Association crématiste du Calvados

Association crématiste du Calvados Se grouper pour obtenir un réel service public du funéraire autour de la crémation

Le conseil est un élément essentiel de protection avant toute démarche vers des assurances ou des entreprises du funéraire

11/09/2025

Petit rappel pratique
Si le siège social de l'Association Crématiste du Calvados est bien à la Maison des Associations de Caen (8 rue Germaine Tillion), tous les courriers doivent désormais être adressés à;:
Association Crématiste du Calvados
MARCK Eric
23 Route de MAGNY LE FREULE
14270 MÉZIDON VALLÉE D'AUGE

17/08/2025

La rentrée approche... Petit rappel
Le local de la rue de Bayeux n'est plus utilisable.
Désormais, les permanences auront lieu les premiers jeudi de chaque mois de 14 h à 17 h à la Maison des Associations, 8 rue Germaine Tillion à Caen, dès le 4 septembre 2025.
Pour contacter le président : 06 739 740 33

03/07/2025

Le jeudi 10 juillet 2025 sera la dernière date de permanence de15 h à 16h30 à notre local de la Rue de Bayeux.
Désormais, les permanences auront lieu les premiers jeudi de chaque mois de 14 h à 17 h à la Maison des Associations, 8 rue Germaine Tillion à Caen, dès le mois de septembre.
Pour contacter le président : 06 739 740 33

Tous les courriers doivent désormais lui parvenir directement:
Association crématiste du Calvados
Eric MARCK
23 route de Magny le Freule
14270 MEZIDON VALLÉE D'AUGE

12/06/2025

S'ADAPTER
Le local de la rue de Bayeux à Caen, en raison des difficultés de stationnement et des difficultés de mobilité de nos adhérents en raison de leur âge et de leur santé perturbée sera abandonné.
Depuis l'assemblée générale du 31 mai 2025, le siège social de l'association est transféré à la maison des associations rue Germaine Tillion à Caen.
Tous les courriers devront désormais être envoyés au Président :
Association Crématiste du Calvados
Chez Monsieur MARCK Eric, président
23 route de MAGNY LE FREULE
14270 MÉZIDON VALLÉE D’AUGE

25/04/2025

Désormais, les infirmiers diplômés d'Etat vont pouvoir établir des certificats de décès à la condition d'être en possession d'un certificat de formation selon les annexes de l'arrêté du 22 avril 2025 paru au Journal Officiel de ce 25 avril 2025.

10/04/2025

Intérêts du conditionnement populaire aux obsèques

Il semble bien que, depuis la nuit des temps, les humains aient toujours ressenti une grande peine au décès des personnes qui ont partagées leur vie. Le besoin de garder un souvenir de ces défunts est une évidence, vécue comme une espérance du retour à la vie pourtant rendu impossible après la mort.
Le manque de moyens de reconnaissance de la mort a longtemps permis de croire à une résurrection après une simple longue perte de conscience accidentelle. On sait, maintenant, que la mort d’un être vivant, liée à une dégradation cellulaire irrécupérable, est définitive.
Il ne faut pas s’étonner s’il a toujours été possible aux dominants de jouer sur le chagrin de la perte d’un être cher pour exploiter les familles fragilisées en leur faisant prendre des mesures de conservation du souvenir du défunt, voire de sa possible résurrection.
L’exploitation du deuil des populations par les dominants avec le recours aux religions est une évidence tout au long de l’histoire humaine. Souvenons-nous, par exemple, qu’au Moyen-Âge en France, la noblesse a construit de nombreuses églises pour y mettre à l’honneur les dépouilles des défunts, jusqu’à ce que la saturation du sol ou des chapelles ajoutées oblige à mettre des sépultures autour de l’église… Ce sont les religieux qui percevaient les charges d’obsèques, dans la logique des dons pour le financement et l’entretient du bâtiment comme pour toutes les autres cérémonies.
Même après le Révolution, la haute bourgeoisie continuera à utiliser les églises pour percevoir les charges d’obsèques, alors que les communes s’équipaient d’un corbillard tracté par un cheval. Et progressivement, des communes ont délégué leurs services de pompes funèbres à des services privés.

