Adeline Ferlin Enseignement spirituel

Adeline Ferlin Enseignement spirituel Analyste praticienne spécialisée dans l'éveil à soi et spirituel- L'Éveil, passage à la pleine conscience - Guérison, passage à la pratique alchimique

Praticienne et formatrice en développement personnel et spirituel. Guide et guérisseuse d’âme je vous aide à vous transformer vos blessures existentielles pour évoluer à l’échelle de votre vie et votre âme. Je vous guide sur votre chemin de vie. L’art de guider n’est pas de trouver les bonnes réponses mais de savoir poser les bonnes questions pour vous aider à trouver vos réponses.

Le besoin de reconnaissance est parfois tel que l’être humain, cette âme incarnée  dans la matière, est prêt parfois à t...
31/10/2025

Le besoin de reconnaissance est parfois tel que l’être humain, cette âme incarnée dans la matière, est prêt parfois à tout, même les actes les plus incompréhensibles, pour exister aux yeux des autres.
Se créer un personnage de toute pièce, se raconter une vie, s’inventer des drames par exemple permettent d’attirer l’attention, l’empathie, la compassion. Oui, il arrive que beaucoup mentent sur leur existence pour aller chercher l’humanité chez les autres et enfin exister, compter.
Cela choque, trouble et beaucoup se sentent trahis quand ils découvrent la vérité, le poteau rose. Se sentent manipulés dans leur propre humanité ils ne comprennent pas comment on peut en arriver là d’où la difficulté à accepter que cela puisse exister dans la réalité autre que la leur.
Pourtant cela s’explique par un décalage de conscience et surtout existentiel. Ils arrivent à être authentiques et pensent alors que c’est accessible et simple pour les autres.
Non ce n’est pas simple à atteindre. C’est un chemin. Il y a ceux et celles qui le démarrent, qui le parcourent encore et qui le terminent.
Et les humains n’acceptent pas ce décalage de parcours qui expliquent pourtant tant de choses et tant de différences dans les postures et comportements.

Il est si facile de critiquer ceux qui le commencent et cherchent la reconnaissance comme ils le peuvent à ce moment là.
Il est normal de le chercher avant toute chose dans le regard des autres et d’utiliser les effets miroirs.
La subtilité est nichée dans l’interprétation de ces derniers.
Ils oublient que eux aussi ont gravi cette montagne de l’accomplissement et sont passés par des étapes qu’ils ne comprennent plus aujourd’hui.

Alors non il ne faut pas oublier le chemin, il faut se souvenir avec humilité de nos erreurs passées car ce sont elles qui permettent d’atteindre des sommets, de changer, de se transformer et d’arriver à se reconnaître non plus dans le regard deAdeline Ferlin Enseignement spirituelqui devient de plus en plus clairvoyant et surtout plus juste.

Adeline Ferlin Enseignement spirituel

Le mot détachement émotionnel porte à confusion. Vous voyez cette image? Et bien quand c’est comme ça on préfère tout ef...
29/10/2025

Le mot détachement émotionnel porte à confusion.
Vous voyez cette image? Et bien quand c’est comme ça on préfère tout effacer et faire une page blanche comme si tout cela n’existait pas. Et quand ça touche un lien avec une perosnne, on efface la personne. C’est une façon de se débarrasser du problème en quelque sorte.

Beaucoup pensent qu’il ne faut plus avoir ou ressentir des émotions , comme s’en fo**re en quelque sorte. Et bien pas du tout. Le détachement est de savoir mettre du discernement entre ce qui nous appartient et appartient à l’autre mais cela ne veut pas dire ne plus avoir d’émotions, ni se détacher affectivement vis à vis de l’autre en devenant presque froid ou indifférent.
Il est possible de couper avec une personne et être affectée par cette coupure tout en sachant que c’est nécessaire pour soi.
Lutter contre ses émotions n’est pas la solution. Je peux être attaché à une personne, ressentir certaines émotions en fonction d’une situation dans la relation à l’autre et faire tout autant preuve de dicernernement, ne pas tout mélanger, faire la part des choses. Je peux apprendre à me détacher de la personne dans le sens ne plus avoir d’attente vis à vis d’elle ou choisir de m’en éloigner, mettre de la distance pour me préserver ou d’autres raisons qui expriment surtout la nécessité de se protéger d’une situation souvent souffrante, déséquilibrée ou malsaine ( pour soi). Mais cela et j’insiste ne veut pas dire que c’est facile ou que je m’en fiche.

