Alliance Back Lift

Alliance Back Lift Working Harness to Induce the Elevation of the Withers and to Develop the Back Muscles
Ear Band: Breathing bridle//XLR: Racing Bridle
alliancebacklift.com

19/03/2019
12/12/2018

Site:alliancebacklift.com
Mail:alliancebacklift@hotmail.fr
Page Facebook: Michel Raffit
Adresse: 2 Route de Chevreuse
78490 Bazoches sur Guyonne
0130593707 / 0625242132

27/02/2018

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06/02/2018

REABILITER

La descente (abaissement) de l'encolure étend (extension) tous les muscles qui la relèvent:
bi-latéralement, bien sur :
splénius/complexus/trapeze/rhomboïde comme aussi le transversaire du cou qui s'attache entre les dernières cervicale et les premières dorsales et fait suite à l'ilio-spinal ou érector spinae ou encore masse commune des dorsaux)qui s'attachent au bassin(ilium).
Le grand dorsal (il y a sans doute un lapsus avec le « Long Dorsal ,un des ilio spinaux ») s’attache à la face interne de l’humérus(bras) qu’il mobilise puissamment et va jusqu’au lombaires et fascias du bassin. Il est détendu par le creusement du dos.
L’ attitude adoptée par les chevaux :
"la tête en l'air ,le dos creux ;
est une attitude de sauvegarde,prise en évitement des effets (de fort levier)du mors sur la nuque(qu’ils mettent ainsi à l'abri de la l’ insupportable fermeture de C0 sur C1 ou : occipito-atloïdienne) -
elle "tétanise"-contraction courte et repétée=muscle noué et raccourci durablement-la ligne du dessus, comme elle détend, inversement (extension permanente=allongement et nécrose) la ligne du dessous ou:celle des abdominaux (qui "ballonne vers le sol)
Cette contraction du dos le creuse (ensellement,effondrement du garrot par invagination entre les épaules) et interdit le voussement du bassin (responsable de l’engagement utile) , maintenu (tiré) "à plat" ("la queue sur le dos") ,tandis que la base de l'encolure est maintenue relevée par une partie (transversaire du cou) des mêmes ilio-spinaux raccourcis.

C'est pour cette raison que la locomotion , ou travail, l'encolure basse (la plus basse que le cheval est, progressivement , capable de donner ..) étire et rallonge toute la « ligne du dessus » , dont l'hypercontraction acquise est responsable des attitudes locomotives "la tête en l'air ,le dos creux",jusqu’à la récupération de son « extension » naturelle totale,qui autorise le voussement du dos et du bassin avec leur fonction motrice dans la poussée..
On peut alors reprendre sa tonification (musculation) par contraction active(celle là même qui propulse le BASSIN (le coup de queue de la langouste) et donne toute leur puissance aux transmetteurs( postérieurs).
Le cheval se propulse alors avec son dos (cadence lentes),à chaque foulée de chaque allure,l’extension-poussée du bassin produite par les ilio-spinaux (creusement), le rappel-voussement du même bassin (flexion) par la contraction, produite par les abdominaux retonifiés.
Cet aller retour vaste du bassin entraîne le retour d’une ventilation « du ventre »par sa puissante action sur le diaphragme,plancher des poumons.
Le « balancier » de l’encolure redevient LIBRE , lui aussi, de s’allonger/abaisser pour redonner aux muscles moteurs des épaules (tous dans l’encolure,sauf le grand Droit , l’attache lointaine et ferme - qui leur manquait ,l’encolure relevée- ce qui leur restitue toute leur puissance de poussée : (angulaires/grand dorsal/pect.ascendant/trapèze /rhomboïde) comme :leur amplitude d’enjambée (brachio-céphalique ou mastoïdo -huméral).
Les" postérieurs ne pouvant pousser d’avantage que les antérieurs ne sont capable de distribuer",le retour obtenu de la motricité des épaules autorise le développement de celle de l’arrière main.

Tout enrênement, qui raccourci et plie , par contrainte de force (ou par attitude apprise à pied) ,la tête-encolure ,entraine une double torsion, outrée, de la chaine des cervicales convexe en C2/C3/C4 et concave en C6/C7/D1/D2.
La première torsion »haute » ouvre au cheval la seule alternative , l’encapuchonnement, qui soit laissée à sa mécanique cervicale pour mettre son occipito-atloïdienne à l’abri de sa redoutable fermeture.
L’axe C0/C1/C2 étant inflexible ,la flexion ,outrée, en C3 redonne une marge d’ouverture « de sauvegarde »entre C0 et C1.
La derniere torsion « basse » enferme ,avec exagération et verrouille le cheval dans sa précédente attitude : la tête en l’air..le garrot effondré, le dos creux …la seule différence étant que la tête n’est plus en l’air mais refermée sur la base de l’encolure ,rétrécissant en outre le diamètre de la trachée , en deux endroits ,inversement coudés.

