Virginie devillechabrolle sophro analyste

Virginie devillechabrolle sophro analyste Je vous accompagne vers les clefs de votre propre liberté, par la respiration, l'écoute de vos émotio

13/10/2025

Bonjour,
je suis l’angoisse — ne t’effraie pas, je viens en paix.
D’ailleurs, pourquoi as-tu si peur de moi ?

Je sais que tu te sens affreusement mal chaque fois que j’apparais. Tu désespères, tu voudrais me chasser, m’effacer… Je sais que, si tu le pouvais, tu me tuerais — surtout parce que tu crois que c’est moi qui veux te tuer ou te faire du mal.
Mais crois-moi : si je ne t’ai pas tué jusqu’à présent, je ne le ferai jamais.

Je ne suis pas là pour te nuire, encore moins pour te rendre fou. Je pense que je te l’ai déjà prouvé : chaque fois que j’arrive, je bouleverse ton corps, je te fais peur, mais à la fin de la journée… tu es toujours là, vivant.
Si je pouvais te détruire, je l’aurais déjà fait. Ce n’est pas mon but.

En réalité, si je provoque tout cela en toi, c’est parce que je n’ai pas trouvé d’autre moyen de me faire entendre. Tu étais si occupé à vouloir réussir, à être productif, à prouver aux autres que tu méritais d’être aimé… que tu n’as pas prêté attention à mes petits signaux.

Tu te souviens de cette fois où tu avais mal à la tête ? Ou de ces nuits où tu n’as pas dormi pendant des heures ? Ou encore de ce jour où, sans raison, tu t’es mis à pleurer ?
Eh bien, toutes ces fois-là, c’était moi, qui essayais de te parler. Mais tu n’as pas écouté. Tu as continué ton rythme, ta manière de penser. Alors j’ai dû frapper plus fort : je t’ai fait trembler l’œil, boucher les oreilles, transpirer les mains… et pourtant, tu refusais toujours de m’entendre.

Et entre nous, tu savais que j’étais là. C’est pour cela que, lorsque tu te retrouvais seul, au calme, quelque chose t’empêchait de rester tranquille. Tu devenais nerveux, car ton esprit rationnel ne comprenait pas ce qu’il se passait. Et c’est vrai : ton esprit rationnel ne peut pas me comprendre.

C’est pourquoi j’ai décidé d’abandonner mes signaux et de t’écrire.
Et si tu lis ces mots, je te félicite : cela signifie que tu as enfin le courage de m’écouter. Personne ne sait mieux que moi à quel point tu es doué pour me fuir, pour t’échapper de moi comme on fuit un monstre dans la forêt sombre.

Tu me fuis quand tu t’abrutis des heures devant la télévision, en vivant la vie d’autres personnes parce que la tienne ne te plaît pas. Tu me fuis aussi quand tu avales des substances pour t’endormir à la réalité que tu refuses d’affronter.

Mais j’espère que cette fois, tu es prêt à faire face à ta vérité, à ta vie telle qu’elle est, sans masque, sans raccourci, sans façade. Alors laisse-moi te dire les choses comme elles sont :

Tout ce que j’essaie de te dire depuis le début, c’est qu’il est temps d’évoluer.
Tu dois changer profondément, car pour une raison ou une autre, tu ne profites plus de ta vie et tu ne te sens pas heureux.
C’est pour cela que je suis là : pour t’aider à retrouver la plénitude qui vit en toi. Et pour y parvenir, tu devras te défaire de tout ce qui t’empêche d’y accéder.

Je suis là pour t’aider à voir ce qui te coupe de ta joie, de ton sens de la vie, de ton véritable être. Chaque fois que je réapparaîtrai, ce sera pour te signaler que tu t’es encore éloigné de ta propre plénitude. Alors, si je reviens, ne t’effraie pas : remercie-moi, et écoute-moi.

Si tu m’écoutes vraiment, tu commenceras à changer. Et dès que tu feras ces changements, je partirai. Oui, je partirai quand je verrai que tu avances, que tu grandis, que tu reprends ton propre chemin. Tant que tu ne le feras pas… je resterai.

Si je suis là aujourd’hui, c’est parce que tu as besoin de moi.
Tu as besoin de moi pour transformer ta façon de voir le monde — car, laisse-moi te le dire, ta perception est un peu déformée. Tu dois te libérer de tes croyances limitantes, pardonner ta colère, et retrouver ta liberté intérieure.

Tu as besoin de moi pour te reconnecter à ce que tu aimes, pour être toi-même, pour cesser d’avoir peur du rejet.
Tu as besoin de moi pour apprendre à dire non, pour mettre des limites à ceux qui te blessent, pour cesser de mendier l’amour de ceux qui ne te méritent pas, pour ne plus dépendre d’un autre pour être heureux, et pour enfin… prendre soin de ton corps.

