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Maëra - Sophro - Doula

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Doula, sophrologue spécialisée périnatalité & burn-out
> Bien vivre toutes les étapes de ta maternité

26/07/2025

Éclats d'eau, éclats de vie.

21/07/2025

Celles et ceux qui me connaissent diraient sans hésiter que j'ai toujours été de celles qui aiment aller vite.
Il y a quelques années, je croyais que plus j’avançais rapidement, plus j’accomplissais.
Que l’urgence était un gage de compétence.

Mais cette course effrénée, en réalité, cachait une peur : la peur d’échouer, de ne pas être à la hauteur, de ne pas être assez.

Et puis, la maternité a tout changé.
Elle m’a forcée à ralentir, à remettre en question ce rythme imposé.
C’est là que j’ai compris que la vitesse ne m’apportait pas plus de clarté, mais davantage de confusion.
Que la rapidité me coupait de l’essentiel, de ce qui comptait vraiment : moi, ma famille, et la manière dont je voulais avancer dans ma vie professionnelle.

On confond souvent vitesse et productivité.
Mais courir après le temps, ce n’est pas toujours avancer.
C’est parfois s’éloigner de soi, de ses besoins, de son bien-être.
La maternité m’a montré que ralentir n’était pas une perte de temps.
C’était la meilleure manière de me recentrer, d’agir avec plus de sens.

Et si la vraie productivité résidait dans la qualité de chaque moment que l’on choisit de vivre ?
Dans le fait de faire moins, mais mieux ?
D’avancer sans précipitation, mais avec clarté.

Ralentir n’est pas un luxe.
C’est une stratégie. Une boussole qui nous guide vers un équilibre plus serein.

Et vous, dans cette transition, avez-vous trouvé un rythme qui vous ressemble ?
Ou vous sentez-vous encore emportée par la course ?

́quilibreVieProPerso

24/06/2025

Et si votre journée ne tenait qu’à 3 minutes ?

Il m’arrive souvent de sentir mon corps se crisper,
en plein milieu d’une journée chargée.
Le souffle qui se fait court.
La mâchoire tendue.
Les épaules contractées.
Et ce mental… qui court encore plus vite que moi.

J’ai longtemps cru qu’il me fallait tout un week-end pour me sentir mieux.
Un vrai break. Une retraite. Du silence.
Et puis j’ai compris que parfois,
3 minutes suffisent.
3 minutes pour revenir à soi.
Pour déposer ce qu’on porte.
Pour respirer à nouveau pleinement.

J’ai rassemblé ici 5 micro-pauses que j’utilise moi-même :
entre deux rendez-vous, à la fin d’un appel,
ou juste avant de me remettre en mouvement.

Elles ne sont pas miraculeuses.
Mais elles sont précieuses.

✨ Laquelle vous appelle aujourd’hui ?

—

📌 À enregistrer pour les jours trop pleins.
📩 Et à transmettre à quelqu’un qui mérite un instant pour lui.

17/06/2025

Intime & universel.

12/06/2025

12 juin – Journée du bien-être au travail.

Il y a quelques années, je ne savais même pas que cette journée existait.
Je savais juste que je me sentais vidée en rentrant chez moi.
Que mon corps me disait « stop », mais que ma tête disait « encore ».

Depuis, j’ai appris à écouter.
À réajuster.
À changer de cap.
À accompagner aussi, celles et ceux qui ne veulent plus seulement survivre à leur quotidien professionnel.

Aujourd’hui, je crois qu’on peut viser autre chose que la survie.
On peut (re)trouver du sens, de l’élan, du souffle.

Le bien-être au travail n’est pas un luxe.
C’est un indicateur.
Un besoin.
Un point de départ pour repenser sa trajectoire.

Et si cette journée était l’occasion de faire le point ?

06/06/2025

Lâcher prise.

03/06/2025

Je crois que mon corps me parle toujours avant que je sois prête à l’écouter vraiment…

Je repense souvent à cette période où ma vie était intense, partout à la fois, sans jamais prendre le temps de respirer ni de prendre de la hauteur. C’était l’époque du fameux “Métro - boulot - dodo”.

Puis un matin, quelque chose a basculé.
Dès le réveil, j’ai senti monter en moi une vague puissante, comme une mer déchaînée.
Allongée là, l’esprit saturé, le corps crispé, une fatigue si lourde que me lever semblait impossible.

Ce jour-là, je n’avais plus le choix.
J’ai entendu ce corps qui criait.
Sans chercher à le faire taire, je lui ai proposé d’attendre l’accalmie, d’observer le ciel, de respirer, de plonger à l’intérieur de mon propre océan…
Revenir à moi.

Bien sûr, il m’arrive encore de résister à cette nage intérieure, à ma vulnérabilité.

Il y a des jours où l’on avance portée par le courant, et d’autres où l’on se sent submergée…

Ces jours-là, le corps murmure qu’il est temps de ralentir, de retrouver son souffle.

Ces signes, on les ignore souvent, pourtant ils sont là, à fleur de peau.

En voici 7 que je rencontre souvent. Peut-être qu’un seul suffira à vous toucher.

Et si, juste un instant, vous leviez les yeux…

Que voyez-vous ?