C’est le (criminel) placer artificiel.
Il est vrai qu’en obérant sa mécanique , il enferme le cheval dans une domination à la portée du plus grand nombre, ce qui a fait son succès et fait toujours sa pratique, aujourd’hui conforté par une funeste « esthétique » plébiscitée par la mémoire de l'inconscient collectif…
l’hippo-campe ou : la courbure du cheval. Désormais évoluée en " ROLLKUR", attitude déja en vogue dans les années 70/80, connue alors sous l'appellation de "méthode allemande" ,facilité par la rêne (et la muserolle) du même nom.
Cet "enfermement " désormais rebaptisé, par pudeur : Low Deep and Round provoque en fait , anatomiquement:
une double torsion inversée ( en "S" )des premières et des dernières cervicales, ces dernieres étant "redressées" et non pas basses, ce qui demande la contraction dorsale en creux citée plus haut.Le dos , bloqué dans sa fonction propulsive abandonne la locomotion , qui est entièrement prise en charge par les membres.
C'est une locomotion d'arthropode (cafard).

REABLE; Janv.2017.

20/01/2018

Page Facebook:Michel Raffit

21/09/2017

Michel Raffit
20 juillet ·
L’IM-PULSION

Du latin :im pellere : « pousser vers », le verbe désigne: une action ; force, mouvement qui agit dans une direction donnée.
Le vocabulaire de l’équitation , qui a abusé de l’usage de ce vocable , en a transformé le sens premier pour lui donner l’acceptation de : « désir permanent de se porter en avant ».
L'obsession de l'équitation française pour cette" poussée en avant" (qu'elle soit potentielle ou réelle) s'explique , évidemment, par le fait qu'elle l'interdit au départ :
par la "mise en main" , véritable :Corps de la doctrine.(.Gal.Decarpentry) qui , recherchée et obtenue, s'oppose mécaniquement à la génération de cette: (pro) pulsion.

Mais, avant d'expliquer le phénomène, il convient d'éclairer l'essence mécanique du mouvement ou: la géographie de la motricité.
Imaginons la jambe d'un homme, légèrement soulevée du sol ou le pied n'appuie plus.
Demandons alors à cet homme d'étendre et de fléchir son seul pied:
il va faire se dresser et s'abaisser son pied autour de sa "malléole"; l'extension sera réalisée par la contraction des muscles antérieur de sa JAMBE............................la flexion sera réalisée par la contraction des muscles (postérieurs) " du mollet" de la JAMBE.
Ainsi le moteur du Pied se trouve dans la Jambe.
Demandons lui alors de faire aller et venir sa jambe autour de son genoux; l'extension sera l’œuvre des muscles antérieurs, au dessus, de la CUISSE..........................................la flexion sera celle des muscles (postérieurs) , au dessous, de sa CUISSE.
Ainsi le moteur de la jambe se trouve dans la CUISSE.
Sommé d’élever et de baisser sa cuisse, notre cobaye fera agir d'une part les muscles profonds de son bassin ou "petits psoas" pour le "coup de genoux" et ses muscles fessiers ,extérieurs au bassin, pour pousser sa cuisse en arrière.
Ainsi le moteur de la cuisse se trouve dans le BASSIN.

Pour le cheval ,il en est évidemment de même, mais pour les quadrupèdes le questionnaire peut continuer:
Pour fléchir (fermer/vousser/engager) son bassin le cheval fera agir: les muscles inférieurs de sa masse : les abdominaux, qui vont fléchir son dos;
Pour étendre son bassin (fouetter, dégager vers l’arrière) , ou réside toute la force de la poussée:
le cheval va contracter : TOUS les muscles supérieurs de son DOS ( ilio-spinaux) , les plus longs et les plus gros de son économie, qui vont, en creusant son dos, "ramer" le bassin en arrière.
AINSI LE MOTEUR DU BASSIN SE TROUVE T IL DANS LE DOS.
La hiérarchie est ainsi établie; Le mouvement vient du sommet ( d'en haut) .
Chaque segment articulé " en descendant": reste sous la dépendance dynamique du supérieur et mobilise (entraine) le segment inférieur, (dont les derniers sont mobilisés "automatiquement " par les seuls" tendons".
Regardez maintenant un cheval qui passe devant vous et: inversez votre mémoire collective inconsciente:
Ce ne sont pas ses jambes qui "font avancer la masse" mais bien la masse qui se "pousse par delà ses membres" agissant comme des perches, et mobilisées par la masse.*
Par ailleurs:ou se trouvent les muscles ?....dont le volume visible" fond "en descendant dans les membres ..ou ils disparaissent dans les parties basses.

