Stéphanie Chamonard - Ostéopathe animalier

Stéphanie Chamonard - Ostéopathe animalier Ostéopathe Animalier en région Rhône-Alpes
Ostéopathie énergétique et classique

L'ostéopathie consiste, dans une compréhension globale de l'animal, à prévenir, diagnostiquer et traiter manuellement les dysfonctions de la mobilité des tissus du corps susceptibles d'en altérer l'état de santé. Je me déplace dans un rayon de 100km autour de Villefranche-sur-Saône, dans la Région Auvergne-Rhône-Alpes et ses départements limitrophes. Diplomée du National Institute of Animal Osteopathy
(DOA en 5 ans)

Pour plus d'informations n'hésitez pas à vous rendre sur mon site web
www.sc-osteo.fr

Un très bon résumé ! Merci à La Ferme équestre du Rousset pour son accueil 🙌 et merci à SantéKin' - Expertise & Soins po...
16/08/2025

Un très bon résumé ! Merci à La Ferme équestre du Rousset pour son accueil 🙌 et merci à SantéKin' - Expertise & Soins pour ses enseignements 👐
Très heureuse de continuer à évoluer dans cette voie 🐴
La suite au prochain épisode 🤓

Merci consœur de poser des mots sur cette situation
02/06/2025

Merci consœur de poser des mots sur cette situation

Actuellement, l’ostéopathie (humaine et animale) souffre. À la fois d’une mode qui est en train de saturer le marché - tout le monde veut devenir ostéopathe - et dans le même temps, d’une défiance de plus en plus extrême face à ses pratiquants, taxés de charlatans au motif qu’ils s’éloignent un temps soit peu des techniques purement et strictement mécaniques. Sur l’autel de la sacro-sainte preuve scientifique, on sacrifie l’essence même de notre métier : le ressenti, l’adaptation au vivant et la prise en charge globale de notre patient ( « mind, motion, matter » disait Tonton Still).

Les arguments sont toujours les mêmes : « pas de preuve scientifique = pas d’existence ». On en vient à renier des concepts - certes pas établis par les chercheurs qui cherchent ailleurs par manque de moyens ou d’intérêt - pourtant évidents et avec lesquels des résultats concrets et pertinents sont établis chaque jour. Je parle de concept crânien, du MRP (Mécanisme Respiratoire Primaire), des techniques viscérales, du principe de tenségrité appliqué à la biologie du corps, de l’incroyable technique de FTM (Force de Traction Médullaire) dont je me sers au quotidien. Il ne s’agit pas de croire ou ne pas croire en ces techniques et concepts. Mais simplement de faire preuve de curiosité et d’expérimenter. J’ai essayé beaucoup de choses, avec plus ou moins de succès. Parfois ça marche, parfois pas. Parfois c’est parce que je ne maîtrise pas suffisamment la technique, parfois c’est parce qu’elle n’est pas adaptée à mon patient, et parfois c’est juste parce que… j’en sais rien! Mais quand ça marche, mon outil est validé par mon expérience, pas parce que la science l’a dit. Mes outils complémentaires ne sont qu’une plus-value à mon travail d’ostéopathe, pas un substitut.
Et je ne m’aventure pas du côté de mes pratiques plus ésotériques, que j’assume pleinement, qui ne manqueront pas de faire encore plus débat.

Je prends le risque d’écrire ces lignes aujourd’hui parce que je ne peux plus supporter qu’on me colle une étiquette de charlatan, alors que les adeptes de la science avant tout vous vendent des promesses à prix d’or, avec un marketing bien rôdé, sans jamais vous montrer de réels résultats, pire encore en se déresponsabilisant totalement parce que s’il n’y a pas de résultat, ce n’est pas leur méthode « infaillible » qui sera remise en cause mais l’investissement de leur client à l’appliquer correctement.
Je prends ce risque également pour porter la voix de toutes celles et ceux qui n’osent pas, qui se résignent, pire qui doutent d’eux et n’écoutent plus leur petite voix intérieure, les petits picotements dans leurs mains, ce petit truc qu’ils n’arrivent pas à expliquer, mais qui est pourtant bien réel à leurs yeux. Certains d’entre eux se sont coupés des réseaux, ne s’expriment plus, ne partagent plus leurs joies et leur expérience, par peur d’être alpagués et lynchés sur la place publique par ces milices de l’extrême. Je refuse de me censurer pour une poignée d’individus à l’obscurantisme crasse et violent.

