Adeline Ferlin Enseignement spirituel

Adeline Ferlin Enseignement spirituel Praticienne spécialiste des blessures existentielles et
du cycle de la transformation humaine et spirituelle. Je vous guide sur votre chemin de vie.

Thérapie à l'échelle du cycle de l'âme et de l'être Praticienne et formatrice en développement personnel et spirituel. Guide et guérisseuse d’âme je vous aide à vous transformer vos blessures existentielles pour évoluer à l’échelle de votre vie et votre âme. L’art de guider n’est pas de trouver les bonnes réponses mais de savoir poser les bonnes questions pour vous aider à trouver vos réponses.

Y’a des jours où on ne supporte plus rien ni personne … et de se voir ainsi on ne se supporte même pas soi-même. On ne s...
16/07/2025

Y’a des jours où on ne supporte plus rien ni personne … et de se voir ainsi on ne se supporte même pas soi-même. On ne se reconnaît pas et on peut vite culpabiliser d’être ainsi, de penser et réagir de la sorte.
Cette crise est la manifestation d’un trop plein de « supportage » si je puis me permettre.
On peut avoir une sensation d’agacement extrême, d’énervement pour rien, d’irritation exacerbée. On peut ressentir de la nausée, des maux de tête et se sentir particulièrement agité.
On a envie de tout envoyer balader, d’en avoir rien à faire de tout.

Cette crise manifeste un ras le bol général et dans ces moments là il est vrai que plus rien ne passe ou pas grand chose. C’est l’expression d’un trop plein, d’une saturation de l’extérieur demandant la nécessité de se couper de lui, de prendre l’air.

Il est important de ne pas s’en vouloir dès lors que cela se ressent car pour arriver à vivre dans ce monde il est parfois nécessaire de s’en éloigner afin de se ressourcer. Ainsi s’isoler est nécessaire pour s’éviter des situations où l’on pourrait regretter par la suite.

L’idée est de prendre cette alerte au sérieux et de rétablir une forme d’équilibre. Si l’extérieur agace tant l’intérieur c’est qu’il est temps de s’en extraire un peu et de passer du temps avec son intérieur et juste soi-même afin de se couper du vacarme extérieur et retrouver son calme intérieur.

Les bains de foule c’est pas trop le délire de la vielle âme. Alors ne vous méprenez pas, cela ne veut pas dire que vous êtes asociale et que vous n’aimez pas les gens etc… c’est juste une pause et du calme que vous recherchez.
Ne plus avoir envie d’interactions un instant, un moment, ne signifie en rien que cela est définitif et vous définit.
Vous n’abandonnez personne, vous n’êtes ni fuyant ni égoïste et vous n’avez pas de problèmes. Vous prenez en quelques sorte des vacances « sociales » et parfois cela fait du bien de ne plus être là pour les autres mais seulement pour soi, quelques instants, histoire de souffler, respirer, se retrouver.
Vous passez votre vie à vous soucier des autres, à ecouter, comprendre, vous adapter, être disponible alors parfois vous voulez juste partir en vacances, ne plus être disponible.

Il est possible d’éviter d’arriver à des états de crises trop fortes et trop perturbantes pour agir, en tenir compte en phase préventive et faire le nécessaire à temps.
Apprendre à s’isoler est une ressource souvent nécessaire pour la majorité des personnes étant dévouées, altruistes, empathiques et toujours à l’écoute et présentes pour les autres. Centrées sur eux plus que sur elles-mêmes, elles peuvent s’oublier et se manquer et en avoir marre des autres.
Quand elles ne considère pas ce besoin elles passent en force et arrivent à une saturation trop extrême expliquant cette crise soudaine tout autant extrême. Le faire de façon régulière ne serait-ce parfois qu’une journée voir même une heure évite d’avoir à le faire des mois voir parfois une vie entière 🙂

Ainsi se couper des autres est une nécessité et une ressource pour mieux revenir par la suite et restaurer l’équilibre entre l’intérieur et l’extérieur.
https://adelineferlin.com/saturation-interne-et-crise-sociale/

