Marius Nagel - Conseils en nutrition

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▶ hypertension artérielle,
▶ syndrome métabolique

En présentiel ou distanciel.

Après la « shrinkflation » dont on a beaucoup entendu parler (diminution des quantités pour un même prix de vente), c’es...
19/02/2024

Après la « shrinkflation » dont on a beaucoup entendu parler (diminution des quantités pour un même prix de vente), c’est maintenant la « cheapflation » que foodwatch a mis en évidence chez les industriels. Un nouvel anglicisme pour dénoncer le remplacement de certains ingrédients par d’autres moins cher… Toujours pour un même prix de vente.
En soit, ce ne serait pas grave si la modification apportée était indiquée sur les paquets. Ce ne serait pas grave si l’impact sur la santé était meilleur ou tout du moins similaire. Sauf que… Ce n’est pas le cas, et c’est bien ça le drame.
- lorsque l’huile de palme remplace une autre huile le rapport omega 6/omega 3 est différent
- lorsque la chair de poisson ou de poulet est diminuée le taux de protéine diminue au profit de graisse et/ou de sucres
Et dans tout cela, c’est encore et toujours les plus démunis qui pâtissent de ces modifications car ce sont eux les premiers consommateurs de ces produits.
Je vous conseille vraiment de lire les articles Foodwatch pour ne plus vous faire avoir. Mais je vous conseille surtout de cuisiner par vous-même vos plats à bas de produits frais, de saison, variés et le plus végétal possible.

Alors que l’inflation alimentaire continue d’impacter le pouvoir d’achat des ménages, foodwatch a été alertée à de nombreuses reprises l’année passée d’une pratique importée des Etats-Unis : la cheapflation. Loin de la vigilance des consommateurs et consommatrices, il est aujourd...

23/01/2024

Je ne peux passer à côté de la grogne des agriculteurs qui sévi en France, mais aussi dans plusieurs pays européens. Les raisons sont à chaque fois différentes, mais elles ont à chaque fois un point commun : l’Europe.
D’un côté le continent se veut protecteur, à travers la PAC (premier budget européen) ou bien la loi EGALIM dont le but était de rémunérer les agriculteurs au juste prix, tout en fournissant une alimentation de qualité.
En contrepartie elle émet des normes que les agriculteurs se doivent de respecter. Elles sont essentielles pour nous permettre de croquer des lasagnes au bœuf sans pesticides (mais avec du cheval), de pouvoir couper à travers champs sans avoir de boutons en en sortant, ou bien de conserver un tant soit peu les insectes qui salissaient nos parebrises et dont les oiseaux s’en gavaient. Il reste beaucoup de travail vu l’état de la biodiversité ou de nos aliments, mais elles sont essentielles.
Mais ces normes augmentent en parallèle les coûts de production de ces produits propres et, dans un contexte de mondialisation, les met en concurrence avec ceux de pays qui se soucient peu d’écologie et donc beaucoup moins cher. Comme un coup de poignard dans le dos pour nos agriculteurs, les traités de libre échange climaticides en négociation ajoutent encore des possibilités d'importer des denrées de pays dont les coûts de production sont largement inférieurs à ceux des français.
Alors, je ne sais pas vous, mais moi je préfère acheter du local dans mon marché plutôt qu’au supermarché. Je préfère payer plus cher des aliments de qualité qui rémunèrent comme il se doit nos paysans que des ersatz de fruits et légumes qui rémunèrent des paysans Brésiliens rois de la déforestation. Et si on me demande de payer encore plus cher pour entamer une transition agro écologique plus que nécessaire, je réponds que je serai là, en partant du fait que nous sommes trop habitués à payer bien trop peu ce que l’on achète. Malheureusement, c’est difficile à entendre en ces temps inflationnistes.