Beaucoup pensent comprendre la théorie du détachement émotionnel et moi je pense que peu la comprennent et la pratiquent.

Se détacher émotionnellement signifie concrètement détacher, dans le sens discerner, ses propres émotions de celles des autres pour identifier celles qui m’appartiennent et celles qui appartiennent aux autres, même si forcément elle sont en résonance.
Cela apprend à être responsable des siennes mais pas de celles des autres même si cela n’empêche en rien la compréhension ou de l’empathie vis à vis des siennes.

Et oui ce serait tellement bien de ne plus en avoir comme ça plus de sujet, plus de problèmes!!! Mais cela ne fonctionne pas ainsi alors jouer l’indifférence , le désintérêt pensant que c’est du détachement est un leurre.
C’est comme vouloir se détacher de sa propre sensibilité et de son intelligence émotionnelle mais parfois il est vrai que tant rêvent de ne plus en avoir, ou en avoir moins alors ils essayent de s’en couper et se confondent avec le détachement.

C’est un faux détachement qui se donne des airs de faux semblant car sachez qu’essayer de s’en fo**re, de faire comme si rien ne pouvait vous toucher, en général c’est tout l’inverse. C’est l’expression de ce que vous aimeriez être pensant que ce serait plus facile et simple ainsi. Se détacher avec de la froideur, du désintérêt, parfois jusqu’au mépris n’est pas du détachement émotionnel vous l’aurez compris.

La veritable indifférence ne rend ni froid ni insensible puisque c’est une indifférence naturelle. Cela arrive à tout le monde. Il est possible effectivement de ne rien ressentir de particulier, de n’avoir aucun intérêt ou élan naturellement. Cela doit rester naturel sans faire semblant que ce soit naturel si ce n’est pas le cas. Il est donc possible de n’avoir aucun intérêt pour un sujet ou une personne et de s’arrêter à la base du respect et de la politesse.

Au-delà de cette possibilité, le détachement est donc un acte de discernement permettant une prise de conscience, à savoir l’origine de à l’appartenance de l’émotion en question « Ce n’est pas à moi, cela lui appartient » tout en acceptant sa propre émotion ou pas générer en retour.

Il faut arrêter de croire que le détachement émotionnel suggère de ne ressentir aucune émotion. Ce n’est pas une règle absolue ni la finalité. Parfois arriver à se détacher facilement de quelqu’un prouve peut être que soit le deuil affectif a déjà été fait soit nous étions pas si attaché que cela finalement. Ça vaut pour les autres à notre égard. Arriver à nous sortir de leur vie du jour au lendemain prouve aussi la place que nous avions réellement pour eux dans leur existence.
Il est plus facile d’en faire le deuil en réalisant que cette façon de faire ne correspond pas à son propre système de valeurs. Il est légitime de se sentir déçu et blessé par le faux détachement. Le vrai détachement n’agit pas de la sorte même si il peut générer une éloignement. Il y a des façons de faire qui se distinguent nettement entre les 2.

Je ne sais pas si je suis claire alors n’hésitez pas à me poser des questions si besoin 🙂

Adeline
Adeline Ferlin Enseignement spirituel

Quelques mots sur le dictat de la joie. " Il faut arrêter de faire croire ou de vendre la joie comme finalité à atteindr...
10/10/2025

Quelques mots sur le dictat de la joie.