La même haute bourgeoisie a progressivement abandonné les religions et s’est mise à utiliser les nouveaux médias pour conditionner les populations, mais les tentatives de mettre en place de nouvelles prestations funéraires (caveaux, soins de conservation, monuments et plaques) se poursuivent pour multiplier les profits facilités par une législation complice. Contrairement aux espérances de laisser les charges d’obsèques à la Sécurité Sociale, ces charges restent aux familles aux profits des banques et des assurances privées.
La crémation et l’humusation (ou terramation) qui commence font aussi l’objet de recherches pour en tirer toujours des profits.

16/12/2024

Espérer, espérer encore, espérer toujours...
Lisieux-Normandie s'est enfin organisée pour avoir son crématorium, même si on peut regretter qu'il ne soit pas avec une gestion publique, mais, avec les complications administratives diverses, son ouverture ne pourra être envisagée avant l'été 2027...
Notre association crématiste n'a obtenu son premier crématorium à Caen en Basse-Normandie qu'en 1982, et avec le développement rapide du recours à la crémation, je tente d'en obtenir un nouveau à Lisieux au centre de la grande Normandie depuis 1990....
Espérons encore...

02/11/2024

Sécurité Sociale et fin de vie
Il est inadmissible que la fin de vie des citoyens soit pensée comme une étape de récupération des acquisitions d'une vie de travail par des entreprises privées.
La plupart des placements en EHPAD se soldent par la vente de la maison pour payer le séjour dans ces établissements souvent privés et lucratifs.
La fin de vie qu'est la mort est principalement donnée au profit des entreprises funéraires qui profitent de la détresse des familles. Même les crématoriums sont presque tous laissés en délégation de service à des entreprises qui auront une marge de profit.
Toute la fin de vie devrait être un réel service public lié à la Sécurité sociale.

07/10/2024

L'association crématiste du Calvados souhaiterait que nos gouvernants prennent enfin position pour que le domaine du funéraire soit clairement et réellement un service public.
Il est anormal que de entreprises privées fassent des profits alors que les familles sont fragilisées par la perte d'un proche.

il n'est pas normal que la majorité des crématoriums soient donnés en délégation de service à des entreprises qui ajouteront leur marge au coût du service.
On commence à donner aussi des gestions de cimetières par délégation de service à des privés...
Rien ne bouge, et les réponses données par l'administration semblent fortement inspirées par l'intelligence artificielle qui cite des morceaux de textes existants et des services (le CNOF, conseil national des opérations funéraires, en particulier) pour se décharger de toute prise de responsabilité.
Un jeune chauffeur de taxi est assassiné par un gamin de 14 ans, la presse parle beaucoup du jeune meurtrier, mais c'est la compagne, très fragilisée, qui paiera les obsèques avec la marge de profit de l'opérateur funéraire.

05/09/2024

Dans son bulletin municipal, la ville de Bayeux annonce l'ouverture de son crématorium. Nous le voulions de gestion publique et il a été confié, comme à Caen, en gestion privée en délégation de service sur un contrat de trente ans. Comme à Caen, donc (mais ce sera aussi le cas de Lisieux) les utilisateurs devront payer, en plus du coût de fonctionnement une part de marge bénéficiaire accordée à l'entreprise déléguée.
Une originalité de fonctionnement signalée est la remise immédiate des cendres du défunt juste après le crémation. Un courrier va donc être adressé au maire de Bayeux et au préfet pour demander quel procédé est utilisé pour mettre à disposition dans une urne des cendres qui sortent d'un appareil fonctionnant entre 800 et 1000 degrés. Notre inquiétude est forte ca nous avons connu une période où la remise immédiate consistait à mettre dans une urne un peu de cendres du défunt mélangées avec des cendres de crémations précédentes refroidies. Ce manque de respect du défunt et des familles n'est pas tolérable.

