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Les Thérapies de Raphaëlle

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Les Thérapies de Raphaëlle

Je suis 𝗥𝗮𝗽𝗵𝗮𝗲̈𝗹𝗹𝗲, 𝗙𝗮𝗰𝗶𝗹𝗶𝘁𝗮𝘁𝗿𝗶𝗰𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗿𝗲𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 en couple, en groupe, en entreprise et avec soi-même. Coaching individuel en privé ou en entreprise.
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Je suis à votre écoute ! 💚
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Enseignement du Yoga. Pour jeunes adultes, adultes, couples, parents. Homme et femme. Couple : amour, amitié, fratrie, mère-fille (parent-enfant), parental. Je vous accompagne pour tous les événements de votre vie et pour réaliser un travail plus en profondeur. Quelques orientation plus spécifique et non exclusives : Après Cancer / Psychosomatique / Surefficience / Changement d’orientation professionnelle / Changement de Vie / Projet / Coaching d'idées

27/10/2025

Réparer le monde, c’est parfois une manière de réparer ce qui en nous a été abîmé. Derrière nos élans d’aide, nos engagements, nos combats, se cachent souvent des blessures anciennes qui cherchent à se transformer en sens. En voulant guérir l’extérieur, nous cherchons à panser l’intérieur. Et si, au fond, chaque geste de réparation du monde n’était qu’une tentative de réconciliation avec soi-même ?

Entrer en résonance, c’est oser sentir au lieu de se défendre. Laisser vibrer ce qui touche, reconnaître ce qui réveille. La résonance, ce n’est pas la fusion, c’est l’accord subtil entre ce que je vis et ce que je deviens. C’est la possibilité de grandir à travers ce qui me bouleverse, de transformer la douleur en présence, la faille en passage.

Faire de ce qu’on a fait de nous, c’est le cœur même de la résilience. Non pas oublier, mais créer à partir du chaos. C’est refuser de se réduire à son passé, et choisir d’en faire une matière vivante. C’est ce mouvement intime où la souffrance devient un chemin vers la conscience, et la conscience, une force d’amour.

À ne pas faire :
– Se perdre à vouloir sauver l’autre pour éviter de se rencontrer soi-même
– Croire qu’aimer suffit à réparer ce qui demande à être compris
– Confondre empathie et sacrifice, oublier sa propre place

À cultiver :
– La juste distance qui permet le lien sans la fusion
– La reconnaissance de nos limites comme terrain d’humanité
– L’élan de transformer la douleur en sagesse partagée

Et vous, qu’avez-vous fait de ce qu’on a fait de vous ?

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Raphaëlle

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24/10/2025

La virilité toxique coûte cher. Pas seulement aux femmes, ni aux enfants. Elle coûte à la société entière. Aux hommes eux-mêmes. À leur santé mentale, à leur liberté, à leur vie parfois. Derrière le mythe du contrôle et de la force, il y a des vies abîmées, des émotions refoulées, des corps usés. Le coût humain et économique se mesure : suicides, violences, incarcérations, ruptures, addictions. Et sous ce coût, un effondrement silencieux de la capacité à être en lien.

Ce modèle enferme. Il impose de dominer plutôt que d’aimer, de se taire plutôt que de se dire, de survivre plutôt que de ressentir. Il fabrique des hommes coupés de leurs émotions, des femmes surchargées de charge mentale, et des enfants qui apprennent la peur au lieu de la tendresse. Ce n’est pas une question de morale, mais d’équilibre social et psychique. La virilité toxique est un drame collectif.

Changer de modèle, c’est réapprendre à être humain. C’est reconnaître la valeur du soin, de la vulnérabilité, du dialogue. C’est remettre la relation au centre. Nous avons besoin d’hommes entiers, pas de héros épuisés. D’hommes capables d’écouter, de douter, de partager. C’est là que commence la véritable force : celle qui relie au lieu d’écraser.

À ne pas faire
– Se moquer d’un homme qui pleure ou qui parle de sa fragilité
– Croire qu’émotion rime avec faiblesse
– Attendre des femmes qu’elles réparent seules les blessures du patriarcat

À cultiver
– Soutenir les espaces de parole entre hommes et femmes
– Valoriser la tendresse, la coopération, le soin
– Éduquer les garçons à nommer ce qu’ils ressentent, pas à le cacher

Et vous, comment percevez-vous la virilité dans votre entourage ?
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Raphaëlle

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21/10/2025

C’est cadeau 💝

Nos corps se parlent avant nos mots.
Quand deux êtres se rencontrent, leurs systèmes nerveux s’accordent ou s’affrontent. L’un apaise, l’autre s’alarme. C’est un langage silencieux, primitif, qui décide souvent de la qualité du lien. La corégulation, c’est cette danse invisible où chacun, par sa présence, influence l’état intérieur de l’autre.

