Thérapie énergétique - Francine Gaspari

Thérapie énergétique - Francine Gaspari Pour retrouver :
- votre énergie vitale
- votre santé Les séances s'adressent à tout le monde : de 6 mois à 95 ans...

Une thérapie douce qui réunit deux pratiques complémentaires :
- le magnétisme, tradition humaine, ancestrale et universelle,
- la kinésiologie, symbiose de l'énergétique chinoise et de la physiologie occidentale. Indiquée quand le corps, fatigué et souffrant, a besoin d'une aide différente pour remonter la pente, lorsque les gestes du quotidien sont devenus autant d'obstacles à surmonter. Pour :
- toutes douleurs musculo-squelettiques : dorsalgie, lombalgie, sciatique, hernie discale, tendinite, torticolis, entorse, etc.
- migraines, vertiges ;
- insomnie et troubles du sommeil ;
- eczéma, psoriasis (et tous problèmes de peau) ;
- problèmes digestifs ;
- problèmes hormonaux (préménopause, ménopause) ;
- grande fatigue physique ou morale ;
- fatigue chronique, postopératoire ;
- déprime postpartum, stress, burn-out ;
- dépression, crises d'angoisse ;
- zona.

24/09/2025

Ces listes, censées sécuriser les patients au bloc opératoire, restent mal appliquées : cases vides, procédures ignorées ou bâclées... Une faille inquiétante avec parfois des conséquences graves sur la santé des patients et qui n’épargnent pas les grands hôpitaux parisiens.

13/08/2025
12/06/2025
03/06/2025

Il y a quelques années déjà… ou comment se fâcher avec un collègue ignare et dangereux !

➡️ Cher confrère,

Je crois que vous avez besoin d’un très bon recyclage, et ce, très rapidement.
Je constate que vos connaissances datent d’une trentaine d’années par rapport à ce qu’elles devraient être.

Si vous le souhaitez, je donne des formations sur l’hypothyroïdie en soirée (dans les grandes villes françaises et belges), et je peux vous inviter à l’une d’elles afin que vos connaissances fassent un bond en avant.

Vous trouverez d’ailleurs en pièce jointe quelques publications de haut niveau concernant l’hypothyroïdie. Vous verrez que cette pathologie ne se résume pas à : « TSH entre 0,3 et 4,5 » — c’est ce que l’on croyait il y a très, très longtemps.
Sachez que 99,5 % des hypothyroïdiens ont une TSH entre 0,3 et 4–5. La dernière TSH supérieure à 4,5 que j’ai vue date d’il y a 5 ans…

Comme vous devriez le savoir, l’hormone thyroïdienne active est la T3, et actuellement 95 % de la population n’arrive plus à convertir la T4 en T3, pour de nombreuses raisons que vous trouverez expliquées dans les documents ci-joints (pollution, métaux lourds, gluten moderne, carences multiples : Se, Zn, B12, etc.).

Honnêtement, face à un patient obèse dans l’état du vôtre, le traiter comme vous le faites n’est certainement pas la meilleure des méthodes.
La médecine ne doit pas se limiter à traiter les symptômes, mais à s’attaquer à la racine du problème.

Si un patient souffre d’acidité gastrique, il faut chercher la cause, et non lui prescrire un IPP, qui induira des effets secondaires cardiaques, rénaux (cf. études récentes montrant l’explosion du nombre de patients sous dialyse suite à la prise prolongée d’IPP), et une malabsorption des vitamines B9 et B12 — ce qui est pro-cancérogène et pro-cardiovasculaire — sans parler de la malabsorption du magnésium, du fer, de l’insuffisance de digestion et de l’apparition de dysbiose intestinale (crampes, ballonnements, que certains traitent stupidement avec Buscopan, Spasmomen… comme si traiter une carie dentaire consistait à donner 3 g d’aspirine !).

Si vous avez un patient en surpoids, ce n’est pas en lui disant qu’il doit maigrir qu’il y parviendra. Il faut l’aider concrètement, et lui prescrire un IPP est contre-productif.

On sait que les patients en surpoids développent plus facilement un diabète, de l’hypertension, de l’hypercholestérolémie, de l’arthrose… Le rôle du médecin est de les faire maigrir, et non de leur prescrire 36 médicaments aux 100 effets secondaires.



Concernant la vitamine D :

Si vous ne donnez pas à vos patients entre 6 000 et 10 000 UI/jour de vitamine D, c’est que vous ne voulez pas vraiment leur bien. En leur en donnant, vous réduisez de 60 à 80 % leur risque de cancer, vous évitez les freins à l’amaigrissement et vous limitez le risque de maladies auto-immunes (diabète de type 1, résistance à l’insuline multipliée par 20, etc.).

Bien sûr, si vous pensez encore qu’une ampoule de 25 000 UI par mois est un bon dosage… il y a effectivement un sacré recyclage à faire.

Tout cela est sans doute très intéressant pour vous, mais ce sont des connaissances récentes, qui ne faisaient pas partie de notre cursus quand j’ai terminé mes études de médecine en 1985.