Adeline Ferlin Enseignement spirituel

Y’a des jours où on ne supporte plus rien ni personne … et de se voir ainsi on ne se supporte même pas soi-même. On ne se reconnaît pas et […]

"Dans le processus d’apprentissage et de développement personnel, le fameux, « j’aurais dû » face à une erreur est d’arr...
10/07/2025

"Dans le processus d’apprentissage et de développement personnel, le fameux, « j’aurais dû » face à une erreur est d’arriver à le remplacer par « la prochaine fois, je ferais autrement, j’essayerais » sans chercher à savoir le faire de suite et attendre un résultat immédiat.
L’intérêt d’une prise de conscience est une fois arrivée, de tout faire pour la mettre en pratique et non pour se "fracasser la gu**le" (excuser moi ce terme mais je n'en trouve pas un plus représentatif que celui-là)
Ce n’est pas instinctif et pas du tout un réflexe au tout départ loin de là. Cela va demander de l’attention, de la concentration et de s’auto-corriger autant de fois que nécessaire jusqu’à ce que ça rentre. Ah oui il faut donc se réconcilier aussi avec la notion de répétition parce que croire que l'on doit tout savoir faire ou réaliser en quelques essais seulement est bien présomptueux.

Pratiquer la complémentarité nécessite de ne plus voir l’erreur comme un mal, mais une opportunité de grandir, de modifier, de changer les choses. Sans l’erreur, on ne sait pas quoi transformer.
Ainsi, l’erreur nous guide pour avancer autrement.

Se pardonner nos erreurs revient à les inclure dans le système évolutif et non les voir comme un ralentissement, une régression, mais un accélérateur et une progression en devenir.
On ne peut changer le passé, ce qui est fait est fait, mais on peut toujours changer le futur en tenant compte de ce que ce passé nous dit.

Ainsi, le pardon est l’acceptation au droit à l’erreur pour soi et les autres quand on en comprend sa place et son rôle. Le tout est de savoir s’en servir et en faire quelque chose et que cela ne serve pas à rien. C'est cela qui est positif.
Parfois, il faut répéter la même erreur pour enfin la comprendre et voir en elle sa guidance. C'est elle qui nous mène à la conscience. Parfois, en fonction de l'apprentissage en cours, il faut plus de temps, plus de clairvoyance et d'humilité pour oser la reconnaître et l'assumer.

Ne la sous-estimez pas et je vous invite à la regarder autrement et à comprendre ce que signifie réellement la complémentarité.
L’erreur ne s’oppose en rien à l’évolution, bien au contraire, elle est l’origine même de l’ascension. Peut-être un jour en verrons nous sa véritable valeur."


Adeline Ferlin Enseignement spirituel

Dans le processus d’apprentissage et de développement personnel, le fameux, « j’aurais dû » face à une erreur est d’arriver à le remplacer par « la prochaine fois, je ferais […]

"L’anxiété et l’angoisse viennent toujours d’un traumatisme qui nous a profondément marqué et qui en fonction des situat...
09/07/2025

"L’anxiété et l’angoisse viennent toujours d’un traumatisme qui nous a profondément marqué et qui en fonction des situations et des scénarios dans le présent se réveillent. Une insécurité se manifeste et celle-ci peut amener à un forme de paralysie, une oppression, un état parfois maximal d’alerte comme si on revivait le choc.

La plupart des personnes qui le vivent souhaitent au plus vite s’en débarrasser ce qui s’entend parfaitement et sont en recherche « urgente » afin d’en sortir au plus vite. Alerte maximale.
Mais il faut savoir que l’on ne peut se débarrasser d’un traumatisme ou de sa mémoire. La seule solution est:
- de retrouver l’origine de ce traumatisme et d’identifier les situations le ravivant générant cette sensation de danger immédiat.
- d’apprendre à vivre avec car il fait parti de soi, de son histoire.

Plus on veut s’en délester moins on l’écoute et entend ce qu’il dit.
On ne peut pas se débarrasser d’une mémoire mais apprendre d’elle.

