Sébastien fittere hypnothérapeute et magnétiseur

12/07/2024

Il ne faut pas hésiter à se faire aider

Si l’anxiété est commune, elle peut devenir si intense et envahissante qu’elle nous fait perdre pied. Phobies, attaques de panique, troubles obsessionnels compulsifs, etc. Dans la population, 5 à 10 % des personnes sont la proie de troubles anxieux.
La peur est une réaction instinctive qui nous protège, nous permet d’anticiper et de faire face aux dangers.
parfois, elle n’a rien à voir avec la réalité, devient autonome et prend des proportions démesurées. Elle devient alors pathologique. La ligne rouge est franchie lorsque la menace semble être partout, que les pensées anxieuses s’emballent sans que la raison ne parvienne à les relativiser.
Les troubles anxieux se caractérisent par une triade de symptômes physiques, psychiques et comportementaux.
L’entourage, bien souvent, n’est pas épargné : Lorsqu’une personne empêche toute sa famille de partir en vacances par peur de prendre l’avion ou qu’elle embarque ses proches dans des systèmes de rituels et de vérifications, elle prend les autres en otage et devient malgré elle un tyran.
Les troubles anxieux se soignent efficacement aujourd’hui, mais on n’en guérit pas complètement. L’approche consiste avant tout à atténuer les symptômes et à aider à vivre avec. Elle peut faire partie du décor, mais ne doit pas être au centre de la vie.

03/07/2024

15/06/2024

Ce que nous sommes, ce que nous vivons n'est pas une fatalité. Bien trop souvent on entend dire "je suis comme ça".
Certes, une partie d'acquis nous constitue avec ce que nous apporte nos gènes.
Mais c'est loin d'être tout ce qui fait de nous ce que nous sommes.
Grace aux progrès des neurosciences, on sait maintenant que notre cerveau cherche à optimiser notre façon d'être. Il apprend par mimétisme continuellement!
Voyez comme on prend rapidement l'accent d'une région à force d'y vivre!
Comme on peut facilement prendre des tics de langage avec le fameux "au jour d'aujourd'hui" et autres fautes de Français "ceux qui voyent" a force de l'entendre.

Bien plus puissant, comme un fou rire peut être contagieux.
Les expressions, les émotions, les gestes etc... sont reproduits par la fonction miroir de nos neurones.
On voit de la violence, nos neurones la reproduise et l'impriment, se familiarisent pour mieux la reproduire.
On voit de la fraternité, nos neurones la reproduise et l'impriment, se familiarisent pour mieux la reproduire.

Allons un peu plus loin dans la réflexion: si chacun de nous est sous l'influence de ce qui lui est transmis par l'environnement dans lequel il vit, choisi ou non.
Chacun de nous a aussi le choix et le pouvoir d'apporter à ceux qui l'entourent, ce à quoi il aspire. A rayonner pleinement. Parce que c'est contagieux!!

Chacun a le pouvoir de semer au vent les graines qu'il souhaite voir germer en chacun de nous!
Ainsi chacun à sa part de responsabilité dans le monde.
libre de nourrir son esprit avec ce qu'il souhaite bon pour lui et libre de rayonner à travers ses parole, ses actes et ses émotions exprimées.

22/05/2024

La déprime peut être décrite comme un sentiment de tristesse profonde et persistante, accompagné d'une perte d'intérêt pour les activités habituelles, d'une fatigue intense, de troubles du sommeil, d'une diminution de l'estime de soi et de pensées négatives constantes. Elle peut également se manifester physiquement par des maux de tête, des douleurs musculaires, des troubles digestifs, etc.

Encore une fois il est important de différencier l'envie et le besoin. La déprime se nourrit d'ELLE même, vous coupant de toute envie qui pourrait vous aider et vous êtes de plus en plus ancrés dans cet déprime de ce fait.
Pour en sortir les PREMIERES mesures à prendre sont simples mais pas toujours faciles à mettre en place:

- Se coucher tôt
- Parler avec les autres, s'ouvrir
- Pratiquer une activité physique
- manger sainement

Mettre en place ces 4 préceptes est un bon début.