" Il faut arrêter de faire croire ou de vendre la joie comme finalité à atteindre dans le processus de guérison. Cela porte à confusion et définit les états de tristesse comme anormaux. De plus, cela provoque un sentiment d’échec et de culpabilité.
Quand on travaille sur une blessure profonde, il est nécessaire de plonger en elle et c’est tout sauf joyeux, léger et agréable.
Et au-delà de la guérison, quand celle-ci est atteinte grâce à un acte de transformation et de pratique, il faut tout autant arrêter de croire que la joie sera alors permanente et ne partira plus.
Il y aura des jours et parfois des mois sans joie, cela arrivera encore. Il y aura des jours de pluie, de chagrin, de difficultés tout comme des jours de soleil et de douceur.
C’est une fausse croyance que de mettre cela dans la tête des gens. À part les mettre sur une fausse piste, je ne vois pas pourquoi la pluie disparaîtrait de notre existence.
Il est normal d’exprimer son manque quand elle n’est plus là, d’y réagir et de s’interroger, mais de là à vouloir atteindre un état permanent de joie alors même que dans cette étape de vie précisément le sujet abordé est la blessure, j’estime cela irréaliste et inhumain.
Oui, on peut perdre la joie, mais cela n'a rien de ferme et définitif, c'est passager. Quand ce passage est long, pas mal de personnes peuvent commencer à paniquer et à s'interroger quant à son retour. Il faut comprendre que c'est à l'échelle de ce qui demande à être guéri, transformé. Sur le cas de blessures existentielles, vu que ce sont des transformations longues, le manque profond de joie est légitime. Le temps sans elle semble bien trop long et il est vrai que sur la durée, les moments de doutes quant à son possible retour s'expliquent.

La peur de son non-retour se manifeste clairement. "J’ai si peur de l’avoir perdue et qu’elle ne revienne jamais. Pourquoi m’a t’elle quittée ? Va t’elle revenir ? Je m’inquiète de sa disparition. J’ai peur qu’elle ne revienne pas, jamais, à finir ma vie sans elle." Cette disparition tourmente et inquiète plus qu'il n'y paraît, car sans elle, la vie n’a pas la même saveur.

Oui, cela est vrai, c’est plus dur de vivre sans la joie de vivre. C’est aussi pour cela que l’on cherche tant à la retrouver, mais pour cela, il est nécessaire d'accepter un processus, des passages de vie sans elle.
Vivre sans elle permet de réaliser son importance, sa place, car effectivement, la joie de vivre change du tout au tout. Mais la joie de vivre ne se contente pas de le désirer, faut-il savoir aller la chercher, la gagner. C’est même la principale motivation pour avancer et se transformer, faire des efforts, tenir la distance, ne pas se lâcher dans ce long processus. La guérison est telle une reconquête de sa joie intérieure, et celle-ci se transforme tout autant, s'installe différemment et plus les guérisons sont profondes plus la joie devient elle-même profonde. La joie de surface devient la joie profonde.

Ne croyez jamais qu’elle disparaît. Elle est là en chacun de nous. Ce n’est pas son moment voilà tout. Ce n’est pas parce qu’elle n’est plus là, qu’elle ne reviendra pas. On ne perd pas la joie, on la transforme, on la gagne.

Les blessures existentielles, assimilées à du plomb, sont - par définition et logiques - lourdes, pénibles, désagréables et très douloureuses. S’y plonger est difficile, courageux et nécessite de faire un plein focus dessus et dans ces moments-là, il est normal de ne pas du tout ressentir la légèreté, donc rien d’anormal dans le processus. Le plomb non transformé est lourd et il est incohérent de demander de la légèreté.
Il est donc normal que la légèreté puisse manquer sur la durée et avoir la sensation de l'avoir totalement perdue. Mais c'est faux, elle reviendra progressivement à la condition de faire le travail nécessaire de transformation. Je répète ce retour sera progressif et la joie différente aussi car plus profonde aussi.
La joie s’installera à la place du plomb.