Or la mise en main/en place provoque:
le retrait de l'encolure , ce qui paralyse le dos ,bloqué en creux.

Le moteur maître bloqué , il reste les moteurs auxillaires des membres , faibles et anaérobies,** qui devront utiliser l'assistance de la gravité ( mise sur les épaules ) pour provoquer le mouvement en avant (pente) que le dos ne peut plus fournir.

*Ce ne sont pas les rames qui font avancer la barque mais le rameur.
** Le "rameur "prend sa rame entre le tolet et l'eau.

ABL: Juillet 2017.

21/09/2017
Nouvelle adresse:Alliance Back Lift2 Route de Chevreuse78490 Bazoches sur Guyonnealliancebacklift@hotmail.frTel:01305937...
15/02/2017

Nouvelle adresse:
Alliance Back Lift
2 Route de Chevreuse
78490 Bazoches sur Guyonne
alliancebacklift@hotmail.fr
Tel:0130593707//0625242132
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06/02/2017
REABILITERLa descente (abaissement) de l'encolure étend (extension) tous les muscles qui la relèvent:bi-latéralement, bi...
28/01/2017

REABILITER

La descente (abaissement) de l'encolure étend (extension) tous les muscles qui la relèvent:
bi-latéralement, bien sur :
splénius/complexus/trapeze/rhomboïde comme aussi le transversaire du cou qui s'attache entre les dernières cervicale et les premières dorsales et fait suite à l'ilio-spinal ou érector spinae ou encore masse commune des dorsaux)qui s'attachent au bassin(ilium).
Le grand dorsal (il y a sans doute un lapsus avec le « Long Dorsal ,un des ilio spinaux ») s’attache à la face interne de l’humérus(bras) qu’il mobilise puissamment et va jusqu’au lombaires et fascias du bassin. Il est détendu par le creusement du dos.
L’ attitude adoptée par les chevaux :
"la tête en l'air ,le dos creux ;
est une attitude de sauvegarde,prise en évitement des effets (de fort levier)du mors sur la nuque(qu’ils mettent ainsi à l'abri de la l’ insupportable fermeture de C0 sur C1 ou : occipito-atloïdienne) -
elle "tétanise"-contraction courte et repétée=muscle noué et raccourci durablement-la ligne du dessus, comme elle détend, inversement (extension permanente=allongement et nécrose) la ligne du dessous ou:celle des abdominaux (qui "ballonne vers le sol)
Cette contraction du dos le creuse (ensellement,effondrement du garrot par invagination entre les épaules) et interdit le voussement du bassin (responsable de l’engagement utile) , maintenu (tiré) "à plat" ("la queue sur le dos") ,tandis que la base de l'encolure est maintenue relevée par une partie (transversaire du cou) des mêmes ilio-spinaux raccourcis.

C'est pour cette raison que la locomotion , ou travail, l'encolure basse (la plus basse que le cheval est, progressivement , capable de donner ..) étire et rallonge toute la « ligne du dessus » , dont l'hypercontraction acquise est responsable des attitudes locomotives "la tête en l'air ,le dos creux",jusqu’à la récupération de son « extension » naturelle totale,qui autorise le voussement du dos et du bassin avec leur fonction motrice dans la poussée..
On peut alors reprendre sa tonification (musculation) par contraction active(celle là même qui propulse le BASSIN (le coup de queue de la langouste) et donne toute leur puissance aux transmetteurs( postérieurs).
Le cheval se propulse alors avec son dos (cadence lentes),à chaque foulée de chaque allure,l’extension-poussée du bassin produite par les ilio-spinaux (creusement), le rappel-voussement du même bassin (flexion) par la contraction, produite par les abdominaux retonifiés.
Cet aller retour vaste du bassin entraîne le retour d’une ventilation « du ventre »par sa puissante action sur le diaphragme,plancher des poumons.
Le « balancier » de l’encolure redevient LIBRE , lui aussi, de s’allonger/abaisser pour redonner aux muscles moteurs des épaules (tous dans l’encolure,sauf le grand Droit , l’attache lointaine et ferme - qui leur manquait ,l’encolure relevée- ce qui leur restitue toute leur puissance de poussée : (angulaires/grand dorsal/pect.ascendant/trapèze /rhomboïde) comme :leur amplitude d’enjambée (brachio-céphalique ou mastoïdo -huméral).
Les" postérieurs ne pouvant pousser d’avantage que les antérieurs ne sont capable de distribuer",le retour obtenu de la motricité des épaules autorise le développement de celle de l’arrière main.

