Therapie familiale

Therapie familiale Vous avez des difficultés familiales, personnelles, de couple. Je peux vous aider!

18/01/2025

L'influence parentale est essentielle au développement de la personnalité et au bien-être émotionnel des enfants, s’appuyant sur des théories psychologiques ...

11/01/2025

Selon Carl Gustav Jung, il existe 4 archétypes, quatre étapes que nous traversons pendant notre vie et ces étapes sont :

1. L'étape de l'athlète (le sauvage)
À cette étape, nous nous préoccupons surtout de notre apparence, de ce à quoi ressemble notre corps. Durant cette étape, nous pourrions rester des heures à regarder et admirer notre reflet dans le miroir. Notre corps, notre apparence sont les choses les plus importantes à nos yeux, rien d'autre ne compte.

2. L'étape du guerrier (l'aventurier)
Pendant cette période, notre principale souci est de partir à la conquête du monde, de faire de notre mieux, d'être le meilleur et de parvenir à l'excellence, de faire ce que font les guerriers et d'agir comme agissent les guerriers. C'est une étape pendant laquelle nous pensons continuellement aux moyens d'avoir plus que tout le monde, une étape de comparaison, de vaincre ceux autour de nous afin de nous sentir meilleurs parce que nous avons réalisé davantage, parce que nous sommes des guerriers, des braves.

3. L'étape de la communication (l'enseignant)
À cette époque, à ce stade de votre vie, vous réalisez que ce qui a été fait jusqu'ici ne suffit pas à vous contenter, à vous rendre heureux… vous cherchez maintenant les moyens de faire une différence dans le monde, les moyens de servir ceux qui vous entourent. Votre préoccupation est de commencer à donner. Vous réalisez maintenant que dorénavant votre poursuite de l'argent, du pouvoir, des possessions, etc. continueront d'apparaitre dans votre vie, mais vous ne leur attribuez plus la même valeur qu'auparavant, vous n'êtes plus attaché à ces choses, parce que vous êtes maintenant dans une étape différente de votre vie, où vous savez qu'il existe autre chose. Vous les recevez, vous les acceptez et vous en êtes reconnaissant, mais vous êtes prêt à vous en détacher n'importe quand. Vous cherchez des moyens pour arrêter de penser à vous, à la manière de recevoir et à commencer à vous concentrer sur une vie de service. Tout ce qui vous importe à ce stade est le don. Vous savez maintenant que donner c'est recevoir et que c'est le moment de stopper l'égoïsme et de penser aux façons d'aider ceux dans le besoin, de quitter ce monde en étant meilleur que lorsque vous y êtes entré.

4. L'étape spirituelle (le sage)
Selon Jung, ce sera la dernière étape de votre vie, une étape où nous réalisons qu'aucune de ces trois étapes ne représente réellement qui nous sommes et ce que nous sommes. Nous comprenons que nous sommes plus que notre corps, plus que nos possessions, plus que nos amis, notre pays et ainsi de suite. Nous en venons à réaliser que nous sommes des êtres divins, des êtres spirituels ayant une expérience humaine et non pas des humains ayant une expérience spirituelle.
Nous savons maintenant que ce n'est pas notre foyer et que nous ne sommes pas ce que nous pensons être. Nous sommes dans ce monde mais pas de ce monde. Nous pouvons désormais nous observer à partir d'une autre perspective. Nous pouvons renoncer à notre propre esprit, à notre corps et saisir qui nous sommes vraiment, voir les choses telles qu'elles sont. Nous devenons l'observateur de notre vie. Nous réalisons que nous ne sommes pas celui que nous remarquons mais l'observateur de ce que nous remarquons.

Il y a 2500 ans, Lao Tseu tentait de nous enseigner la manière de comprendre cette dernière étape de vie, cette étape spirituelle : "Pouvez-vous faire machine arrière en pensée et ainsi saisir toutes choses ? Donner la vie et la nourrir, avoir sans posséder, agir sans attentes, diriger sans essayer de contrôler : voici la vertu suprême".

21/12/2024
21/12/2024
21/12/2024

La résistance en psychologie.
La résistance est une composante commune en psychothérapie, et elle est souvent perçue comme une forme de défense face au changement ou à l’exploration de sujets difficiles. Elle se manifeste de diverses façons : annulations de séances, silence, minimisation des problèmes, rationalisation, ou encore opposition aux propositions thérapeutiques.

Mais pourquoi la résistance ?
La résistance peut refléter une peur du changement. Même si le patient souffre, il peut avoir peur de perdre ce qui lui est familier ou de se confronter à des émotions enfouies.
La résistance peut être un mécanisme de défense pour éviter des douleurs émotionnelles trop intenses.
La résistance peut aussi évoquer un conflit interne lorsque le patient est ambivalent quant à son désir de changer ou résoudre un problème.
Parfois, la résistance peut refléter une tension dans la relation thérapeutique lorsque le patient n’est pas vraiment à l’aise avec son thérapeute.