Alors quand elle vous manque, quand vous avez la nostalgie de la joie, ne pensez pas que vous la perdez, mais dites vous que vous êtes justement en chemin, en travail pour la retrouver, l’ancrer au plus profond de vous. Elle vous guide vers elle et non vers sa perte, c’est tout le contraire. Alors dans ce brouillard, gardez l'espoir de son retour. N'en doutez pas. Ayez foi au processus de vie et tout ce qu'il faut parfois traverser pour la retrouver, elle si chère à nos coeur. "

Adeline Ferlin -Octobre 2025
Merci de respecter l'intégralité du texte et la source svp.
Adeline Ferlin Enseignement spirituel

Il faut arrêter de faire croire ou de vendre la joie comme finalité à atteindre dans le processus de guérison. Cela porte à confusion et définit les états de tristesse […]

Qui a la sensation de n'être que utile et pratique pour les autres? Qui souffre de ne pas se sentir assez inutile pour e...
08/10/2025

Qui a la sensation de n'être que utile et pratique pour les autres? Qui souffre de ne pas se sentir assez inutile pour eux, apprécié et côtoyé simplement pour ce qu'ils sont sans être forcément utile, leur servir à quelque chose?
Les blessés de l'utilité existent.

Mon dernier article est un ligne:

https://adelineferlin.com/la-blessure-de-lutilite/

Bonne journée
Adeline Ferlin Enseignement spirituel

Il y a des personnes qui souffrent de se sentir inutiles et il y a celles qui, à l’inverse, souffrent d’être uniquement utiles et pratiques. Elles ont aussi envie d’être […]

"Se choisir est simple à dire.Se choisir est simple à décider.Se choisir n’est pas simple à assumer, à faire.Se choisir ...
19/09/2025

"Se choisir est simple à dire.
Se choisir est simple à décider.
Se choisir n’est pas simple à assumer, à faire.
Se choisir demande de ne plus choisir systématiquement les autres, ne plus aller par défaut dans leur sens quand ce n’est pas son sens à soi.

Se choisir sera difficile, car il faudra s’écouter, s’entendre, se considérer, se prendre au sérieux, oser s’affirmer sans s’imposer, rester fidèle à soi.
Se choisir demandera une pleine acceptation de soi, aucun rejet, seulement du respect et d’être honnête avec soi-même.
Pour cela, il faut se connaître, se reconnaître et donner de la valeur à qui je suis, même si cela n’en a pas pour les autres, même si personne ne me comprend, ne me soutient.
Se choisir demandera de passer à côté de certaines choses, de l’abnégation, ne jamais perdre de vue qui je suis et ce que je veux aujourd’hui.
Se choisir demandera d’accepter d’avoir le mauvais rôle pour ceux que l’on ne choisit pas.
Se choisir ne sera pas abandonner les autres, manquer de compassion, d’empathie ou de présence.
Se choisir n'est pas une flèche qui blesse, n'est pas un acte blessant en soi et n'a rien de malveillant.
Se choisir sera d’assumer et de tolérer sa différence.
Se choisir demandera du discernement, de ne plus s’oublier dans l’équation et ne plus compter pour du beurre.
Se choisir signifiera ne plus se rejeter, s'abandonner, se trahir, se maltraiter, se fuir, se faire transparent. Se choisir dérangera.

Se choisir, c'est apprendre à être juste avec soi, se donner autant de valeur et d'importance que les autres. Se choisir demandera parfois de se prioriser, mais parfois choisir l'autre sera tout autant ma priorité aussi.

Se choisir est une preuve d’amour et la seule qui tienne à jamais. Cette fidélité absolue de soi à soi n’a rien d’égoïste là-dedans.

Parfois, dans ce méli-mélo de mots, beaucoup se perdent ne sachant pas par quoi et où commencer.
Alors avant toute chose, avant de savoir où aller et vers quoi, marches vers toi, vers qui tu es et prends le temps de rentrer chez toi, de te visiter, te découvrir, te connaître, de faire connaissance avec toi-même.
Et tu verras, tu sauras où aller. Personne ne peut le savoir à ta place, car personne n'est toi.