Le rôle du médecin traitant n’est pas d’apprendre la 36e statine, le 45e IPP ou le 200e antihypertenseur à la mode, mais de prendre en charge ses patients de façon cohérente, dans une optique de guérison.



Lorsque j’ai revu ce patient, beaucoup de choses s’étaient améliorées. En particulier, il s’était remis à rêver. Vous allez peut-être dire : « Le rêve, quelle importance ? »
Eh bien non. Le rêve indique un sommeil en stade 4 et en phase REM, c’est-à-dire le sommeil où l’on récupère physiquement et psychiquement, où la mémoire se fixe, et où la mélatonine détoxifie le cerveau. Sans cela, le patient évolue vers des maladies neurodégénératives comme Alzheimer ou Parkinson.

En relisant votre courrier, je ne vois pas de médicaments prescrits (sauf Sporanox, 15 jours pour traiter sa candidose intestinale), uniquement des compléments alimentaires dont il est gravement carencé, ce que sa biologie atteste.

Sa vitamine D est extrêmement basse, à 12 ng/L : c’est une erreur médicale. Pourquoi laissez-vous ce patient dans cet état, alors qu’on sait que les risques de cancer, de maladies cardiovasculaires et de dépression explosent en dessous de 60–70 ng/L ?
En passant de 12 à 60 ng/L, vous auriez diminué de 80 % son risque de cancer du côlon et de la prostate, et d’environ 60 % pour les autres cancers.

Pourquoi lui avoir prescrit un IPP (oméprazole) sans complémentation en B9/B12 ?
Vous savez bien que l’absorption de ces vitamines est altérée par les IPP. Or, un déficit en B9/B12 fait grimper l’homocystéine (34 chez ce patient !), ce qui explose les risques cardiovasculaires, cancéreux, et dépressifs.

Savez-vous qu’avec une homocystéine à 36, les chances de survie du patient ne dépassent que quelques mois ou années ?



J’ai perdu récemment un patient de 32 ans (décès) qui avait une homocystéine à 45 (hypothyroïdie non traitée, carence majeure en B9/B12). Pourquoi ?
Il était venu me consulter en état de « mort imminente », après avoir fait un infarctus à 28 ans, puis à 30.
Il a été traité par statines (cholestérol passé de 180 à 130) et bêtabloquants.
Décès quelques jours plus t**d d’un troisième infarctus.
Alors que le vrai problème était simplement une hypothyroïdie et une carence en B9/B12, avec une TSH « normale » !
Scandaleux.
Faire chuter son cholestérol normal l’a empêché de synthétiser ses hormones stéroïdiennes nécessaires à sa survie…



Puis-je vous demander pourquoi vous laissez ce patient avec un foie gras (NASH), sachant qu’il évoluera vers une cirrhose ou un cancer du foie ?
Avec les bonnes mesures, son foie pourrait guérir en quelques mois.

Avez-vous lu les publications récentes sur la berbérine, dont l’effet est nettement supérieur à celui de la metformine sur tous les plans ?

Comme vous le verrez dans les publications ci-jointes, la prise d’IPP est associée à une prise de poids.
Et vous ne trouvez pas que ce patient a déjà bien assez de poids avec 50 kg de trop ?



Comme vous le savez, l’appétit peut être compulsif (envies de sucre, boulimie le soir). Or, le moteur principal de cette compulsion glucidique est la sérotonine, issue du tryptophane, lui-même issu des protéines du matin — transformé grâce à la B12, B9, magnésium, zinc…
B12 qui est deux fois trop basse chez votre patient ! Pourquoi ne pas la corriger, et laisser le patient avec ses compulsions ?

Comme vous le savez également, la vitamine D est nécessaire à l’activation des récepteurs aux neurotransmetteurs, et à ceux de la T3.
Pourquoi laissez-vous votre patient avec une vitamine D six fois trop basse ?



Là est toute la différence entre la “bonne médecine” et la “médecine pousse-bouton”.
Un enfant de 6 ans sachant lire est capable de prescrire un IPP si on lui dit « acidité », un antidépresseur si on lui dit « dépression », ou un antihypertenseur si on lui dit « hypertension ».
Ce n’est pas cela, la vraie médecine.



Bonne lecture et bon apprentissage,

Dr RESIMONT

DÉTOX DE SAISON : ATTENTION, PRUDENCE !La cure de détox n'est jamais banale. Elle peut même entraîner de sérieux désordr...
20/03/2024

DÉTOX DE SAISON : ATTENTION, PRUDENCE !
La cure de détox n'est jamais banale. Elle peut même entraîner de sérieux désordres. Pour être efficace, elle doit être précédée d’une séance d’énergétique.

