Maria del Mar Moreno

Maria del Mar Moreno Art & mouvement conscient

✨ Ce que je désire le plus aujourd’hui…C’est ressentir ce que je ressens et accompagner d’autres à apprendre à faire de ...
16/05/2025

✨ Ce que je désire le plus aujourd’hui…
C’est ressentir ce que je ressens et accompagner d’autres à apprendre à faire de même.

Ici et maintenant, cœur ouvert, au-delà du jugement et du préjugé, nue, légère, présente dans ce corps, sur cette terre,
en accord total avec ce qui est.

Cet après-midi, je prépare les séances Feldenkrais pour le stage Feldenkrais & Peinture de ce week-end.

Le Feldenkrais, c’est mon chemin vers l’état de réceptivité, d’unicité, de cohérence entre pensée, sensation, action.

Il me met en mode : SENTIR.

La tête cesse de contrôler et se met au service de l’être.

Le petit moi se détend, laisse place à l’intelligence suprême qui nous anime.

Sentir consciemment, c’est sortir des automatismes, choisir ce qui me fait du bien, apprendre à m’aimer — sans jugement, sans correction.

🌿 C’est une pratique d’amour inconditionnel, qui aligne l’être tout entier.

Et quand ça devient récurrent… ce qui émerge, c’est un sentiment de liberté, de gratitude, de puissance douce, de joie pure.

Hier, une personne de mon programme Renaissance m’a dit :

« Je me sens différente, changée…sans avoir forcé. Et remplie de gratitude. »

Moi aussi je le vis de plus en plus.

Ce changement permanent, c’est la liberté d’être vivant·e.

Je remercie chaque expérience qui m’a menée ici.

Et je m’engage à créer chaque jour
les conditions pour amplifier ma sensibilité, avec plus de clarté, de précision, d’amour.

Avec Juliette, ce week-end, on partage bien plus qu’un stage.

C’est une expérience vivante, née de nos parcours artistiques & conscients.

💫 Il reste UNE place.

Si ces mots te touchent… elle est peut-être pour toi.

💌 Écris-moi en MP.

15/05/2025
ChatGPT🎉🌟 Mon rêve d'enfance refait surface 🌟🎉C'est décidé, je pars pour une année sabbatique dans la ville de mes rêves...
07/06/2024

ChatGPT
🎉🌟 Mon rêve d'enfance refait surface 🌟🎉

C'est décidé, je pars pour une année sabbatique dans la ville de mes rêves : Paris.

J'adore les départs, les déménagements, les voyages, et commencer à zéro dans une nouvelle ville, c'est ce qui me passionne le plus.

Dès que j'ai pris cette décision, ma vie a basculé en mode aventure. Je me sens inspirée, connectée aux signes de la vie, les antennes bien ouvertes.

Je me laisse guider en toute confiance, sans savoir exactement ce qui m'attend, mais avec la certitude que j'allais trouver ma voie.

J'aimais aller me balader dans les librairies, souvent, et choisir mes lectures par feeling. Ce jour-là, je voulais trouver ma lecture pour le voyage en train vers Paris et je me suis laissé captiver par un livre qui m'a fait tourner la tête : "La practica del zen" de Tisen Deshimaru. Je n'ai pas dormi dans le train, je ne pouvais pas m'arrêter de lire, je l'ai dévoré et à la fin du livre : l'adresse du dojo zen de... Paris !!! Les larmes ont débordé de joie !!!

Je suis arrivée au zen en amour, le cœur grand ouvert, j'ai plongé dans la pratique. Tout résonnait en moi, chaque mot, les crânes rasés et les kimonos des maîtres, l'odeur des encens, les fleurs... J'étais fascinée...

Dans le zen, il n'y a rien à atteindre, c'est l'assise sans objet, laisser passer les pensées, revenir sans cesse à la respiration, à la posture. C'est l'observation sans jugement (sans commentaires) des phénomènes.

Mushotoku, « sans but et sans recherche de profit », concept clé du zen soto. . C'est le début conscient d'un questionnement fondamental pour moi : Qu'est-ce que "le vouloir" ?

Vous vous souvenez : je ne savais pas ce que je voulais être mais seulement que je voulais ÊTRE... Je croyais ne rien vouloir, parce que je n'avais pas d'ambition matérielle, cela me compliquait l'existence parce que la vie se passe bel et bien dans la matière... mais en réalité je voulais tout avoir... Une énigme...

