24/07/2025
🌿 QUAND ON APPREND À SE CONNAÎTRE…�
…on ne peut plus faire semblant dans les relations.
Il arrive un moment où tu réalises que tu ne veux plus être la maman de l’autre.�Et que l’autre en face n’a plus envie de jouer le petit garçon.�
💔 Ce décalage abîme.
Alors tu fais le seul vrai choix qui libère :
�👉 Commencer à vivre pour toi.
LE TEXTE QSUI SUIT n’est pas de moi.�
Je ne connais pas son auteure.�
Et il m’a touchée.
Parce qu’il parle de ce tournant intérieur,�celui où tu arrêtes de t’oublier,�et où tu reprends ta place, doucement, puissamment.
Je le partage ici, pour celles et ceux à qui ça parlera.�
Peut-être toi. Peut-être quelqu’un que tu aimes.
Je le partage aussi avec tendresse et respect pour toutes celles et ceux qui, un jour, ont osé se dire :
"Maintenant, je vis pour moi. »
LE TEXTe
✨ J’avais cinquante ans quand j’ai découvert que mon mari —
oui, Marco, celui-là même qui faisait un drame si les pâtes n’étaient pas al dente —
avait décidé de partir avec sa psychologue,
avec qui il « se retrouvait lui-même ».
Une femme toujours souriante,
perchée sur des talons impossibles,
avec une voix de présentatrice de télé-réalité.
Elle parlait même au livreur comme si elle était en direct à la télévision.
— J’ai besoin de vivre pour moi,
— a-t-il dit avec solennité, comme s’il abdiquait d’un trône.
— Je veux découvrir qui je suis.
Qui es-tu, Marco ?
Celui qui perd ses clés trois fois par mois dans la même poche ?
Celui qui me demande chaque semaine le code PIN de sa propre carte ?
Je suis restée silencieuse.
Non pas par surprise,
mais par cette paix étrange qui suit l’épuisement.
Au fil des années, j’avais trop entendu :
– j’ai oublié
– j’ai changé d’avis
– je n’avais pas bien compris…
Ses paroles n’étaient plus que du bruit de fond.
Et pendant qu’il parlait, moi, je me souvenais.
– De comment je lavais à la main son pull préféré alors que j’avais à peine la force de tenir debout.
– De toutes ces soirées interminables avec ses amis à parler d’investissements et de sports qui ne m’intéressaient pas.
– De tous ses silences, ses enfermements, ses sempiternels j’ai besoin de réfléchir…
Et maintenant, il part se réinitialiser
avec une fille qui pense que Picasso est une marque de baskets.
— Ça n’a rien à voir avec toi,
— a-t-il dit, sans me regarder dans les yeux.
Bien sûr.
C’est juste que je ne suis plus une nouveauté.
Maintenant, ce qui est à la mode,
c’est le bio, le positif…
et surtout, sans engagement.
— Et toi ? Qu’est-ce que tu vas faire maintenant ?
— a-t-il demandé, comme si c’était moi qui étais perdue.
— Je vais faire ce que toi, tu n’as jamais su faire : vivre.
— ai-je répondu, en refermant ma robe de chambre comme on revêt une armure.
Et il est parti.
Avec son sac à dos d’aventurier et sa veste froissée,
qui sentait davantage la routine que la liberté.
Et moi, je suis restée.
Seule.
Mais pas vide.
J’ai sorti cette bouteille de vin qu’on gardait « pour une grande occasion ».
Je l’ai ouverte.
Je l’ai bue.
Parce que sortir de la vie avec Marco,
c’était déjà une raison suffisante pour trinquer.
Le lendemain, je suis allée :
– Chez le coiffeur
– À la banque
– À la boulangerie où j’avais toujours voulu goûter la tarte aux cerises,
mais où « ce n’était jamais le moment ».
Et le soir venu,
je me suis créée un profil sur une appli de rencontres.
Pas pour chercher quelqu’un.
Juste pour voir si quelqu’un d’autre voyait cette femme
qui, pendant des années, était restée l’arrière-plan d’une relation fanée.
Ce soir-là,
je me suis endormie avec un livre entre les mains
et mon chat à mes pieds.
Sans coiffure.
Sans plan.
Mais avec le cœur léger.
Parce que parfois,
il ne s’agit pas de commencer avec un autre,
mais enfin… de commencer avec soi-même.
Et vous savez ce que j’ai compris d’autre ?
Qu’une femme doit être sa meilleure alliée.
Je m’aime,
non pas parce que je suis parfaite,
mais parce que, enfin,
je me suis autorisée à vivre sans peur.
💬 Femmes, aimez-vous. Valorisez-vous chaque jour.
Parce que vous ne méritez pas les miettes.
🍰 Vous méritez la part entière du gâteau.
👇👇👇
💬 ET TOI ?
Ce texte t’a touché ?�
Dis-moi ce que ça réveille.�
Ou partage-le à une femme qui a besoin d’entendre ça.
MERCI