Rien n’est plus humain que de chercher la sécurité dans le regard de l’autre. Mais quand l’un est tendu, l’autre réagit, et la spirale s’installe. Dans le couple, cette mécanique peut devenir un cercle vicieux : plus je te sens distant, plus je m’agite ; plus je m’agite, plus tu te retires. Apprendre à reconnaître ces mouvements, c’est déjà rétablir un peu de calme.

La corégulation, c’est la tendresse des systèmes nerveux qui s’apprivoisent. Ce n’est pas « gérer » ses émotions, c’est apprendre à offrir au corps de l’autre une base sûre, une respiration commune. C’est un art du vivant, où la lenteur, l’écoute et la présence deviennent des gestes d’amour.

À ne pas faire
– Forcer l’autre à se calmer sans comprendre son état interne
– Réagir à chaud en cherchant à avoir raison
– Ignorer les signaux corporels de stress ou de fermeture

À cultiver
– Respirer ensemble avant de parler
– Nommer ce que vous ressentez sans accuser
– Offrir une main, un silence, un regard pour apaiser

Et vous, comment reconnaissez-vous les moments où vos corps se régulent mutuellement ?

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Raphaëlle

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17/10/2025

Elle en a marre d’entendre des femmes dire qu’elles cèdent « pour avoir la paix ». Marre de ces phrases murmurées entre deux silences gênés, marre de ce consentement forcé qu’on maquille en devoir conjugal. Parce qu’elle sait que derrière ce mensonge social se cache une violence intime : celle d’un corps qui se tait pour ne pas perdre l’amour, d’une âme qui s’éteint à force de se résigner.

Elle en a marre de ces représentations anciennes, collées à la peau comme une honte héréditaire. Celles qui disent que les hommes auraient plus de besoins, que les femmes devraient s’y plier, que l’équilibre d’un couple dépend de leur disponibilité. Comme si aimer, c’était renoncer à soi. Comme si le désir de l’autre valait toujours plus que le sien.

Alors elle a écrit « corvée de sexe ». Pour briser le déni, pour nommer l’indicible, pour que ces femmes cessent de se demander si elles sont « normales ». Elle veut rappeler qu’un vrai lien se tisse dans le respect du rythme, du choix et du désir partagé. Qu’il n’y a pas de paix possible quand l’un s’efface pour que l’autre soit tranquille.

À ne pas faire
– Se forcer pour éviter un conflit.
– Se taire par peur de blesser ou d’être quittée.
– Croire qu’aimer, c’est tout accepter.

À cultiver
– Oser dire non sans culpabilité.
– Chercher la parole avant le geste.
– Retrouver le plaisir d’un désir réciproque.

Et vous, jusqu’où êtes-vous allés pour « avoir la paix » ?

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Raphaëlle

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16/10/2025

Après un diagnostic, tout se fige. Les mots du médecin résonnent, un verdict s’abat, et quelque chose du monde intérieur se tait. Ce n’est pas seulement le corps ou l’esprit qui vacille, c’est souvent la confiance dans le lien. On ne sait plus comment dire, ni à qui. Alors on s’enferme. Mais la thérapie, seule ou en groupe, ouvre à nouveau une respiration : celle d’un espace où le vécu peut circuler, être entendu, apprivoisé.

Entrer en groupe après un diagnostic, c’est retrouver la chaleur humaine au cœur du froid clinique. On y découvre qu’on n’est pas seul à traverser le chaos, qu’une parole peut devenir pont, qu’un regard soutient plus qu’un traitement. Le groupe devient un lieu d’appui, un laboratoire vivant où chacun apprend à marcher autrement dans sa propre histoire.

Ce n’est pas un retour en arrière, c’est un retour à soi. Quand la parole se dépose et que les visages écoutent, le diagnostic cesse d’être une étiquette pour redevenir un passage. On y apprend à se reconnaître autrement, à habiter sa fragilité comme une force de lien.