Tout enrênement, qui raccourci et plie , par contrainte de force (ou par attitude apprise à pied) ,la tête-encolure ,entraine une double torsion, outrée, de la chaine des cervicales convexe en C2/C3/C4 et concave en C6/C7/D1/D2.
La première torsion »haute » ouvre au cheval la seule alternative , l’encapuchonnement, qui soit laissée à sa mécanique cervicale pour mettre son occipito-atloïdienne à l’abri de sa redoutable fermeture.
L’axe C0/C1/C2 étant inflexible ,la flexion ,outrée, en C3 redonne une marge d’ouverture « de sauvegarde »entre C0 et C1.
La derniere torsion « basse » enferme ,avec exagération et verrouille le cheval dans sa précédente attitude : la tête en l’air..le garrot effondré, le dos creux …la seule différence étant que la tête n’est plus en l’air mais refermée sur la base de l’encolure ,rétrécissant en outre le diamètre de la trachée , en deux endroits ,inversement coudés.

C’est le (criminel) placer artificiel.
Il est vrai qu’en obérant sa mécanique , il enferme le cheval dans une domination à la portée du plus grand nombre, ce qui a fait son succès et fait toujours sa pratique, aujourd’hui conforté par une funeste « esthétique » plébiscitée par la mémoire de l'inconscient collectif…
l’hippo-campe ou : la courbure du cheval. Désormais évoluée en " ROLLKUR", attitude déja en vogue dans les années 70/80, connue alors sous l'appellation de "méthode allemande" ,facilité par la rêne (et la muserolle) du même nom.
Cet "enfermement " désormais rebaptisé, par pudeur : Low Deep and Round provoque en fait , anatomiquement:
une double torsion inversée ( en "S" )des premières et des dernières cervicales, ces dernieres étant "redressées" et non pas basses, ce qui demande la contraction dorsale en creux citée plus haut.Le dos , bloqué dans sa fonction propulsive abandonne la locomotion , qui est entièrement prise en charge par les membres.
C'est une locomotion d'arthropode (cafard).

REABLE; Janv.2017.

30/12/2016

Chevaux en T.T. (TONGUE TIE )

Les recherches portant sur la dilatation de la face et de la tête en protocole d'effort moyen (1800m de galop de chasse) mettent en lumière le rôle important de "pompe" de la langue qui, collée contre le palais:
provoque par succion , l'abaissement de sa voute , qui s'aplatie ce qui :

"augmente le volume utile du pharynx , dont il est le" plancher"(coupe transversale "en tunnel routier" de l'arrivée d'air)
"immobilise le voile du palais ,ce qui empêche sa vibration -flottaison-(qui donne le cornage et le ronflement)
"immobilise la langue en position de cylindre allongé ,ce qui la met a l'abri de morsures accidentelles, principalement sur ses côtés.

L'étude anglaise sur l'augmentation de performance des P.S. en TT (Tongue-Tie) vient confirmer ce qui précède:
Les PS "qui sortent la langue" sont ligaturés (avec un bas nylon reliant l’extrémité de la langue au maxillaire inférieur) avant l'entrainement (au montoir).
Il a été précédemment démontré que les chevaux qui "sortent "la langue compensent , par cet artifice : la compression atmosphérique de leur oreille moyenne malmenée par la têtière (cartilage annulaire froissé, plus généralement à droite, coté de la main la plus forte).
En "tirant" la langue dehors et à gauche il exercent et maintiennent une traction permanente sur la corde du tympan de l'oreille droite (en diagonale) ce qui "décolle" et rétabli la pression atmosphérique normale de l'oreille moyenne ou siège:
le centre d'équilibration de vitesse et celui de la proprioception ("toucher" du terrain) .

Mais cette pro -traction linguale ,maintenue , ne permet plus alors à la langue ,allongée, d'exercer sa succion contre le palais, augmentative de volume des voies respiratoires.
En empêchant , par ligature de son extrémité, la langue de se "pousser dehors", on restitue la capacité de l'effet de "ventouse" de la base de la langue au palais, pour aplatir sa voute.(ouverture du carburateur).

Corollairement il est aussi plus que probable que la ligature linguale, en obérant la circulation veineuse de retour de la langue (langue bleue,cyanosée) insensibilise celle ci ,qui devient alors sans réaction aux à-coups (souvent très violents ) comme à la compression permanente du mors (cheval "tendu" sur son mors!).
On en déduira volontiers que la première des actions du mors, en mobilisant la langue par des actions dolosives et de force, prive le cheval ,en dissociant mécaniquement la langue du palais, du moyen d'ouvrir son pharynx et , par là, d'utiliser toute sa puissance, ventilatoire et donc motrice (éventuellement contre son cavalier ).

