06/12/2016
Bazoches s/Guyonne le 6/12/16
Bonjour Sandrine,
Votre DVD est parti ce jour.
Votre indication sur la locomotion de votre jument (« qui court beaucoup ») m’a interpellé.
La précipitation (et accélération) est le fait d’un cheval qu’on dit : traditionnellement « sur les épaules ».-et qui, le plus souvent, « tire ou s’appuie» beaucoup.Il "fuit".
Ceci n’est PAS le fait d’une « construction » déséquilibrée sur le devant mais simplement le choix qu’il fait d’une locomotion (sur quatre possible) adoptée par instinct ou par simple impossibilité d’en utiliser une autre :sous la contrainte de maintient d’une attitude , imposée par le cavalier.
En très gros : Back- moover//Leg-moover…..cette expression US indique bien ces deux types locomoteurs (que je nomme locomotion d’Arthropode –cafard- VS: locomotion Lacertienne –du lézard ou saurien)
Dans le premier cas –cafard- tout le dos est raidi, incliné vers l’avant (pour s’aider de la gravité/effet de pente) et les longues « pattes » doivent se dépêcher (mobiliser la masse) pour rattraper utilement le déséquilibre initiateur du mouvement.
Le thorax immobilisé n’autorise qu’une respiration courte et rapide.(haletante).
Tous les gestes brefs sont le fait de muscles rapides, anaérobies, l’oxygène est puisé dans les réserves des tissus.qui s’épuisent vite.
C’est la :statio- motion célère: de grande manœuvrabilité, d’esquive, en espace restreint.
Elle épuise très vite l’organisme par surchauffe des (petits) moteurs auxiliaires des membres.
C’est aussi la locomotion du garçon de café, qui manœuvre, célère entre les tables , avec son plateau chargé de verres et sa serviette sur le même bras.
Dans le second cas –lézard- c’est toute la chaine vertébrale qui par ses énormes muscles oscillateurs, mobilise, par en haut, des essieux de pattes courtes, simples interfaces , peu et plus lentement sollicitées .
Le thorax et le diaphragme, amplement mobilisés produisent une respiration entière, ample (et donc lente).
Les gestes lents emploient des muscles lents, aérobies, l’oxygène est puisé dans l’air et renouvelé autant que de besoin.
C’est la locomotion athlétique : de puissance, de grande vitesse
Chacune de ces locomotions, répond à une posture de la colonne vertebrale telle que sur le croquis annexé.
Bonjour Sandrine,
Votre DVD est parti ce jour.
Votre indication sur la locomotion de votre jument (« qui court beaucoup ») m’a interpellé.
La précipitation (et accélération) est le fait d’un cheval qu’on dit : traditionnellement « sur les épaules ».-et qui, le plus souvent, « tire ou s’appuie» beaucoup.Il "fuit".
Ceci n’est PAS le fait d’une « construction » déséquilibrée sur le devant mais simplement le choix qu’il fait d’une locomotion (sur quatre possible) adoptée par instinct ou par simple impossibilité d’en utiliser une autre :sous la contrainte de maintient d’une attitude , imposée par le cavalier.
En très gros : Back- moover//Leg-moover…..cette expression US indique bien ces deux types locomoteurs (que je nomme locomotion d’Arthropode –cafard- VS: locomotion Lacertienne –du lézard ou saurien)
Dans le premier cas –cafard- tout le dos est raidi, incliné vers l’avant (pour s’aider de la gravité/effet de pente) et les longues « pattes » doivent se dépêcher (mobiliser la masse) pour rattraper utilement le déséquilibre initiateur du mouvement.
Le thorax immobilisé n’autorise qu’une respiration courte et rapide.(haletante).
Tous les gestes brefs sont le fait de muscles rapides, anaérobies, l’oxygène est puisé dans les réserves des tissus.qui s’épuisent vite.
C’est la :statio- motion célère: de grande manœuvrabilité, d’esquive, en espace restreint.
Elle épuise très vite l’organisme par surchauffe des (petits) moteurs auxiliaires des membres.
C’est aussi la locomotion du garçon de café, qui manœuvre, célère entre les tables , avec son plateau chargé de verres et sa serviette sur le même bras.
Dans le second cas –lézard- c’est toute la chaine vertébrale qui par ses énormes muscles oscillateurs, mobilise, par en haut, des essieux de pattes courtes, simples interfaces , peu et plus lentement sollicitées .
Le thorax et le diaphragme, amplement mobilisés produisent une respiration entière, ample (et donc lente).
Les gestes lents emploient des muscles lents, aérobies, l’oxygène est puisé dans l’air et renouvelé autant que de besoin.