La force créatrice est celle du tisserand, celle de l'araignée tissant sa toile progressivement. La soie qu'elle produit elle-même est telle la racine qui se prolonge, s'enfonce et s'ancre un peu plus profond et loin. Cette même racine t'élève plus haut. Plus tu te connaîtras plus tu t'affirmeras et plus tu exprimeras qui tu es et n'es pas ici et maintenant.
Le choix ici sera de t'assumer dans ta singularité et tu verras ta toile ne ressemblera à aucune autre.
Ce n'est pas important de savoir comment sera ta toile, la forme qu'elle aura. Ce qui compte, c'est de comprendre que tu la découvriras au fur et à mesure que tu chemines, en la créant toi-même et la vie t'accompagne à chaque instant grâce à ton chemin à ta création. N'oublie pas que tu es sa création. Fais-lui confiance.

Ainsi se choisir, c'est choisir la force créatrice de la vie, de l'inconnu, du mouvement, du changement, de l'évolution.

Le choix de soi ne signifie en rien le non-choix des autres. Je peux me choisir et te choisir comme tu peux te choisir et ne pas me choisir.
C’est une liberté qui se respecte et dont on prend soin.
C’est du courage, de la loyauté et de la sincérité envers soi et les autres.

Se choisir ne signifie en rien ne plus ou moins aimer. Au contraire.
Se choisir est un engagement fort et puissant auprès de soi et des autres encore une fois, car en assumant ce choix personnel, tu inspires les autres à le faire, car se choisir, c'est être libre d'être soi, sans attendre d'être aimé des autres ou leur accord, aval, acceptation pour le faire.

Seul le génie est celui qui libère sa créativité, l'expression de son soi vers l'extérieur sans rien chercher ni attendre des autres.
Libéré du regard des autres, le génie ne cherche pas à plaire, à devenir populaire, connu et reconnu des autres. Il exprime sa vision du monde par son prisme intérieur sans chercher à être compris, aimé, admiré.
Le génie n'est pas une personne qui invente quelque chose, c'est lui l'invention de la vie, il doit réaliser que c'est lui-même la création et sa seule mission est d'oser l'incarner. "
https://adelineferlin.com/oser-se-choisir/

Adeline Ferlin Enseignement spirituel

Se choisir est simple à dire.Se choisir est simple à décider.Se choisir n’est pas simple à assumer, à faire.Se choisir demande de ne plus choisir systématiquement les autres, ne plus […]

Peu réalisent ce qu’implique aller à son essentiel. Le tri se fait jusqu’à ressentir comme une forme de désert autours d...
17/09/2025

Peu réalisent ce qu’implique aller à son essentiel. Le tri se fait jusqu’à ressentir comme une forme de désert autours de soi. Beaucoup évoquent un vide souvent social comme si il n’y avait plus rien ou plus grand chose.
Beaucoup pensent avoir des problèmes de sociabilisation et les justifient par de nouveaux blocages. Peu réalisent qu’ils n’ont aucun soucis, juste qu’ils ne vont plus vers les autres pour les mêmes raisons, que c’est la conséquences directe de leur guérison, transformation intérieure.
Se libérer et s’émanciper de ses dépendances, du regard des autres pour exister change toute la donne.
Plus on va vers son essentiel moins il y a de monde et c’est raide à avaler.
Fait donc arrêter de croire que c’est facile à vivre. C’est juste différent et les rencontres authentiques se font plus rares mais elles ont toujours été rares et cela peu le comprennent.

L’exigence de l’essentiel est de privilégier tout ce qui compte vraiment pour soi aujourd’hui. On ne va plus vers les autres pour les mêmes raisons ce qui expliquent qu’il y a des mouvements d’avant correspondant à notre ancienne version qui ne se font plus.
Le changement s’incarne et perturbe plus qu’on ne le croit. On s’allège et ne s’embarrasse plus alors forcément ça fait de la place.

Nos besoins ne sont plus les mêmes. On va vers les autres si on en a envie d’y aller et non plus pour combler des trous, des failles qui n’existent plus.
Tout change dans nos façons d’interagir avec le reste du monde puisque nous avons nous même changé.
La vie fait le tri cela est vrai mais c’est chacun de nous qui l’avons choisi.

L’essentiel s’assume et la vie nous prive de rien, au contraire.
Alors il est essentiel de s’interroger sur ce que signifie l’essentiel pour soi aujourd’hui et d’y rester fidèle.