Michel Raffit
2 Route de Bazoches
78490 Bazoches s/Guyonne
0130462403/0625242132
alliancebacklift@hotmail.com
Site: alliancebacklift.com

06/12/2016

Bazoches s/Guyonne le 6/12/16

Bonjour Sandrine,
Votre DVD est parti ce jour.
Votre indication sur la locomotion de votre jument (« qui court beaucoup ») m’a interpellé.
La précipitation (et accélération) est le fait d’un cheval qu’on dit : traditionnellement « sur les épaules ».-et qui, le plus souvent, « tire ou s’appuie» beaucoup.Il "fuit".
Ceci n’est PAS le fait d’une « construction » déséquilibrée sur le devant mais simplement le choix qu’il fait d’une locomotion (sur quatre possible) adoptée par instinct ou par simple impossibilité d’en utiliser une autre :sous la contrainte de maintient d’une attitude , imposée par le cavalier.
En très gros : Back- moover//Leg-moover…..cette expression US indique bien ces deux types locomoteurs (que je nomme locomotion d’Arthropode –cafard- VS: locomotion Lacertienne –du lézard ou saurien)
Dans le premier cas –cafard- tout le dos est raidi, incliné vers l’avant (pour s’aider de la gravité/effet de pente) et les longues « pattes » doivent se dépêcher (mobiliser la masse) pour rattraper utilement le déséquilibre initiateur du mouvement.
Le thorax immobilisé n’autorise qu’une respiration courte et rapide.(haletante).
Tous les gestes brefs sont le fait de muscles rapides, anaérobies, l’oxygène est puisé dans les réserves des tissus.qui s’épuisent vite.
C’est la :statio- motion célère: de grande manœuvrabilité, d’esquive, en espace restreint.
Elle épuise très vite l’organisme par surchauffe des (petits) moteurs auxiliaires des membres.
C’est aussi la locomotion du garçon de café, qui manœuvre, célère entre les tables , avec son plateau chargé de verres et sa serviette sur le même bras.
Dans le second cas –lézard- c’est toute la chaine vertébrale qui par ses énormes muscles oscillateurs, mobilise, par en haut, des essieux de pattes courtes, simples interfaces , peu et plus lentement sollicitées .
Le thorax et le diaphragme, amplement mobilisés produisent une respiration entière, ample (et donc lente).
Les gestes lents emploient des muscles lents, aérobies, l’oxygène est puisé dans l’air et renouvelé autant que de besoin.
C’est la locomotion athlétique : de puissance, de grande vitesse

Chacune de ces locomotions, répond à une posture de la colonne vertebrale telle que sur le croquis annexé.


Bonjour Sandrine,
Votre DVD est parti ce jour.
Votre indication sur la locomotion de votre jument (« qui court beaucoup ») m’a interpellé.
La précipitation (et accélération) est le fait d’un cheval qu’on dit : traditionnellement « sur les épaules ».-et qui, le plus souvent, « tire ou s’appuie» beaucoup.Il "fuit".
Ceci n’est PAS le fait d’une « construction » déséquilibrée sur le devant mais simplement le choix qu’il fait d’une locomotion (sur quatre possible) adoptée par instinct ou par simple impossibilité d’en utiliser une autre :sous la contrainte de maintient d’une attitude , imposée par le cavalier.
En très gros : Back- moover//Leg-moover…..cette expression US indique bien ces deux types locomoteurs (que je nomme locomotion d’Arthropode –cafard- VS: locomotion Lacertienne –du lézard ou saurien)
Dans le premier cas –cafard- tout le dos est raidi, incliné vers l’avant (pour s’aider de la gravité/effet de pente) et les longues « pattes » doivent se dépêcher (mobiliser la masse) pour rattraper utilement le déséquilibre initiateur du mouvement.
Le thorax immobilisé n’autorise qu’une respiration courte et rapide.(haletante).
Tous les gestes brefs sont le fait de muscles rapides, anaérobies, l’oxygène est puisé dans les réserves des tissus.qui s’épuisent vite.
C’est la :statio- motion célère: de grande manœuvrabilité, d’esquive, en espace restreint.
Elle épuise très vite l’organisme par surchauffe des (petits) moteurs auxiliaires des membres.
C’est aussi la locomotion du garçon de café, qui manœuvre, célère entre les tables , avec son plateau chargé de verres et sa serviette sur le même bras.
Dans le second cas –lézard- c’est toute la chaine vertébrale qui par ses énormes muscles oscillateurs, mobilise, par en haut, des essieux de pattes courtes, simples interfaces , peu et plus lentement sollicitées .
Le thorax et le diaphragme, amplement mobilisés produisent une respiration entière, ample (et donc lente).
Les gestes lents emploient des muscles lents, aérobies, l’oxygène est puisé dans l’air et renouvelé autant que de besoin.
C’est la locomotion athlétique : de puissance, de grande vitesse

Chacune de ces locomotions, répond à une posture de la colonne vertebrale telle que sur le croquis annexé.


