Valérie SEILIEZ-Pelhate - Kinesiologue

Valérie SEILIEZ-Pelhate - Kinesiologue La Kinésiologie est une méthode de libération de stress. Elle rétablit l’énergie vitale du co

19/09/2025
17/09/2025

🚀 Cette semaine démarré fort pour la kinésiologie !

Nous avons eu le plaisir de présenter le tout premier Référentiel Métier de la Kinésiologie à l’ensemble de la profession 🎉

📖 Ce document, attendu depuis longtemps, est le fruit d’un travail collectif entre adhérent·es et organisations membres de l’Intersyndicale de Kinésiologie.

Un grand MERCI ❤️ à toutes celles et ceux qui ont consacré des heures de réflexion, d’échanges (parfois passionnés 😉) et de mise en forme pour aboutir à un texte clair et fédérateur.

👉 Très bientôt, il sera disponible en consultation sur le site de l’IDK et sur nos sites respectifs.
Mais alors, à quoi sert-il ❓

✅ Aux futurs apprenants : comprendre ce qu’est une formation de qualité et accéder à un métier avec de solides compétences.
✅ Aux kinésiologues : un cadre rassurant et une reconnaissance professionnelle.
✅ Aux usagers : choisir un praticien en toute confiance et savoir à quoi s’attendre lors d’une séance.
✅ Aux acteurs de santé, du travail et de l’intérieur : un outil d’information fiable pour mieux connaître notre métier.

✨ En résumé : un pas de plus vers la reconnaissance, la clarté et la confiance dans notre belle profession ✨

12/09/2025
06/08/2025

Le triangle dramatique de Karpman, est un modèle psychologique très puissant pour comprendre les relations toxiques, les incompréhensions émotionnelles, et les jeux de rôle inconscients.

Le triangle dramatique : une mécanique relationnelle inconsciente

Inventé par Stephen Karpman (psychologue américain), ce triangle montre que dans certains échanges humains
– surtout conflictuels ou déséquilibrés émotionnellement
– les personnes peuvent entrer dans un jeu de rôle inconscient, basé sur trois pôles :

Les 3 rôles du triangle :

Rôle Position de départ Dynamique principale Exemple typique

La Victime "Pauvre de moi..."
Recherche un sauveur ou accuse un bourreau "Pourquoi ça n'arrive qu’à moi ?"

Le Sauveur "Je dois t’aider…" Aide l’autre sans qu’on lui ait demandé "Laisse, je vais m’en occuper."

Le Bourreau "C’est ta faute…" Juge, critique, punit "Tu n’as encore rien fait correctement !"

Ces rôles sont interdépendants : l’existence de l’un appelle les deux autres. Par exemple, une victime cherche un sauveur, ou dénonce un bourreau. Un sauveur finit par être perçu comme envahissant (bourreau), ou frustré de ne pas être reconnu (victime), etc.

Les glissements de rôle : pourquoi le sauveur devient bourreau ou victime

Souvent le sauveur de la victime passe pour un bourreau et devient lui-même victime

Et tu as parfaitement résumé ce que beaucoup vivent sans le comprendre.

Pourquoi le sauveur devient bourreau ?

Il donne sans compter, parfois sans qu'on lui ait demandé.
Il attend de la reconnaissance, mais n’en reçoit pas forcément.
Il intervient à la place de l’autre, l’empêche de grandir.

Quand la personne aidée rejette ou résiste, le sauveur peut :

se fâcher,
se montrer dur,
ou poser des limites (perçues comme de la cruauté).

Il est alors vu comme le "méchant", alors qu’il pensait bien faire.

Pourquoi le sauveur devient victime ensuite ?

Parce qu’il se sent incompris, rejeté, accusé à tort.
Il peut dire : « Après tout ce que j’ai fait pour toi… »
Il ressent un sentiment d’injustice, voire de trahison.
Il s'effondre émotionnellement, ou culpabilise.

Ainsi, il passe par les 3 rôles du triangle :
Sauveur ➜ Bourreau (dans les yeux de l’autre) ➜ Victime (dans sa propre souffrance).

