Virginie devillechabrolle sophro analyste

Virginie devillechabrolle sophro analyste Je vous accompagne vers les clefs de votre propre liberté, par la respiration, l'écoute de vos émotio

29/08/2025

Nous vivons dans un monde où l’homme et la femme se regardent trop souvent comme deux rives opposées. Chacun défend son territoire, ses blessures, ses convictions. Les discours s’alourdissent de reproches, les murs se dressent plus vite que les ponts, et l’amour finit par suffoquer sous le poids des malentendus. Nous oublions que derrière chaque mot mal compris se cache un cœur qui cherche simplement à être entendu.

La vérité, c’est que la communication entre les genres est en crise. L’homme accuse la femme de trop sentir, et la femme reproche à l’homme de trop taire. On se perd dans les clichés, on se divise dans les attentes, et au lieu de tendre la main, on arme nos paroles. C’est plus facile de dresser un mur que d’ériger un pont. Mais à quel prix ? Ce prix, c’est l’isolement, la méfiance, et des générations qui ne savent plus s’écouter.

Regarde cette image : deux têtes qui s’inclinent l’une vers l’autre, reliées par une construction fragile mais essentielle — un pont. Voilà la métaphore de ce que nous devons apprendre à bâtir. Les ponts ne se construisent pas en un jour, ils demandent patience, persévérance, ajustements constants. Et surtout, ils demandent le courage d’aller vers l’autre, même quand l’orgueil voudrait nous retenir sur notre rive.

Construire un pont, c’est accepter que la différence n’est pas une menace, mais une richesse. L’homme et la femme ne parlent pas toujours le même langage, mais les deux langues méritent d’être apprises. C’est dans l’effort d’écouter ce que l’autre veut vraiment dire, et non ce que nous croyons entendre, que naît la vraie compréhension. Là, le respect devient ciment, et l’amour devient structure.

Mais soyons honnêtes : construire demande de déconstruire. Déconstruire les préjugés, les vieilles blessures, les croyances transmises par une société qui a trop longtemps opposé masculin et féminin. Si tu continues de répéter les mêmes mots que ceux qui ont divisé avant toi, tu ne bâtiras rien de nouveau. C’est ton devoir de casser les murs intérieurs avant d’espérer tendre une passerelle vers l’autre.

Un pont, ce n’est pas parfait. Il tremble parfois, il craque sous le poids des incompréhensions, mais il reste debout tant qu’il est entretenu. C’est la même chose pour la communication dans le couple : il faut du soin, de l’attention, et la volonté de réparer quand une fissure apparaît. L’amour ne se maintient pas par magie, il se construit dans l’effort quotidien de dire, d’écouter, et de comprendre.

Nous devons apprendre à construire. Pas à gagner, pas à dominer, pas à convaincre l’autre d’avoir tort. Construire un pont, c’est choisir l’union au lieu de la division. C’est accepter que la communication entre l’homme et la femme n’est pas une bataille, mais une danse. Et si chacun apprend à écouter la musique de l’autre, alors, ensemble, nous pourrons traverser n’importe quelle tempête.

© Francis Machabée

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04/08/2025
27/07/2025
25/06/2025

J'ai découvert un cycle tragique dans l'intimité

La femme fait régulièrement savoir à l'homme qu'il est "pas assez" (n'est pas assez affectueux ; n'est pas assez émotif ; n'est pas assez expressif...)

N'ayant aucune idée de comment lui faire plaisir, il laisse tomber, rétrécit ses sentiments, entrave son naturel encore et encore plus jusqu'à ce qu'il s'arrête complètement.

La relation est finie.

De l'autre côté...

L'homme dit souvent à la femme qu'elle est " trop " (trop expressive, trop émotive, trop imprévisible, trop peu importe...) donc elle apprend à se rétrécir en espérant qu’il l'aimera davantage si elle refoule ses ressentis, jusqu'à ce que finalement, tragiquement, elle devient aussi " pas assez " (pour lui ou elle-même).