Bonjour Sandrine,
Votre DVD est parti ce jour.
Votre indication sur la locomotion de votre jument (« qui court beaucoup ») m’a interpellé.
La précipitation (et accélération) est le fait d’un cheval qu’on dit : traditionnellement « sur les épaules ».-et qui, le plus souvent, « tire ou s’appuie» beaucoup.Il "fuit".
Ceci n’est PAS le fait d’une « construction » déséquilibrée sur le devant mais simplement le choix qu’il fait d’une locomotion (sur quatre possible) adoptée par instinct ou par simple impossibilité d’en utiliser une autre :sous la contrainte de maintient d’une attitude , imposée par le cavalier.
En très gros : Back- moover//Leg-moover…..cette expression US indique bien ces deux types locomoteurs (que je nomme locomotion d’Arthropode –cafard- VS: locomotion Lacertienne –du lézard ou saurien)
Dans le premier cas –cafard- tout le dos est raidi, incliné vers l’avant (pour s’aider de la gravité/effet de pente) et les longues « pattes » doivent se dépêcher (mobiliser la masse) pour rattraper utilement le déséquilibre initiateur du mouvement.
Le thorax immobilisé n’autorise qu’une respiration courte et rapide.(haletante).
Tous les gestes brefs sont le fait de muscles rapides, anaérobies, l’oxygène est puisé dans les réserves des tissus.qui s’épuisent vite.
C’est la :statio- motion célère: de grande manœuvrabilité, d’esquive, en espace restreint.
Elle épuise très vite l’organisme par surchauffe des (petits) moteurs auxiliaires des membres.
C’est aussi la locomotion du garçon de café, qui manœuvre, célère entre les tables , avec son plateau chargé de verres et sa serviette sur le même bras.
Dans le second cas –lézard- c’est toute la chaine vertébrale qui par ses énormes muscles oscillateurs, mobilise, par en haut, des essieux de pattes courtes, simples interfaces , peu et plus lentement sollicitées .
Le thorax et le diaphragme, amplement mobilisés produisent une respiration entière, ample (et donc lente).
Les gestes lents emploient des muscles lents, aérobies, l’oxygène est puisé dans l’air et renouvelé autant que de besoin.
C’est la locomotion athlétique : de puissance, de grande vitesse

Chacune de ces locomotions, répond à une posture de la colonne vertebrale telle que sur le croquis annexé.


Bonjour Sandrine,
Votre DVD est parti ce jour.
Votre indication sur la locomotion de votre jument (« qui court beaucoup ») m’a interpellé.
La précipitation (et accélération) est le fait d’un cheval qu’on dit : traditionnellement « sur les épaules ».-et qui, le plus souvent, « tire ou s’appuie» beaucoup.Il "fuit".
Ceci n’est PAS le fait d’une « construction » déséquilibrée sur le devant mais simplement le choix qu’il fait d’une locomotion (sur quatre possible) adoptée par instinct ou par simple impossibilité d’en utiliser une autre :sous la contrainte de maintient d’une attitude , imposée par le cavalier.
En très gros : Back- moover//Leg-moover…..cette expression US indique bien ces deux types locomoteurs (que je nomme locomotion d’Arthropode –cafard- VS: locomotion Lacertienne –du lézard ou saurien)
Dans le premier cas –cafard- tout le dos est raidi, incliné vers l’avant (pour s’aider de la gravité/effet de pente) et les longues « pattes » doivent se dépêcher (mobiliser la masse) pour rattraper utilement le déséquilibre initiateur du mouvement.
Le thorax immobilisé n’autorise qu’une respiration courte et rapide.(haletante).
Tous les gestes brefs sont le fait de muscles rapides, anaérobies, l’oxygène est puisé dans les réserves des tissus.qui s’épuisent vite.
C’est la :statio- motion célère: de grande manœuvrabilité, d’esquive, en espace restreint.
Elle épuise très vite l’organisme par surchauffe des (petits) moteurs auxiliaires des membres.
C’est aussi la locomotion du garçon de café, qui manœuvre, célère entre les tables , avec son plateau chargé de verres et sa serviette sur le même bras.
Dans le second cas –lézard- c’est toute la chaine vertébrale qui par ses énormes muscles oscillateurs, mobilise, par en haut, des essieux de pattes courtes, simples interfaces , peu et plus lentement sollicitées .
Le thorax et le diaphragme, amplement mobilisés produisent une respiration entière, ample (et donc lente).
Les gestes lents emploient des muscles lents, aérobies, l’oxygène est puisé dans l’air et renouvelé autant que de besoin.
C’est la locomotion athlétique : de puissance, de grande vitesse

Chacune de ces locomotions, répond à une posture de la colonne vertebrale telle que sur le croquis annexé.