Comment aborder la résistance.
Le rôle du thérapeute est de reconnaître et de travailler avec cette résistance, sans la confronter directement ou la juger.
On peut d’abord reconnaître que la résistance est normale et souvent liée à une peur ou à une incertitude. Ensuite explorer la résistance avec curiosité. Poser des questions pour comprendre ce qui se passe. Par exemple « Je remarque que ce sujet semble difficile à aborder. À quoi pensez-vous en ce moment ? »
On peut aussi recadrer la résistance, c’est à dire voir la résistance comme un indice de la valeur ou de la complexité du problème pour le patient. Par exemple : « Cela me montre à quel point cette question est importante pour vous. ». Enfin, si le patient semble être confronté à un conflit interne ambivalent, la question à poser est alors « voulez vous vraiment guérir ? » cette question peut faire office d’électrochoc car aussi paradoxale qu’elle soit, la réponse qui remonte de l’inconscient peut parfois surprendre.

Différentes écoles de pensée interprètent la résistance de plusieurs manières, mais en psychanalyse on a tendance à dire que la résistance est un signe que des conflits inconscients se rapprochent de la conscience. La résistance n’est pas un échec ni un obstacle insurmontable, c’est un processus à intégrer et à comprendre dans le cadre de la thérapie. Elle est souvent le signe que le patient se trouve à une étape cruciale de son cheminement.

21/12/2024

« Synchronicité » est un terme inventé par le célèbre psychologue et psychiatre suisse Carl-Gustav Jung.
L’exemple classique présenté par Jung, est celui d’une patiente ayant tendance à trop rationaliser ce qui lui arrive, rendant ainsi son analyse inefficace. Un jour elle raconte un rêve à Jung dans lequel elle reçoit un scarabée d’or. Au même moment, elle entend un bruit à la fenêtre et Jung va l'ouvrir puis saisit l'insecte qui s'y trouve et le montre à sa patiente: « Le voilà votre scarabée » dit-il, attrapant l’insecte qui vient de se cogner contre la vitre. Le choc ressenti par elle à cette vue eu alors pour effet de générer chez elle un déblocage mental qui aida grandement à la poursuite de sa thérapie.

Ce ne sont cependant pas ces évènements plus ou moins imputables au hasard et relativement subjectifs qui justifient à nos yeux la nécessité de rechercher une théorie physique de la synchronicité. Ce sont des évènements encore plus puissants dans leur improbabilité et dans leurs conséquences, par exemple des cascades de coïncidences significatives qui changent une vie profondément, que différents auteurs ont relaté dans de nombreux ouvrages et qu'il serait trop long de résumer ici. L'un des aspects du caractère le plus intriguant des synchronicités est qu'il semble aujourd'hui de plus en plus admis qu'il soit possible de les provoquer, ce qui en ferait ainsi un phénomène reproductible qui ouvre la porte à une possible approche scientifique et expérimentale.

Il semblerait toutefois que les synchronicités les plus improbables tendent à se produire dans certaines circonstances particulières de la vie où une transformation à la fois psychique et matérielle est à l'oeuvre, cette situation instable pouvant conduire le sujet à changer radicalement sa vie. La synchronicité semble alors jouer un rôle de guidage dans ce processus de changement. Au contraire, les personnes ayant une vie bien réglée par des habitudes ont très peu de chances d'en vivre. C'est pourquoi il s'agit d'un phénomène difficile à contrôler et qui se prète mal à une investigation rationnelle.

La pensée rationnelle dominante ne sait d'ailleurs y répondre qu'en invoquant le hasard ou la subjectivité de l'observateur, mais cela n'explique pas la caractéristique essentielle de ces phénomènes qui provient moins de leur subjectivité que de leur forte improbabilité. Le fait de mettre systématiquement cette improbabilité sur le compte du hasard lui-même en prétendant qu'il n'y a aucune autre explication à rechercher provient au mieux d'une méconnaissance des lois de la statistique, au pire d'une foi aveugle dans le caractère abouti d'une science qui reposerait exclusivement sur la causalité. Bien qu'il soit juste et sain d'invoquer en première hypothèse le hasard face à de tels phénomènes, il devient obscurantiste de maintenir envers et contre tout cette hypothèse en présence de cas où elle ne résiste pas au calcul des probabilités.



Photo: S.Coly. Rapallo, Liguria, Italia.

21/12/2024

— Je me sens constamment coupable, je me bats avec la croyance que je ne suis pas méritante... Et j’ai beaucoup de mal avec la prise de responsabilité.
— La culpabilité et la responsabilité sont les deux faces d’une même pièce que nous avons tendance à lancer en l’air en attendant qu’elle tombe en équilibre sur sa tranche...

L’éternel coupable, est dans le rejet de sa responsabilité, qu’il confond avec encore plus de culpabilité, déjà débordante.
Ni l’une, ni l’autre ne peut alors être pleinement vécue, et commence alors l’incessante lutte du coupable qui fuit sa responsabilité. L’une est confortable mais apporte tristesse et accablement, l’autre est confrontante mais procure joie et pouvoir personnel.

