22/06/2021
📢"On n'a jamais aussi bien travaillé qu'au début de l'épidémie." Professionnels de la , qui n'a jamais entendu cette phrase ?📢
Alors certes la -19, c'est tout d'abord un lourd tribut payé par les : dans le monde, des milliers d'entre eux sont morts, des droits sociaux tronqués : sur la durée du temps de travail, l'organisation des congés ou les prérogatives des représentants du personnel. Ou encore des applaudissements qui n'auront été que de courte durée. 👏
Mais à l'ère des , depuis que le couvre-feu est aboli et le n'est plus qu'un accessoire, les opérations courantes tentent de reprendre dans les centres hospitaliers.
Cependant, comme nous le signifie La Dépêche du Midi, les structures font face à une pénurie de soignant, épuisé par l'épidémie. Le personnel est fatigué et les professionnels souhaitent se réorienter.
Les services ferment, les USIC et les blocs opératoires...
Pourtant "cette année en Occitanie, sur , près de 25 000 personnes ont exprimé comme premier choix leur volonté d'accéder à des études d' . Seules 2 500 places seraient disponibles". La déléguée générale de la Fédération de l'Hospitalisation privée, Christine Schibler reste catégorique : "Il y a une attractivité du métier, mais il faut adapter notre outil de formation pour les professions paramédicales".
L'Agence Régionale de Santé Occitanie va devoir trouver des solutions, et réorganiser le système, pour faire face à cette pénurie, le temps que les nouveaux soignants aient leur !
https://www.ladepeche.fr/2021/06/16/difficultes-de-recrutement-regroupement-de-services-la-france-fait-face-a-une-importante-penurie-dinfirmieres-9610002.php
En pleine reprogrammation des opérations courantes, de nombreux établissements hospitaliers du pays s'inquiètent d'un manque de bras. Principal concerné, le secteur infirmier peine à recruter et à se renouveler.