Bonjour Sandrine,
Votre DVD est parti ce jour.
Votre indication sur la locomotion de votre jument (« qui court beaucoup ») m’a interpellé.
La précipitation (et accélération) est le fait d’un cheval qu’on dit : traditionnellement « sur les épaules ».-et qui, le plus souvent, « tire ou s’appuie» beaucoup.Il "fuit".
Ceci n’est PAS le fait d’une « construction » déséquilibrée sur le devant mais simplement le choix qu’il fait d’une locomotion (sur quatre possible) adoptée par instinct ou par simple impossibilité d’en utiliser une autre :sous la contrainte de maintient d’une attitude , imposée par le cavalier.
En très gros : Back- moover//Leg-moover…..cette expression US indique bien ces deux types locomoteurs (que je nomme locomotion d’Arthropode –cafard- VS: locomotion Lacertienne –du lézard ou saurien)
Dans le premier cas –cafard- tout le dos est raidi, incliné vers l’avant (pour s’aider de la gravité/effet de pente) et les longues « pattes » doivent se dépêcher (mobiliser la masse) pour rattraper utilement le déséquilibre initiateur du mouvement.
Le thorax immobilisé n’autorise qu’une respiration courte et rapide.(haletante).
Tous les gestes brefs sont le fait de muscles rapides, anaérobies, l’oxygène est puisé dans les réserves des tissus.qui s’épuisent vite.
C’est la :statio- motion célère: de grande manœuvrabilité, d’esquive, en espace restreint.
Elle épuise très vite l’organisme par surchauffe des (petits) moteurs auxiliaires des membres.
C’est aussi la locomotion du garçon de café, qui manœuvre, célère entre les tables , avec son plateau chargé de verres et sa serviette sur le même bras.
Dans le second cas –lézard- c’est toute la chaine vertébrale qui par ses énormes muscles oscillateurs, mobilise, par en haut, des essieux de pattes courtes, simples interfaces , peu et plus lentement sollicitées .
Le thorax et le diaphragme, amplement mobilisés produisent une respiration entière, ample (et donc lente).
Les gestes lents emploient des muscles lents, aérobies, l’oxygène est puisé dans l’air et renouvelé autant que de besoin.
C’est la locomotion athlétique : de puissance, de grande vitesse

Chacune de ces locomotions, répond à une posture de la colonne vertebrale telle que sur le croquis annexé.


Bonjour Sandrine,
Votre DVD est parti ce jour.
Votre indication sur la locomotion de votre jument (« qui court beaucoup ») m’a interpellé.
La précipitation (et accélération) est le fait d’un cheval qu’on dit : traditionnellement « sur les épaules ».-et qui, le plus souvent, « tire ou s’appuie» beaucoup.Il "fuit".
Ceci n’est PAS le fait d’une « construction » déséquilibrée sur le devant mais simplement le choix qu’il fait d’une locomotion (sur quatre possible) adoptée par instinct ou par simple impossibilité d’en utiliser une autre :sous la contrainte de maintient d’une attitude , imposée par le cavalier.
En très gros : Back- moover//Leg-moover…..cette expression US indique bien ces deux types locomoteurs (que je nomme locomotion d’Arthropode –cafard- VS: locomotion Lacertienne –du lézard ou saurien)
Dans le premier cas –cafard- tout le dos est raidi, incliné vers l’avant (pour s’aider de la gravité/effet de pente) et les longues « pattes » doivent se dépêcher (mobiliser la masse) pour rattraper utilement le déséquilibre initiateur du mouvement.
Le thorax immobilisé n’autorise qu’une respiration courte et rapide.(haletante).
Tous les gestes brefs sont le fait de muscles rapides, anaérobies, l’oxygène est puisé dans les réserves des tissus.qui s’épuisent vite.
C’est la :statio- motion célère: de grande manœuvrabilité, d’esquive, en espace restreint.
Elle épuise très vite l’organisme par surchauffe des (petits) moteurs auxiliaires des membres.
C’est aussi la locomotion du garçon de café, qui manœuvre, célère entre les tables , avec son plateau chargé de verres et sa serviette sur le même bras.
Dans le second cas –lézard- c’est toute la chaine vertébrale qui par ses énormes muscles oscillateurs, mobilise, par en haut, des essieux de pattes courtes, simples interfaces , peu et plus lentement sollicitées .
Le thorax et le diaphragme, amplement mobilisés produisent une respiration entière, ample (et donc lente).
Les gestes lents emploient des muscles lents, aérobies, l’oxygène est puisé dans l’air et renouvelé autant que de besoin.
C’est la locomotion athlétique : de puissance, de grande vitesse

Chacune de ces locomotions, répond à une posture de la colonne vertebrale telle que sur le croquis annexé.