Être en conscience de l’origine de nos traumatismes permet justement de savoir quoi travailler.
Si par exemple se retrouver seul face à soi même génère des angoisses pensant être le néant et rien soi-même il est évident que ici l’insécurité est sa propre absence. L’exercice sera de combler ce vide par sa propre présence.
Le temps d’y arriver la sensation de danger sera toujours présente mais progressivement s’apaisera. Cela ne se fera pas en 1 journée.
Si un enfant a peur du noir et de fermer les yeux pour s’endormir craignant de ne pas voir le danger arriver, il a forcément vécu une situation où le danger a frappé et ne l’a pas vu venir. Sur ses gardes il résiste pour ne plus jamais que cela arrive. C’est un réflexe défensif et éviter que ce qui l’a tant marqué par le passé se reproduise. Cela peut paraître démesuré et irréel, donner l'impression que l'on ne se reconnait pas mais c'est à prendre au sérieux.
Ce n'est pas rien ou pas grand chose.
La première chose est de cesser de diminuer ce qui se passe et ne pas chercher à l'extérieur cette reconnaissance. Il est important de le faire par soi-même et ne pas hésiter à se faire accompagner dans ce processus.
Un traumatisme demande du temps et un accompagnement adapté à lui et surtout à son échelle."

Bonne journée à vous

Adeline Ferlin Enseignement spirituel

L’anxiété et l’angoisse viennent toujours d’un traumatisme qui nous a profondément marqué et qui en fonction des situations et des scénarios dans le présent se réveillent. Une insécurité se manifeste […]

« La spiritualité c’est comme tout dans la vie. Y’a ceux qui en parlent et ceux qui la pratiquent et étonnamment ceux qu...
16/06/2025

« La spiritualité c’est comme tout dans la vie. Y’a ceux qui en parlent et ceux qui la pratiquent et étonnamment ceux qui la pratiquent en parlent peu, très peu ( ou différemment).
Alors ne vous fiez pas aux apparences et aux beaux discours tout propres et surfaits de la spiritualité. En réalité ils ne savent pas de quoi ils parlent. Incarner une âme et le réaliser ne suffit pas à s’autoproclamer spirituel et connecté à la vie.

Être aligné implique d’oser s’essayer à poser les actes cohérents avec les mots. Et souvent les actes et le chemin pour y parvenir invitent à revoir sa copie sur le mot et la définition que nous en avions au départ. Nous pensions savoir et ne savions pas de quoi nous parlions.

La spiritualité n’est pas une farandole de jolis mots divins. Elle est le mouvement de la vie, celui de la liberté qui se conquière à chaque instant sur ce cheval blanc chevauchant crinière au vent pour échapper à ces enclos conceptuels qui l’emprisonnent et ainsi briser les chaînes de l’ignorance.
La spiritualité est l’enseignement de la vie qui se traverse. Les mots, quand ils viennent, sont les témoignages et les traces indélébiles de cette grande traversée. Ils expriment alors une gratitude qui n’est plus à démontrer. »
Adeline Ferlin Enseignement spirituel

Attentes - Satisfaction ou déception - Pression - Système de valeurL'attente met la pression. Qu'elle soit extérieure ou...
13/06/2025

Attentes - Satisfaction ou déception - Pression - Système de valeur

L'attente met la pression. Qu'elle soit extérieure ou intérieure, elle met la pression pour arriver à satisfaire, car personne ne veut décevoir. On veut être à la hauteur des attentes des autres et/ou de soi-même. Le hic est que si l'objectif n'est pas atteint la personne concernée se sent décevante, nulle et perd en estime d'elle-même.
Le besoin de satisfaire l'autre peut être un piège quand celui-ci cache un besoin de reconnaissance, existentiel et affectif. Plus je satisfais plus on m'apprécie et plus je compte.
On le voit avec les profils cherchant à être indispensables.