Quand l’essentiel s’incarne réellement autours de soi, quand ce souhait est en cheminement, s’atteint, combien se sentent perdus, seuls, désorientés et comptent sur les doigts de la main ce qu’ils ont focalisant sur la quantité et non la qualité.

Alors oui je le redis, vous n’avez pas de problème ou difficulté de socialisation, vous n’avez juste plus envie de cela ou de cela. Et je vous rassure que si vous avez envie d’y aller, vous irez. Oui cela devient plus rare simplement parce que vous vous savez ce que vous voulez, ce qui vous intéresse comme ce que vous ne voulez plus et ne vous intéresse plus. Cela ne signifie pas que plus rien ne vous inspire ni ne vous attire.
C’est votre essentiel qui vous guide et vous a toujours guidé car c’est un long chemin que de s’y diriger et progressivement l’atteindre.

Adeline Ferlin Enseignement spirituel

« Dans la quête amoureuse, cet idéal du tout, il y a une grande différence entre vouloir être Tout pour l’autre et aspir...
16/09/2025

« Dans la quête amoureuse, cet idéal du tout, il y a une grande différence entre vouloir être Tout pour l’autre et aspirer à être aimé, respecté et accepté dans son Tout imparfait. Faut il encore savoir le faire vis à vis de soi et de l’autre. »

Adeline Ferlin Enseignement spirituel

Pour tous les abandonnés et les orphelins de la viehttps://adelineferlin.com/les-orphelins-de-la-vie/Adeline Ferlin Ense...
05/09/2025

Pour tous les abandonnés et les orphelins de la vie

https://adelineferlin.com/les-orphelins-de-la-vie/
Adeline Ferlin Enseignement spirituel

Les orphelins de la vie sont ceux qui se retrouvent souvent livrés à eux-mêmes et doivent se débrouiller seuls.Au cœur de l’abandon, ils ne se sentent pas soutenus et ne […]

Et si guérir n'était pas ce que l'on pense?Beaucoup aiment à penser que guérir permettra de ne plus souffrir et surtout ...
04/09/2025

Et si guérir n'était pas ce que l'on pense?
Beaucoup aiment à penser que guérir permettra de ne plus souffrir et surtout de ne plus avoir d'épreuves. Cela donne la sensation de mettre un terme à la souffrance et qui ne le souhaite pas ?

Guérir est un acte de transformation intérieure permettant de se servir d'une blessure passée pour avancer autrement et différemment. Penser et croire profondément que son être est à l'origine du comportement des autres est par exemple une confusion qui blesse encore plus. Penser que guérir changera le comportement des autres est une fausse croyance. Une personne qui est rancunière, irresponsable et cherche toujours un fautif, une excuse ou un coupable pour justifier ses actes n'a pas encore les ressources pour faire preuve de pardon, tolérance, assumer la pleine responsabilité de ses actes et cela n'a rien à voir avec soi. Et il est normal de mal le vivre, de réagir à cela et que cela puisse blesser encore. L'ignorance touche et heurte toujours, que ce soit celle des autres ou la sienne.

La guérison n'empêche en rien la souffrance à venir. Faut-il encore savoir de quelle souffrance on parle. Penser que guérir de sa propre confusion fera que l'on ne souffrira plus de celle des autres est faux, en réalité on ne souffrira plus de la sienne (de confusion). Des gens qui rejettent, abandonnent, trahissent, sont injustes, manquent de discernement, sont de mauvaise foi, malhonnêtes, tordus, cruels, méchants, il y en aura toujours et quand on y est confronté, il faut arrêter de croire que nous serons indifférents et que cela ne générera rien de désagréable, de violent, d'oppressant, etc. Je n'y crois pas et je ne pense pas que ce soit la finalité recherchée. Ce qui changera, ce sera la façon de l'aborder, la posture à adopter quand cela arrivera. La souffrance ressentie est une guidance et chaque être en a besoin, doit encore la ressentir quand elle arrive pour justement s'en éloigner, s'en protéger. Il est donc possible d'être dans le discernement, de savoir que cela ne nous appartient pas et être tout de même heurté. L'important n'est pas de s'imaginer ne plus jamais avoir mal, mais écouter et considérer la douleur ressentie, pour justement faire ce qu'il faut et agir au bon moment avant que cela aille trop loin et trop profond. C'est la seule solution pour ne plus souffrir. Quand la souffrance s'exprime, elle est une alerte qui nous guide pour agir en conséquence.
Croire que la guérison n'a pas marché et ne pas être encore guéri quand on se sent blessé est une confusion qui met du trouble sur ce que cela signifie vraiment.
Un exemple pour illustrer mes propos : penser que la guérison, c'est comme ne plus sentir le feu qui brûle et blesse quand on y remet la main alors que l'on sait pertinemment que le feu brûle et blesse.