J'avais du mal à m'incarner... Je ne comprenais rien. Plus t**d, j'ai compris que la confusion était la matière première de ma création. Mon apprentissage était d'apprivoiser le chaos, le chérir même... Avec le temps, j'ai appris à me laisser porter vers l'œil du cyclone.

Kandinsky nous dit : "Plus le mouvement est immotivé, plus son effet sera pur, profond et intérieur."

Dès qu'il y a désir de réussir, la volonté de « bien faire » ou l'attente de quelque chose, nous quittons le moment présent.

Je cherchais encore sans le savoir l'état naturel de l'être. Dans mon art, je parlais du "rythme naturel dans l'action".

Il faut parfois du temps, beaucoup de temps (j'en suis encore) pour intégrer ces concepts dans sa vie, en réalité c'est ça la vraie pratique. Dans mon cas, il a fallu aller vers le mouvement (Feldenkrais) pour comprendre comment le vouloir de ce petit personnage avec qui on se confond, ne fait que créer des obstacles, et que la VIE, elle, a besoin de personne pour se faire, elle se fait d'elle-même.

Petit mot de reconnaissance à tous ces saches-femmes qui participent dans le rêve de tant de femmes (et couples) libres. J'ai accouché mon deuxième enfant à la maison, et notre sage-femme, qui ne m'a pas fait un seul examen manuel de toute la grossesse jusqu'au moment où elle est arrivée à la maison le jour J pour m'annoncer : "Bon travail, tu es à 9, je vais préparer les affaires et ça va commencer, profite pour prendre un souffle."

Elle avait l'habitude de dire : "moins on intervient et mieux cela se passe".

En fait, ce que je voulais, c'était ME LAISSER TRAVERSER PAR LA VIE , apprendre à ne pas lui faire obstacle.

AU BORD DU...7 ans plus t**d, cette période d'université touchait à sa fin. Maintenant c'était temps de faire un choix :...
04/06/2024

AU BORD DU...

7 ans plus t**d, cette période d'université touchait à sa fin.

Maintenant c'était temps de faire un choix : finir le Droit ou finir les Beaux-Arts.

J'ai décidé de finir le Droit, remplir le contrat avec mon père et me libérer. Je me suis enfermée pendant l'année suivante avec mes gros bouquins et j'ai obtenu ce diplôme. Cela a été éprouvant parce que ces bouquins étaient nombreux et vraiment très gros !! j'ai sacrifié mes dessins, mes sorties mais je l'ai eu.

Cela m'a libéré certe, mais une fois finis les examens, je me suis sentie au bord de la falaise devant un immense vide. J'étais maintenant livrée à moi même... pas question toujours pour moi de travailler sans passion engloutie dans des papiers de loi dans un bureau juste pour l'argent... et même si j'avais commencé à exposer, je n'arrivais pas à me projeter dans une vie d'artiste que je fantasmais enfermée dans mon atelier puis de toutes façons, il fallait travailler à coté, la majorité de mes potes sont partis travailler à la télé, pas envie non plus...

à vraie dire, j'avais la trouille du monde des grands, je n'avais jamais travaillé, cette chance d'être soutenue à fond par mes parents, était en réalité une surprotection, petit piège... j'avais l'impression d'être de plus en plus décalée et pas envie de m'adapter non plus... je me sentais pompée à nouveau...

L'image d'une vraie naissance me prends, imaginez l'embryon dans le ventre maternel, pendant des longs mois il nage dans ces eaux chaudes, il est surement aux anges, petit à petit il commence à se sentir à l'étroit et arrivé le jour J, ce cocon d'amour devient oppressant... soit il sort soit il meurt... naître c'est une question de vie ou de mort !!! WOW !! j'ai les poils qui s'hérissent rien que de le penser... nous avons tous vécu cela, en fait, nous sommes tous des héros !!! c'est dingue... comment par la suite on oublie notre puissance, notre courage.

Non ce n'est pas cela, en fait « ce personnage » qui doute, qui pense, qui a peur n'est pas encore là à la naissance, le bebe est encore l'incarnation de la pure pulsion de VIE, ce beau être ne peux pas encore se poser des questions :

"est ce que c'est vraiment le moment, la ? Non vraiment, je ne peux pas croire comment on est arrivé là, pourtant c'était parfait, j'ai été tellement heureux ici, je ne peux pas partir, je ne veux pas partir, en plus, je ne sais pas comment c'est dehors, peut-être que je ne vais pas me plaire, qui sais, peut-être que ça va être difficile et horrible même, et si je les plaît pas, et qu'ils ne vont plus m'aimer ? Qu'est ce que je vais devenir... je vais être tout seul, je vais mourir !!!!"