Mais plus je cherche à satisfaire plus je prends le risque aussi que cela n'arrive pas et donc à décevoir. Plus une personne cherche à satisfaire plus elle est sous pression et plus elle va rencontrer des personnes qui vont capter ce besoin et en abuser.
Moins on répond à une attente plus on est sujet aux reproches, remontrances. Les personnes réagissent différemment face aux frustrations et aux déceptions.

Puis il y a ceux qui cherchent à contrario à être toujours satisfait de tout, qui met la barre haute, sont extrêmement exigeants avec les autres. Certains ne supportent pas la frustration, le moindre non et au-delà des attentes la pression monte pour surtout répondre à tous leurs besoins afin de ne pas les activer, les décevoir. Pas de place au moindre fait pas sinon ça barde. On dépasse l'attente ici, on devient un serviteur.
Il y a des degrés d'attentes. Quelques exemples : soit parce qu'ils le sont avec eux et attendent la même chose des autres (j'ai pu être comme ça.), soit parce qu'ils n'arrivent pas à satisfaire leurs propres besoins existentiels seuls et par dépendance sont en attente des ressources des autres pour le faire à leur place. Quand cela ne va jamais, que rien n'est jamais assez bien assez ceci ou trop cela, qu'il y a toujours quelque chose à redire, la pression est permanente, car on sait par défaut que l'on sera décevant et pas comme l'autre voudrait que l'on soit ou fait comme eux l'auraient fait. D'ailleurs, certains sont très exigeants avec les autres et moins avec eux-mêmes, voir pas du tout. Ils exigent cela et sont incapables de le faire.
Au final, tout cela génère de la pression et une estime de soi qui baisse, baisse. Alors quand celle-ci dépend des autres, on cherche absolument à satisfaire quitte parfois à se mettre en danger en y laissant sa santé mentale, émotionnelle et physique. Attendre de satisfaire l'autre est aussi une dépendance, celle de la reconnaissance de sa valeur.

Plus je projette une attente, la matérialise, l'imagine et la contrôle plus la déception peut être grande. C'est pour cela que l'on apprend à être en accueil plutôt qu'en attente. Je peux avoir une attente, ou être en attente tout en me préparer à accueillir la vérité sans chercher à l'anticiper ou la contrôler par avance. Cela suggère de l'humilité.

Une attente ne devrait pas devenir un risque et un sujet de pression pour quiconque.
Parfois, nous serons déçus et nous décevrons, mais cela ne fait pas de nous ni des autres des êtres décevants n'ayant pas de valeur et en dessous de tout. Ne pas être à la hauteur, rien que ce mot, est rabaissant.
La déception peut être grande face à la prétention de quelqu'un qui se vante et qui finalement n'est pas à la hauteur de ce qu'il prétend. Cela ne veut pas dire non plus qu'il n'a aucune valeur, mais pas celle de l'humilité en tout cas. Pas encore.

L'insatisfaction existe, la déception existe, la satisfaction existe, ce n'est pas le sujet. Mais quand cela touche l'estime de soi, sa valeur aux yeux des autres, c'est une autre affaire et il est bien dommage de me mélanger les pinceaux.

Nous faisons de notre mieux et parfois on ne peut pas faire plus comme parfois il ne faut surtout pas faire plus. Écoutez votre pression interne quand elle débarque et observez ce qu'elle vous dit, dans quel état vous vous mettez. Et n'oubliez pas que quand vous décevez, cela ne veut pas dire que vous n'avez pas de valeur.
Dépendre du regard des autres et de leur satisfaction personnelle pour répondre à votre propre besoin personnel est un axe de progression et d'émancipation pour beaucoup d'entre nous.

Bon we
Adeline Ferlin Enseignement spirituel

L’attente met la pression. Qu’elle soit extérieure ou intérieure, elle met la pression pour arriver à satisfaire, car personne ne veut décevoir. On veut être à la hauteur des attentes […]

Nouvel article sur mon blog dès maintenant "Contrariétés & sentiments... prendre en otage les sentiments et jouer sur l’...
11/06/2025


Nouvel article sur mon blog dès maintenant

"Contrariétés & sentiments... prendre en otage les sentiments et jouer sur l’affection que l’on a pour l’autre quand on se sent blessé et contrarié par celui-ci est un réflexe assez courant et tout autant blessant. C’est une façon de communiquer en privant l’autre de tout geste d’affection à son égard cherchant peut-être à ce qu’il comprenne ce qui se passe.
[...]

