Santé vous bien Hypnose et Traumatisme 29 BREST

31/07/2025

Article : Une émotion un besoin

Tu ressens une émotion chelou ?
Pas de panique. Elle n’est pas là pour te pourrir la journée.
Elle veut juste te dire un truc, genre :

😡 Colère → “J’ai besoin de respect, bordel.”
😢 Tristesse → “Un câlin ou un peu d’écoute, s’il te plaît.”
😱 Peur → “Rassure-moi, j’ai besoin de sentir que tout va bien.”
😄 Joie → “Continue comme ça, je kiffe grave !”

👉 Moralité :
Avant d’envoyer un mail passif-agressif ou de te noyer dans un pot de Nutella…
demande-toi quel besoin tu n’as pas nourri.

Et si vraiment t’en as marre :
respire, lâche prise…ça va aller !

Santé vous bien Hypnose et Traumatisme 29 BRESTJacqueline Parisi

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Photo perso (sers toi)

04/07/2025

Article : Pas eu le Bac 2025 ? Respire… ici des solutions pour toi 💪🔥

OK, t’as pas eu ton Bac cette année. Et alors ? 😏 en vrai .. ta vie n’est pas finie. Ton avenir ne s’effondre pas, il est juste en train de changer de direction et parfois, c’est la meilleure chose qui pouvait t’arriver!!

Allez, range la boule au ventre, lève la tête, et lis ça 👇

1/Tu peux le repasser (et cette fois, t’éclater)

Repasser le bac en 2026 ? Oui, c’est possible. Et non, t’es pas “en retard”, t’es en redémarrage stratégique.
Tu connais déjà le programme, tu sais où t’as flanché, t’as une longueur d’avance sur ceux qui vont le découvrir.

Astuce : choisis une prépa bac, fais-toi accompagner, change de méthode. Ce coup-ci, tu bosses pour TOI, pas pour faire plaisir à un prof ou à tes parents.

Formations pro, CAP, alternance : le monde ne tourne pas autour du bac

2/ Tu veux bo**er, apprendre un vrai métier, te former sur le terrain ?
Plein de formations qualifiantes ou CAP acceptent sans bac, surtout si t’es motivé.

Cuisine, tech, esthétique, design, bâtiment, vente, audiovisuel…
L’alternance = tu travailles et tu es payé pendant que tu te formes. (Oui, payé. Genre, pour de vrai 💸)

Apprendre autrement : en ligne, à ton rythme

Tu veux apprendre le code ? Le graphisme ? La photo ? Le marketing digital ?
Des plateformes comme OpenClassrooms, YouTube, Studi sont de vrais trésors si tu veux bo**er sur tes passions.
Beaucoup de métiers du futur s’apprennent hors des bancs de l’école.

3/Fais un break, réfléchis à ce que toi tu veux

C’est le moment parfait pour souffler, te poser et décider ce qui t’anime.

Un échec, c’est pas une fin !
c’est une pause narrative, comme dans les séries, avant le gros rebondissement.

Pose-toi les bonnes questions :
Qu’est-ce que j’aime ?
Est-ce que j’ai vraiment besoin du bac pour y arriver ?
Qu’est-ce que j’ai envie de construire pour moi ?
Hééé!! la réponse ne vient pas toujours tout de suite. Et c’est OK.

Tu n’es pas ton bulletin. T’es une personne, pas une note.

Des milliers de personnes ont échoué au bac et réussi leur vie autrement : entrepreneur artistes, artisans, développeurs, créateurs de contenu…

Ce que tu fais maintenant, ta façon de réagir, ta résilience, c’est ça qui construit ta réussite.

Tu n’as pas le bac:
Tu as du temps, du talent, des options, et surtout… une seconde chance.

Et crois-moi : parfois, c’est les failles qui laissent passer la lumière.
Partage ça à un pote qui en a besoin 🙌
Et n’oublie jamais : le bac, c’est un examen. Pas une condamnation.

Et surtout je répète 📢

Ce que tu fais maintenant, ta façon de réagir, ta résilience, c’est ça qui construit ta réussite!!
Tu n’es pas ton bulletin. T’es une personne, pas une note.

Jacqueline Parisi
Santé vous bien Hypnose et Traumatisme 29 BREST

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17/06/2025

Sommes-nous libres en toute circonstance ?

C’est la question posée ce matin au bac de philo… et une question que beaucoup d’adultes finissent par se poser en silence, souvent quand la vie les bouscule un peu.