Ma pratique se base sur les principes fondamentaux de l’ostéopathie, sur ce que j’ai sous les mains à l’instant T, sur l’histoire de mon patient (et de mon client), et sur toutes les techniques que j’ai pu glaner ou développer au fil de mes bientôt quinze années d’expérience. Le corps est une mécanique bien rodée, mais légèrement plus complexe qu’une mobylette. Il ne s’agit pas juste de dégriper un coude et faire trois flexions tous les matins. Les interactions entre physique, émotionnel et environnement sont primordiales à prendre en compte. Et on ne traite pas une émotion enkystée dans un organe comme un coude en restriction. Ne pas considérer les émotions comme vecteur de problématique, c’est nier une grande partie de l’intégrité de notre patient.

Et ce n’est pas parce qu’on utilise des techniques « farfelues » (selon le prisme des scientifico-sceptiques), qu’on fait perdre nécessairement du temps à notre patient. Pas une semaine ne passe sans que je réfère à des vétérinaires ou autre professionnel, plus adapté et/ou plus compétent. Je n’ai aucun mal à me remettre en question, à me positionner dans la chaîne des priorités de prise en charge. Je ne prétends pas faire de miracle et avoir la réponse ultime et unique à tous les problèmes grâce a ma méthode exclusive et révolutionnaire. Non, je promets simplement de faire de mon mieux, de mettre à disposition mes connaissances et mes compétences, pour aider l’animal et son propriétaire à aller mieux. Et si je ne suis pas cette solution, alors je promets de passer la main avec humilité.

À toutes celles et ceux qui, comme moi, utilisent leurs mains, leurs tripes et leur intuition pour faire de leur mieux chaque jour, ne vous laissez pas gangrener le cerveau, ne les laissez pas instiller le doute dans vos mains. Soyez curieux, réfléchissez, testez, tentez, ça marchera ou ça ne marchera pas, et quoi qu’il arrive, ça ne sera pas une vérité absolue. Mais ça sera votre ostéopathie. L’expérience, la curiosité et les résultats sont la seule preuve à fournir. Votre cœur, la seule voix à écouter.

© Chloé Huard - Ostéopathie Animale (OA293)

12/04/2025

La cage chez le chien : outil utile ou dérive silencieuse ?

Aujourd’hui, j’aimerais aborder un sujet qui me tient particulièrement à cœur : l’utilisation ou plutôt la sur-utilisation de la cage chez le chien.

Ce sujet, encore trop peu discuté, a pourtant de véritables implications, non seulement sur le comportement, mais aussi et c’est là mon cheval de bataille sur la santé physique de nos compagnons, en particulier chez les chiens de sport ou de travail.

-Un outil pensé pour le transport-

À l’origine, la cage a été conçue comme un outil de transport sécurisé. En voiture, elle permet de garantir la sécurité du chien, d’éviter les distractions au volant, et de lui offrir un espace délimité et rassurant.

Dans ce cadre, la cage a tout à fait sa place. Elle remplit une fonction claire, ponctuelle, et pensée pour le bien-être du chien et la sécurité de tous.

-D’un outil temporaire à un espace de vie-

Progressivement, son usage s’est étendu à d’autres contextes : on parle alors de "crate training", souvent importé des méthodes nord-américaines d’éducation canine. Sur le papier, cela peut sembler cohérent : habituer un chien à la cage peut faciliter une hospitalisation, l’attente lors de compétitions, ou encore l’aider à gérer certaines phases de repos.

