Patricia Le Bouëdec, psychologue, coach, tournée vers les solutions

Patricia Le Bouëdec, psychologue, coach, tournée vers les solutions Cabinet de psychologie
Patricia LE BOUEDEC, psychologue, coach
Jean-François ROBERT psychopraticien

Psychologie positive, Décodage Emotionnel, Coaching, Audits Pré-conjugals, Scolarité et tests Psychométriques, Accompagnement Naissance et Maternité. Nourrissons, Enfants, Adolescents, Couples légitimes et illégitimes, Famille.

Ce vendredi je ne vous offre pas une histoire gaie. Bien au contraire une tragédie a une époque où les maladies mentales...
19/09/2025

Ce vendredi je ne vous offre pas une histoire gaie. Bien au contraire une tragédie a une époque où les maladies mentales étaient globalement inconnues oú la société était incapable de s’occuper de ces malades par méconnaissance.
Aujourd’hui, nous avons avancé sur ce point même si beaucoup de zone d’inconnue existe. Mais est-ce que notre société est prête à vraiment s’en occuper ?
C’est loin d’être sur.
Aujourd’hui, les psychiatres, les psychologues, les indépendants, les institutions ne travaillent pas vraiment ensemble.
Il va être temps surtout quand de plus en plus de jeunes sont touchés. Une recrudescence des dépressions, des tentatives de suicides pour nos adolescents est constaté.
Des choses sont faites mais elles ne sont pas suffisantes.
Messieurs, mesdames les politiques, j’espère que vous allez vous occuper sérieusement de cela. Vous le savez la psychiatrie est le parent pauvre de l’hôpital qui lui aussi manque de moyen.
Messieurs, mesdames mes collègues arrêtons nos guerres d’église et travaillons ensemble: partageons nos connaissances du patients et nos expertises. Elles ont une valeur précieuse

Ce qui nous semble aujourd’hui une simple photographie ancienne renferme en réalité l’une des histoires les plus tragiques de l’Europe du XIXᵉ siècle. L’image montre Emil et Mary Keller avec leur fille Annie, âgée de seulement neuf mois, immortalisés dans l’un des genres les plus troublants de la photographie victorienne : le post-mortem.

Originaires de Zurich, les Keller semblaient incarner la quiétude d’une famille de la classe moyenne. Ils s’étaient mariés en 1890, mais le malheur les frappa bien vite : leur premier enfant mourut treize jours après sa naissance. Mary, anéantie, sombra dans une profonde dépression dont elle ne se releva jamais vraiment. Lorsque naquit Annie, au lieu d’éprouver de la joie, la jeune mère s’enfonça davantage, victime d’une psychose post-partum, un trouble aussi grave qu’incompris à l’époque.

La maladie la coupait de la réalité : elle entendait des voix, souffrait de délires. Les médecins l’internèrent à plusieurs reprises, mais la renvoyaient toujours trop tôt. Son mari Emil, décrit comme un homme dévoué et affectueux, tentait de maintenir le foyer tandis qu’il voyait l’esprit de sa femme se désagréger.

Dans la nuit du 25 janvier 1894, la tragédie atteignit son paroxysme. Un voisin entendit des coups de feu : Emil gisait mort dans la cuisine, Mary s’était tiré une b***e dans la tempe et la petite Annie, âgée de quelques mois, portait une blessure par b***e à la poitrine et des vêtements en flammes. Les tentatives pour les sauver furent vaines. La mère et l’enfant succombèrent quelques heures plus t**d.

Tous trois furent enterrés ensemble dans un cercueil spécialement fabriqué pour eux. Sur la photographie, Mary repose la tête sur l’épaule d’Emil, dissimulant la blessure qui lui ôta la vie. Annie dort entre eux, semblant paisible. Mais ce qui paraît calme n’est en réalité que la trace d’un enfer domestique que ni la science ni la société de l’époque ne surent comprendre.

Plus de cinq mille personnes assistèrent aux funérailles, bouleversées par l’horreur du drame. Et le médecin qui avait suivi Mary avoua plus t**d qu’elle n’aurait jamais dû être libérée aussi vite.