Ça a l'air ridicule vu comme ça, non?

Alors que c'est cela qu'on fait souvent dans notre monde des grands bien adaptés, quand la peur de l'inconnu nous terrorise et nous mène à sacrifier nos rêves en vue d'une sécurité illusoire qui nous assèche même des fois jusqu'à nous transformer en morts vivants...

Mais cette peur de l'inconnu est très archaïque, en réalité elle est annonciatrice d'une naissance imminente..., en réalité elle est une bénédiction, elle est là pour nous protéger, elle nous demande juste de ralentir pour nous sentir, pour bien goûter l'heureux événement...

vous savez, cette histoire qu'on nous a raconté que la femme doit accoucher dans la souffrance ce n'est qu'une abérration, il y a des femmes qui accouchent dans le plaissir plus extatique, ça existe oui!!! mais cela se trouve au-delà de la peur.... là dans l'immense espace des possibles, de la création f***e...

Non, je n'ai pas perdu la tête, malgré tout cela, la vie pulse dedans et le saut s'annonce malgré la peur, que je connais tellement bien...

La vie c'est expansion, chaque expérience se présente pour nous préparer à la suivante. La vie c'est une succession de naissances, de passages..

Découvrez la Puissance de Votre Périnée ce Soir ! 🌟Vous cherchez à améliorer votre bien-être et votre vitalité ? Votre p...
03/06/2024

Découvrez la Puissance de Votre Périnée ce Soir ! 🌟

Vous cherchez à améliorer votre bien-être et votre vitalité ? Votre périnée a un message pour vous ! 👇
Savez-vous que :

Il augmente votre énergie vitale 🔋
Il joue un rôle clé dans votre sensualité et sexualité ❤️
Il améliore votre équilibre, stabilité & coordination 🧘‍♀️

Si vous ressentez :

Des douleurs lombaires
Une faiblesse ou une perte de sensations
Une baisse d’énergie

Alors, c’est le moment de venir rencontrer votre périnée en douceur et devenir son ami ! 💫

Rejoignez-nous ce soir pour un cours en ligne spécial Feldenkrais ! 🌿

🕒 Quand ? Ce soir à 19h30
📍 Où ? En ligne via Zoom
💬 Comment ? Commentez pour recevoir le lien Zoom

Ce que vous gagnez :

Plus de plaisir et de vitalité 🌟
Une meilleure respiration 🌬️
Une compréhension profonde de votre corps 🤸‍♂️
Une performance accrue dans vos activités sportives et bien-être 🏋️‍♀️

Ne manquez pas cette opportunité de découvrir une nouvelle manière de prendre soin de vous ! Soyez curieux, essayez et ressentez la différence par vous-même.

Préparez :

Une heure de votre temps
Des vêtements confortables
Un tapis ou un lit dans un espace calme

🎉 Commentez pour recevoir le lien Zoom et nous rejoindre ce soir ! 🎉

01/06/2024

DES MOMENTS DE GRÂCE

Dans les cours, tu n'avais pas le prof qui te montrait la technique ni t'expliquait comment faire, c'était question de pratique et pratique et pratique... d'explorer, regarder des œuvres des maîtres, vibrer avec les textures, les lignes, les volumes...

Je passais des heures à faire mais aussi à regarder...

Toujours en quête de ces moments de grâce, où comme par magie, d'un coup, plus rien n'existait au monde et je me fondais, je faisais un avec le modèle, vivant ou pas, je devenais elle ou lui, je respirais ses formes, je le sentais de l'intérieur... j'apprenais à me laisser couler.

Pendant ces années, je me suis beaucoup interrogée sur le processus de création, mon intérêt se portait moins sur l'œuvre finale que sur sa gestation.

Pour moi, c'était un mystère : comment de rien, d'une feuille vide ou d'un bout d'argile informe naît une forme...

J'ai compris que l'art donne sens au non-sens, ordonne le désordre. Que la matière de la création est le chaos, le vide.