C’est la locomotion athlétique : de puissance, de grande vitesse
Chacune de ces locomotions, répond à une posture de la colonne vertebrale telle que sur le croquis annexé.
Bonjour Sandrine,
Votre DVD est parti ce jour.
Votre indication sur la locomotion de votre jument (« qui court beaucoup ») m’a interpellé.
La précipitation (et accélération) est le fait d’un cheval qu’on dit : traditionnellement « sur les épaules ».-et qui, le plus souvent, « tire ou s’appuie» beaucoup.Il "fuit".
Ceci n’est PAS le fait d’une « construction » déséquilibrée sur le devant mais simplement le choix qu’il fait d’une locomotion (sur quatre possible) adoptée par instinct ou par simple impossibilité d’en utiliser une autre :sous la contrainte de maintient d’une attitude , imposée par le cavalier.
En très gros : Back- moover//Leg-moover…..cette expression US indique bien ces deux types locomoteurs (que je nomme locomotion d’Arthropode –cafard- VS: locomotion Lacertienne –du lézard ou saurien)
Dans le premier cas –cafard- tout le dos est raidi, incliné vers l’avant (pour s’aider de la gravité/effet de pente) et les longues « pattes » doivent se dépêcher (mobiliser la masse) pour rattraper utilement le déséquilibre initiateur du mouvement.
Le thorax immobilisé n’autorise qu’une respiration courte et rapide.(haletante).
Tous les gestes brefs sont le fait de muscles rapides, anaérobies, l’oxygène est puisé dans les réserves des tissus.qui s’épuisent vite.
C’est la :statio- motion célère: de grande manœuvrabilité, d’esquive, en espace restreint.
Elle épuise très vite l’organisme par surchauffe des (petits) moteurs auxiliaires des membres.
C’est aussi la locomotion du garçon de café, qui manœuvre, célère entre les tables , avec son plateau chargé de verres et sa serviette sur le même bras.
Dans le second cas –lézard- c’est toute la chaine vertébrale qui par ses énormes muscles oscillateurs, mobilise, par en haut, des essieux de pattes courtes, simples interfaces , peu et plus lentement sollicitées .
Le thorax et le diaphragme, amplement mobilisés produisent une respiration entière, ample (et donc lente).
Les gestes lents emploient des muscles lents, aérobies, l’oxygène est puisé dans l’air et renouvelé autant que de besoin.
C’est la locomotion athlétique : de puissance, de grande vitesse
Chacune de ces locomotions, répond à une posture de la colonne vertebrale telle que sur le croquis annexé.
Bonjour Sandrine,
Votre DVD est parti ce jour.
Votre indication sur la locomotion de votre jument (« qui court beaucoup ») m’a interpellé.
La précipitation (et accélération) est le fait d’un cheval qu’on dit : traditionnellement « sur les épaules ».-et qui, le plus souvent, « tire ou s’appuie» beaucoup.Il "fuit".
Ceci n’est PAS le fait d’une « construction » déséquilibrée sur le devant mais simplement le choix qu’il fait d’une locomotion (sur quatre possible) adoptée par instinct ou par simple impossibilité d’en utiliser une autre :sous la contrainte de maintient d’une attitude , imposée par le cavalier.
En très gros : Back- moover//Leg-moover…..cette expression US indique bien ces deux types locomoteurs (que je nomme locomotion d’Arthropode –cafard- VS: locomotion Lacertienne –du lézard ou saurien)
Dans le premier cas –cafard- tout le dos est raidi, incliné vers l’avant (pour s’aider de la gravité/effet de pente) et les longues « pattes » doivent se dépêcher (mobiliser la masse) pour rattraper utilement le déséquilibre initiateur du mouvement.
Le thorax immobilisé n’autorise qu’une respiration courte et rapide.(haletante).
Tous les gestes brefs sont le fait de muscles rapides, anaérobies, l’oxygène est puisé dans les réserves des tissus.qui s’épuisent vite.
C’est la :statio- motion célère: de grande manœuvrabilité, d’esquive, en espace restreint.
Elle épuise très vite l’organisme par surchauffe des (petits) moteurs auxiliaires des membres.
C’est aussi la locomotion du garçon de café, qui manœuvre, célère entre les tables , avec son plateau chargé de verres et sa serviette sur le même bras.
Dans le second cas –lézard- c’est toute la chaine vertébrale qui par ses énormes muscles oscillateurs, mobilise, par en haut, des essieux de pattes courtes, simples interfaces , peu et plus lentement sollicitées .
Le thorax et le diaphragme, amplement mobilisés produisent une respiration entière, ample (et donc lente).