Pour une déprime c'est un minimum qui peut être suffisant, pour une dépression il est impératif de se faire accompagner en plus d'appliquer ceci.

08/05/2024

Pour sortir de la léthargie de l'hiver avec ses couleurs pâles, ses températures rigoureuses et ses journées écourtées, rien de tel que le mois de mai!!

Cette période est idéale pour lutter contre notre anxiété et notre marasme avec les journées plus longues, les températures douces et la nature en explosion de couleurs.

Voici quelques pistes et idées pour vous inspirer à reprendre l'élan dans le bon sens:

1. Sortir dehors et profiter de la lumière naturelle du soleil, qui aide à réguler les hormones du bonheur

2. Faire de l'exercice en plein air pour stimuler la production d'endorphines, les hormones du bien-être

3. Profiter des activités printanières comme les promenades, le jardinage ou le vélo pour se changer les idées et se sentir plus connecté à la nature

4. S'entourer de couleurs vives et de fleurs pour stimuler le moral et apporter de la joie dans son quotidien

5. Prendre le temps de se relaxer et de méditer en plein air pour se recentrer et apaiser l'esprit

6. Faire attention à son alimentation et privilégier les aliments frais et de saison pour faire le plein de vitamines et de nutriments essentiels au bien-être mental

7. Se fixer des objectifs ou des projets à réaliser durant cette période printanière pour se sentir motivé et dynamique.

8..... toutes les choses qui ont pu vous manquez, qui vous inspirent. Autorisez vous a les vivres, à experimenter!!

Joyeux printemps a toutes et tous!

01/05/2024

L’une des choses les plus importantes est vraiment de savoir se valoriser à sa juste valeur.
‌
Ça passe par le fait de s’encourager, de rester positif et savoir se rendre compte lorsque l’on fait de bonnes choses.
‌Savoir se valoriser à sa juste valeur c’est aussi admettre lorsque l’on est en train de faire une erreur car c’est comme cela que l’on apprend et que l’on rectifie.
‌Savoir se valoriser à sa juste valeur c’est aussi s’appuyer sur ce que l’on est réellement sans de dévaloriser pour avancer et aller de l’avant.
‌
Nous vivons dans un monde où la négativité est omniprésente.
‌
Nous vivons dans un monde où nous donnons beaucoup plus d’importance à l’avis des autres qu’à notre propre avis ou nos ressentis.
‌
Mais c’est avant tout votre vie et pour en faire la meilleure expérience pour VOUS, vous devez apprendre à vous faire confiance et à ne pas vous laisser affecter par l’avis des autres.
‌
Personne ne sait réellement qui vous êtes au plus profond de vous. N’oubliez pas que l’avis des gens sur vous n’est basée que sur ce que vous leurs permettez de voir et de savoir sur vous.
‌

18/04/2024

Nos émotions modifient considérablement notre perception du monde. Elles teintent chaque évènement, chaque interaction. Elles se manifestent physiquement, mais aussi à travers nos pensées et nos comportements. Un même film peut être vécu de façons très différentes selon notre état émotionnel.
En tenir compte et en prendre conscience permet de prendre du recul et de mieux s'adapter afin de nuancer ce que l'on vit. En prenant du recul, en étant celui qui est et qui observe, nous distinguons les contours de notre paysage émotionnel. Nous nous donnons les moyens d’en garder les meilleurs aspects (joie, amour, sérénité, compassion…) pour nous alléger des pierres que sont la colère, la tristesse, la haine…

Encore mieux! Lorsque vous savez que le comportement et les émotions des autres sont liés à leurs pensées et à leurs souvenirs, vous pouvez être curieux de savoir pourquoi ils disent ou font certaines choses, plutôt que de simplement réagir à leur comportement ou à l’expression de leurs émotions.

