Audrey Schildknecht Psychologue enfant

Audrey Schildknecht Psychologue enfant Psychologue Psychothérapeute
Enfants, adolescents, accompagnement parental

Psychologue clinicienne (enfants et adolescents, éducation et développement, parentalité) formée à différentes thérapies (par le jeu, dessins, EFT etc).

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23/11/2025

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23/11/2025

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23/11/2025
Quand l'angoisse nous dit quelque chose de nous même
23/11/2025

Quand l'angoisse nous dit quelque chose de nous même

Et si votre angoisse n’était pas une ennemie… mais un signal bienveillant du corps pour vous protéger ou vous faire comprendre quelque chose de plus profond ...

23/11/2025

Des groupes de parole pour enfants endeuillés

19/11/2025

Quand Lacan avance que la guérison vient “de surcroît”, il met en garde contre une chose très précise : faire de la guérison comme normalisation l’unique but affiché de la cure. Dans ses textes et ses séminaires, il rappelle au contraire que la justification de l’analyste, comme son devoir, est d’améliorer la position du sujet.

Autrement dit : la psychanalyse ne renonce pas à transformer la vie de ceux qu’elle accompagne ; elle refuse simplement de réduire cette transformation à un retour rapide à la norme. La guérison, quand elle advient, est un effet possible et précieux d’un travail qui touche le sujet dans son rapport à lui-même, aux autres, à son histoire – et non un résultat à produire à tout prix.

C’est précisément cette tension-là que l’amendement 159, et plus largement la mise en place d’une psychologie d’État, viennent écraser. Au nom d’une certaine idée de l’“efficacité”, il s’agit d’aligner le soin psychique sur un modèle unique : protocoles courts, objectifs de correction, scores d’amélioration, indicateurs de conformité. La dimension éthique rappelée par Lacan – ne pas sacrifier le sujet à la norme, ne pas confondre amélioration de la position du sujet et simple ajustement comportemental – disparaît au profit d’un soin calibré sur les attentes du gestionnaire.

Et l’Ordre des psychologues dans tout ça ?

Dans cette perspective, la tentative récente de création d’un Ordre national des psychologues (PPL n°2587, déposée le 2 mai 2024 par Éric Poulliat et plusieurs députés de la majorité) prend un relief particulier. 

La dissolution de l’Assemblée a rendu cette proposition caduque, mais son contenu et les arguments avancés restent éclairants :
– d’un côté, l’idée de “mieux structurer” la profession et d’identifier un interlocuteur unique pour les pouvoirs publics ;
– de l’autre, la mise en place d’une instance ordinale placée sous la tutelle du Premier ministre, avec des pouvoirs disciplinaires. 

Dit autrement :
• un État qui cherche à façonner une psychologie à son image, centrée sur des dispositifs standardisés ;
• un Ordre qui viendrait servir de relais interne, chargé de cadrer la profession, de trier ce qui est “conforme” ou non, et de rappeler à l’ordre ceux qui ne s’aligneraient pas.

On voit bien le lien : une psychologie d’État a besoin d’une police intérieure de la profession.
Un Ordre, dans ce cadre, n’est plus seulement un espace de régulation déontologique ; il devient un instrument pour faire rentrer la diversité des pratiques dans un moule compatible avec les politiques publiques en place. Les psychologues qui “rentrent bien” dans ce moule seraient alors légitimés pour cadrer les autres, au nom de la profession tout entière.

La majorité des organisations de psychologues s’y sont d’ailleurs opposées, en pointant le risque d’un Ordre construit sans la profession, et d’une instance ordinale servant plus à rassurer l’État et ses partenaires qu’à protéger réellement les sujets et la clinique. 

Nous ne sommes pas contre la recherche, ni contre l’évaluation, ni contre l’idée d’une responsabilité collective. Nous refusons simplement que ces éléments soient utilisés pour mettre en place :
• une psychologie d’État réduite à des techniques de normalisation et de gestion des comportements ;
• un Ordre qui servirait de bras armé pour discipliner les psychologues rétifs à ce modèle.

Enjeux continuera à défendre une pratique qui reste du côté du sujet, de sa singularité, de son temps propre ; une pratique qui écoute et qui s’adapte, plutôt qu’elle n’impose ; une psychologie qui ne se met pas au service exclusif du discours du maître, mais qui garde ouverte la possibilité d’interroger ce qui, dans ce monde, fait souffrir – y compris quand cela dérange les pouvoirs en place.

😤😤 je crois que l'état aussi aurait besoin d'un accompagnement psychotherapeutique pour travailler sur la réduction du s...
19/11/2025

😤😤 je crois que l'état aussi aurait besoin d'un accompagnement psychotherapeutique pour travailler sur la réduction du sentiment de toute puissance! Jusqu'où iront-ils dans le contrôle des gens ?

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18/11/2025

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17/11/2025

Les rêveurs : au cœur de la psychiatrie infanto-juvénile

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17/11/2025

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✨✨17 Novembre, JOURNÉE MONDIALE DE LA PRÉMATURITÉ ✨✨

Chiffres OMS
13,4 millions de nourrissons sont nés prématurément (avant 37 semaines révolues de gestation) en 2020.
À l’origine de près de 900 000 décès en 2019 ( les complications de la prématurité sont la cause principale de mortalité chez les enfants de moins de cinq ans.
Les trois quarts de ces décès pourraient être évités grâce à des interventions courantes et d’un bon rapport coût/efficacité.
En 2020, le taux de naissances prématurées allait de 4 % à 16 % selon les pays.

En France, ce sont 55000 prématurés qui naissent/année.
5% de très grande prématurité (moins de 28 semaines),
Grande prématurité (entre la 28e et la 32e semaine) Prématurité moyenne, voire tardive (entre la 32e et la 37e semaine).

Cette épreuve de début de vie douloureuse, insoutenable, parfois décrite comme un enfer mérite toute notre attention.

Séparation, sentiment de culpabilité, survie mais aussi deuil...les familles qui le vivent comprennent tellement ces mots.

Et puis, il y a les joies, les espoirs, la sortie du tunnel et enfin la tant attendue sortie à la maison...
LA VICTOIRE...

Les émotions se mêlent et s'entremêlent.
Les journées ne se ressemblent pas.

L'espoir et la résilience se bousculent.

Mon passage en néonatalogie a été une merveilleuse aventure à vos côtés.
J'ai tellement appris grâce aux familles qui ont participé à mon cheminement vers un accompagnement respectueux et digne de ce nom.

Chères familles, chers bébés vainqueurs, la vie prend tout son sens.

Chers soignants, merci pour votre dévouement malgré les exigences d'une institution parfois trop protocolaire et déshumanisée/déshumanisante.

Le NIDCAP (programme néonatal individualisé de soins de développement avec évaluation) permet un accompagnement personnalisé : observations, limitation des séparations, soins de bien-être, adoucissement des stimulations, emmaillotage..

Chers bébés nés en avance, cette journée vous est dédiée. Vous le méritez🙏.

Photo : Crédit Pixabay, seppH
Pixabay.com

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