Mais le glissement problématique apparaît lorsque la cage cesse d’être un outil temporaire pour devenir un véritable lieu de vie.

Or, une cage de transport n’est pas un chenil. Un chenil, même petit, offre au chien la possibilité de marcher quelques pas. Une cage de transport ne permet aucun de ces mouvements de base puisque pour le transport elle doit pouvoir limiter les mouvements du chien.

Imaginez-vous rester allongé dans un lit, sans pouvoir vous lever ni vous étirer, avec un plafond à 1,20 mètre… L’analogie est crue, mais réaliste.

-Quelles conséquences physiques ?-

On parle beaucoup des impacts comportementaux de l’enfermement prolongé (frustration, anxiété, hyper-attachement…), mais qu’en est-il des conséquences physiques ? C’est un aspect souvent oublié, pourtant fondamental, surtout pour les chiens sollicités physiquement ou en convalescence.

1. Une récupération musculaire freinée

Après un effort, même bien préparé (échauffement, récupération, soins), le corps a besoin de mouvements doux pour lancer le processus de récupération. C’est ce qu’on appelle la récupération active.

Pourquoi est-elle essentielle ?

Parce que le mouvement :

-favorise la circulation sanguine, qui apporte les nutriments et l’oxygène nécessaires à la régénération tissulaire,

-stimule la circulation lymphatique, indispensable à l’évacuation des toxines et déchets métaboliques,

-évite la congestion musculaire post-effort.

Enfermer un chien dans une cage immédiatement après un effort, même s’il a bénéficié d’une phase de récupération, revient à figer son organisme dans une phase critique. C’est comme demander à un sportif de rester allongé sans bouger deux heures après une séance intense : contre-productif, voire délétère.

2. Raideurs, compensations, boiteries

En tant qu’ostéopathe animalière, je le constate fréquemment : des chiens présentent des raideurs ou boitent "à froid" qui ne passent pas. Et à ma question :
"Était-il en cage juste avant ?", la réponse est souvent oui.

L’immobilisation prolongée entraîne :

-une stase musculaire (les muscles restent contractés dans une mauvaise posture),

-une diminution de la vascularisation des tissus en réparation,

-un risque de postures compensatoires,

-une majoration des douleurs existantes.

Tout cela peut retarder considérablement la récupération, ou même aggraver une pathologie locomotrice déjà présente.

3. Un non-sens en cas de pathologie locomotrice

Un exemple marquant de cette semaine : un chien atteint de tendinopathie, emmené en hydrothérapie à 1h45 de route.
Résultat : une séance bénéfique, annulée par le transport et surtout l’immobilisation en cage. À l’arrivée, le chien est plus raide qu’avant.

C’est pour cela que je reste très prudente lorsque vous venez de loin pour une séance, surtout si votre chien présente une problématique locomotrice. Travailler une heure sur son corps pour ensuite le figer dans une cage durant trois heures de route, c’est un non-sens.

-Et pour les chiens en concours ?-

Un mot aussi sur les week-ends de concours, où certains chiens passent jusqu’à 22 heures sur 24 en cage, entre les déplacements, l’attente et la nuit.

Dans ces conditions, comment espérer atteindre le plein potentiel d’un chien ?

Même sans tomber dans l’anthropomorphisme, imaginez devoir courir un 10 km après avoir passé la nuit recroquevillé dans une petite caisse, mal reposé, le corps figé...

Adapter la cage à la situation — ou s’en passer

Mon objectif n’est pas de diaboliser la cage. Elle est utile, voire nécessaire pour le transport, l’attente ponctuelle ou certains apprentissages. Mais son usage doit être réfléchi, temporaire et adapté à l’état physique du chien.

Il est essentiel de se poser quelques questions simples :

-Pourquoi la cage ?

-Pour combien de temps ?

-Dans quel état est mon chien physiquement ?