20/01/2024

Si l’abstinence ne dure qu’un mois, les bénéfices du « dry january » ne sont pas à négliger.
L’alcool est tantôt un facteur de risque direct de maladies cardio-vasculaires tantôt indirect en augmentant la tension artérielle, le poids, la résistance à l’insuline, … et plusieurs études ont montré que chez des consommateurs réguliers 1 mois suffit à diminuer ces constantes.
Plus marquant peut être, le sommeil de consommateurs réguliers a été amélioré au terme de ce mois. Car l’alcool améliore autant l’endormissement qu’il n’en perturbe les cycles. Il diminue le temps de sommeil paradoxal, celui qui permet l’apprentissage et la mémorisation à long terme - le copain abstinent est toujours la bonne poire pour l’aide aux examens… S’il ne cache pas sa copie. Il régule la sécrétion d’hormones – l’état de fatigue post-cuite, tu connais ?
Mais aussi car le bénéfice du défi sont visibles dans la durée. En effet, les participants ayant réussi ou même loupé le défi disent avoir diminuer leur consommation sur le plus long terme, et, tout du moins, plus accepter de refuser de l’alcool en groupe et comprendre les abstinents… Un bénéfice pour la santé publique, donc !
Alors, dry january, on s’y met ? Le tout, pour agir en pleine conscience.

14/01/2024

Vous n’êtes pas sans savoir qu’en ce premier mois de l’année, le « dry January » a émergé d’Angleterre sous le beau nom de « défi de janvier » en France. Il s’agit d’arrêter de boire de l’alcool, en cause dans 41000 décès chaque année selon l’Inserm.
Quand on sait que plus de 25% de la population dépasse les recommandations, il s’agit d’abord et avant tout de se poser la question de sa consommation : la quantité, le moment, les occasions... Peut-être aussi la difficulté à diminuer ? L’occasion d’une bonne résolution pour 2024 ?
Mais pour moi, il s’agit aussi de poser la question de l’importance de ce breuvage dans la société tant elle est valorisée dans les sphères privées, estudiantines, professionnelles. Il n’a qu’à voir comme le gouvernement a du mal à valoriser ce défi. La plupart d’entre nous sont passés par des phases de consommation plus ou moins importante. Moi-même, elle a été un carburant de ma sociabilisation en étant étudiant. Et maintenant, devenu faible consommateur, il m’est souvent difficile d’esquiver les remarques lorsque je commande un jus de tomate à la place d’une bière à l’apéro.
Pourquoi est-ce si important de commander de l’alcool au lieu d’une autre boisson ? Pourquoi est-ce si difficile d’assumer sa non consommation ? Pourquoi valorisons-nous les actes plutôt néfastes contrairement à ceux bénéfiques pour la santé ?
Le tout, pour agir en pleine conscience.

13/01/2024

[Excellente année 2024]
2023 a été d’une richesse incroyable. Elle m’a offert de chaleureuses rencontres, de marquantes lectures, de fatigantes foulées sur des sentiers au centre de paysages magnifiques, et une cigogne m’a même livré une petite nièce. Mais surtout, j’ai pu finir le diplôme de micronutrition, qui s’officialisera ces prochains jours (si tout va bien :D), en parallèle de ma reconversion vers la pharmacie d’officine.
En ce mois de janvier, il est toujours temps de vous souhaiter à tous une EXCELLENTE ANNEE 2024.
Il est aussi toujours temps de prendre de bonnes résolutions. Et si, discuter de notre rapport à l’alimentation en faisait partie ? Ma bonne résolution de 2024 est donc de reprendre cette page pour discuter de ce sujet si riche, si vaste, si personnel et si clivant parfois, en rebondissant sur l’actualité.
Je ne prétends pas avoir tout vrai, mais ce sera en tout cas toujours documenté et l’occasion de lancer des discussions avec tous, dans le seul but d’augmenter les connaissances de tout le monde… y compris les miennes !
Le tout, pour agir en toute conscience. « Connaitre, c’est comprendre ».

Je suis tombé sur cette vidéo qui explique bien toute la complexité du problème de l'obésité. Même si elle n'en est pas ...
02/01/2022

Je suis tombé sur cette vidéo qui explique bien toute la complexité du problème de l'obésité.