11/04/2024

Faire un burn out est vécu comme une faiblesse. On a failli dans notre mission.
Pourtant la responsabilité unique qui incombe à celui ou celle qui vit ce burn out a été d'avoir à cœur de bien faire.
Les gens qui n'ont rien à faire des autres, qui sont égocentriques ne font pas de Burnout.
L'idéologie de notre époque: "se donner du mal pour mériter", "accomplir son devoir de donner son maximum de façon permanente pour répondre aux attentes de performance", "toujours plus vite, plus fort, plus loin avec moins"... et tout ça avec comme seule satisfaction.. celle d'avoir atteint l'objectif fixé.. bref une auto reconnaissance bien vaine surtout quand on connait notre facilité à ne voir que nos imperfections.
Tout le monde a besoin d’être reconnu, les études qui ont été faites de manière vraiment précise montrent que le burn out vient d’abord d’une crise de la relation. C’est pas l’intensité du travail qui crée le burnout. Je peux plus parce qu’il y a quelque chose qui n’est pas reconnu, mon travail perd son sens, quelque chose devient absurde, quelque chose devient dur.
C’est vraiment très étrange qu’on ait du mal à comprendre alors que c’est l’évidence : le burnout est une maladie sociale et pas une maladie psychologique.
Quand on est reconnu dans un environnement sain avec des moyens de faire son travail on fait pas un burn out.
Donc là c’est important de réussir à repérer l’inhumanité structurelle dans lequel nous sommes. C’est le poids qu’on devrait être parfait qui nous tue et qui va entraîner le burnout. C’est pas qu’on est faillible qui entraîne le burn out, c’est le fait qu’on s’en veut d’être faillible qui entraîne le burnout.

04/04/2024

L'épanouissement sexuel n'est pas forcément accessible facilement. Qu'on soit en couple ou non, elle peut rapidement être synonyme de honte, gène, frustration, douleur, angoisse etc.. au point d'être fuie et mise de coté bien longtemps.
Vivre conformément à vos propres valeurs, désirs et intérêts librement choisis est un élément fondamental pour être en bonne santé émotionnelle.

En explorant votre sexualité, vous vous accordez la liberté d’essayer de nouvelles choses, d’être ouvert à de nouvelles idées et de grandir en tant que personne. Cela vous permet de vous connecter pleinement à votre moi authentique et d'éviter la douleur de prétendre être quelqu'un que vous n'êtes pas.
ELLE PERMET DE SE TOURNER VERS LES RELATIONS ET PARTENAIRES QUI NOUS CORRESPONDENT
Voici quelques conseils afin d'oser s'intéresser à cette partie intégrante de notre personne aussi fréquentable et légitime que les autres.
1. Testez
"Lorsque vous testez de nouvelles pratiques, vivez le moment présent. Donnez plus de place aux sensations qui vous procurent du plaisir, tout en faisant certains ajustements." – Megan Fleming

2. S'ouvrir à plus de contacts physiques. Cela peut sembler parfois insurmontable, mais progressivement un nouveau monde intérieur devient accessible ainsi qu'une relation plus saine avec l'entourage.

3. Cessez de voir le sexe comme une obligation
Dans l’idéal ce doit être un moment de pure détente et de plaisir. Il faut prendre le temps de se rendre disponible.

4. Voyez le p***o d’un autre œil
"Lorsque le p***o pose problème au sein d’un couple, ce n’est pas lui qui en est responsable mais plutôt les cachotteries qu’il engendre. Regarder du p***o à deux est un bon moyen de provoquer l’excitation. Explorez comme si vous zappiez d’une chaîne à l’autre. Vous n’êtes pas obligé d’aimer tout ce que vous verrez." – Ian Kerner, sexologue.

5. Parlez de vos fantasmes et désirs les plus secrets
"parler ouvertement des désirs et fantasmes les plus secrets, l'intimité s’en trouve renforcée, sans parler de l’excitation et de la tension sexuelle ressenties!" – Moushumi Ghose

6. oubliez le jugement.