Ainsi, la photographie n’est pas seulement un souvenir. C’est le témoignage douloureux d’une époque où la santé mentale demeurait un territoire inexploré, et où une maladie incomprise put détruire une famille tout entière.

L'histoire d'une femme simple qui se lève et réalise un rêve. Simplement pour elle et dont l'exemple est inspirant.Je su...
19/09/2025

L'histoire d'une femme simple qui se lève et réalise un rêve. Simplement pour elle et dont l'exemple est inspirant.
Je suis toujours étonnée de rencontrer des personnes qui n'ont pas d'aspiration personnelle, d'intention particulière. Un peu triste pour elle aussi . Cela donne une raison de se lever le matin avec joie. Cela enjolive la vie, le monde.

Avez-vous votre chemin des Appalaches ?
si ce n'est pas le cas, savez-vous ce qui vous en empêche ?
Savez-vous que c'est possible de changer cela pour que votre lumière illumine le monde comme cette femme.
Si c'est le cas, merci de l'écrire ici, pour inspirer les autres.

https://www.facebook.com/photo/?fbid=774537001846426&set=a.693793349920792

En 1955, à l’âge de 67 ans, Emma Gatewood enfila ses vieilles baskets en toile Keds, passa un sac en denim fait maison sur son épaule et entra résolument dans l’histoire.

Sans carte, sans équipement moderne, sans foule pour l’encourager, elle n’avait pour tout bagage que son courage, sa détermination et une volonté inébranlable d’avancer.

Née en 1887 dans l’Ohio rural, Emma avait élevé 11 enfants et enduré un mariage violent et abusif. Quand ses enfants furent grands et que les cicatrices commencèrent à s’estomper, elle prit une décision remarquable : parcourir, seule, l’intégralité du sentier des Appalaches — 3 490 km de marche.

Son voyage fut éprouvant. Elle affronta des crêtes acérées, des pluies torrentielles, des ours noirs et des pentes abruptes, de la Géorgie jusqu’au Maine. Guidée par son instinct, elle dormait à la belle étoile et comptait sur la générosité des inconnus. Certains jours, elle survécut avec pour tout repas quelques pissenlits et des saucisses en conserve.

Emma devint la première femme à parcourir en solitaire et d’une seule traite le sentier des Appalaches. Quand on lui demanda pourquoi elle l’avait fait, elle répondit simplement :
« Parce que j’en avais envie. »

Et elle ne s’arrêta pas là : elle recommença en 1960, puis encore en 1963 — prouvant que l’âge n’est pas une limite, mais un nouveau départ.

Emma Gatewood fut bien plus qu’une randonneuse. Elle était une mère, une survivante et une pionnière. Son courage a tracé un chemin à travers la nature et l’histoire, inspirant tous ceux qui osent rêver au-delà de leurs limites.

Son esprit résonne encore dans les feuilles des Appalaches et dans le cœur de ceux qui marchent dans ses pas.

l'image que nous avons de nous a souvent rien à voir avec la réalité. Une belle démonstration avec cet animé sur l'image...
16/09/2025

l'image que nous avons de nous a souvent rien à voir avec la réalité. Une belle démonstration avec cet animé sur l'image du corps

15 years have passed and Roberto is still in love with his neighbour, but she prefers to remain hidden. With his art and an old clothesline as the only ways ...

14/09/2025

Si nous changions les représentations que nous avons des menstrues, des règles?
La moitié de l'humanité les vit pleinement et l'autre moitié cherche souvent à ne pas en entendre parler. Il est temps que cela change parce qu'après tout, ce n'est pas un gros mot ni une maladie. C'est juste un phénomène naturel.

https://fb.watch/C4cr3efMZs/

Le couple deux mondes qui se rencontrent et qui décident de faire chemin ensemble. Pour que cela dure avec le plus de pl...
11/09/2025

Le couple deux mondes qui se rencontrent et qui décident de faire chemin ensemble.
Pour que cela dure avec le plus de plaisir, les deux personnes vont devoir trouver une voie du milieu.
Mark Twain et son épouse semble l’avoir trouvé et cultivé

https://www.facebook.com/share/15koAPtTrx/?mibextid=wwXIfr

Quand Mark Twain épousa Olivia Langdon, il confia à un ami :
« Si j’avais su à quel point la vie conjugale me rendrait heureux, je me serais marié 30 ans plus tôt — en sautant toute l’affaire des dents de lait. »
Il avait alors 32 ans.