En tant que thérapeute, j’accompagne souvent des personnes qui ne se sentent pas libres : prisonnières de schémas, de blessures, de choix qu’elles n’ont pas vraiment faits.

Et pourtant…

Même dans des circonstances figées, il y a un mouvement possible.
Un espace en soi où l’on peut respirer à nouveau, poser un autre regard, réécrire notre manière d’être avec ce qui est.

Spinoza nous rappelait que la liberté, ce n’est pas faire ce qu’on veut, c’est comprendre ce qui nous détermine… et agir en accord avec notre nature.

Autrement dit : plus je me connais, plus j’ai le choix.

C’est ça que l’hypnose facilite :
🔹 Revenir à soi
🔹 Traverser les couches d’auto-sabotage, de peur, de croyances
🔹 Et enfin, sentir cette sensation puissante d’être à sa place.

💡 Ressentir la liberté, ce n’est pas tout contrôler. C’est se sentir vivant, présent, et relié à ce qui compte vraiment.

Et vous, quand avez-vous eu cette sensation d’espace intérieur, même au milieu du chaos ?

On n’est peut-être pas libre en toute circonstance…
Mais on est toujours libre de respirer profondément… euh…
Sauf sous l’eau.
Là, c’est pas le moment de tester vos capacités de lâcher-prise. 😅

Santé vous bien Hypnose et Traumatisme 29 BREST
Jacqueline Parisi

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10/05/2025

Ma vie étudiante, Mes études Comment réagir quand je vois une situation malaisante en soirée ? 2 minutesLire l'article

10/05/2025

🔍 Le contrôle coercitif, tu connais ?

C’est une forme de violence psychologique souvent invisible mais terriblement destructrice. Surveillance, isolement, contrôle financier, dénigrement… Ces comportements visent à prendre le pouvoir sur l’autre, à le priver de sa liberté et à l’enfermer dans une spirale de peur et de dépendance.

💔 Souvent, les victimes ne se rendent pas compte qu’elles subissent cette emprise, car elle s’installe progressivement, sous couvert de “protection” ou de “préoccupation”.

Reconnaître les signes, c’est le premier pas vers la libération.
En parler, c’est briser l’isolement.
Connaître ses droits, c’est se donner les moyens d’agir.

Personne ne mérite de vivre sous le contrôle de quelqu’un d’autre. Si tu te reconnais dans ces mots, ou si tu connais quelqu’un dans cette situation, ne reste pas seul(e). Des associations, des professionnels et des proches peuvent t’aider à reprendre le contrôle de ta vie.

👉 Parler, c’est déjà agir.

Partage pour sensibiliser !

📞 Numéros d’urgence et d’assistance
• 3919 – Violences Femmes Info
Service anonyme et gratuit, accessible 24h/24 et 7j/7. Il offre écoute, information et orientation aux femmes victimes de violences, y compris conjugales, sexuelles, psychologiques, mariages forcés, mutilations sexuelles féminines, violences au travail. 
• 116 006 – France Victimes
Numéro national d’aide aux victimes, disponible 7j/7. Il offre un soutien aux victimes de violences physiques, sexuelles ou psychologiques, au sein de la famille ou en dehors, ainsi qu’à leurs proches. 
• 0 800 05 95 95 – Viols-Femmes-Informations (CFCV)
Numéro vert gratuit et anonyme, accessible du lundi au vendredi de 10h à 19h. Il est destiné aux victimes de viols et d’agressions sexuelles. 
• 17 – Police Secours
Numéro d’urgence pour signaler une situation de danger immédiat. 
• 112 – Numéro d’urgence européen
Accessible partout dans l’Union européenne pour toute urgence. 
• 114 – Urgence par SMS
Service d’urgence par SMS pour les personnes sourdes ou malentendantes. 
• 115 – Hébergement d’urgence
Numéro d’appel d’urgence pour mise à l’abri, accessible 24h/24 et 7j/7. 
• 119 – Enfance en danger
Numéro d’appel gratuit pour signaler une situation d’enfance en danger.

🧭 Ressources et associations d’aide
• Solidarité Femmes
Fédération nationale regroupant des associations spécialisées dans l’accompagnement des femmes victimes de violences conjugales. 
• France Victimes
Réseau national d’associations d’aide aux victimes, offrant un soutien juridique, psychologique et social.
• Collectif Féministe Contre le Viol (CFCV)
Association offrant une écoute et un accompagnement aux victimes de viols et d’agressions sexuelles. 
•
Mouvement féministe proposant des ressources et informations pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles.