Les causes profondes : pourquoi on entre dans ces rôles

Ces rôles ne sortent pas de nulle part. Ils sont souvent le fruit :

D’un conditionnement personnel :

Le sauveur vient souvent d’un besoin d’être aimé, reconnu, utile.
Il a appris (enfant, souvent) que s’occuper des autres est la seule façon d’être accepté.
Il a pu vivre dans une famille où il fallait « réparer » les choses ou les gens.

D’un manque d’estime de soi :

Aider donne au sauveur une valeur extérieure.
Mais au fond, il ne se sent pas digne sans cette mission.

De blessures d’enfance :

Abandon, rejet, humiliation, injustice…

Ces blessures nous font porter des masques relationnels, comme celui du sauveur, du persécuteur ou de la victime.

Les dangers du triangle dramatique

Le triangle devient toxique quand il se répète de manière chronique dans une relation.

Pour le sauveur :

Épuisement émotionnel
Sentiment d’être utilisé
Colère refoulée

Perte de son identité hors du rôle d’aidant

Pour la victime :

Dépendance affective
Infantilisation
Incapacité à se responsabiliser

Pour le bourreau :

Isolement
Culpabilité refoulée
Rigidité émotionnelle

Comment sortir du triangle

La clé pour sortir de ce schéma est de devenir conscient du rôle qu’on joue et de le remplacer par une posture saine.

Rôle toxique Rôle sain à adopter

Victime
Responsable "J’ai du pouvoir sur ma vie."

Sauveur
Coach / Supporter "Je t’aide si tu le veux, mais tu es acteur."

Bourreau
Confrontant bienveillant "Je pose mes limites sans agresser."

Pratiques :

1. Observer ses automatismes relationnels (sans jugement).

2. Dire non sans culpabilité.

3. Laisser l’autre vivre ses expériences sans vouloir tout contrôler.

4. Exprimer ses besoins clairement, pas par la manipulation ou le sacrifice.

5. Se reconnecter à soi : Qui suis-je en dehors de mes rôles ?

Un dernier mot : transformer les rôles

Chaque rôle contient une lumière cachée :

Le sauveur a un cœur généreux, il doit apprendre à aider sans se nier.

Le bourreau a une force de structure, il doit apprendre à exprimer ses limites sans dominer.

La victime a une sensibilité profonde, elle doit apprendre à se relever.

La transformation, ce n’est pas de rejeter ces rôles, mais de les faire évoluer vers la maturité.
Le secret des druides

05/08/2025

« Je pensais que ma mère aimait plus mon frère… »
Et non… ce n’était pas du favoritisme.
C’était une blessure que je ne connaissais pas.

Chaque enfant connaît une version différente de sa mère.
L’un l’a connue forte… un autre, épuisée.
L’un l’a faite rire… un autre pleurer.
L’un est arrivé quand elle rêvait encore…
Et un autre, quand on voyait déjà dans son regard les rêves qu’elle avait abandonnés.

Ce n’est pas qu’elle aimait plus l’un que l’autre…
C’est que chacun a occupé un coin différent de son âme.

🧩 L’un avait besoin de plus de temps.
🧩 Un autre, de plus de patience.
🧩 Et il y en a un qui avait seulement besoin qu’elle ne s’effondre pas…
Et c’est pour ça qu’elle faisait semblant d’aller bien.

Parfois, on croit que maman a un préféré parce qu’on voit le câlin…
Mais pas l’histoire.
On voit le silence…
Mais pas tout ce qu’elle a dû taire.
On voit qu’elle donne plus…
Sans voir à qui cela a coûté le plus.

Parce que oui :
L’enfant qui a reçu le plus de câlins était peut-être celui qui était le plus brisé.
Celui qui semblait avoir tout facilement,
Était peut-être celui qui s’était le plus perdu en chemin.
Et celui qui ne demandait jamais rien…
Était celui qui avait appris à ne pas avoir besoin.

Une mère n’aime pas avec une justice mathématique.
Elle aime avec ce qu’elle a.
Avec ce qu’il lui reste.
Elle aime depuis la fatigue,
Depuis son intuition,
Depuis sa peur d’échouer.

T’es-tu déjà demandé pourquoi elle ne t’a pas pris plus souvent dans ses bras ?
Peut-être qu’elle pensait que tu étais fort.
Peut-être qu’elle n’avait plus la force.
Peut-être qu’elle attendait, elle aussi, un câlin de toi…

Elle a été femme avant d’être mère.
Fille avant d’être guide.
Et elle a dû apprendre seule à répartir son âme entre plusieurs enfants
Sans se briser entièrement.