La relation est finie.

Voici une idée pour mettre fin à la folie :

Femme, donne à l'homme l'espace pour se sentir comme il se sent (ou ne se sent pas). Ne le blâme pas ou ne le laisse pas parce que tu es frustrée qu'il ne sache pas comment toucher ses sentiments. On lui a enseigné depuis qu'il était un garçon de ne pas toucher ces choses, sauf avec son sexe.

Je sais que c'est dur pour toi quand il ne sait pas comment tu te sens, mais le sentiment est ta maîtrise féminine, pas la sienne. Bien sûr qu'il est capable, ce n'est pas sa nature primaire et il n'a pas aussi pratiqué que toi.

Mais vous pouvez lui ouvrir la voie à la découverte de ses propres sentiments, pas en lui reprochant de ne pas être "bon à ressentir" comme vous êtes, mais en honorant pleinement vos propres sentiments, en les offrant à la relation honnêtement tout en le rassurant aussi. À plusieurs reprises qu'il est totalement libre de ressentir ce qu'il ressent aussi (ou ne sent pas).

Homme, arrête de lui dire qu'elle est trop pour toi (ou le monde). ... Oui, je sais qu'elle est souvent trop pour votre nature. Elle sait qu'elle l'est souvent aussi. Mais faites de votre mieux pour l'aimer comme elle est et laissez-la colorer votre relation avec toutes les saveurs expressives de son cœur sauvage. C'est ce qui t'a attiré en premier lieu. Ne lui dis pas de se censurer maintenant qu'elle est en ta présence tout le temps ! Ne la rends pas plus masculine comme toi !! Ce n'est pas ta colocataire ou ton pote. C'est ta femme !!

Laissez-la décorer votre vie avec n'importe quelle façon scintillante, capricieuse et déconcertante la ravir. Et rassurez-la à plusieurs reprises ... Parce que si vous la traitez bien, elle va vous faire perdre la tête au paradis !

En fin de compte, je crois que le mieux que l'on puisse espérer est un partenaire qui est tout simplement prêt à continuer à se montrer, qui est prêt à apprendre à faire cette danse sauvage des contraires avec au moins un peu plus de grâce et de tendresse et le flux, le rire et l'amour que nous avons vécu hier.

Bryan Reeves

23/06/2025

Le jour où l'enfant réalise
que tous les adultes sont
imparfaits, il devient adolescent ;
le jour où il leur pardonne,
il devient adulte ;
le jour où il se pardonne,
il devient sage.

Alden Nowlan

02/06/2025

Personne ne vous prépare au silence que laissent les enfants lorsqu’ils grandissent…

Pas le silence de la maison vide,
mais celui qui s’insinue dans le cœur…
lorsqu’ils ne vous demandent plus quoi faire,
lorsqu’ils ne cherchent plus vos conseils,
lorsqu’ils commencent à vivre… sans vous.

Et vous souriez, bien sûr.
Parce que c’est ce que vous vouliez : les voir s’envoler.
Mais à l’intérieur… quelque chose se fissure.

Car être mère d’enfants devenus grands, c’est autre chose.
C’est ravaler ses mots quand on les voit se tromper.
C’est retenir ses mains quand l’envie d’appeler devient trop forte.
C’est aimer… sans envahir.

C’est regarder de loin, les mains immobiles,
et le cœur qui tremble.

Parfois, ils vous racontent des choses… mais souvent, ils ne disent rien.
Et vous faites comme si cela ne faisait pas mal.
Mais si, ça fait mal.
Ça fait mal de ne plus faire partie de tout, comme avant.
Ça fait mal de voir qu’ils n’ont plus besoin de vous… du moins, pas comme avant.

Et pourtant, vous êtes là.
À préparer leur plat préféré quand ils passent.
À redresser les cadres de leurs photos d’enfance.
À prier pour eux chaque soir, comme si cela pouvait suffire à les protéger du monde.