Étant donné qu’il n’y a aucune communication sauf signifier que « je t’ignore », « je te boude », « tu n’existes plus », « je te méprise », "tu m'es indifférent", la personne en face ne comprends rien sauf qu’elle a fait quelque chose de mal. Elle va chercher à savoir et peut se voir reprocher de ne pas l’avoir deviné par elle-même, de déjà s’excuser, etc. Elle peut culpabiliser et chercher ce qui se passe sans aucune aide. elle sait juste qu'elle a fauté. Elle peut s'imaginer tout un tas de choses qui parfois n'ont rien à voir.
[...]

Tout le monde peut se sentir heurté, blessé, vexé et contrarié mais quand on aime quelqu’un, il est possible d'apprendre à le lui signifier sans pour autant cesser de lui dire bonjour, lui demander comment elle va et lui manifester des signes affectifs, d'attention. Ça fait l'effet de "tu n'es plus rien pour moi."
[...]
Lire la suite de l'article
https://adelineferlin.com/contrarietes-sentiments/

Adeline Ferlin Enseignement spirituel

Prendre en otage les sentiments et jouer sur l’affection que l’on a pour l’autre quand on se sent blessé et contrarié par celui-ci est un réflexe assez courant et tout […]

Vous avez peur de l'engagement? Peut-être pas. Une vidéo pour vous expliquer la confusion sur la peur de l'engagement qu...
02/06/2025

Vous avez peur de l'engagement? Peut-être pas.
Une vidéo pour vous expliquer la confusion sur la peur de l'engagement qui en réalité peut cacher la peur de rester statique et ne pas bouger venant empêcher toute évolution et changement
Adeline Ferlin Enseignement spirituel
www.youtube.com/.enseignement
https://adelineferlin.com/

"Au lieu de me vendre du rêve et me promettre une grande histoire d'amour, prends le temps de me connaître et parles moi...
14/02/2025

"Au lieu de me vendre du rêve et me promettre une grande histoire d'amour, prends le temps de me connaître et parles moi de ta réalité comme je prendrais le temps de te connaître et te partager la mienne.

Au lieu de nous promettre des tas des choses, promettons-nous simplement, là et maintenant, la vérité, l'humilité et le courage d'oser être nous-même pour nous découvrir vraiment et savoir si nous aurons l'envie de poursuivre la découverte ou pas. Si c'est le cas, nous verrons si nous sommes réellement capables d’aimer et d'apprécier ce que nous découvrirons de nous mutuellement et progressivement.
Plus nous resterons l’un à côté de l’autre, plus tu sauras qui je suis et ne suis pas et plus je saurais qui tu es et n’es pas.
Plus nous nous essayerons à obstruer ou flouter ce que nous sommes dès le départ, plus la peur d'être découvert se fera ressentir. Par expérience, nous savons que la vérité gagne toujours, ce n'est qu'une question de temps.
Car maintenant ou demain, ce que nous révélerons l'un à l'autre plaira ou pas, le temps n’y changera rien.

Face à la vérité de chacun, l’autre réagira. Acceptera ou pas? Admirera ou pas? Respectera ou pas? Reconnaîtra ou pas? Appréciera ou pas?Décevra ou pas? Rejettera ou pas? Comprendra ou pas? Reprochera ou pas?

Tout dépendra des facettes mises en lumière. Impossible de le deviner avant.

Une grande histoire d’amour n’est elle pas la faculté d’apprendre à tout accepter de l’autre au fil de la découverte de son Tout? De tout ce qui la constitue et la fait.