Ne juge pas son amour à ce qu’elle a fait.
Reconnais-le à ce qu’elle a sacrifié en silence.
Aux larmes qu’elle a séchées sans que tu le voies.
Aux fois où elle a préféré souffrir seule,
Pour que tu ne te sentes pas coupable.

Et si tu l’as encore près de toi… regarde-la à nouveau.
Ce n’était peut-être pas un manque d’amour.
C’était une façon de te protéger… à sa manière.

N’attends pas de la perdre pour la comprendre.
N’attends pas d’être parent pour lui pardonner.
Et n’attends plus pour lui dire ce qu’elle a toujours voulu entendre :
« Merci, maman. De m’avoir aimé… même quand je ne l’ai pas compris. »

Chaque enfant occupe une place différente dans le cœur de sa maman…
Et même si tous ne le comprennent pas de la même façon, cet amour a toujours été là.
Il parlait simplement un langage différent.

— Make Me Read ©️✍️

04/08/2025

" Rire, c’est risquer de paraître idiot. Pleurer, c’est risquer de paraître sentimental. Aller vers quelqu’un, c’est risquer de s’engager. Exposer ses sentiments, c’est risquer d’exposer son moi profond. Présenter ses idées, ses rêves à la foule, c’est risquer de les perdre. Aimer, c’est risquer de ne pas être aimé en retour. Vivre, c’est risquer de mourir. Espérer, c’est risquer de désespérer. Essayer, c’est risquer d’échouer.
Mais il faut prendre des risques car le plus grand danger de la vie, c’est de ne rien risquer du tout. Celui qui ne risque rien ne fait rien, n’a rien, n’est rien. Il peut éviter la souffrance et la tristesse mais il n’apprend rien, ne ressent rien, ne peut ni changer ni se développer, ne peut ni aimer ni vivre. Enchaîné par sa certitude, il abandonne sa liberté".
Sœur Emmanuelle

Julie World Tree Photographie

20/07/2025

Et si ton enfant vivait encore en toi, même des années après sa naissance ?

Ce n’est pas une image.
C’est un fait scientifique : quand une femme est enceinte, des cellules du bébé migrent dans son corps. Elles circulent dans son sang et s’installent dans ses organes.

Ce phénomène porte un nom : le microchimérisme fœto-maternel.

Pendant la grossesse, des millions de cellules fœtales franchissent le placenta et voyagent jusqu’au cœur, au foie, à la peau… et même au cerveau de la mère.
Des études ont montré que ces cellules peuvent survivre plus de 18 ans dans le corps maternel.

Mais ce n’est pas tout.

Quand une maman subit un traumatisme (un infarctus, par exemple), ces cellules peuvent se déplacer jusqu’à la blessure, et se transformer pour aider à la réparer.
C’est un peu comme si l’enfant venait, d’instinct, soigner sa maman. (OMG je pleure ! 🥺)

Et même si la grossesse s’arrête, même en cas de fausse couche ou d’IVG, ces cellules peuvent rester.
Une trace invisible, mais bien réelle.
Une empreinte d’amour, incrustée dans les tissus.

Certaines hypothèses scientifiques avancent que ce mécanisme expliquerait pourquoi certaines maladies auto-immunes s'améliorent temporairement pendant la grossesse.

Le corps maternel protège l’enfant, et l’enfant, à sa façon, protège sa mère.

Tu ne rêves pas. Tu ressens.

La science commence à expliquer ce que tant de mères sentent au plus profond d’elles-mêmes.

🩸 ce lien subtil qui perdure,
🩸 ce ressenti quand ton enfant a besoin de toi, même à distance,
🩸 cette sensation qu'il est toujours là, quelque part.

Parce que oui, tu le portes encore en toi.

Et c'est peut-être l'une des plus belles choses que la biologie ait mise en lumière ❤️

Adresse

11 Rue Challemel Lacour
Avranches
50300

Heures d'ouverture

Lundi 09:00 - 19:00
Mardi 09:00 - 19:00
Mercredi 09:00 - 12:00
Jeudi 09:00 - 19:00
Vendredi 09:00 - 19:00
Samedi 09:00 - 13:00

Téléphone

06.15.40.53.65

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