J'étais obsédée par le vide... mes sculptures en pierre étaient des hommages au vide, à cet espace entre les formes, plus que les formes en elles-mêmes, je me sentais comme absorbée par ce rien qui les séparait et les unifiait en même temps, qui devenait une forme en lui-même, sans matière... ou plutôt au-delà de la matière...

Dans mes dessins, de cette envie d'apprendre à bien dessiner, avoir un bon style, j'ai commencé à sentir le besoin de laisser des ouvertures, j'ai commencé à ne pas finir totalement les corps. Trop fini, trop fermé, quel étouffement... C'était physique, comme si trop fini empêchait mon imaginaire de voyager, comme si j'avais besoin de ne pas tout dire pour permettre d'ouvrir un espace des possibles au lieu de trouver « la réponse », peut-être par peur de me tromper, de ne pas trouver la bonne... de ne pas être aimée... ou peut-être animé par mon besoin profond de liberté...

Que se passe-t-il pendant qu'on crée ? À l'intérieur du créateur ?

J'adorais regarder mes collègues créer, cela m'émerveillait.

GRATITUDE, d'avoir eu ce grand privilège d'être témoin en direct de ces mouvements, ces lignes de temps empruntées qui devenaient des culs-de-sac, les observer en silence, pour ne pas les perturber, pendant qu'ils suivaient le dédale... sentir dans ma chair ces moments de grâce, quand ils atteignaient cet état de lâcher-prise, et l'espace interne s'ouvrait au divin.
Ces moments où le personnage humblement accepte de s'ouvrir en deux et de devenir canal pour que ce courant de vie s'imprime dans la matière...

SACRÉE JEUNESSE!!!!Cette première année d'université fut bien remplie, entre les cours de Droit, avec les heures intermi...
31/05/2024

SACRÉE JEUNESSE!!!!

Cette première année d'université fut bien remplie, entre les cours de Droit, avec les heures interminables d'étude pour mémoriser ces gros bouquins... les cours de théâtre puis les répétitions, et les moments de fête qui se sont multipliés et les amoureux... Je me suis éclatée... Cela m'a ouvert l'esprit, je commençais à me re-trouver...

L'été est arrivé et je suis rentrée dans le sud. Il faisait vraiment chaud, et cet après-midi-là, tranquille au frais dans le salon, une envie subite de dessiner m'est revenue. J'ai pris une feuille blanche et un crayon, et je me suis mise à dessiner un canard en bois qui se trouvait sur la table en face de moi (c'est drôle, je viens de me rendre compte qu'il était de retour aussi lui... lol).

Je ne sais pas combien de temps cela a duré, j'avais totalement perdu la notion du temps. Je me suis retrouvée dans un état de bonheur, de joie, de connexion, comme jamais auparavant. J'étais surprise de sentir cela et surtout de ce clair et fort sentiment dans mon cœur, qui me disait : C'EST ÇA QUE JE VEUX FAIRE!!!

Vous commencez à comprendre comment je fonctionne... bon, comment je fonctionnais...

J'étais vraiment heureuse !!! J'avais une direction !!!

J'ai parlé à mes parents, ma mère était ravie, évidemment, et mon père m'a clairement dit : "Comme hobby, tu fais ce que tu veux, mais s'il te plaît, finis le Droit..."
J'ai négocié, ils ont accepté de me laisser le faire à ma façon. Alors, pendant l'année suivante, en plus de tout le reste, le soir, je me suis inscrite dans une académie de dessin pour me préparer à l'examen d'entrée aux Beaux-Arts.

Je vous la fais courte, mais imaginez comment cela pouvait être : je suis admise aux Beaux-Arts, une grève générale d'étudiants éclate à la Complutense, et je me retrouve à occuper la faculté avec mes nouveaux super potes, à faire des actions de théâtre dans les cafés, des performances artistiques dans les rues... Une année de folie, qui a ouvert encore plus mon esprit 😉

Aux Beaux-Arts, j'ai pris la voie de la sculpture, et j'ai beaucoup, beaucoup dessiné... J'avais un blocage avec la peinture, pas envie de suivre les profs de peinture, pas envie de faire du figuratif, envie de liberté et de grands espaces, les gens de sculpture avaient l'air beaucoup plus amusants, sauvages et beaux... 😉 En plus les installations étaient délirantes, je me disais qu'il fallait en profiter.