Le ciel, l’horizon…

Une invitation silencieuse à revenir à vous.

Votre corps sait déjà qu’il est temps.

Et vous, comment votre corps vous souffle-t-il qu’il est temps de lever le pied ?

́ ́veloppementpersonnel

25/05/2025

À toutes les mères.
Celles qu’on voit.
Celles qu’on oublie.
Celles qui tiennent debout, jour après jour.
Celles qui courent, portent, bercent, rassurent.
Celles à qui l’on demande tant… mais qu’on soutient si peu.

Et puis, à celles qu’on ne célèbre jamais :
les mères en devenir, en attente, en espoir,
les mères en deuil, les mères invisibles aux yeux du monde,
mais mères, profondément, intimement, depuis longtemps.

Car la maternité ne commence pas nécessairement le jour d’une naissance.
Elle germe dans le corps, dans le cœur, dans l’âme — parfois dans le silence.
Dans les rêves, les pertes, les élans, les renoncements.

Ce post est aussi pour celles qu’on a perdues.
Les mères absentes, les mères qui manquent à chaque battement.
Celles dont le souvenir continue de nous façonner.
Les mères de sang, et celles qu’on a choisies.
Les mères de cœur, de soin, d’âme, de transmission.

Et puis, il y a celles qu’on regrette autrement.
Celles qui étaient là, mais si loin.
Celles qu’on aurait tant voulu voir mères… autrement.
Celles qu’on a dû apprendre à pardonner, ou à quitter.
Celles qui, de fait, ont toujours manqué.

Aujourd’hui, sans voul
je rends hommage à la maternité dans toutes ses formes — visibles ou invisibles.

22/05/2025

S'ancrer.

08/05/2025

Vous venez d’apprendre une nouvelle qui transforme votre univers.
Une vie s’installe doucement, au creux de vous.
Et très vite, surgissent des questions…
… qui ne devraient pas exister.
Mais qui sont bien là.

« Comment annoncer ma grossesse à mon employeur ? »

Une ambivalence s’installe.
La magie d’une grossesse mêlée aux doutes, aux peurs plus sourdes.

Car oui, dans notre société, une grossesse au travail suscite encore des regards, des jugements, des inquiétudes.
Pas parce que vous seriez moins compétente.
Mais parce que les règles ont été écrites sans penser à celles qui portent la vie.

Il suffit d’observer :
Quand un enfant est malade, qui s’absente ?
Quand il faut lever le pied, qui paie le prix fort ?
Quand une mère revient de congé maternité, combien se sentent déjà sur la sellette ?

Ces doutes sont légitimes.
Ces émotions aussi.
Vous n’êtes ni fragile, ni faible, à les ressentir.

Mais vous êtes forte.
Et vous avez le droit d’aborder cette étape autrement.

➡️ Ce guide est là pour ça. Une boussole, pour préparer cette annonce avec clarté, calme et confiance.

📌 Vous y trouverez :
- Vos droits légaux
- Des conseils pour choisir le bon moment
- Des stratégies pour communiquer sereinement
- Des pistes pour envisager des aménagements adaptés

🤍 Offrez-vous le temps de préparer ce moment.
Et si vous ressentez le besoin d’un accompagnement plus global, je suis à vos côtés.

📩 Mes messages sont ouverts.

́

02/05/2025

Aujourd’hui, je le vois chez les femmes que j’accompagne.
Une quête profonde d’équilibre.
Un besoin vital d’évoluer sans se trahir.
Elles cherchent à conjuguer exigence et délicatesse, volonté et écoute, résilience et vulnérabilité.
À faire grandir les autres sans s’oublier elles-mêmes.

Depuis des années, on nous a proposé des modèles où il fallait performer, s’imposer, ne rien laisser paraître.

Mais aujourd’hui, les femmes sont en train de réinventer les règles du jeu.

Moins dans la posture, plus dans l’authenticité.
Moins dans le sacrifice, plus dans l’équilibre.
Moins dans l’autorité, plus dans la coopération.

C’est un leadership où l’intuition guide les décisions.
Où la sensibilité devient un levier, non une faiblesse.
Où l’ambition côtoie la douceur, sans contradiction.

Le vrai leadership ne réside pas dans les armures, ni les postures.
Il commence à l’intérieur.
Il naît d’une intuition qu’on accepte enfin d’écouter.
D’une force douce, nourrie de vulnérabilité, de résilience, et de cette capacité à se remettre en question sans s’effondrer.

Dans mon propre parcours, c’est lorsque j’ai cessé de chercher à correspondre aux standards de ma famille que tout a changé.
Je me suis autorisée à être entière. À accepter ma puissance dans la douceur, ma persévérance dans la vulnérabilité. C’est là que j’ai trouvé ma propre voie.

Car le leadership au féminin, c’est aussi ça :
Un leadership du collectif.
De la confiance partagée.
De l’évolution commune.
Le futur du leadership féminin ne sera pas un miroir du leadership masculin.
Il ne s’agit pas de se conformer à des modèles existants, mais de créer un autre paradigme :
Un leadership vivant, mouvant, profondément humain.

́

25/04/2025

Accompagner.

́

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33800

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