À ne pas faire
– Se couper des autres en pensant devoir affronter seul
– Croire que le traitement suffit sans espace de parole
– Minimiser l’impact émotionnel du diagnostic sur le lien à l’autre

À cultiver
– S’entourer d’un cadre thérapeutique soutenant
– Partager ses émotions, même confuses, dans un espace sécurisé
– Reconnaître la valeur de la présence et du collectif dans la guérison

Et vous, avez-vous déjà ressenti combien un groupe peut réparer ce que la solitude abîme ?

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Raphaëlle

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14/10/2025

La ville use les nerfs avant même qu’on en prenne conscience. Le béton absorbe les cris, les lumières coupent le sommeil, la foule efface la solitude. Nous appelons cela “vivre” mais c’est souvent survivre dans un environnement qui épuise les corps et dérègle les âmes. L’urbain, avec ses injonctions de performance, son rythme compressé, son bruit continu, s’insinue jusque dans nos pensées les plus intimes.

Sous ses vitrines, la cité cache un autre visage : celui des troubles anxieux, des dépressions, des épuisements mentaux. La densité, le manque d’espace, la rareté du silence, tout concourt à l’hyperstimulation. Le cerveau, saturé de signaux, perd sa boussole intérieure. Et dans cet espace qui devrait relier, beaucoup se sentent plus seuls que jamais. C’est là que s’enracinent les fragilités psychiques, les dérives de l’humeur, les violences invisibles contre soi.

Pourtant, même au cœur du tumulte, il reste possible de réinventer des zones de calme et d’humanité. À condition de s’y autoriser. Prendre le temps d’un regard, d’une respiration, d’une marche sans but. Ralentir n’est pas fuir la ville : c’est y réintroduire de la conscience. L’équilibre ne se trouve pas ailleurs, mais dans la manière dont nous choisissons d’habiter nos lieux, nos liens, nos vies.

À ne pas faire :
– Se croire à l’abri parce qu’on “tient le coup”
– Confondre agitation et vitalité
– Laisser le bruit recouvrir ses besoins intérieurs

À cultiver :
– Des moments de silence, même courts
– Le contact avec le vivant, la nature, la lumière
– Des liens sincères, nourrissants, équilibrés

Et vous, comment préservez-vous votre santé mentale dans la ville ?

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Raphaëlle

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12/10/2025

𝗩𝗼𝘂𝗹𝗼𝗶𝗿 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗿 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝘂𝗻 𝗴𝗿𝗼𝘂𝗽𝗲 𝗱𝗲 𝘁𝗵𝗲́𝗿𝗮𝗽𝗶𝗲, 𝗰𝗮 𝗳𝗮𝗶𝘁 𝘂𝗻 𝗽𝗲𝘂 𝗽𝗲𝘂𝗿.

Alors :

✅ C’est normal ça stress tout le monde la première fois. Comme toute première fois, c’est l’inconnu.
✅ On en parle durant un appel téléphonique
✅ C’est une Safe Place bienveillante et sécurisée
✅ C’est un espace de découverte de soi dans la relation avec l’autre,
✅ C’est l’occasion d’exprimer et de montrer une partie de soi cachee et de voir comment ça réagit en face, sans être jugé.
✅ C’est expérimenter du nouveau pour faire autrement dans la vraie vie,
✅ C’est aussi poser des questions que l’on a jamais osé poser et dont on aimerait bien la réponse, et partager ensemble des points de vue divergents sans conflits.

Rejoignez nous nous serons ravis de vous accueillir et de vous faire une place parmi nous !

Lien ci-dessous ou tél au 0781628595

Je suis là à votre écoute,
Raphaëlle 🌷💚

10/10/2025

La perfection peut être une forme de folie.

Dans Black Swan, le corps devient le champ de bataille de l’esprit. La peur de l’échec, l’exigence d’être irréprochable, le regard des autres comme unique miroir de soi. Sous le tutu, il n’y a plus de peau, plus de repos, plus de place pour respirer. C’est ainsi que la santé mentale s’effondre : lentement, derrière les apparences de grâce.

Ce que le film montre avec une cruauté magnifique, c’est la dissociation. Quand le mental prend le pouvoir, que l’émotion devient ennemie, que la douceur se vit comme une faiblesse. On entre alors dans un monde où tout doit être maîtrisé, même la peur, même la douleur. Et c’est précisément là que le corps, à bout, se met à crier.

Retrouver la santé mentale, c’est cesser de s’abandonner à cette guerre intérieure. C’est apprendre à écouter le corps, à accueillir la faille, à reconnaître qu’il n’y a pas de beauté dans la destruction de soi. C’est choisir la vie, dans ce qu’elle a de vulnérable, d’imparfait et de profondément humain.