04/03/2024

Certains de nos adhérents m'ont fait part de leur volonté de mieux comprendre l'humusation, encore moins polluante que la crémation, et déjà pratiquée dans de nombreux pays. Mais cette pratique n'est pas encore autorisée en France. J'en ai fait ci-dessous un résumé qui pourrait être une technique de dégradation acceptable, document que j'ai aussi envoyé à notre Premier Ministre.

Détail des étapes envisageables d’une humusation acceptable

1 – Besoin d’un coffre-« cercueil » réutilisable pour les possibles transports nécessaires du corps des défunts.
2 – Besoin de réserver, pour une collectivité territoriale (Une commune, ou une communauté de communes pour garder une proximité de la vie du défunt ou de sa famille), un terrain spécifique à l’humusation où il faudra prévoir un espace de l’ordre de 6m² pour chaque défunt en tenant compte du nombre de décès moyen prévisible. Ce terrain devra être clôturé et sécurisé. Le processus de dégradation ne durant qu’un an et n'étant pas polluant, il est aussi possible d’envisager de rendre ce terrain utilisable pour une autre fonction quand tous les corps sont dégradés, et d’en utiliser un nouveau mieux adapté.
3 – Le corps du défunt doit simplement être enveloppé dans un linceul biodégradable, sans avoir subi de soins de conservation (première économie) et sans cercueil définitif (deuxième économie).
4 – Préparer environ 2 m3 d’un broyat fin de bois d’élagage et d’accélérateurs naturels de décomposition (orties, pissenlits, sureau, consoude, algues, …). On peut y ajouter un peu d’argile qui entretiendra l’humidité.
5 – Avec ce broyat, derrière une stèle de bois ou de pierre avec l’identité du défunt et la date de son décès, préparer sur le terrain nu (avec ses bactéries, ses vers, ses insectes, ses champignons) un lit végétal adapté à la taille du défunt.
6 – Y déposer le corps dans son linceul biodégradable.
7 – Recouvrir l’ensemble du reste du broyat pour constituer une butte sur laquelle on pourra aussi ajouter un mélange de paille, de feuilles mortes et de tonte de pelouse, avant de recouvrir l’ensemble d’une bâche pour composts. Avant de partir, la famille pourra déposer des fleurs naturelles.
8 – Une surveillance régulière sera nécessaire pour le maintient d’une humidité suffisante de la butte.
9 – Après 4 mois, environ, les os peuvent se retrouver nettoyés et séparés les uns des autres. On pourra alors retirer toutes les éventuelles prothèses (broches, amalgames dentaires, pacemaker…) avant de réduire les os et les dents en poudre qu’on va remélanger au reste de la butte.
10 – Après un an, toutes les cellules de la dépouille et du broyat se sont transformées en un humus sain et fertile dont on pourra donner une partie à la famille pour un espace de recueillement comme, par exemple, la plantation d’un arbre ou de fleurs. On pourra utiliser le reste de ce terreau à des besoins de régénération de surfaces publiques.

25/02/2024

Réalité sur les décès
Si on est informé quand des humains meurent d'une agression ou d'un accident, on l'est moins quand le décès est provoqué par une maladie ou la vieillesse. On oublie trop souvent que beaucoup d'humains meurent simplement d'exclusion et de pauvreté.

Adresse

8 Rue Germaine Tillion
Caen
14000

Heures d'ouverture

14:00 - 17:00

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Historique

L’association a été créée en 1974 sous l’impulsion de Frank Duncombe qui voulait modifier le mode de sépulture d’une population croissante pour éviter l’extension des cimetières : LA TERRE AUX VIVANTS.

Depuis, si le département du Calvados a ouvert un premier crématorium en 1987, la croissance du recours à la crémation à ouvert la porte à de nombreuses dérives dans le monde funéraire, facilitées par l’ignorance de la population et une législation pilotée par des lobbyes financiers. Une aide au simple citoyen et à l’élu local est devenue nécessaire.