Monique Mon Coach

Monique Mon Coach Ici on parle de l’âme our (l’amour),de l’âme hors (la mort), de l’âme agit (la magie) de l’UniVers ou de l’essenCiel… Rien est hasard .... à bientôt !

Zone de turbulences, angoisses, envie ou besoin de changement, nouveaux projets, objectifs.....? Une oreille avec une écoute active, un lieu où poser vos valises sans jugement et conseil... tous les renseignements sur Google Monique mon coach. S’autoriser à appeler, franchir la porte et c’est déjà le processus de changement qui opère.

07/08/2025

Ce que j’ai compris de la mort,
c’est qu’elle n’existe absolument pas.
Pas dans le sens où on l’imagine.
Elle ne sépare personne, elle ne détruit rien de réel.
Elle ne fait que déplacer l’amour vers une autre dimension.

Les corps disparaissent, oui,mais les liens restent.
Les âmes ne s’éloignent pas, elles changent simplement de forme.

Il y a, ici-bas, plus de cœurs déconnectés,
plus d’êtres vivants qui ne s’entendent plus,
qui se croisent sans se voir,
qui se parlent sans s’écouter,
que d’âmes qui nous quittent vraiment.

Ce monde souffre plus de l’oubli que de la mort.
Plus de l’absence en pleine vie,
que de la présence depuis l’au-delà.

La mort ne nous enlève pas ceux qu’on aime.
Elle nous enseigne à les sentir autrement.
À écouter autrement.
À aimer sans les yeux, sans les mains.
Avec l’âme seulement.

Et parfois, c’est là que l’amour devient le plus pur,le plus vrai.
Parce qu’il n’a plus besoin de preuves.
Juste de foi.

Charlotte Cellier

05/08/2025
« Si seulement nous nous arrêtions un instant pour écouter le silence des personnes, pour regarder le voile qui couvre c...
18/07/2025

« Si seulement nous nous arrêtions un instant pour écouter le silence des personnes, pour regarder le voile qui couvre constamment leurs yeux.

Si seulement on s'arrêtait un instant pour scruter les ombres de leurs visages, les rides de leur peau, les sourires à peine affichés, les gestes spontanés. Si seulement on s'arrêtait un instant pour entendre le bruit que fait un soupir, un morceau amer envoyé avec force, une larme qui s’échappe des yeux mais qui sèche immédiatement ...

Si seulement nous pouvions entrer dans le monde des personnes et voir ce qui ne peut pas s’expliquer avec des mots, le monde des émotions, le résultat d'un vécu qu'on n'arrive pas toujours à accepter ...
Ce qui marque...
Avec encore plus de respect et de délicatesse, nous pourrions toucher leur cœur..... »
Auteur inconnu
Ce matin nous t’avons accompagné dans la plus stricte intimité dans ton dernier voyage petit mame selon tes dernières volontés.
L’annonce paraîtra demain comme tu voulais 😉
Après ces 6 mois très difficiles et compliqués tu es paisible et moi enfin apaisée de te savoir bien 🥰😘
À bientôt sur d’autres chemins et un dernier clin d’œil à notre
« Qui est mort au village ? »
Cette fois c’est ton tour
Une bière bien fraîche à ta santé ! ( il y en a eu quelques unes depuis samedi derniers 😅😘

🥰🥰🥰 ma petite Douceurs de Cam ❤️❤️❤️
13/07/2025

🥰🥰🥰 ma petite Douceurs de Cam ❤️❤️❤️

07/07/2025

Se sentir constamment coupable…

Cette culpabilité imaginaire, qui ne s’appuie pas sur un acte fautif réel, s’installe comme structure psychique, indépendante du réel, et plonge ses racines dans un climat d’insécurité précoce, de contextes relationnels flous dans lesquels l’enfant se structure comme le conteneur du malaise environnant. Et en attribuer la cause aux adultes dont il dépend est impossible car terrifiant.

C’est alors qu’il se l’attribue à lui-même, jetant les bases solides d’un futur adulte obstiné à bien faire, hypersensible à l’opinion d’autrui, mais aussi prisonnier d’un devoir de convenir sans fin.

