ans aujourd’hui commence tout juste à faire.
Plus d’une fois dans l’année, j’apprends à ces même enfants à faire leurs lacets !
Ça veut aussi dire que pour d’autres gestes comme écrire, visser ou dévisser une bouteille, ils sont en difficulté. Donc oui messieurs dames, les parents, éteignez vos écrans pour eux comme pour vous.
https://www.facebook.com/share/r/19tjPSP2UW/?mibextid=wwXIfr

Pourquoi vous vous levez le matin ? Avez-vous une raison profonde, personnelle de vivre, de faire ce que vous faites? Si...
03/11/2025

Pourquoi vous vous levez le matin ?
Avez-vous une raison profonde, personnelle de vivre, de faire ce que vous faites?
Si oui, cultivez la. C’est votre énergie de vie. Elle vous fera soulever des montagnes.
Si non, je vous souhaite de la trouver.
Cette absence de raison de vivre est le terreau de la dépression et de bien d’autres pathologies même physiques.
Contactez un professionnel comme un psychologue pour vous accompagner à sortir de cette pulsion de mort pour mieux vivre pleinement votre vie.
Vous changerez votre vie,
Vous changerez le monde.

https://www.facebook.com/share/p/1LorNqZksv/?mibextid=wwXIfr

Dans le camp de la mort, ils lui ont donné un numéro : 119104.
Mais ce qu’ils ont le plus essayé de tuer est précisément ce qui a fini par sauver des millions de vies.

1942. Vienne.

Viktor Frankl avait 37 ans, un psychiatre respecté avec une carrière prometteuse,
un manuscrit presque terminé, et une épouse, Tilly, dont le rire pouvait remplir une pièce.

Il avait une chance de s’enfuir en Amérique. Un visa. Une porte de sortie.
Mais ses parents âgés ne pouvaient pas venir avec lui. Alors il est resté.

Quelques mois plus t**d, les n***s sont venus pour eux tous.
Theresienstadt. Puis Auschwitz. Puis Dachau.

Le manuscrit sur lequel il avait travaillé des années — soigneusement cousu dans la doublure de son manteau —
lui fut arraché en quelques heures à son arrivée.
Son œuvre. Son but. Réduit en cendres.

Ses vêtements furent pris. Ses cheveux rasés. Son nom effacé.
Sur le formulaire d’admission, il ne restait qu’un numéro : 119104.

Mais voici ce que les gardes n’avaient pas compris :
on peut arracher à un homme son manuscrit, son nom, ses biens.
Ce qu’il sait… on ne peut pas le lui voler.

Et Viktor Frankl savait quelque chose sur l’esprit humain qui allait le maintenir en vie —
et donner naissance à une révolution en psychologie.

Il remarqua un schéma.
Dans les camps, les hommes ne mouraient pas seulement de faim ou de maladie.
Ils mouraient d'avoir abandonné.

Le moment où un prisonnier perdait sa raison de vivre — son pourquoi — son corps s'effondrait en quelques jours.
Les médecins avaient un terme pour cela : give-up-itis — la maladie de l’abandon.

Mais ceux qui s’accrochaient à quelque chose —
une épouse à retrouver, un enfant à revoir, un livre à écrire, une promesse à tenir —
enduraient l’indicible.

La différence n’était pas physique.
C’était le sens.

Alors Frankl entreprit une expérience.
Pas dans un laboratoire. Dans les baraquements.

Il s'approchait des hommes au bord du désespoir et leur murmurait :

« Qui t’attend ? »
« Quel travail te reste-t-il ? »
« Que dirais-tu à ton fils pour survivre à ça ? »

Il ne pouvait offrir ni nourriture, ni liberté, ni réconfort matériel.
Mais il pouvait offrir quelque chose que les gardiens ne pouvaient confisquer :
une raison de voir demain.

L'un se rappela sa fille. Il survécut pour la retrouver.
Un autre se rappela un problème scientifique. Il survécut pour le résoudre.