À ne pas faire :
– Confondre exigence et identité
– Minimiser les signaux du corps
– Isoler ce que l’on traverse par honte ou par peur

À cultiver :
– Nommer ses émotions sans les juger
– Chercher de l’aide avant l’épuisement
– Remettre de la tendresse là où régnait la rigueur

Et vous, à quel moment avez-vous compris que votre esprit avait besoin de repos autant que de réussite ?

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09/10/2025

𝗘𝘅𝗽𝗿𝗶𝗺𝗲𝗿 𝘀𝗮 𝗰𝗼𝗹𝗲̀𝗿𝗲, 𝗰´𝗲𝘀𝘁 𝗲𝘅𝗶𝘀𝘁𝗲𝗿 ! 𝗖´𝗲𝘀𝘁 𝗢𝗞 !

Dans le cabinet, ce moment où la voix monte, où les mots sortent enfin sans se retenir, bouleverse tout le système intérieur. La surprise d’y être autorisé, accueilli, entendu, devient un baume profond. Ce n’est pas une perte de contrôle, c’est un retour à soi. Là où le feu intérieur cesse d’être honteux, il éclaire la scène de notre humanité.

Pendant longtemps, on nous a appris à nous taire. À être sages, polis, calmes, « raisonnables ». Les émotions bruyantes ont été punies, étouffées sous des injonctions d’ordre et de performance. Alors, adulte, on s’étonne de ressentir, de pleurer, de trembler. On croit déranger, on s’excuse d’être vivant. En thérapie, l’espace se rouvre. C’est un apprentissage de liberté, une rééducation du souffle, un retour au mouvement juste.

Accueillir sa colère, c’est redonner à la vie sa pulsation. Ce n’est pas crier sur l’autre, mais reconnaître en soi la part qui veut dire non, la part qui dit « j’existe ». À cet endroit, la colère n’est plus une faute : elle devient présence. C’est ainsi qu’un être se recompose, qu’il retrouve son axe et sa tendresse. Là, la réconciliation avec soi commence vraiment.

À ne pas faire :
– Chercher à « bien se tenir » quand tout en soi veut se dire.
– Confondre exprimer et exploser sur autrui.
– Minimiser ce qu’on ressent pour préserver le confort d’autrui.

À cultiver :
– Oser ressentir, sans juger.
– Nommer ses émotions avec justesse.
– Accueillir celles des autres comme on aimerait que les nôtres soient reçues.

Et vous, que faites-vous de vos colères quand elles frappent à la porte ?

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25/05/2025

❤️ La Fête des Mères est souvent peinte en rose tendre, pleine de bouquets et de sourires figés.
Mais derrière cette image se cachent d’autres vérités, plus profondes, plus intimes.

Être mère, ce n’est pas seulement donner la vie.
Être maman, ce n’est pas forcément biologique.

On peut avoir été élevée par une femme absente.
On peut avoir eu une maman tendre mais fatiguée.
On peut être devenue mère avec joie, avec ambivalence… ou pas du tout.

Ce jour ravive autant de gratitude que de douleurs.
Il met en lumière nos blessures, nos manques, nos fidélités invisibles.
Et il interroge aussi :
Quelle femme suis-je au-delà du rôle ?
Qu’est-ce que j’attendais, enfant ?
Qu’est-ce que je choisis, aujourd’hui, de transmettre ou de ne pas répéter ?

Cette fête, c’est l’occasion de faire une pause.
D’honorer ce qui a été donné.
De pleurer ce qui ne l’a pas été.
De se rappeler que l’amour n’est pas un dû, mais un lien qui se construit, pas à pas.

À toutes les femmes : mères, mamans, non-mères, en devenir, en deuil, en choix, en douleur ou en paix…

Vous êtes légitimes. Vous êtes complètes. Vous êtes à votre place.

Partagez en commentaire :
Qu’est-ce que cette journée éveille en vous ?
Quelle figure maternelle vous a marquée — ou manquée ?
Comment vous positionnez-vous, aujourd’hui, dans votre lien aux femmes, à la maternité, à vous-même ?

Ce post est une invitation à explorer, avec humanité et douceur.

Je suis à votre écoute,
Raphaëlle 🌷

✨J’accompagne les jeunes adultes, les adultes et les couples, lors de séance de psychothérapie intégrative avec principalement la Gestalt, l’EMDR et le Yoga, en téléconsultation ou en cabinet à Boulogne-Billancourt. Stage et groupe.

Adresse

239 Boulevard Jean Jaurès
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