📱 Applications et outils numériques
• App-Elles
Application mobile permettant aux femmes victimes de violences de lancer une alerte et de prévenir leurs proches. Elle offre également des informations et des contacts utiles. 
• Commentonsaime.fr
Tchat gratuit et anonyme, accessible 7j/7 de 10h à 21h, destiné aux femmes victimes de violences sexistes et sexuelles

Santé vous bien Hypnose et Traumatisme 29 BREST
Jacqueline Parisi
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Ma vie étudiante, Mes études Comment réagir quand je vois une situation malaisante en soirée ? 2 minutesLire l'article

26/04/2025

Stresser à l’avance, c’est un peu comme payer un loyer pour une maison… où on ne mettra jamais les pieds.
C’est pas très rentable, hein ? Pourtant, on le fait tous : on s’inquiète, on imagine le pire, on se prépare à paniquer pour des trucs qui, souvent, n’arrivent même pas. Et au final, on se fatigue tout seul comme un grand.

Alors oui, le futur est incertain. Oui, parfois ça foire. Mais franchement, est-ce que ça mérite vraiment d’installer un camping mental en mode “Je vais stresser, je vais paniquer, ça va être horrible” alors que rien n’a encore commencé ?

Le stress, c’est comme un invité relou : il peut toquer à la porte, mais c’est toi qui choisis si tu ouvres. Pas besoin de lui dérouler le tapis rouge à chaque pensée qui passe.

En vrai, on a beaucoup plus de ressources qu’on ne le croit.
Respire un coup.

Rappelle-toi que ton cerveau adore raconter des histoires flippantes… mais toi, t’es pas obligé d’acheter le ticket pour chaque film qu’il projette!

Allez une pensée une idée une action voilà le rôle d’une pensée sinon laisse la passer !

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Jacqueline Parisi

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Photo libre fais toi plaiz

14/04/2025

UN MONSTRE DANS MA CHAMBRE
(Ce récit a remporté un concours littéraire en Colombie en 2022)

Il y a un monstre dans ma chambre.
Il n’est pas là tout le temps. Il vient la nuit. Enfin… certaines nuits seulement. Il se cache dans les coins sombres et, de là, il me regarde. Il ne parle pas, mais il m’empêche de dire un mot. Il me réduit au silence, avec des menaces.

Une fois, j’ai voulu en parler à maman. Mais je l’ai vue si inquiète, si triste… que j’ai préféré me taire.
Et si jamais le monstre lui faisait du mal, à elle ?

C’est ce qu’il me souffle, d’ailleurs. Il s’approche tout près de mon oreille, et me murmure que si je parle, il arrivera des choses terribles à ma maman. Et moi, je ne veux pas qu’elle souffre. Alors je me tais. Je supporte.

Mais j’ai peur. Une peur immense.
Il m’arrive de pleurer, parce que je ne veux pas aller dormir. Je ne veux pas rester seule.
Mais maman me dit d’y aller quand même.
Parfois, elle m’accompagne, elle regarde sous le lit, inspecte les coins, et me dit :
— Tu vois ? Il n’y a rien ici !

Mais une fois qu’elle s’endort… le monstre revient. Et il me saisit.

J’ai si peur que, cette fois, je n’ai pas pu me retenir. J’ai mouillé mes vêtements.
La maîtresse m’a emmenée me changer, elle m’a posé beaucoup de questions.
On a fait des dessins. On a joué avec des poupées.

Ils ont appelé ma maman. Elle m’a emmenée chez ma tante.
Elle avait l’air triste. Ses yeux trahissaient les larmes qu’elle avait versées.
Je n’ai rien osé lui demander. Je ne veux pas l’embêter.

Chez ma tante, elle aussi semblait inquiète. Ça se voyait dans son visage.
Elle me proposait sans cesse des choses, elle me parlait doucement… et j’ai cru l’apercevoir pleurer, elle aussi.

Cette nuit-là, chez elle, j’ai dormi paisiblement.
On m’a permis de laisser la lumière allumée. Et je n’ai pas eu peur.
Je savais qu’il ne viendrait pas.

Car le monstre ne vient jamais quand la lumière reste allumée.

Quand la lumière est allumée, le monstre reste auprès de ma maman… et il l’appelle “mon amour”.