La vie met en lumière l'objet de nos souffrances. L''origine de celles-ci peuvent tout autant provenir des autres comme de nous-mêmes. Il est possible d'agir sur les siennes, jamais sur les autres.
La vie nous équipe non pas pour ne plus avoir d'épreuves, mais pour savoir les aborder autrement, savoir les traverser, en tirer un enseignement et grandir à partir d'elles.

Adeline Ferlin Enseignement spirituel

Adeline Ferlin

Croire et imaginez que la fulgurante entrée en pleine conscience est magique parce qu’elle arrive soudainement est une i...
29/08/2025

Croire et imaginez que la fulgurante entrée en pleine conscience est magique parce qu’elle arrive soudainement est une illusion.
En réalité c’est un long chemin préparatoire pour être justement prêt à.
Et ce n’est pas parce que l’on ne s’en rend pas compte que cela n’existe pas.
L’éveil à soi est un cap/pallier long à atteindre et ce qui suit sera tout aussi long.
Chercher la rapidité et la fulgurance en toute chose est mal connaître ce processus qui ouvre une autre voie: le chemin du retour à soi et chez soi.

On ne choisit pas un éveil. Il arrive au bon moment grâce à ce travail préalable et l’événement qui servira de réveil pour ouvrir les yeux.

On peut choisit par contre ou pas d’y aller, de franchir le seuil, de faire ce premier pas vers cette inconnue qui en réalité est la quête ou la reconquête de son propre être, de son royaume souvent abandonné, en friche, oublié, rejeté, jugé, souillé, bafoué et parfois détruit.
Le royaume de tout à chacun n’est aucunement vide et existe toujours quelque soit l’état dans lequel il se trouve et la vie fera tout pour nous y ramener, nous montrer la voie.
Si il a y bien une personne qui nous manque si profondément c’est bien soi-même.
La seule retrouvaille élémentaire et prioritaire avant toute chose dans ce processus est celle de soi ( en entier).
La finalité n’est pas d’aller vite mais d’y parvenir progressivement et à son rythme. Ce n’est pas fulgurant.

Adeline Ferlin Enseignement spirituel

Parfois lâcher prise, accepter, faire preuve de résilience ne veut pas dire abandonner, perdre, laisser gagner ou donner...
11/08/2025

Parfois lâcher prise, accepter, faire preuve de résilience ne veut pas dire abandonner, perdre, laisser gagner ou donner raison à l'autre.
Parfois la résistance prend un tout autre visage et même si cela donne l'impression de se résigner, de se soumettre, de ne pas savoir se battre, elle est pourtant l’expression d’une sagesse. Ne pas lutter et laisser l'impression à l'autre de "gagner" est une force car ici, perdre n'est qu'une illusion.

Dans ces moments là, on peut penser ne pas savoir s'affirmer, être faible et ne pas savoir se positionner ou se défendre, mais au fond de soi, on sait que cela ne sert à rien, à part perdre de l'énergie pour ouvrir une conscience autre que la sienne et obtenir justice ou reconnaissance. L'impuissance est une sagesse bien souvent insoupçonnée permettant d'accepter le différence de conscience et cesser de se battre contre elle la laissant ainsi aller jusqu'au bout de son expérience et de sa version actuelle.