Nous ne sommes au fond, coupables de rien et responsables de tout.
Tout est là, entre chaque seconde, chaque respiration. Il n’y a rien à accomplir, nulle part où courir.
Il n’y a rien à payer pour avoir le droit d’être en vie.
Défaire les ficelles de ce cadeau qu’est la vie, n’est pas un droit à gagner, mais une responsabilité à prendre. Car il s’y cache une joie qui s’avère vite insupportable pour celui qui vit dans la culpabilité, et qui est alors incapable de vivre pleinement.

Stephan Schillinger Extrait des livres « Par un Curieux Hasard »

01/10/2024

Les moutons noirs d’une famille sont en fait des libérateurs de leur arbre généalogique.
Ce sont ceux qui ne s’adaptent pas aux règles ou aux traditions familiales, ceux qui cherchent constamment à révolutionner les croyances.

Ceux qui choisissent des routes contraires aux chemins tout tracés des lignées familiales, ceux qui sont critiqués, jugés et même rejetés.
Ceux-là sont appelés à libérer la famille des schémas répétitifs qui frustrent des générations entières.

Ces soi-disant « moutons noirs », ceux qui ne s’adaptent pas, ceux qui hurlent à la rébellion, en réalité, réparent, détoxifient et créent de nouvelles branches florissantes dans leur arbre généalogique…
D’innombrables désirs non réalisés, de rêves inachevés ou de talents frustrés de nos ancêtres se manifestent à travers cette révolte.

Par inertie, l’arbre généalogique fera tout pour maintenir le cours castrant et toxique de son tronc, ce qui rendra la tâche du révolté difficile et conflictuelle…

Arrêtez de douter et prenez soin de votre ‘’rareté’’ comme étant la fleur la plus précieuse de votre arbre.
Vous êtes le rêve de tous vos ancêtres.

H E L L I N G E R

📷 Stieglitz ( Transparence du coeur FB )

01/10/2024

L’adulte que nous sommes aujourd’hui est le reflet de ce que nous avons vécu dans notre enfance.

Quelques exemples :

L’enfant a qui on a dit que quelque chose dont il avait besoin était trop cher...
Il est l’adulte qui se sent coupable aujourd’hui quand il dépense pour lui-même.

L’enfant qui a dû être responsable trop tôt, en prenant soin de ses parents ou de ses frères et sœurs...
Il est l’adulte qui se soucie de tout le monde sauf lui-même.

L’enfant qui a vécu l’abandon ou se sentait seul...
Il est l’adulte qui a aujourd’hui une forte dépendance émotionnelle avec ses partenaires.

L’enfant dont les émotions ont été invalidées...
C’est l’adulte qui s’excuse pour tout et pense qu’il dérange quand il parle.

L’enfant a qui on n’a jamais reconnu le moindre de ses succès...
Et l’adulte qui est aujourd’hui hypercritique et perfectionniste.

Ce que nous vivons en tant qu’enfants laisse des traces profondes qui influencent notre façon d’être adultes. Chaque expérience, chaque blessure peut façonner notre relation avec nous-mêmes et les autres.
La bonne nouvelle est que ces blessures peuvent être reconnues, comprises et guéries. Nous ne sommes pas condamnés à porter pour toujours les fardeaux du passé, mais nous pouvons choisir de réécrire notre histoire.

Que faisons nous de ce que l’on a fait de nous ?

29/09/2024
23/12/2023

La communication pourrait se résumer par cette phrase de Bernard Werber :
"Entre ce que je pense, ce que je veux dire, ce que je crois dire, ce que je dis, ce que vous voulez entendre, ce que vous entendez, ce que vous croyez en comprendre, ce que vous voulez comprendre, et ce que vous comprenez, il y a au moins neuf possibilités de ne pas se comprendre."
La communication est très difficile parce que nous sommes remplis de préjugés, parce qu'on comprend de travers, parce qu'on a des difficultés à s'exprimer et parce qu'on a des difficultés à écouter. Reste un énorme travail à faire; nous sommes à l'aube de la communication.
C'est étrange parce que maintenant que nous avons des outils très répandus et très puissants on peut communiquer facilement mais on n'utilise pas ces moyens. Plus on a d'outils pour communiquer, moins on communique et plus la communication perd en richesse.
L’autre plus grand problème de la communication, c'est qu'on n'écoute pas pour comprendre. On écoute pour répondre. Savoir écouter c’est aussi et surtout savoir se taire pour laisser l’espace à l’autre de verbaliser, une vraie écoute active.
Nous sommes à une époque où la communication prend énormément d'importance et où il faudrait avoir une réflexion : on communique quoi? A qui? Quelles idées? Quelles émotions ?

On a encore des progrès à faire…

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114 Rue Paul Et Emile Fenouil
Carpentras
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