— Miguel Ángel López
Aranjuez, Medellín

25/03/2025

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21/03/2025

Article : 💔 “T’es grosse ! … Mais non, je rigole.”

Une phrase lancée en l’air. Une “blague”. Rien de méchant, pensent certains. Mais dans la tête d’une ado, ces mots s’accrochent. Ils s’incrustent. Ils façonnent une nouvelle réalité.

Puis viennent les conseils soi-disant bienveillants : “Tu n’as pas besoin de perdre du poids, juste de t’affiner à certains endroits.” Comme si son corps était une sculpture à perfectionner, comme si elle n’était jamais assez bien telle qu’elle est.

📉 Et peu à peu, l’anorexie s’installe.
Au début, ce n’est qu’un petit contrôle sur l’assiette. Une bouchée en moins. Puis un repas sauté. Elle se persuade qu’elle maîtrise la situation, que tout va bien. Mais en silence, une peur grandit : la peur de ne jamais être assez mince.

🔄 Un cercle vicieux dont il est si dur de sortir
Quand elle perd du poids, elle ressent un soulagement, une illusion de contrôle. Mais très vite, une autre angoisse surgit : “Si je reprends ne serait-ce qu’un kilo, ça va se voir.” Alors, elle réduit encore. Elle compte. Elle cache. Et la voix dans sa tête devient plus forte : “Continue, sinon tu vas tout gâcher.”

💬 Ce que les autres ne voient pas
C’est avant tout le froid permanent, la fatigue, l’obsession du moindre kilo.
Les miroirs qui ne renvoient jamais la bonne image.
La peur panique de “craquer” et de perdre ce contrôle si douloureusement acquis.
Et cette question qui l’obsède : “Si je remange normalement, que va-t-on penser de moi ?”

🆘 Les mots ont un poids
Une simple remarque peut déclencher un combat qui durera des années. Ce n’est pas “juste une blague”. Ce n’est pas un caprice. L’anorexie, c’est une prison invisible, où chaque gramme repris devient une menace, un échec.

💡 Alors, on fait quoi ?
✅ On arrête de commenter le corps des autres, même pour “rire”.
✅ On valorise l’être avant l’apparence.
✅ On écoute, on soutient, on ne minimise pas la souffrance.

Sortir de l’anorexie, c’est affronter une peur immense : celle de reprendre du poids et d’être jugée à nouveau. Aidons nos ados à se sentir aimés pour ce qu’ils sont, et non pour ce que leur corps reflète.

Parce que les mots peuvent blesser… mais ils peuvent aussi sauver. 💙

Santé vous bien Hypnose et Traumatisme 29 BREST
Jacqueline Parisi

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20/03/2025

ARTICLE Confiance en soi : patron(ne) au boulot, mais timide dans la vie perso ?

Au travail, tu gères les réunions comme un(e) chef(fe), tu enchaînes les présentations sans trembler et tu donnes même des conseils à ton boss. Mais dès qu’il s’agit de ta vie perso, commander une pizza au téléphone devient un défi olympique ? Félicitations, tu fais partie de la team double vie de la confiance en soi ! 😅

🔍 Pourquoi ce grand écart entre boulot et perso ?

👉 Au travail, c’est cadré !
Il y a des règles, des process, un poste défini : tu sais exactement ce qu’on attend de toi. Et en plus, tu as un titre qui claque (même si c’est “responsable adjoint des post-it”). Bref, tu joues sur ton terrain.

👉 Dans la vie perso, c’est freestyle total 🎢
Pas de mode d’emploi pour être un bon ami, un(e) partenaire parfait(e) ou un parent modèle. Et là, la peur du jugement ou du rejet peut te tétaniser. “Et si je disais une bêtise ?”, “Et s’ils me trouvent nul(le) ?”

👉 Au boulot, on met un costume (parfois au sens propre)
Dans le pro, on a une posture, une carapace. Même fatigué(e), on garde la face. Mais en perso, c’est à découvert, sans filtre… et parfois sans confiance.

💡 Comment être aussi à l’aise dans les deux ? Tout d’abord appliquer tes super-pouvoirs pros dans ta vie privée : organisation, prise de parole, assurance… Pourquoi ça marcherait qu’au bureau ?
Et aussi arrêter de croire que tout le monde te juge. Spoiler : les autres sont trop occupés à se juger eux-mêmes.
Surtout e rappeler que tu es compétent(e) partout, pas seulement avec un badge autour du cou.