Nous abandonner l’un à l’autre, n’est-ce pas oser continuer à être soi que nous soyons là ou pas ? Notre présence serait elle alors une condition à changer ce que nous sommes naturellement aujourd’hui ?
Cela ne signifie en rien ne pas assumer ses imperfections, ne pas se remettre en question ni évoluer et aucunement ne pas tenir compte ni considérer l’autre dans la relation. Cessons de tout mélanger.

Notre seul pré-requis, ne serait-il pas notre honnêteté vis à vis de l’autre et avoir passé ce cap (grâce à un travail personnel) que celui de ne plus avoir peur de ne pas être aimé ou appréciée pour ce nous sommes vraiment maintenant et là où nous en sommes réellement sur notre chemin personnel ?
Notre plus grand projet, après maintes tentatives, entraînements et perfectionnement grâce à nos relations passées, ne serait-il pas de vivre une rencontre la plus dénuée et émancipée de cette crainte qui pourrait tout fausser ?

Nous n’aimerons pas tout de l’un et de l’autre au premier regard. Même si c'est tentant et emballant, nous ne tomberons plus dans cette chimère de la facilité rêvée.
L'envie d'essayer nous suffira amplement pour commencer et persévérer dans cette aventure vers l’inconnu de nous."
https://adelineferlin.com/rever-ou-vivre-lamour/

Une belle fête des amoureux 🥰 à toutes et tous

Adeline Ferlin Enseignement

« Au lieu de me vendre du rêve et me promettre une grande histoire d’amour, prends le temps de me connaître et parles moi de ta réalité comme je prendrais le […]

Je vais mal et alors? Où est le mal d’aller mal? Le droit d’aller mal, de chuter, de tomber, de craquer, de pleurer, de ...
08/02/2025

Je vais mal et alors? Où est le mal d’aller mal?

Le droit d’aller mal, de chuter, de tomber, de craquer, de pleurer, de hurler, de tout envoyer bouler, de stresser, d’être anxieux, angoissé, tourmenté et de s’inquiéter. Le droit d’avoir peur, de douter, de perdre confiance et espoir, de ne plus avoir envie d’y croire, de se battre encore, d’en avoir marre, de se laisser aller, de baisser les bras, d’abandonner.

Le droit de ne plus avoir envie de faire des efforts, de s’adapter, de comprendre et d’écouter les autres, leurs histoires, leurs soucis.
Le droit d’être usé, fatigué, lasse et avoir juste envie de ne rien faire. Le droit de culpabiliser, oui s’en vouloir de ne pas avoir la force de changer les choses.
Le droit de souffrir, d’avoir mal et d’avoir envie que tout s’arrête et d’en finir.
Le droit de végéter, d’être triste, ailleurs, maussade, absent. Le droit de se sentir lourd, pas drôle, négatif et d’exprimer que rien ne va plus( parce qu’à ce moment là c’est vrai).

Aller mal est le point de départ de tout mieux être. Il faut bien aller mal se sentir mal pour dire stop et exprimer un besoin de changement.

Le droit d’aller mal est une affirmation de soi et de son existence puisqu’il existe bel et bien. Non pas pour se complaire dedans mais pour lui rendre sa juste place et enfin le regarder dénué de pitié et de honte.
« Mal être, toi le mal aimé dis moi ce qui te rend si mal, dis moi ce qui te fait tant souffrir et qui nécessite un mouvement, un changement. Dis moi de quoi tu n’en peux plus, de quoi tu en as marre et ne supporte plus. Dis moi ce qui est si difficile pour toi. Parles…dis moi tout, je t’écoute sans te couper la parole ni te trouver une solution immédiate, sans te faire disparaître ni te chasser. Je suis là pour toi aussi».

Le mal être parle de changement et de renouveau en exprimant la fin d’un cycle, d’une période, d’une version.

Les changements amènent à quitter le connu pour l’inconnu. Et c’est le sujet majeur.