Même si elle n'en est pas la seule, l'alimentation est une des causes de ce fléau. Mais rassurez-vous, vous n'êtes pas coupable ! Elle a tellement évolué. Marketing, produits sucrés, trop gras, trop salés... l'industrie poussant de plus en plus à la consommation de ces aliments non satiétogènes, perturbant le rythme hormonal et pleins de calories vides.

Conseil simple et efficace (repris du docteur Anthony Fardet): revenir autant que possible à une alimentation vraie (le moins transformé possible), végétale et vivante !

Plus d’humains meurent aujourd’hui de surpoids que de malnutrition. En quarante ans, l’obésité est devenue, une « épidémie mondiale » selon l'OMS. Et l'alime...

24/09/2021

La semaine dernière, j'ai assisté à une conférence aussi instructive qu'interrogative sur notre façon de consommer. Elle était réalisée par le député Loïc Prud'homme qui se bat contre la malbouffe et sponsorisé par l' Institut Européen d'Ethique Alimentaire .
Ceux qui sont intéressés, je conseille de visionner la vidéo. Je conseille aussi de suivre l'institut qui a pour but de faire adopter par le conseil de l'Europe une charte de l'alimentation.

https://www.ethiquealimentaire.eu/

29/07/2021

Les gens me demandent souvent que penser des recommandations officielles, selon le PNNS (Plan National Nutrition Santé), elles sont (en % de l'apport calorique total) :
- 40-55 % sous forme de glucides
- 30-40% sous forme de lipides
- 10-20% sous forme de protéines
Ces recommandations insistent sur la quantité de nutriments, mais parlent très peu de qualité et ne prennent en compte que très peu les aspects sociaux (régimes), économiques et écologiques. Elles se basent sur une approche nutriments par nutriments, maintenant obsolète tant on se rend compte de la valeur de la matrice alimentaire. De même, une alimentation riche en produits industriels n'est pas la même qu'une alimentation riche en produits complet, de saison, et cuisinés.
En effet, pour les glucides, on ne parle plus de glucides rapides ou lents, mais bien de charge glycémiques et indices glycémiques (IG). Ainsi, en privilégiant un apport de glucides à IG faible, leur apport peut facilement être de 55% sans porter atteinte au poids ou au taux de sucre.
Pour les lipides, un apport de 40% de graisses saturées diffère d'un apport de graisses polyinsaturées. En effet, ces dernières sont anti inflammatoires, ne sont pas stockées et ne participent que très peu à l'apport énergétique. (Elles ont beaucoup d'autres propriétés).
Pour les protéines, tous les récents rapports montrent que les produits animaux doivent être limités en proportions. Les protéines végétales doivent être privilégiées pour pouvoir nourrir une population, tout en limitant le réchauffement climatique, et tout en préservant sa santé (cancers, maladies inflammatoires, maladies métaboliques, ... sont dues en partie à la consommation de produits animaux).
Je poste beaucoup moins depuis un certains temps. Le temps me manque malheureusement, mais mon intérêt pour pour la nutrition reste toujours vif ! Je me ferais une joie de parler de tout cela si vous avez des objections/demande de conseils/complément d'information.
Au plaisir,
Marius.
Pour plus de renseignements : https://www.lanutrition.fr/bien-dans-son-assiette/bien-manger/les-recommandations-de-lanutrition.fr/la-pyramide-alimentaire-de-lanutritionfr

Pour ta santé, avant toute, cuisine !
12/05/2021

Pour ta santé, avant toute, cuisine !

Consommés régulièrement, les aliments ultra-transformés - plats préparés, céréales du petit-déjeuner, yaourts aromatisés...peuvent conduire à l'obésité et aux maladies chroniques.

Gaspillage alimentaire : faut-il en arriver là ? De mon point de vue, comme pour tous les sujets la répression est moins...
11/05/2021

Gaspillage alimentaire : faut-il en arriver là ?
De mon point de vue, comme pour tous les sujets la répression est moins à privilégier que la responsabilisation de la population. Mais face à l'urgence, est-ce la solution ?