Parce qu’au fond, une mère ne cesse jamais de veiller.
Elle apprend simplement à le faire depuis l’ombre.
Depuis un coin discret.
Depuis une prière.

Et c’est une forme d’amour que personne ne voit…
mais qui soutient tout.

Morale :
Être mère d’un enfant adulte, c’est accepter de ne plus être le centre de sa vie…
tout en continuant à l’aimer comme si vous l’étiez encore.
Parce qu’il est des amours qui ne s’éteignent pas,
ils apprennent simplement à attendre… en silence.

— Texte de Mayrasak, partagé par Nada “Personal”

22/05/2025

"Le cœur guérit lorsqu'il comprend, non lorsqu'il oublie.
Et moi, je n'oublie pas, car oublier, c'est fuir mon histoire.
Alors, je resterai.
Je reste aux côtés de ma douleur,
le temps qu'il faut pour accepter une peine,
une défaite, une déception, un adieu.
Le temps qu'il faut pour m'offrir une caresse.
Car j'ai appris qu'au bout du chemin, on ne meurt pas.
Non. Finalement, on renaît."

– Andrew Faber (Andrea Zorretta)

22/05/2025

Le plaisir féminin est un territoire qu’il faut oser explorer. Avec patience et respect.

Tu veux qu’elle prenne son pied… mais tu ne connais même pas son plan.
Tu marches dans le noir.
Tu fonces, tu forces, tu tripotes au hasard…
Et tu t’étonnes qu’elle reste froide.
Mon frère…

Le plaisir féminin, ce n’est pas un bouton.
C’est un territoire.
Et comme tout territoire sacré, il ne s’offre qu’à celui qui ose l’explorer.
Mais pas n’importe comment.
Pas en mode bulldozer.
Pas avec ta pression, ton empressement, ou ton ego sexuel blessé.
👉🏽 Ce territoire demande du respect.
👉🏽 De la patience.
👉🏽 Et surtout… de la présence.

Chaque femme est une carte différente.
Ce qui marche sur l’une peut bloquer l’autre.
Ce qu’elle ressent aujourd’hui peut être l’inverse demain.
Et c’est ça, la beauté du truc.
Ce n’est pas linéaire. Ce n’est pas automatique.
Tu dois apprendre à lire les signes :
Son souffle qui change.

Sa hanche qui se tend.
Sa peau qui frissonne.
Son silence qui parle plus que ses mots.

Tu crois que c’est fatiguant ?
Oui. C’est vrai.
Mais ce n’est pas une fatigue, c’est une initiation.
L’homme qui sait explorer…
devient inoubliable.
Pas parce qu’il est “meilleur au lit”…
Mais parce qu’il fait d’elle une femme qui s’épanouit.
Et ça, elle ne l’oubliera jamais.
Ni son corps. Ni son cœur. Ni son âme.
Alors la prochaine fois que tu veux “passer à l’action”...
Demande-toi d’abord si tu es prêt à explorer.
Vraiment.
Réveillez-vous à la réalité…

25/04/2025

Un jour, j’espère que tu comprendras qu’une femme qui reste, même lorsqu’elle a toutes les raisons de partir, ne t’offre pas seulement son amour — elle te donne sa dévotion la plus sincère.

Elle choisit de croire au bien qu’elle voit en toi, en la personne que tu pourrais devenir, plutôt que de s’attarder sur la douleur que tu lui as causée. Elle fait taire ses propres doutes, pardonne ce qui aurait été impardonnable, et s’accroche, espérant que tu finiras par comprendre tout ce qu’elle a enduré pour toi. Cette forme de loyauté n’est pas facile ; c’est un sacrifice. Et pourtant, trop souvent, elle est accueillie par la moquerie — on la traite de dramatique, de collante, ou de f***e, comme si ses sentiments méritaient qu’on les minimise au lieu de les chérir.