Les gestes lents emploient des muscles lents, aérobies, l’oxygène est puisé dans l’air et renouvelé autant que de besoin.
C’est la locomotion athlétique : de puissance, de grande vitesse
Chacune de ces locomotions, répond à une posture de la colonne vertebrale telle que sur le croquis annexé.
Bonjour Sandrine,
Votre DVD est parti ce jour.
Votre indication sur la locomotion de votre jument (« qui court beaucoup ») m’a interpellé.
La précipitation (et accélération) est le fait d’un cheval qu’on dit : traditionnellement « sur les épaules ».-et qui, le plus souvent, « tire ou s’appuie» beaucoup.Il "fuit".
Ceci n’est PAS le fait d’une « construction » déséquilibrée sur le devant mais simplement le choix qu’il fait d’une locomotion (sur quatre possible) adoptée par instinct ou par simple impossibilité d’en utiliser une autre :sous la contrainte de maintient d’une attitude , imposée par le cavalier.
En très gros : Back- moover//Leg-moover…..cette expression US indique bien ces deux types locomoteurs (que je nomme locomotion d’Arthropode –cafard- VS: locomotion Lacertienne –du lézard ou saurien)
Dans le premier cas –cafard- tout le dos est raidi, incliné vers l’avant (pour s’aider de la gravité/effet de pente) et les longues « pattes » doivent se dépêcher (mobiliser la masse) pour rattraper utilement le déséquilibre initiateur du mouvement.
Le thorax immobilisé n’autorise qu’une respiration courte et rapide.(haletante).
Tous les gestes brefs sont le fait de muscles rapides, anaérobies, l’oxygène est puisé dans les réserves des tissus.qui s’épuisent vite.
C’est la :statio- motion célère: de grande manœuvrabilité, d’esquive, en espace restreint.
Elle épuise très vite l’organisme par surchauffe des (petits) moteurs auxiliaires des membres.
C’est aussi la locomotion du garçon de café, qui manœuvre, célère entre les tables , avec son plateau chargé de verres et sa serviette sur le même bras.
Dans le second cas –lézard- c’est toute la chaine vertébrale qui par ses énormes muscles oscillateurs, mobilise, par en haut, des essieux de pattes courtes, simples interfaces , peu et plus lentement sollicitées .
Le thorax et le diaphragme, amplement mobilisés produisent une respiration entière, ample (et donc lente).
Les gestes lents emploient des muscles lents, aérobies, l’oxygène est puisé dans l’air et renouvelé autant que de besoin.
C’est la locomotion athlétique : de puissance, de grande vitesse
Chacune de ces locomotions, répond à une posture de la colonne vertebrale telle que sur le croquis annexé.
Bonjour Sandrine,
Votre DVD est parti ce jour.
Votre indication sur la locomotion de votre jument (« qui court beaucoup ») m’a interpellé.
La précipitation (et accélération) est le fait d’un cheval qu’on dit : traditionnellement « sur les épaules ».-et qui, le plus souvent, « tire ou s’appuie» beaucoup.Il "fuit".
Ceci n’est PAS le fait d’une « construction » déséquilibrée sur le devant mais simplement le choix qu’il fait d’une locomotion (sur quatre possible) adoptée par instinct ou par simple impossibilité d’en utiliser une autre :sous la contrainte de maintient d’une attitude , imposée par le cavalier.
En très gros : Back- moover//Leg-moover…..cette expression US indique bien ces deux types locomoteurs (que je nomme locomotion d’Arthropode –cafard- VS: locomotion Lacertienne –du lézard ou saurien)
Dans le premier cas –cafard- tout le dos est raidi, incliné vers l’avant (pour s’aider de la gravité/effet de pente) et les longues « pattes » doivent se dépêcher (mobiliser la masse) pour rattraper utilement le déséquilibre initiateur du mouvement.
Le thorax immobilisé n’autorise qu’une respiration courte et rapide.(haletante).
Tous les gestes brefs sont le fait de muscles rapides, anaérobies, l’oxygène est puisé dans les réserves des tissus.qui s’épuisent vite.
C’est la :statio- motion célère: de grande manœuvrabilité, d’esquive, en espace restreint.
Elle épuise très vite l’organisme par surchauffe des (petits) moteurs auxiliaires des membres.
C’est aussi la locomotion du garçon de café, qui manœuvre, célère entre les tables , avec son plateau chargé de verres et sa serviette sur le même bras.
Dans le second cas –lézard- c’est toute la chaine vertébrale qui par ses énormes muscles oscillateurs, mobilise, par en haut, des essieux de pattes courtes, simples interfaces , peu et plus lentement sollicitées .
