21/09/2025
Quand le week-end devient synonyme de blues 😒 et si des solutions existaient 😊
Le mal-être du week-end : le comprendre pour mieux l’apprivoiser.
On attend souvent le week-end avec impatience, comme une bulle de liberté, un moment de repos bien mérité. Pourtant, pour beaucoup, ces deux jours ne riment pas avec légèreté. Ennui, culpabilité, solitude, angoisse du dimanche soir… ce qui devrait être une pause devient parfois une épreuve silencieuse. Si tu te reconnais là-dedans, sache que tu n’es pas seul·e, et que ce ressenti est plus fréquent qu’on ne le croit.
Quand le temps libre devient plus lourd que léger.
La semaine, le rythme est imposé : horaires, travail, responsabilités, obligations sociales. Ce cadre peut sembler pesant, mais il a aussi un effet structurant. Quand il disparaît le week-end, le temps s’ouvre… et ce vide peut vite être inconfortable. L’ennui, la rumination, ou simplement le sentiment de ne pas savoir quoi faire de soi peuvent alors prendre toute la place.
Solitude, culpabilité, angoisse : ces émotions qui s’invitent.
La solitude : voir les autres entourés, en couple, en famille ou entre amis peut accentuer le sentiment d’isolement.
La culpabilité : l’idée qu’il faudrait "profiter à fond" du week-end pèse. Et si l’on n’a pas l’énergie ou les moyens, on se sent en décalage.
Les émotions mises de côté : pendant la semaine, on avance, parfois en mode "automatique". Le week-end, avec son ralentissement, laisse remonter la fatigue, la tristesse ou l’anxiété.
L’angoisse du dimanche soir : ce moment si particulier où la fin du repos et la reprise des obligations s’entremêlent, réveillant parfois le stress ou la mélancolie.
Pourquoi le dimanche soir pèse-t-il autant ?
Le dimanche soir agit comme une charnière : on dit adieu à la liberté et on se projette dans la semaine à venir. Psychologiquement, cela déclenche souvent de l’anxiété anticipatoire. On pense déjà aux mails, aux réunions, aux contraintes… et le moment présent devient difficile à savourer.
4 façons de rendre le week-end plus doux.
✨ Créer des petits repères : un rituel simple (le même café du samedi, une balade, un temps de lecture) redonne une structure rassurante.
✨ S’accorder le droit de se reposer : ne rien faire n’est pas "perdre son temps". C’est parfois ce dont le corps et l’esprit ont le plus besoin.
✨ Choisir pour soi, pas pour les autres : un week-end réussi n’a pas besoin de ressembler à celui qu’on voit sur les réseaux. Il suffit qu’il nourrisse ce qui compte vraiment pour toi.
✨ Adoucir le dimanche soir : prévoir un moment agréable — un bon repas, un film réconfortant, un appel à un proche — peut transformer cette transition en douceur.
Écouter ce que ce mal-être raconte.
Plutôt que de voir le blues du week-end comme une anomalie, on peut le considérer comme un signal. Il révèle parfois un besoin de lien, de sens, ou un déséquilibre dans la vie quotidienne. L’écouter, c’est déjà commencer à prendre soin de soi.
Le week-end n’a pas à être parfait, il a juste besoin d’être à ton rythme. 🌿
Nathalie 🌿
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