Mais avant de la rejeter une fois de plus, demande-toi : qu’a-t-elle vraiment demandé ? Être écoutée, être valorisée, ne pas avoir l’impression de supplier pour le strict minimum. Elle n’a jamais voulu te réparer — elle voulait simplement que tu tiennes suffisamment à elle pour te réparer toi-même.

Et si un jour elle arrête enfin d’essayer, ne prends pas son silence pour de la vengeance ou de la rancune. C’est de l’épuisement. C’est le moment où elle réalise qu’elle méritait bien plus que d’attendre quelqu’un qui n’a jamais eu l’intention de changer.

28/02/2025

[Coup de coeur pour...] Des livre écrits et dessinés par une caennaise pour expliquer les maladies aux enfants

Expliquer une maladie à un enfant peut être une épreuve pour de nombreuses familles. Comment lui donner des repères, le rassurer et lui permettre de mieux comprendre ce qui lui arrive ou ce que vit un proche ?
C’est le défi que s’est lancé Anaïs Anoush, autrice et illustratrice originaire de Caen, en créant une collection de livres jeunesse sur les maladies.

Son projet a vu le jour en 2023, lorsque sa fille a été diagnostiquée diabétique de type 1.
Pour l’aider à apprivoiser cette nouvelle réalité, elle a commencé à illustrer leur quotidien, donnant un sourire à la pompe à insuline et au capteur de glycémie. Peu à peu, la maladie est devenue moins effrayante, plus compréhensible.

De cette initiative personnelle est née une collection de livres destinés aux enfants dès 4-5 ans, intitulée “Les Extraordinaires”.
Chaque ouvrage aborde une maladie spécifique en expliquant ses symptômes, ses traitements et l’importance de l’empathie et du soutien.
L’objectif est double : rassurer les enfants concernés et sensibiliser leur entourage.

Pour garantir la fiabilité de ses ouvrages, Anaïs s’entoure de professionnels de santé qui relisent ses textes : diabétologues, neuropédiatres, pneumopédiatres et psychologues.

La collection comprend déjà plusieurs titres dédiés au diabète de type 1, à l’épilepsie, à l’asthme, à la mucoviscidose, aux troubles DYS et au daltonisme.

Mais l’initiative ne s’arrête pas là.
Consciente que les maladies des adultes impactent aussi les enfants, Anaïs souhaite élargir son champ d’écriture à des pathologies comme la sclérose en plaques, la maladie d’Alzheimer ou encore la maladie de Parkinson.

Pour mener son projet de bout en bout, la Caennaise a franchi une étape supplémentaire en créant sa propre maison d’édition en 2024 : Anaïs Anoush. Un choix qui lui permet de maîtriser chaque aspect, de l’écriture à l’illustration, en passant par la production et la diffusion de ses ouvrages.

Avec ses livres, elle ambitionne de briser les tabous autour des maladies, de donner aux familles des outils pour ouvrir le dialogue et mieux vivre ces situations.

Une initiative qui apporte un regard bienveillant et pédagogique sur des réalités souvent difficiles à expliquer aux plus jeunes.
C'est à découvrir ici : https://anais-anoush-edition.sumupstore.com

Adresse

28 Rue De Cheux
Caen
14000

Heures d'ouverture

Lundi 09:00 - 20:00
Mardi 09:00 - 20:00
Mercredi 09:00 - 20:00
Jeudi 09:00 - 20:00
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Virginie Devillechabrolle Sophro-analyste Caen

Je vous accompagne vers les clefs de votre propre liberté, avec la sophro-analyse (respiration, écoute de vos émotions, apprentissage d'un nouveau regard sur vous), pour être vous-même peut-être pour la première fois. J'anime aussi des conférences-ateliers afin d'aller plus loin dans ma pratique.


  • Faire le point et trouver un espace de confiance

  • Sortir de la croyance qu'un travail thérapeutique est lourd et compliqué

  • Sortir de la lutte et du combat intérieur et extérieur