À un âge où les mots manquent pour « faire sens » d’un monde dissonant, cette culpabilité s’invente et se nidifie dans le corps. Ancrée dans la chair, cette manière de vivre le monde, en tant que source des problèmes des autres, deviendra le carburant aux ruminations narratives de l’adulte.

Érigée par un besoin de faire sens, cette culpabilité irrationnelle revêt une fonction structurante. « Tout cela est tellement incompréhensible que je dois bien en être la cause ».

En tant que réponse à un besoin profond de sens, de cohérence, elle installe une auto-surveillance qui traque obsessionnellement une faute à corriger, en soi.

En résulte à l’âge adulte un monde intérieur où chaque situation ambiguë, chaque critique, chaque rumeur, réactive la dynamique infantile : « ai-je mal fait sans m’en rendre compte ? ».
Schillinger

Du bonheur ce soir à Sierck De belles rencontres, des sourires et puis les merveilleuses Douceurs de Cam !!!
04/07/2025

Du bonheur ce soir à Sierck
De belles rencontres, des sourires et puis les merveilleuses Douceurs de Cam !!!

Balade le matin de bonne heure quand il y a encore un peu de fraîcheur.Ces fleurs d’ail m’enchantent à chaque passage et...
01/07/2025

Balade le matin de bonne heure quand il y a encore un peu de fraîcheur.
Ces fleurs d’ail m’enchantent à chaque passage et t**d le soir, la magie est remplacée par les lucioles et le ciel noyés d’étoiles 🥰
Bel été à tous et joli mois de juillet ici où la 😘
Monique Mon Coach et son Ange gardien à 4 pattes !

On vous a fait croire que courir sans cesse, penser tout le temps, chercher quelque chose là-dehors… c’était vivre.Mais ...
07/06/2025

On vous a fait croire que courir sans cesse, penser tout le temps, chercher quelque chose là-dehors… c’était vivre.

Mais ce n’est pas vivre. C’est fuir.

Vous n’avez pas à courir.

Vous n’avez pas à penser autant.

Vous avez à être. Simplement. Humainement.

Vivre avec votre corps. Vos sensations. Votre présence. C’est tout.

On vous a fait croire que l’amour humain était la vérité.

Mais l’amour humain, tel qu’il est vendu, est souvent une illusion.

Une image fabriquée par ceux qui, eux-mêmes, ne savent pas aimer.

Un mirage plein de dépendance, de peur, de jeux, de besoin.

Ce n’est pas de l’amour.

C’est une construction. Une attente. Un piège.

Revenir au basique, c’est se libérer de ça.

C’est ne plus chercher à plaire.

C’est ne plus attendre qu’on vous complète.

C’est se suffire. Et partager seulement ce qui est vrai.

Revenir au basique, c’est sortir du bruit, du flot des idées, des “il faut”, des “un jour peut-être”.

C’est refuser d’être une version de vous-même créée pour les autres.

C’est revenir à l’expérience directe. Au vivant.

À ce qui se touche. À ce qui se respire.

À ce qui ne ment pas.

Tout ce qui est trop loin du corps, trop loin du cœur calme, trop chargé de fiction, n’est pas pour vous.

Vous êtes ici pour vivre, pas pour porter des costumes.

Vous êtes ici pour sentir, pas pour courir après ce qui ne vient jamais.

Revenir au basique, c’est ça :

être là.

vrai.

libre.

Vive l'Au-delà
Mischa Harmeijer
Mischa Harmeijer
Photo:Monique Mon Coach

03/06/2025

Vous m’aimez beaucoup beaucoup moins depuis que j’ai quitté Hettange🫣😔😅
En vérité il ne reste aujourd’hui que le nom « Monique Mon Coach »après 12ans.

Je garde dans mon cœur cette merveilleuse aventure à vos côtés 🥰😘
Et l’espoir de trouver un travail qui me donne autant de sens que celui que j’ai passé à vos côtés en mettant en application pour « moi-m’aime »tous les enseignements acquis sur toutes ces durs années pour faire vivre tout ça.

Je vois ce poste souvenir ce matin comme « il est peut-être temps de clôturer cette page Facebook, mon site internet et la cessation d’activité Urssaf définitivement »🤔🤔🤔

Inchallah !🫣😊😘

Adresse

Hettange-Grande
57320

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