Quitter un connu qui rend mal est plus difficile que d’y rester car même un mal-être peut devenir une zone de confort pour ne pas affronter l’inconnu. Quand vient le moment où rester dans sa zone de connu devient trop difficile alors se confronte 2 difficultés : celle de rester dans le connu et du coup d’assumer de de rester mal ou celle d’oser aller vers l’inconnu pour aller vers un autrement qui n’existe pas encore et de construire un mieux inspiré de ce mal-être. Ça paraît bizarre de parler ainsi mais c’est la réalité.
Un changement ne se fait pas en claquant des doigts, cela demande de passer par une multitude d’étapes au préalable.
La première: ne surtout pas censurer et faire taire son mal-être, ne pas faire semblant d’aller bien, ne plus culpabiliser d’aller mal…

Le mal être c’est notre plomb notre matière première qui est notre or futur.
C’est joli dit comme ça mais dans la vraie vie c’est pas comme ça que cela fonctionne. Les belles phrases et métaphores c’est toujours rassurant mais elles n’ont de sens que quand elles ont mises en application.

Aller mal est tellement désagréable, difficile, confrontant, douloureux parfois à vivre et à accepter par soi, les autres. On le sait tous.
Mais je reste persuader que l’on se trompe sur le mal être, on ne sait pas l’écouter ni l’accueillir et c'est loin d'être négatif car c’est en lui seul que se trouve la réponse du changement et de la transformation à venir.
La graine du mieux-être est dans le mal-être. Alors cessons de vouloir éradiquer et tuer le mal être. Servons-nous en pour avancer et aller mieux, de mieux en mieux.

Ps: le mal être ne s’achète et ne se consomme pas alors comprenez que le bien ou mieux-être non plus.
C’est du développement personnel et cela demande de faire un travail sur soi, du temps, de la pratique( et des efforts oui).

Adeline Ferlin Enseignement

Le droit d’aller mal, de chuter, de tomber, de craquer, de pleurer, de hurler, de tout envoyer bouler, de stresser, d’être anxieux, angoissé, tourmenté et de s’inquiéter. Le droit d’avoir […]

« Intéressant ce réflexe d’utiliser le Ciel pour faire passer toute sorte de messages profonds, de regarder en haut alor...
03/02/2025

« Intéressant ce réflexe d’utiliser le Ciel pour faire passer toute sorte de messages profonds, de regarder en haut alors que la vie ne cesse de nous dire de regarder ce qui se passe sous nos yeux, en bas, et de chercher à se connecter au divin et à la source comme si dans la matière rien de tout cela n’existait. Prier le ciel pour qu’il nous aide sur Terre alors que la terre ne cesse d'offrir de la matière et de la guidance on ne peut plus concrète pour évoluer.

C’est intéressant ce besoin de passer par des guides désincarnés et connus pour se sentir guidé et soutenu dans la vie. Peut-être cela participe-t-il à ce besoin parfois urgent de se sentir précieux, important et honoré que ce guide connu soit si près et proche de nous. Pourtant, il y a tellement de guides incarnés chaque jour dans notre réalité pour nous permettre d’y voir clair et avancer.

💬 Il est surtout touchant de réaliser par et en tout cela le besoin crucial et existentiel d’être enfin « entendu, vu, reconnu, valorisé, accueilli, compris, soutenu et rassuré ».
Moi, c’est cela que je constate.
C’est l'expression de la demande de soutien par excellence de ce qui nous manque le plus sur terre chez les autres.

Il y a les saints de l’église et les saints de la spiritualité. Ce sont nos icônes de la présence, de la foi et du soutien perpétuel et inconditionnel de la vie pour nous aider à la traverser. C’est une façon de personnaliser et de se sentir dans une relation plus étroite, intime et connectée avec elle pour cheminer.

Mais n’oubliez pas que tous ces guides que nous appelons, prions, invoquons représentent la présence de la vie à vos côtés à chaque instant pour guider vos pas. Que nous cherchions ou pas ce contact avec elle, elle est en permanence en contact avec chacun de nous.
Guides ou pas, prières ou pas, ne doutez jamais qu'elle est là. Ce n'est ni une condition ni un privilège. Nous y avons tous droit. Nous ne sommes pas plus guidés, protégés et soutenus qu'un autre. Son amour est inconditionnel.»

Adeline Ferlin Enseignement

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