Aujourd'hui, je me demande comment j'ai fait : Droit, Beaux-Arts, théâtre et fête en même temps... c'était trop bon!!

GRATTITUDE encore et encore et encore et encore....

UNE GRAINE ENSOMEILLÉEJe suis née à Cadix et vers mes 3 ans nous avons déménagé à El Puerto de Santa Maria. J'étais une ...
30/05/2024

UNE GRAINE ENSOMEILLÉE

Je suis née à Cadix et vers mes 3 ans nous avons déménagé à El Puerto de Santa Maria. J'étais une enfant tranquille. J'aimais énormément aller les week-ends chez mon oncle et ma tante. Ils n'avaient pas d'enfants et ils m'adoraient. Ils ont été comme mes deuxièmes parents. J'étais la reine de la maison. Je passais mes journées à dessiner, lire et jouer, je passais beaucoup du temps tout seule, j’aimais cela. J'avais même un canard (vivant) et l'été, on se baignait ensemble dans la piscine. Trop chouette Saturnino…Impossible de l'attraper sous l'eau, lol.

J'adorais passer du temps avec eux, à écouter les histoires de leur enfance, du temps de la guerre, des histoires d'amour, des mariages, des naissances... Je leur poser plein de questions. Ces moments de calme nourrissaient mon imagination, c’était du bonheur.

Comme beaucoup d'enfants, à l’école, j'ai commencé à me comparer aux autres. Mes dessins me semblaient de plus en plus fades et moches. Vers 8 ou 9 ans, j'ai arrêté de dessiner. Les cours d'arts plastiques ne me plaisaient pas du tout, même si ma mère peignait. Jamais je n'ai eu envie de suivre ses pas. Cette graine est restée en sommeil…

Des années plus t**d, le moment de choisir ma voie est venu et je ne savais pas quoi faire ( vous vous souvenez… 😉 )

J'étais amoureuse de Paris, c'était mon rêve (que j'ai réalisé plus t**d), mais pour l'instant, mes parents ont accepté déjà, de me laisser aller à Madrid. J'ai suivi le conseil familial et me suis inscrite à la faculté de Droit à l'Université Complutense.

Pas très convaincue au départ, mais un de mes oncles, professeur à la faculté, m'a proposé d'intégrer une "classe expérimentale" avec un petit effectif d'élite, composée des enfants de politiciens et autres personnalités. Certes, cela allait être plus intéressant et confortable que de me retrouver dans un amphithéâtre avec des centaines d'étudiants, mais à part quelques garçons pas mal... je pressentais que je n'allais pas trop m'amuser...

Quelques jours après le début des cours, pendant une pause, quelqu'un a toqué à la porte. Ils étaient deux jeunes qui venaient nous informer que l'école de théâtre universitaire rouvrait ses portes et ils nous invitaient à une réunion de présentation. Cette école, très active autrefois, avait été interdite pendant toute la période de Franco et elle se réveillait maintenant. Wow, j'ai senti mon cœur sursauter !!! J'ai eu envie d'aller voir....

Et c'est là que ça a commencé à basculer 🎭✨

Droit

LA NATURE NE SUPPORTE PAS LE VIDEComment savoir si cette voix dans ma tête c'est la voix du saboteur ou de mon guide int...
27/05/2024

LA NATURE NE SUPPORTE PAS LE VIDE

Comment savoir si cette voix dans ma tête c'est la voix du saboteur ou de mon guide interne ?

"La nature ne supporte pas le vide, soit c'est toi qui choisis soit c'est quelqu'un d'autre..." je ne sais pas d'où je sors cette idée mais je suis d'accord ;)

Nous vivons dans une société stressée, qu'on le veuille ou pas, d'une certaine manière nous sommes tous stressés ( même si on n'aime pas se l'avouer, ce n'est pas très sexy, je sais...), mais cet état est devenu l'état normal et quand on se dit stressé c'est quand on est déjà très stressé...

Ce qui est propre à cet état, entre autres, c'est que nous nous coupons du sentir, l'espace interne se rétrécit et notre attention se focalise sur l 'extérieur puis le mental prend le dessus...

Cela peut entraîner des états de confusion, des pertes de sens, des difficultés à faire des choix... des fois tout petit, des fois plus grands...

Cela nous affaiblit et nous rend manipulables.