Avoir confiance en soi, ce n’est pas être sûr(e) de tout, c’est oser malgré le doute. Alors, prêt(e) à commander cette pizza sans bafouiller ? 🍕😆

Santé vous bien Hypnose et Traumatisme 29 BREST
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19/03/2025

ARTICLE : Le complexe d’Œdipe à 9 ans : un tournant dans la relation mère-fille

Si vous avez une fille de 8-9 ans et que, du jour au lendemain, elle vous regarde comme si vous étiez une rivale dans une télé-réalité, félicitations : vous êtes en plein retour du complexe d’Œdipe ! 🎭

👧 Phase 1 : “Papa est trop génial”
Soudain, votre conjoint devient le roi du monde. Vous ? Juste une figurante. Elle le couvre de compliments pendant que vous récoltez… des soupirs et des yeux levés au ciel.

⚡ Phase 2 : “Maman, je vais prendre ta place”
Elle vous critique sur tout : vos vêtements, votre façon de parler, peut-être même votre existence. Elle tente même de vous remplacer en suggérant à son père de la prendre comme copilote sur la route de la vie (ou juste pour aller au supermarché, mais l’intention est là).

💡 Comment survivre ?
• Rester zen. C’est une phase, pas un putsch.
• Ne pas se vexer : elle vous aime toujours (même si elle le cache mieux qu’un espion russe).
• Garder le cap : bienveillance et fermeté, même si vous rêvez de partir élever des chèvres en Ardèche pour échapper aux crises existentielles de votre mini-moi.

Bonne nouvelle : ça finit par passer… juste avant l’adolescence. 😅

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Jacqueline Parisi

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Photo Salmon h

07/03/2025

ARTICLE : Quand l’indécision en amour cache une loyauté inconsciente

Pourquoi certaines personnes, engagées dans une relation adultérine, restent-elles incapables de faire un choix ? La réponse est souvent ancrée dans leur histoire familiale et une loyauté inconsciente.

🔹 Elles rejouent un schéma familial
Elles ont grandi dans un environnement où l’on restait ensemble malgré tout : parents séparés sous le même toit, infidélités tolérées, sacrifices au nom de la famille… Résultat : elles associent le départ à une trahison et se convainquent qu’elles doivent “tenir bon”, même au prix de leur propre bonheur.

🔹 La peur de briser l’équilibre familial
Elles se sentent responsables du bien-être des enfants, de l’image du couple, du regard des proches. Mieux vaut un malheur connu qu’un inconnu effrayant.

🔹 Une loyauté inconsciente envers leur conjoint
Elles se persuadent qu’elles doivent rester pour “protéger” leur famille. Quitter, c’est abandonner. Elles préfèrent alors le mensonge et l’indécision à la confrontation avec la réalité.

🔹 Le conflit entre désir et devoir
Le cœur dit “pars”, la raison dit “reste”. Alors elles restent bloquées, incapables de choisir

Comment débloquer la situation ?

1️⃣ Prendre conscience du schéma
Se poser les bonnes questions :
❓ “Pourquoi ai-je peur de choisir ?”
❓ “Ai-je déjà vu ce schéma dans ma famille ?”
❓ “Et si, pour une fois, j’écoutais ce que je veux vraiment ?”

2️⃣ Sortir du flou
Tant qu’elles ont les deux, elles ne ressentent pas l’urgence de décider. Si la “troisième personne” se retire, elles doivent enfin faire face à leur vide.

3️⃣ Les confronter à leurs vraies peurs
👉 Peur de décevoir les enfants ?
👉 Peur du regard des autres ?
👉 Et si ce n’était pas l’amour qui les retenait, mais juste la peur ?

4️⃣ Rappeler que ne pas choisir, c’est déjà un choix
L’indécision est une décision en soi. Ne rien faire, c’est choisir de ne pas choisir

Conclusion

Les blocages viennent souvent d’une loyauté inconsciente. Mais ce n’est pas une fatalité.

Si la personne concernée ne fait pas ce travail sur elle, elle restera prisonnière de ses schémas.

👉 On ne peut pas choisir à sa place.
👉 Mais on peut choisir de ne plus attendre quelqu’un qui ne sait pas nous choisir.

Et si tu décidais de dé-encoder tes choix ?

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Jacqueline Parisi

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Crédit photo netfree