Si vous avez un chien sportif, convalescent ou en rééducation, privilégiez un espace plus grand, calme, sécurisé, et prévoyez du mouvement doux après chaque soin ou effort. Si votre chien est en période de reprise très légère après une blessure, une opération ou autre, veillez à éviter les trajets trop longs afin de ne pas compromettre la récupération par les contraintes posturales imposées par la cage.

-En conclusion-

La cage est un outil.
Comme tout outil, ce n’est pas son existence qui pose problème, mais l’usage qu’on en fait.

Caninement votre,

F***y Walther

N'hésitez pas à suivre son compte ou son livre, mine d'or pour tous les passionnés et pro du cheval ! 🐎✨
25/07/2024

N'hésitez pas à suivre son compte ou son livre, mine d'or pour tous les passionnés et pro du cheval ! 🐎✨

C'est l'été : tous aux abris !!!

Dans une étude que nous sommes en train de publier, nous montrons que les chevaux ont surtout besoin d'avoir des abris l'été !
Autant l'hiver, les chevaux, font le choix de rester dans leurs abris en moyenne 2h30 par 24 heures, l'été ce temps double. Il est donc essentiel qu'à cette période plus qu'à toute autre, les chevaux aient des abris en libre accès pour s'abriter de la chaleur et des insectes en journée, en particulier l'après-midi. Les nuits d'été, ils n'utilisent quasiment pas les abris.
Pour autant, ne les enfermez pas non stop : même si ce temps double en été, il n'est pas plus de 5 heures 38 par 24h en moyenne, soit moins d'un quart du temps.

19/07/2024

🌾 Foin 2024 et manganèse 🌾
Abcès, fourmilières, chevaux roussis, dermites, fourbures … Pourquoi ce printemps (ou cet automne 😒) est-il particulièrement compliqué pour nos chevaux ?

🌧 La météo est l’un des facteurs principaux influant sur la qualité et la composition des fourrages, notamment en ce qui concerne les minéraux et les oligo-éléments.
Selon la nature du sol (argileuse, sableuse, limoneuse, etc.), les intempéries des derniers mois auront donc plus ou moins lessivé les sols, généré un manque d’oxygénation, rendant les minéraux plus ou moins disponibles pour les plantes qui poussent dessus.
Si le manganèse a déjà tendance à être suffisamment pourvu dans nos fourrages (plus de 90% des cas), les taux qui ressortent cette année sont particulièrement élevés !

Le manganèse est impliqué dans le métabolisme des glucides, des lipides et des acides aminés. Il est important pour la formation normale des tissus conjonctifs donc des tendons entre autres, mais également pour les cartilages (dont ceux des pieds !), le maintien d’une ossature normale, la reproduction, etc.
Toutefois, en excès, il aura tendance à aggraver les effets toxiques du fer qui rappelons le, lorsqu’il est en excès, est également pro-infectieux, pro-inflammatoire et pro-oxydant et limite l’assimilation du cuivre et du zinc, déjà en déficits dans le fourrage.

🔎 Plus précisément, des études ont montré les effets toxiques de l’excès de manganèse sur le cerveau avec notamment une baisse de la synthèse de dopamine (la destruction des neurones dopaminergiques est une caractéristique du syndrome de Cushing, dont souffrent déjà de plus en plus de chevaux).
Chez l’Homme, l’apport excessif en manganèse est associé à une augmentation de cytokines pro-inflammatoires. La production chronique et excessive de cytokines inflammatoires est de plus en plus reconnue comme un facteur de risque pour une multitude de maladies chroniques.
Pour rappel, la plupart des pathogènes initient une réponse immunitaire classique basée sur la chélation du fer. Comme le fer, le manganèse peut être utilisé par le parasite responsable de la maladie de Lyme comme « agent de survie ».

Lorsque les chevaux décolorent, peinent à cicatriser, présentent des fourmilières ou pourritures de fourchettes persistantes, un système immunitaire dégradé, etc. il faut donc se poser la question d’un excès de fer et/ou de manganèse dans la ration.