Très tôt, dans mon cheminement le passage par le corps est devenu une évidence, d'abord avec l'art-thérapie, la méditation zen et en suite, la danse et royalement avec la Méthode Feldenkrais, c'est avec elle que j'ai compris profondément l'importance du SENTIR et comment entraîner sa capacité à sentir, à ME SENTIR de l'intérieur.

J'ai appris à ouvrir l'espace interne, à observer sans juger, sentir des sensations de plus en plus subtiles et à devenir habile dans le discernement...

Sentir cette différence de goût, de texture des fois si minime, entre ce message qui vient du personnage ( du programme, de l'automatique, de cette partie de nous qui veut nous garder au chaud, surtout qu'on ne change pas ) et notre vraie nature, qui est le vivant en nous qui nous pousse vers l'avant, vers toujours plus grand.

Est ce que cela t'arrive de ne pas savoir qu'est ce le mieux pour toi ? Que tu as du mal à prendre une décision ? À choisir ?

Par exemple, discerner quand c'est l'heure d'aller à la salle faire sa séance de sport, d'un coup il y a cette pensée qui arrive qui nous dit « je suis trop fatiguée pour aller aujourd'hui », est ce que c'est cette résistance au changement ou un réel besoin de repos ?

Veux-tu apprendre le discernement? tu as la possibilité d'essayer un cours Feldenkrais en ligne en début de chaque mois, le prochain rdv sera le 3 juin 16h30 ou 19h30.

Belle semaine!!

Comme promis dans mon post d’hier, voici l’audio de cette pratique si simple et efficace. C’est un des outils que j’util...
24/05/2024

Comme promis dans mon post d’hier, voici l’audio de cette pratique si simple et efficace.

C’est un des outils que j’utilise souvent avec mes clients.

Je trouve que plus les pratiques sont simples et de facile intégration dans le quotidien plus elles sont efficaces, quand il s’agit de créer son propre art de vivre.

Cette méditation/ relaxation profonde est une pratique de la méthode Sounder Sleep System, à laquelle je me suis formée en 2021 que j’adore.

Créée par Michel Krugman (praticien Feldenkrais entre autres) hyper efficace pour trouver le calme profond, aller vers le seuil veille/sommeil et contacter avec la présence. Pour soulager l’insomnie et autres symptômes provoqués par le stress.

Trouvez vous 15mn dans un endroit calme, sans tel et autres distractions.

Profitez bien et faites moi un retour l’expérience.

Assis ou allongé confortablement. Laissez vous guider vers le calme pour faire cette expérience. Puis chaque fois que vous remarquerez votre visage fermé, revenez à votre cœur qui sourit et permettez

GRATITUDELa méditation du matinC’est devant cette merveille que je médite tous les matins et tous les soirs. J’ai choisi...
23/05/2024

GRATITUDE

La méditation du matin

C’est devant cette merveille que je médite tous les matins et tous les soirs. J’ai choisi ma véranda, ouverte à la nature comme espace de création, pour devenir intime avec moi-même. Comment je ne peux pas être reconnaissante, sérieux …

Tous les matins, je m’assois et je me donne totalement, chaque méditation est différente, des fois mon esprit est plus calme, des fois il est plus agité, quoi qu’il arrive, je sais qu’en sortant de la méditation, je ne serais pas la même qui s’est assise une heure auparavant.

Je sais que je me sentirais pleine, le cœur ouvert, je serais connectée à mes rêves, l’esprit éveillé et calme à la fois, prête pour donner le meilleur de moi dans ma journée.

Quoi qu’il arrive, mon challenge… : garder le cap, veiller à que les circonstances de vie ne modifient pas mon état interne, protéger mon cœur, rester dans l’amour et la gratitude. Et si cela arrive et mon état se perturbe, être consciente et revenir au plus vite. Ne pas juger, ne pas corriger.

Ça veut dire… prolonger ma méditation le reste de la journée. C’est ça la vraie méditation, c’est ça qui rends le jeu intéressant, parce que c’est relativement facile de se trouver dans sa boule de paix au chaud, au calme, w queuand on est tout seul mais dans la vraie vie, au milieu des embouteillages, dans nos relations avec les enfants, avec cette panne inattendue, votre boss, une mauvaise nouvelle, la fatigue, le mauvais temps, etc, etc… ou comme aujourd’hui, un rendez-vous pour une IRM (j’ai une petite tendance à appréhender tout c q’est médicale😉) ce n’est pas si facile…

Alors en vue de cette IRM quand mon coeur est bien ouvert au milieu de ma méditation, je sens pleinement les sensations d’expansion, de bien être, de plaisir profond, je respire avec mon cœur, je sens l’infinitude de l’espace en moi et autour d moi et je mémorise bien tout cela, pour m’en souvenir quand j serais dans la machine tout à l’heure. Je décide de vivre cette expérience en prenant plaisir.