Comment aurais-tu prêté attention à ton corps autrement ?
Tu dois le nourrir, le remercier, le faire bouger, le laisser respirer.
Pourquoi t’épuises-tu autant ? Pourquoi es-tu si dur avec toi ? Tu as tout en toi : la capacité, la force, la lumière pour créer ta réalité. Mais tu te traites comme ton propre esclave. Je suis là pour te dire : arrête.

Si tu veux vraiment que je parte, reprends la barre de ta vie. Demande-toi ce qui t’a éloigné de ton équilibre intérieur. Demande-toi comment tu veux vivre — et bats-toi pour cette vie. C’est la tienne.

Le seul contrôle que tu peux avoir, c’est celui de toi-même. Mais pour le retrouver, tu dois d’abord reconnaître que tu l’as perdu, et me laisser m’exprimer.
Quand je reviendrai, ne me repousse pas : ferme les yeux, ressens-moi, laisse-moi parler. Puis agis. Mets des gestes concrets vers le changement. Et, avant même que tu t’en rendes compte, je m’en irai.

J’espère ne pas avoir à revenir souvent, mais si je le fais, souviens-toi : je ne veux pas te blesser.
Je veux t’aider à retrouver ton chemin, celui qui te rendra profondément heureux.

Et pour finir, j’aimerais que tu me voies pour ce que je suis : ton essence.
Je suis toi — ton être intérieur qui crie désespérément pour être entendu.
Ce que tu ressens n’est pas une crise de panique : c’est ton âme qui frappe à la porte de ton cœur pour que tu l’écoutes.

Avec tendresse,
Ton essence, déguisée en anxiété.

29/08/2025

Nous vivons dans un monde où l’homme et la femme se regardent trop souvent comme deux rives opposées. Chacun défend son territoire, ses blessures, ses convictions. Les discours s’alourdissent de reproches, les murs se dressent plus vite que les ponts, et l’amour finit par suffoquer sous le poids des malentendus. Nous oublions que derrière chaque mot mal compris se cache un cœur qui cherche simplement à être entendu.

La vérité, c’est que la communication entre les genres est en crise. L’homme accuse la femme de trop sentir, et la femme reproche à l’homme de trop taire. On se perd dans les clichés, on se divise dans les attentes, et au lieu de tendre la main, on arme nos paroles. C’est plus facile de dresser un mur que d’ériger un pont. Mais à quel prix ? Ce prix, c’est l’isolement, la méfiance, et des générations qui ne savent plus s’écouter.

Regarde cette image : deux têtes qui s’inclinent l’une vers l’autre, reliées par une construction fragile mais essentielle — un pont. Voilà la métaphore de ce que nous devons apprendre à bâtir. Les ponts ne se construisent pas en un jour, ils demandent patience, persévérance, ajustements constants. Et surtout, ils demandent le courage d’aller vers l’autre, même quand l’orgueil voudrait nous retenir sur notre rive.

Construire un pont, c’est accepter que la différence n’est pas une menace, mais une richesse. L’homme et la femme ne parlent pas toujours le même langage, mais les deux langues méritent d’être apprises. C’est dans l’effort d’écouter ce que l’autre veut vraiment dire, et non ce que nous croyons entendre, que naît la vraie compréhension. Là, le respect devient ciment, et l’amour devient structure.

Mais soyons honnêtes : construire demande de déconstruire. Déconstruire les préjugés, les vieilles blessures, les croyances transmises par une société qui a trop longtemps opposé masculin et féminin. Si tu continues de répéter les mêmes mots que ceux qui ont divisé avant toi, tu ne bâtiras rien de nouveau. C’est ton devoir de casser les murs intérieurs avant d’espérer tendre une passerelle vers l’autre.

Un pont, ce n’est pas parfait. Il tremble parfois, il craque sous le poids des incompréhensions, mais il reste debout tant qu’il est entretenu. C’est la même chose pour la communication dans le couple : il faut du soin, de l’attention, et la volonté de réparer quand une fissure apparaît. L’amour ne se maintient pas par magie, il se construit dans l’effort quotidien de dire, d’écouter, et de comprendre.

Nous devons apprendre à construire. Pas à gagner, pas à dominer, pas à convaincre l’autre d’avoir tort. Construire un pont, c’est choisir l’union au lieu de la division. C’est accepter que la communication entre l’homme et la femme n’est pas une bataille, mais une danse. Et si chacun apprend à écouter la musique de l’autre, alors, ensemble, nous pourrons traverser n’importe quelle tempête.

© Francis Machabée

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04/08/2025
27/07/2025

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Virginie Devillechabrolle Sophro-analyste Caen

Je vous accompagne vers les clefs de votre propre liberté, avec la sophro-analyse (respiration, écoute de vos émotions, apprentissage d'un nouveau regard sur vous), pour être vous-même peut-être pour la première fois. J'anime aussi des conférences-ateliers afin d'aller plus loin dans ma pratique.


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