27/03/2024

Nous subissons nos états d'âmes comme si ils étaient une fatalité, une condamnation. Ils ne sont que des messages qu'il nous faut écouter afin d'adopter le bon comportement. Encore faut il aussi avoir suffisamment de bienveillance à notre propre égard pour s'autoriser à adopter ses gestes et prendre soins de soi.

Tout est là en fin de compte.. combien d'entre nous se négligent, se sacrifient, s'oublient, voire même se détestent? et ressentent ainsi une souffrance, un mal être.

Ces petites choses au quotidien, permettent de faire chuter le cortisol (hormone du stress), de se rebooster tant moralement que physiquement, sans aucun effet secondaire négatif!

A appliquer sans modération.

21/03/2024

La violence peut avoir de nombreuses conséquences néfastes sur le développement de l'enfant, à la fois sur le plan physique, émotionnel et psychologique:

Effets physiques: La violence peut entraîner des blessures physiques directes, telles que des ecchymoses, des fractures ou des blessures internes. Des traumatismes physiques peuvent également affecter le développement normal du cerveau et du système nerveux de l'enfant.

Problèmes de santé mentale: Les enfants exposés à la violence ont un risque accru de problèmes de santé mentale, tels que l'anxiété, la dépression, le trouble de stress post-traumatique (TSPT) et les troubles de l'attachement. Ces problèmes peuvent persister à l'âge adulte si l'enfant ne reçoit pas un soutien adéquat.

Difficultés relationnelles: La violence peut avoir un impact négatif sur le développement de la capacité à former et à maintenir des relations saines. Les enfants ayant été exposés à la violence peuvent avoir du mal à établir des liens de confiance avec les autres et à exprimer leurs émotions de manière appropriée.

Troubles du comportement: L'exposition à la violence peut entraîner des troubles du comportement, tels que l'agressivité, la colère incontrôlée, le retrait social ou la délinquance. Ces comportements peuvent interférer avec l'apprentissage et l'adaptation scolaire.

Baisse des performances scolaires: Les enfants exposés à la violence peuvent avoir des difficultés en raison de problèmes de concentration, d'anxiété ou de troubles du sommeil. Ils peuvent également présenter un désintérêt pour l'apprentissage en raison de leur exposition continue à des environnements violents.

Cycle de violence: Les enfants ayant été témoins ou victimes de violence ont tendance à reproduire ce modèle de comportement à l'âge adulte. Cela peut perpétuer un cycle de violence générationnel au sein des familles et des communautés.

Un soutien et une intervention précoce sont essentiels pour atténuer ces conséquences et promouvoir un développement sain.

14/03/2024

Quelle habitude fâcheuse, nous avons toutes et tous à utiliser le "oui... mais..." dans nos conversations et nos réflexions.
Nous sommes cernés par les « Oui, mais… », même les nôtres.
Le "oui, mais..."
– freine la création, l’optimisme, l’innovation, l’efficacité et la dynamique de groupe, qu’elle soit dans l’entreprise ou familiale.

– parasite la coopération, le changement, l’écoute, la relation et la créativité.

– C’est un empêcheur d’avancer
« Oui, mais ça ne marchera jamais », « Oui, mais ça ne sert à rien »… Le changement génère des résistances qui s’expriment par le « Oui, mais ».

Nous disons « Oui, mais… » lorsque nous voulons avoir raison, quand nous résistons au changement. un refuge dans le déni qui nous empêche de nous ouvrir, d’écouter et de sortir de notre zone de confort.

C'est un moulin pessimiste interne qui freine votre confiance et votre estime de soi !

On peut s'amuser à inverser les justifications et voir ce que cela fait:
"oui, j'ai faim, mais il faut faire la cuisine.. " deviendrait "oui, il faut faire la cuisine, mais j'ai faim". et là toute l'Energie est modifiée.. la résistance désamorcée.
On peut remplacer le oui mais, par oui et. ca marche bien aussi et ça demande un travail de créativité afin de nourrir ce "et".

prets à laisser tomber cette mauvaise habitude? en famille, au travail et avec soi?