Le thorax et le diaphragme, amplement mobilisés produisent une respiration entière, ample (et donc lente).
Les gestes lents emploient des muscles lents, aérobies, l’oxygène est puisé dans l’air et renouvelé autant que de besoin.
C’est la locomotion athlétique : de puissance, de grande vitesse
Chacune de ces locomotions, répond à une posture de la colonne vertebrale telle que sur le croquis annexé.
Bonjour Sandrine,
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La précipitation (et accélération) est le fait d’un cheval qu’on dit : traditionnellement « sur les épaules ».-et qui, le plus souvent, « tire ou s’appuie» beaucoup.Il "fuit".
Ceci n’est PAS le fait d’une « construction » déséquilibrée sur le devant mais simplement le choix qu’il fait d’une locomotion (sur quatre possible) adoptée par instinct ou par simple impossibilité d’en utiliser une autre :sous la contrainte de maintient d’une attitude , imposée par le cavalier.
En très gros : Back- moover//Leg-moover…..cette expression US indique bien ces deux types locomoteurs (que je nomme locomotion d’Arthropode –cafard- VS: locomotion Lacertienne –du lézard ou saurien)
Dans le premier cas –cafard- tout le dos est raidi, incliné vers l’avant (pour s’aider de la gravité/effet de pente) et les longues « pattes » doivent se dépêcher (mobiliser la masse) pour rattraper utilement le déséquilibre initiateur du mouvement.
Le thorax immobilisé n’autorise qu’une respiration courte et rapide.(haletante).
Tous les gestes brefs sont le fait de muscles rapides, anaérobies, l’oxygène est puisé dans les réserves des tissus.qui s’épuisent vite.
C’est la :statio- motion célère: de grande manœuvrabilité, d’esquive, en espace restreint.
Elle épuise très vite l’organisme par surchauffe des (petits) moteurs auxiliaires des membres.
C’est aussi la locomotion du garçon de café, qui manœuvre, célère entre les tables , avec son plateau chargé de verres et sa serviette sur le même bras.
Dans le second cas –lézard- c’est toute la chaine vertébrale qui par ses énormes muscles oscillateurs, mobilise, par en haut, des essieux de pattes courtes, simples interfaces , peu et plus lentement sollicitées .
Le thorax et le diaphragme, amplement mobilisés produisent une respiration entière, ample (et donc lente).
Les gestes lents emploient des muscles lents, aérobies, l’oxygène est puisé dans l’air et renouvelé autant que de besoin.
C’est la locomotion athlétique : de puissance, de grande vitesse
Chacune de ces locomotions, répond à une posture de la colonne vertebrale telle que sur le croquis annexé.
Bonjour Sandrine,
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La précipitation (et accélération) est le fait d’un cheval qu’on dit : traditionnellement « sur les épaules ».-et qui, le plus souvent, « tire ou s’appuie» beaucoup.Il "fuit".
Ceci n’est PAS le fait d’une « construction » déséquilibrée sur le devant mais simplement le choix qu’il fait d’une locomotion (sur quatre possible) adoptée par instinct ou par simple impossibilité d’en utiliser une autre :sous la contrainte de maintient d’une attitude , imposée par le cavalier.
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Dans le premier cas –cafard- tout le dos est raidi, incliné vers l’avant (pour s’aider de la gravité/effet de pente) et les longues « pattes » doivent se dépêcher (mobiliser la masse) pour rattraper utilement le déséquilibre initiateur du mouvement.
Le thorax immobilisé n’autorise qu’une respiration courte et rapide.(haletante).
Tous les gestes brefs sont le fait de muscles rapides, anaérobies, l’oxygène est puisé dans les réserves des tissus.qui s’épuisent vite.
C’est la :statio- motion célère: de grande manœuvrabilité, d’esquive, en espace restreint.
Elle épuise très vite l’organisme par surchauffe des (petits) moteurs auxiliaires des membres.
C’est aussi la locomotion du garçon de café, qui manœuvre, célère entre les tables , avec son plateau chargé de verres et sa serviette sur le même bras.
Dans le second cas –lézard- c’est toute la chaine vertébrale qui par ses énormes muscles oscillateurs, mobilise, par en haut, des essieux de pattes courtes, simples interfaces , peu et plus lentement sollicitées .
Le thorax et le diaphragme, amplement mobilisés produisent une respiration entière, ample (et donc lente).
Les gestes lents emploient des muscles lents, aérobies, l’oxygène est puisé dans l’air et renouvelé autant que de besoin.
C’est la locomotion athlétique : de puissance, de grande vitesse
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