Une loi votée fin avril par le Parlement chinois renforce la lutte contre le gaspillage et vise une plus grande autonomie alimentaire du pays. Avec une amende à la clé en cas de non-respect.

Et voilà, les fruits et légumes d'été commencent à pointer le bout de leur nez ! Profitez-en pour les varier, tant dans ...
07/05/2021

Et voilà, les fruits et légumes d'été commencent à pointer le bout de leur nez ! Profitez-en pour les varier, tant dans leur cuisson que dans leur variété !
📷 : LaNutrition.fr

13/04/2021

Je vous invite tous et toutes à regarder le reportage netflix "seaspiracy". Lorsque des réflexions sont faites sur la conditions de production/obtention des poissons dans les dîners, la personne passe souvent pour des rabat-joies. Mais lorsque l'on voit ces reportages types, la personne est legitimes de se poser des questions sur nos modes de consommation. Je vous conseille aussi "cowspiracy" : Même type de doc, mais sur la production de viande.

17/03/2021

Salut tout le monde !
J'espère que ça bouge, dort, et mange bien !
Je ne suis en ce moment plus très actif sur cette page. Entre entrainements, déménagement, formation, travail ... le temps pour les réseaux sociaux se perd un peu.
Je n'en reste pas moins disponible pour tout conseils/besoin. Les sports vont tout doucement reprendre tout comme les beaux jours.
Pâques et ses tonnes de chocolat. La nutrition est toujours au coeur de l'actualité.
N'hésitez pas et ... portez vous bien !

Oui oui, ça commence à faire long ces mêmes fruits et légumes ... Mais à défaut d'avoir fait le tour des ingrédients, je...
06/03/2021

Oui oui, ça commence à faire long ces mêmes fruits et légumes ... Mais à défaut d'avoir fait le tour des ingrédients, je suis sûr que vous n'avez pas fait le tour des recettes ! Il en existe des tonnes ! Mijoté, en salade, en tarte, en "soufflé", au four, à la poêle, à la vapeur, en tajine, ... Encore un petit effort, le printemps arrive ! ☀️

Pour des idées, n'hésitez pas ! ;)

Pour étayer ce que je disais dans mon précédent post, voici un article très simple qui montre l'absurdité de la polémiqu...
01/03/2021

Pour étayer ce que je disais dans mon précédent post, voici un article très simple qui montre l'absurdité de la polémique de la semaine dernière. Il faut bien insister : sous réserve d'un régime équilibré, il n'y a aucun risque à éliminer la viande des repas, qui plus est en conservant poissons et œufs.
ce qui est prouvée en revanche, c'est qu'une consommation d'une viande INDUSTRIELLE, en trop GRANDE QUANTITE, est la principale source d'émission de gaz à effet de serre et déforestation. Elle est aussi responsable de différents cancers (colorectaux entre autre) et maladies cardiovasculaires.

A rebours des affirmations du ministère de l’agriculture, le consensus scientifique estime que les enfants peuvent grandir en bonne santé sans manger de la viande.

Le maire de Lyon a souhaité instaurer un repas unique, sans viande (av c oeuf et poisson) à tous les enfants qui mangent...
23/02/2021

Le maire de Lyon a souhaité instaurer un repas unique, sans viande (av c oeuf et poisson) à tous les enfants qui mangent dans les cantines afin d'augmenter leur passage. De là, en a découlé une polémique initiée par le gouvernement. Pourquoi ? Bah ... On ne sait pas.
Les arguments utilisés par ceux ci sont pour le moins en contradiction totale avec les études.
- Les enfants auraient BESOIN de viande. FAUX : il est tout à fait possible de vivre dans viande. La consommation de viande est même trop importante en France.
- Il faut soutenir les bouchers : OUI. Et ceux qui en produisent de qualité. Et ce n'est pas avec la viande consommée dans ces établissements que l'on va les soutenir. Ce sont même les producteurs de viande industriel, leur concurrent, que l'on soutient.
- Certains enfants mangent qu'à la cantine de la viande ? Peut être, et tant mieux ! Ceci signifie qu'ils consomment des plats à base de protéines végétales à la maison. Pour les élèves défavorisés, les études ont montré que ce sont eux qui en consomment le plus, et de la mauvaise.
Les études ont montré que la consommation en trop grande quantité est liée à une augmentation des maladies cardiovasculaires et des cancers.
La consommation de viande est aussi le produit qui a le plus d'impact sur l' environnement (déforestation, épandage de pesticides, émanation de méthane, ...).