Bonjour Sandrine,
Votre DVD est parti ce jour.
Votre indication sur la locomotion de votre jument (« qui court beaucoup ») m’a interpellé.
La précipitation (et accélération) est le fait d’un cheval qu’on dit : traditionnellement « sur les épaules ».-et qui, le plus souvent, « tire ou s’appuie» beaucoup.Il "fuit".
Ceci n’est PAS le fait d’une « construction » déséquilibrée sur le devant mais simplement le choix qu’il fait d’une locomotion (sur quatre possible) adoptée par instinct ou par simple impossibilité d’en utiliser une autre :sous la contrainte de maintient d’une attitude , imposée par le cavalier.
En très gros : Back- moover//Leg-moover…..cette expression US indique bien ces deux types locomoteurs (que je nomme locomotion d’Arthropode –cafard- VS: locomotion Lacertienne –du lézard ou saurien)
Dans le premier cas –cafard- tout le dos est raidi, incliné vers l’avant (pour s’aider de la gravité/effet de pente) et les longues « pattes » doivent se dépêcher (mobiliser la masse) pour rattraper utilement le déséquilibre initiateur du mouvement.
Le thorax immobilisé n’autorise qu’une respiration courte et rapide.(haletante).
Tous les gestes brefs sont le fait de muscles rapides, anaérobies, l’oxygène est puisé dans les réserves des tissus.qui s’épuisent vite.
C’est la :statio- motion célère: de grande manœuvrabilité, d’esquive, en espace restreint.
Elle épuise très vite l’organisme par surchauffe des (petits) moteurs auxiliaires des membres.
C’est aussi la locomotion du garçon de café, qui manœuvre, célère entre les tables , avec son plateau chargé de verres et sa serviette sur le même bras.
Dans le second cas –lézard- c’est toute la chaine vertébrale qui par ses énormes muscles oscillateurs, mobilise, par en haut, des essieux de pattes courtes, simples interfaces , peu et plus lentement sollicitées .
Le thorax et le diaphragme, amplement mobilisés produisent une respiration entière, ample (et donc lente).
Les gestes lents emploient des muscles lents, aérobies, l’oxygène est puisé dans l’air et renouvelé autant que de besoin.
C’est la locomotion athlétique : de puissance, de grande vitesse

Chacune de ces locomotions, répond à une posture de la colonne vertebrale telle que sur le croquis annexé.


Bonjour Sandrine,
Votre DVD est parti ce jour.
Votre indication sur la locomotion de votre jument (« qui court beaucoup ») m’a interpellé.
La précipitation (et accélération) est le fait d’un cheval qu’on dit : traditionnellement « sur les épaules ».-et qui, le plus souvent, « tire ou s’appuie» beaucoup.Il "fuit".
Ceci n’est PAS le fait d’une « construction » déséquilibrée sur le devant mais simplement le choix qu’il fait d’une locomotion (sur quatre possible) adoptée par instinct ou par simple impossibilité d’en utiliser une autre :sous la contrainte de maintient d’une attitude , imposée par le cavalier.
En très gros : Back- moover//Leg-moover…..cette expression US indique bien ces deux types locomoteurs (que je nomme locomotion d’Arthropode –cafard- VS: locomotion Lacertienne –du lézard ou saurien)
Dans le premier cas –cafard- tout le dos est raidi, incliné vers l’avant (pour s’aider de la gravité/effet de pente) et les longues « pattes » doivent se dépêcher (mobiliser la masse) pour rattraper utilement le déséquilibre initiateur du mouvement.
Le thorax immobilisé n’autorise qu’une respiration courte et rapide.(haletante).
Tous les gestes brefs sont le fait de muscles rapides, anaérobies, l’oxygène est puisé dans les réserves des tissus.qui s’épuisent vite.
C’est la :statio- motion célère: de grande manœuvrabilité, d’esquive, en espace restreint.
Elle épuise très vite l’organisme par surchauffe des (petits) moteurs auxiliaires des membres.
C’est aussi la locomotion du garçon de café, qui manœuvre, célère entre les tables , avec son plateau chargé de verres et sa serviette sur le même bras.
Dans le second cas –lézard- c’est toute la chaine vertébrale qui par ses énormes muscles oscillateurs, mobilise, par en haut, des essieux de pattes courtes, simples interfaces , peu et plus lentement sollicitées .
Le thorax et le diaphragme, amplement mobilisés produisent une respiration entière, ample (et donc lente).
Les gestes lents emploient des muscles lents, aérobies, l’oxygène est puisé dans l’air et renouvelé autant que de besoin.
C’est la locomotion athlétique : de puissance, de grande vitesse

Chacune de ces locomotions, répond à une posture de la colonne vertebrale telle que sur le croquis annexé.en page suivante.
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