19/09/2025
"𝐎𝐧 𝐧𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐥𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐝’𝐮𝐧 𝐭𝐫𝐚𝐢𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐚𝐥𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐭𝐢𝐟. 𝐎𝐧 𝐩𝐚𝐫𝐥𝐞 𝐝’𝐮𝐧 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐚î𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐜é𝐫é𝐛𝐫𝐚𝐥 𝐜𝐢𝐛𝐥é, 𝐦𝐞𝐬𝐮𝐫𝐚𝐛𝐥𝐞, 𝐞𝐭 𝐝𝐮𝐫𝐚𝐛𝐥𝐞."
Ce que la science nuance (et ce qu’il faut éviter)
1- Attention aux approches simplistes ou non supervisées
Le marché s’est rempli d’appareils “miracles”, de casques vendus sur Amazon, ou de plateformes qui prétendent offrir du neurofeedback… sans protocole, sans EEG, sans supervision clinique.
La recherche est claire : le neurofeedback fonctionne lorsque :
_ il est personnalisé (pas un programme générique),
_ basé sur un bilan EEG quantitatif complet,
_ accompagné par un professionnel compétent,
_ ajusté régulièrement selon les réponses du cerveau.
Les approches maison, sans encadrement, peuvent nuire plus qu’aider.
2- Ce n’est pas une baguette magique
Le neurofeedback EEG ne règle pas tout. Il ne remplace pas une psychothérapie bien conduite, une bonne hygiène de vie, ni un cadre de vie adapté.
Mais il augmente considérablement la capacité du cerveau à intégrer d’autres approches. Il agit en profondeur, au niveau de la régulation neuronale. Ce qui fait de lui un outil complémentaire très puissant.
𝙀𝙣 𝙧é𝙨𝙪𝙢é :
Le neurofeedback EEG en 2025 n’est plus une nouveauté obscure. C’est une méthode validée scientifiquement, non invasive, sans médication, adaptée à toutes les générations (enfants, ados, adultes, aînés), et utilisable autant pour les troubles (TDAH, anxiété, insomnie…) que pour l’optimisation mentale.
Mais il doit être bien fait, encadré, personnalisé et fondé sur une analyse EEG rigoureuse.