🐴 Notre cheval de 500kg en maintenance a besoin d’environ 600mg de manganèse par jour pour fonctionner correctement.
Un fourrage standard (herbe ou foin) apporte en moyenne 115mg de manganèse par kilo, soit une consommation d’environ 1012mg par jour pour 8,8kg de matière sèche (10kg de foin brut).
Cette année, d’après les dernières statistiques des fourrages analysés, il y a peu de demi-mesure :
📍 Les fourrages pauvres en manganèse (environ 10% de cas) le sont vraiment, avec 40 à 80mg de manganèse par kilo de matière sèche (soit un apport compris entre 350 et 700mg par jour pour notre cheval de 500kg).
📍 Les fourrages bien pourvus en manganèse (environ 90% des cas) présentent pour beaucoup des taux à plus de 300mg par kilo de matière sèche (soit un apport d’environ 2640mg par jour pour notre cheval de 500kg).

Que doit-on en conclure :
Au même titre que l’excès de fer, l’excès de manganèse est problématique pour l’organisme du cheval.
Il y a 90% de chance de couvrir les besoins en manganèse via le fourrage : à moins d’avoir effectué une analyse de son fourrage montrant un déficit en manganèse, il est donc plus prudent de limiter tant que possible les apports supplémentaires en manganèse dans la ration via aliments et compléments, et fournir une complémentation adaptée en cuivre et zinc pour limiter l'impact d'un environnement déséquilibré.

🌱 En photo, l’analyse d’une même parcelle et l’évolution de son taux de manganèse entre 2023 et 2024 (même période d’analyse, gestion identique), représentative de ce que nous observons sur de nombreuses parcelles suivies.

09/05/2024

🤲 Les ostéopathes sont formés à sentir des micro-mouvements dans les liquides (rythme crânien) et dans les tissus (motilité). Pourquoi s’arrêter à cela ?

Faire de l’ostéopathie sur l’échelle microscopique ? Puisque nos mains « entrainées » traduisent ce que notre conscience capte, il suffit d’ouvrir la conscience au plan microscopique pour que les mains le traduisent. C’est utiliser la conscience aiguisée en le traduisant dans les tissus par nos perceptions et les déroulements tissulaires. Attention aux illusions, mais la palpation et les réactions tissulaires sont là pour nous rappeler à l’ordre.

Celui qui ose et a osé à parcourir ce chemin est Dr. Chikly, ostéopathe français aux USA. Son travail est très inspirant. D’une façon décomplexée, il se connecte à des mouvements des lymphocytes etc… Encore des barrières mentales qui résistent ? Il y a des ostéopathes qui avancent que la motilité des os ainsi que les organes vient de la nature contractile des fibroblastes. C’est plutôt microscopique, n'est-ce pas ? 🤔

Rejoins la formation Osteodyna pour développer ton approche et tes techniques 👇

https://www.terradeluz.com/therapie/osteopathie-biodynamique/ (lien en bio)

19/11/2023

"Maltraitance génétique programmée" les mots qui font mal...

Être conscient de cette face cachée, et, sans jeter la pierre à personne, en toutes connaissances de cause, surtout être CONSCIENT des SOINS qui doivent leur être apportés pour VIVRE correctement 🙏

Take care of them 🐾🐱🐶

Merci pour eux ✨

05/10/2023
Sensibilisation aux jeunes cavaliers (et peut être futurs propriétaires) 🐴Très bonne initiative de la part du Poney club...
21/04/2023

Sensibilisation aux jeunes cavaliers (et peut être futurs propriétaires) 🐴
Très bonne initiative de la part du Poney club de l'étoile ! ☺️
Merci pour eux 🙏

Adresse

Blacé
69460

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Lundi 09:00 - 19:00
Mardi 09:00 - 19:00
Mercredi 09:00 - 19:00
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