Gérald Darmanin s'en prend au maire EE-LV de Lyon pour sa décision d'instaurer des menus uniques sans viande à la cantine dans les écoles. Il ne s'était pas manifesté ...

Comme tous les mois voici un récapitulatif de ce que l'on manger de plus frais et local !Beaucoup m'ont remonté que les ...
06/02/2021

Comme tous les mois voici un récapitulatif de ce que l'on manger de plus frais et local !
Beaucoup m'ont remonté que les fruits et légumes d'hiver, ce n'est pas ce qu'il y a de plus sexy... Encore un petit effort, le printemps arrive ! et puis, lesde nombreuses recettes saines, gourmandes mais toujours aussi bonnes et équilibrées peuvent être envisagées avec ces produits.
En attendant, de mon côté je poursuis les consultations. N'hésitez pas à faire votre demande. Je regarde activement comment me perfectionner... Stay tuned 😉

25/01/2021

📰 ACTU : la vitamine D
Vous en avez peut-être entendu parler, la vitamine D fait son grand retour dans l’actualité. Pourquoi ?
Plusieurs études récentes ont montré des effets protecteurs contre le COVID-19 🦠 d’un taux de vitamine D « normal », notamment une :
- Diminution du risque d’infection
- Diminution du risque de complications sévères
- Diminution de la durée de la maladie

Une lettre ouverte signée de 100 médecins a d’ailleurs été publiée, dès début décembre, pour préconiser une supplémentation en vitamine D (voir la lettre dans les commentaires).
❓ Quel est son rôle ?
La vitamine D est connue essentiellement dans son rôle dans le métabolisme osseux (elle régule l’assimilation du calcium, composant prioritaire des os, et les cellules osseuses). Mais elle entre en jeu également dans de très nombreuses fonctions, dont le système immunitaire :
- elle augmente la synthèse de substances antimicrobiennes et virucides (AMPs),
- elle diminue les cytokines pro-inflammatoire, actives dans l’orage cytokinique » du COVID.
❓ Quel est le problème ?
☀️La vitamine D est apportée essentiellement par l’exposition du corps au soleil. Les UVB forment la vitamine D active à partir de dérivés de cholestérol contenus dans notre épiderme.
🌥 ❄️Or, dans nos latitudes, le manque de soleil l’hiver ainsi que le manque d’exposition entraine un déficit chez une majeure partie de la population entre les mois d’octobre à mars.
❓ Comment en apporter ?
Le plus simple et le plus efficace est la supplémentation MEDICAMENTEUSE avec des doses allant de 2000 à 4000UI/j. 💊
On en trouve aussi dans l'ALIMENTATION : les poissons gras (saumon, hareng, sardines, thon 🐠) (attention toujours à privilégier les sources provenant de pêches durables) et le jaune d’œuf notamment en contiennent. 🥚
Pour les plus téméraire, l’huile de foie de morue en est très riche et l’exposition en maillot de bain au soleil pendant 30 minutes apporte la dose quotidienne. 📈
🤔 Mon conseil :
Compte tenu
- que la majeure partie de la population est en déficit,
- de l’absence de risque d’une supplémentation (si l’on ne dépasse pas 10 000UI/j),
je recommande
- l’augmentation de l’apport en poissons gras (1 à 2 fois par semaine) 🐠
- de vérifier son statut en cette vitamine 🔬
- une supplémentation le cas échéant jusqu’à retrouver des valeurs normales.
Pour des renseignements personnalisés, n'hésitez pas à me contacter !

Adresse

8, Rue De La Republique
Châtenois
67730

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