Frankl, lui, survécut en reconstruisant mentalement son manuscrit — page après page, paragraphe par paragraphe —
dans l’obscurité des baraques.

Avril 1945. Libération.

Viktor Frankl pesait 38 kilos. Ses côtes transparaissaient sous sa peau.
Tilly était partie. Sa mère — partie. Son frère — parti.
Tout ce qu'il aimait avait été détruit.

Il aurait eu toutes les raisons de désespérer.
Toutes les raisons d’abandonner.

Au lieu de cela, il s’est assis et a commencé à écrire.

Neuf jours.
C’est le temps qu’il fallut pour recréer de mémoire le manuscrit détruit trois ans plus tôt.

Mais désormais, il contenait quelque chose que l’original n’avait pas :
la preuve.

La preuve vivante, indéniable, que sa théorie était juste.

Il l’appela Logothérapie — la thérapie par le sens.
Une idée simple mais révolutionnaire :
L’être humain peut survivre à presque tout, s’il a une raison de vivre.

« Celui qui a un pourquoi peut supporter presque tous les comment. »
(Il emprunta les mots à Nietzsche, mais il les avait prouvés en enfer.)

1946. Publication du livre.

En allemand : "...trotzdem Ja zum Leben sagen" — "...Dire oui à la vie malgré tout."
En anglais : Man’s Search for Meaning.

Le monde n’était pas prêt. Les éditeurs le rejetèrent au début.
« Trop morbide », disaient-ils.
« Qui voudrait lire sur les camps de concentration ? »

Puis doucement, il se répandit.
Des thérapeutes pleurèrent en le lisant.
Des prisonniers y trouvèrent l’espoir.
Des personnes confrontées au divorce, à la maladie, à la faillite, à la dépression —
comprirent que leur souffrance pouvait porter un sens.

L’impact fut sismique.

Le livre fut traduit en plus de 50 langues.
Vendu à plus de 16 millions d’exemplaires.
Classé par la Bibliothèque du Congrès parmi les 10 livres les plus influents d’Amérique.

Mais plus important encore :
innombrables sont ceux qui, dans leur nuit la plus sombre, l’ont lu
et ont trouvé une raison de continuer.

Parce que Viktor Frankl a prouvé ce que les n***s ont échoué à détruire :
On peut tout enlever à un être humain — liberté, famille, avenir, espoir —
mais il restera toujours une dernière liberté :
celle de choisir le sens de ce qui nous arrive.

On ne contrôle pas ce qui nous arrive.
Mais on peut toujours choisir ce qu’on en fait.

Aujourd’hui, Viktor Frankl n’est plus là.
Mais dans les chambres d’hôpital, dans les cabinets de thérapie, dans les prisons,
dans ces moments silencieux où quelqu’un décide
s’il doit abandonner ou continuer — ses mots demeurent :

« Quand nous ne pouvons plus changer une situation, nous sommes mis au défi de nous changer nous-mêmes. »
« Tout peut être pris à un homme sauf une chose : la dernière des libertés humaines —
choisir son attitude face à n’importe quelle situation. »

Les n***s lui ont donné un numéro.
L'Histoire lui a donné l’immortalité.

Car l’homme qui a tout perdu a appris au monde
que le sens est la seule chose qu’on ne peut jamais nous enlever.

Le prisonnier 119104 n’a pas seulement survécu.
Il a transformé la souffrance en guérison.

Et quelque part ce soir, quelqu’un au bord du gouffre lira ses mots
et choisira de tenir encore un jour.

Ce n’est pas simplement survivre.
C’est une victoire sur la mort elle-même.

31/10/2025

Est-ce que je peux rendre heureux l’autre?
Est-ce qu’une autre personne peut me rendre heureux ou heureuse ?

27/10/2025

Bonjour à tous
Pour démarrer la semaine, je vous propose une vidéo sur la responsabilité à 100%.
Responsabilité que nous confondons souvent avec culpabilité
Bonne découverte

Adresse

10 Rue Du PUITS
Andrésy
78570

Heures d'ouverture

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