Ils ne pouvaient pas être plus différents. Samuel Clemens (le vrai nom de Twain) avait grandi dans une famille pauvre, travaillant dès son plus jeune âge, essayant mille métiers — de pilote de bateaux à vapeur à mineur d’argent — avant de devenir écrivain. Olivia, elle, était la fille raffinée d’un riche homme d’affaires.

Twain tomba amoureux d’elle… avant même de la rencontrer. Un ami lui montra un médaillon contenant son portrait et l’invita à lui rendre visite. Deux semaines après leur rencontre, il la demanda en mariage. Elle refusa. Deux fois.
La première, en raison de leur différence d’âge et de ses manières un peu brusques. La deuxième, à cause de son manque de foi. Twain promit de devenir un bon chrétien pour elle, mais Olivia hésitait encore — même si, au fond de son cœur, elle l’aimait déjà.

Le destin intervint lorsqu’une de ses calèches se renversa en quittant la ville. Feignant une blessure grave, Twain se retrouva hébergé chez elle. Olivia proposa de le soigner — et, après une nouvelle demande, elle accepta enfin.

Dès ce jour, Twain fit tout pour la rendre heureuse.
Chaque soir, il lui lisait la Bible, priait avant les repas, et alla jusqu’à garder 15 000 pages de ses écrits inédites, parce qu’il savait qu’elle ne les approuverait pas. Olivia fut sa première éditrice, barrant tout ce qui lui semblait trop osé — un jour, elle supprima même le « Confound it ! » de Huck Finn, jugé trop grossier.

Twain disait : « J’arrêterais de porter des chaussettes si elle me disait que c’est immoral. »
Elle l’appelait son « garçon aux cheveux gris » et prenait soin de lui comme tel. En retour, il affirmait que c’était elle qui nourrissait son énergie, son humour et son esprit enfantin.

Même dans les épreuves — la perte d’enfants, la faillite, la maladie d’Olivia — ils s’appuyaient l’un sur l’autre. L’humour de Twain était son remède : il remplissait leur maison et leur jardin de petits mots absurdes pour la faire sourire, allant jusqu’à « donner des instructions » aux oiseaux sur le moment et le volume de leurs chants sous sa fenêtre.

Jamais ils ne s’élevèrent la voix, jamais de scandale, jamais de rupture dans leur complicité.
Pour l’un des anniversaires d’Olivia, Twain écrivit :
« Chaque jour passé à tes côtés a renforcé ma certitude que nous ne regretterons jamais d’avoir uni nos vies. Chaque année qui passe rend mon amour pour toi, ma chère, plus fort encore. Regardons l’avenir — les prochains anniversaires, la vieillesse — sans peur et sans tristesse. »

Une histoire d’amour pour l’éternité. 🥰

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07/09/2025

c'est une docteure en neuroscience qui vous le dit...
Dans mon quotidien professionnel, je reçois de plus en plus d'enfants dit hyperactifs. L'alimentation de nos enfants n'a plus rien à voir avec celle de leurs grands-parents.
Ceci explique, entre autre cela

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07/09/2025

Quelque soit sa course, quelque soit son rythme, ce qui compte c'est de croire en soi, de ne jamais abandonner et finalement gagner

05/09/2025

Estime de soi, image de soi, confiance en soi, si vous me lisez c'est que vous en avez déjà entendu parlé. Mais avez vous entendu et intégré tout ce que cela peut vouloir dire pour vous et comment cela se joue dans votre vie?
Comment passez de l'image de soi à la confiance en soi et être la personne que l'on rêve d'être? Personne que vous êtes déjà seulement vous n'y croyez pas.
Une vidéo simple qui vous donne l'occasion de faire un pas de plus vers qui vous êtes vraiment

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