Parfois quand on pense "perdre" en réalité on "gagne" mais pas comme on l'imaginait. Le non-besoin de reconnaissance des autres permet de franchir ce pas. Ainsi la connaissance de soi par soi est la clé ultime pour y parvenir. Arriver à savoir se contenter d'elle seule prouve la foi absolu en soi-même et ce qu'elle permet de franchir, de dépasser à certains moments de sa vie et en fonction des circonstances environnementales.
Savoir "qui je suis" sans en douter est le gain le plus absolu dans sa quête ascensionnelle.

Adeline Ferlin Enseignement spirituel

Y’a des jours où on ne supporte plus rien ni personne … et de se voir ainsi on ne se supporte même pas soi-même. On ne s...
16/07/2025

Y’a des jours où on ne supporte plus rien ni personne … et de se voir ainsi on ne se supporte même pas soi-même. On ne se reconnaît pas et on peut vite culpabiliser d’être ainsi, de penser et réagir de la sorte.
Cette crise est la manifestation d’un trop plein de « supportage » si je puis me permettre.
On peut avoir une sensation d’agacement extrême, d’énervement pour rien, d’irritation exacerbée. On peut ressentir de la nausée, des maux de tête et se sentir particulièrement agité.
On a envie de tout envoyer balader, d’en avoir rien à faire de tout.

Cette crise manifeste un ras le bol général et dans ces moments là il est vrai que plus rien ne passe ou pas grand chose. C’est l’expression d’un trop plein, d’une saturation de l’extérieur demandant la nécessité de se couper de lui, de prendre l’air.

Il est important de ne pas s’en vouloir dès lors que cela se ressent car pour arriver à vivre dans ce monde il est parfois nécessaire de s’en éloigner afin de se ressourcer. Ainsi s’isoler est nécessaire pour s’éviter des situations où l’on pourrait regretter par la suite.

L’idée est de prendre cette alerte au sérieux et de rétablir une forme d’équilibre. Si l’extérieur agace tant l’intérieur c’est qu’il est temps de s’en extraire un peu et de passer du temps avec son intérieur et juste soi-même afin de se couper du vacarme extérieur et retrouver son calme intérieur.

Les bains de foule c’est pas trop le délire de la vielle âme. Alors ne vous méprenez pas, cela ne veut pas dire que vous êtes asociale et que vous n’aimez pas les gens etc… c’est juste une pause et du calme que vous recherchez.
Ne plus avoir envie d’interactions un instant, un moment, ne signifie en rien que cela est définitif et vous définit.
Vous n’abandonnez personne, vous n’êtes ni fuyant ni égoïste et vous n’avez pas de problèmes. Vous prenez en quelques sorte des vacances « sociales » et parfois cela fait du bien de ne plus être là pour les autres mais seulement pour soi, quelques instants, histoire de souffler, respirer, se retrouver.
Vous passez votre vie à vous soucier des autres, à ecouter, comprendre, vous adapter, être disponible alors parfois vous voulez juste partir en vacances, ne plus être disponible.

Il est possible d’éviter d’arriver à des états de crises trop fortes et trop perturbantes pour agir, en tenir compte en phase préventive et faire le nécessaire à temps.
Apprendre à s’isoler est une ressource souvent nécessaire pour la majorité des personnes étant dévouées, altruistes, empathiques et toujours à l’écoute et présentes pour les autres. Centrées sur eux plus que sur elles-mêmes, elles peuvent s’oublier et se manquer et en avoir marre des autres.
Quand elles ne considère pas ce besoin elles passent en force et arrivent à une saturation trop extrême expliquant cette crise soudaine tout autant extrême. Le faire de façon régulière ne serait-ce parfois qu’une journée voir même une heure évite d’avoir à le faire des mois voir parfois une vie entière 🙂

Ainsi se couper des autres est une nécessité et une ressource pour mieux revenir par la suite et restaurer l’équilibre entre l’intérieur et l’extérieur.
https://adelineferlin.com/saturation-interne-et-crise-sociale/

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Y’a des jours où on ne supporte plus rien ni personne … et de se voir ainsi on ne se supporte même pas soi-même. On ne se reconnaît pas et […]

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