A tt à l’heure, j parts pour l’IRM

C’est fait!! Je me sens un peu sonnée , mais contente. Les gens avec qui j’ai interagis ont étés adorables , j’ai réussi à rester tout le long avec mon cœur, je ne l’ai pas quitté un instant, j’ai respiré à travers lui, je me suis fondue dans l’espace infini que j’ai ouvert pour accueillir les vibrations et les sons de la machine.

Et oui… je n’ai pas oublié de sourire avec mon cœur, une des pratiques plus simples et puissantes que je connais, je vous partagerais un de mes audios demain, vous pourrez faire l’expérience directe.

Je suis prête pour célébrer cette petite victoire avec un délicieux café crème dans un de mes cafés préfère à Biarritz…

Belle journée!!

Profitez bien!!

LE BONHEUR DE SE PERDRE SANS SE SENTIR PERDUÇa peut faire très peur de partir, de quitter une relation toxique ou un tra...
22/05/2024

LE BONHEUR DE SE PERDRE SANS SE SENTIR PERDU

Ça peut faire très peur de partir, de quitter une relation toxique ou un travail qui ne nous convient plus..

Pour certains c'est si forte la peur de perdre cette fausse sécurité, d'accepter de laisser aller ce qui doit partir, de se donner en confiance au flow de la vie, d'affronter le regard des autres, de ne pas arriver à s'en sortir... que ce choix est compromis et ils préfèrent rester...

Mais tôt ou t**d ils commencent à oublier leurs rêves et à devenir raisonnables, c'est le chemin direct vers la mort en vie.

Sans vraiment être conscients de ce que cela allait leur coûter...ils commencent à faire semblant, à trouver des raisons pour rester, ils arrivent même à se dire que finalement, ils ont de la chance, au moins ils sont en couple ou ils ont un travail... finalement c'est moins chiant.

Ils essaient de s'adapter, ils commencent à s'interdire de se dire pour ne pas déclencher des conflits, entre des moments de crise qui servent pour permettre de se défouler un peu pour ne pas imploser...

Peu à peu, par peur de perdre, ils se perdent d'eux-mêmes. Ils ne reconnaissent plus leurs regards dans la glace... ils se vident de leur énergie vitale et arrêtent de créer et de croire.

Et oui, j'ai eu besoin de goûter cela, non pas une fois mais deux, pour apprendre à renverser les concepts, les croyances.

« Tout chemin commence avec une séparation.... », je ne me souviens plus où j'ai lu cela... mais ça a été un éclair dans ma tête... une séparation du connu, des croyances, des habitudes, du confort... pour aller vers...

J'ai compris que « la peur de perdre » est justement la porte qu'on ouvre pour aller vers l'inconnu. L'inconnu, n'est pas cette projection que l'on fait avant d'ouvrir la porte, qui nous coupe le souffle et les jambes...

Ce vide qui fait peur, c'est l'espace de tous les possibles, c'est la vie en état pur. C'est là que séjournent nos rêves, les nouvelles rencontres, les nouvelles opportunités sont là, les surprises, après le seuil de cette porte.

J'ai découvert le bonheur, la liberté de se perdre sans se sentir perdue. Je me suis ouverte à ce jeu de pistes qu'est la vie, et des rencontres, des personnes, des pratiques, comme Feldenkrais sont arrivées me guider et me permettre de trouver ma verticalité, ma propre façon de cheminer, mon propre art de vivre, et cela continue. Une fois qu'on a pris le chemin, c'est parti, je me délecte à l'idée de ces rencontres, ces opportunités qui sont à venir...
Plus j'avance et plus je comprends que c'est le chemin du cœur, la lumière s'intensifie, plus j'avance et plus c'est simple et plus c'est bon de vivre ici sur terre...

Alors à tous ceux qui se reconnaissent dans ce message, COURAGE !!!!

Sans hâte, sans pression, prenez le chemin du cœur !!!

Si je peux toi aussi !!!

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