Le printemps est là, et beaucoup s’apprêtent à faire – ou ont déjà commencé – une détoxination à l’aide d’un complexe de plantes pour soulager foie et reins, cure qui s’étale sur trois semaines. Si l'intention est très louable, elle reste néanmoins incomplète. Car forcer ses organes à éliminer les toxines sans avoir, au préalable, fait une séance d’énergétique, peut entraîner des problèmes totalement inattendus. Pourquoi ? Parce que la chimie et l’énergétique sont interdépendants : sans une énergie harmonieuse (externe et interne), pas de processus chimique optimum, et inversement.
Les découvertes de la physique quantique ont prouvé ce que les Anciens savaient déjà à force d'observation et de pratique, notamment la médecine chinoise : tout vibre ! Chaque atome dans l’univers a un mouvement vibratoire ou périodique spécifique. Et chaque mouvement périodique possède une fréquence de vibration spécifique (nombre d’oscillations par seconde) qui peut être mesurée en hertz. Ainsi, la matière dont nous croyons être faits n’existe pas ! Ou plutôt, elle est pure énergie : nous sommes faits d’atomes – noyaux de protons et de neutrons – autour desquels circulent des électrons. Et les atomes et les électrons sont reliés par de l’énergie. De fait, chaque tissu, chaque organe, chaque cellule, chaque molécule de notre corps possède son propre champ vibratoire émis par cette énergie.

Avant le foie, les reins !
Pendant l’hiver, le corps humain a été énormément sollicité pour faire face à cette période difficile, ce qui lui demande plus d’énergie que durant le reste de l’année : ce sont les reins qui règnent durant cette saison. Alors pourquoi une détox du foie ? Pour le préparer de façon optimale car le printemps est sa saison. Or les reins sont bien souvent épuisés, et reins et foie fonctionnent de paire. Ces deux organes vitaux sont quasi systématiquement bloqués énergétiquement, à ce moment précis de l’année : leurs fonctions biochimiques ne sont donc pas optimales. Faire une détox avec un foie ou des reins bloqués énergétiquement – ou les deux – peut donc s'avérer dangereux à plus ou moins court terme. Comment ?
Prenons l'exemple du foie : il a plusieurs fonctions biologiques et possède sa propre vibration, ces deux aspects ne pouvant être dissociés. Autrement dit, si l'énergie du foie n'est pas correcte, il fonctionnera mal biologiquement ; et s'il a un problème biologique, son énergie va s'abaisser. Résultat, en prenant des plantes (qui renferment des molécules actives très puissantes), on le sursollicite alors qu'il est énergétiquement faible ou, p*s, bloqué : on lui demande de faire encore plus que ce dont il est capable. Résultat, les toxines ne peuvent pas être évacuées : elles cherchent alors une autre porte de sortie, un autre émonctoire.

Lorsque la cure engendre une dysidrose
Pour illustrer le propos, voici un exemple vécu. La consultante se soigne uniquement par des méthodes naturelles depuis des décennies, et applique toujours le principe de prévention par des séances d’énergétique très régulièrement – au moins à chaque changement de saison. Mais cet automne-là, elle a ret**dé son rendez-vous saisonnier et tout de même commencé une détox avec de l’aubier de tilleul. Quelques jours à peine après le début, un eczéma est apparu, d’abord sur la plantes des pieds, pour très vite s’étendre à tous les doigts de pieds, puis les paumes des mains : une dysidrose, forme d'eczéma appelé dermatose vésiculeuse. Outre les insupportables démangeaisons qu’elle engendre, elle est aussi très handicapante : la consultante, incapable de supporter des chaussures, et les mains en lambeaux, a cherché plusieurs moyens (naturels) de s’en défaire, passant une heure chaque matin et chaque soir à couper les peaux ! Jusqu’à prendre, enfin, rendez-vous pour une séance. Cette réaction cutanée était le fait de son foie et de ses reins totalement bloqués du point de vue énergétique (les émotions peuvent nous atteindre silencieusement). Avec cette détox, ces deux organes avaient été sursollicités mais totalement incapables d’éliminer. Les toxines ont donc cherché un autre organe d'élimination : les poumons. Or poumons et peau procèdent du même principe (nous respirons par les deux). Les soins qu’elle s’est prodigués ont enfin pu avoir un effet positif après la séance. Cette mésaventure a tout de même duré deux mois.

À chaque corps sa réaction possible
Chaque personne réagira différemment, selon la nature des toxines et de l’état énergétique (interne et externe) de son corps : cela peut se traduire par des troubles cutanés, ou des troubles du transit intestinal, des problèmes gynécologiques, ou musculo-squelettiques et articulaires, des troubles de l’humeur, etc. Certains praticiens appellent cela « une crise curative » : c’est une définition que je ne partage pas, par expérience. Car de telles réactions peuvent perdurer jusqu’à plusieurs semaines ! Or on fait une détox pour purifier le corps, améliorer son fonctionnement et prévenir toute maladie : bref, pour se sentir plus léger, pour aller mieux à tout point de vue, tout simplement. Tout au plus peut-on ressentir des désagréments ou des réactions mineures pendant un, deux ou trois jours, grand maximum. Mais au-delà, c’est une alerte du corps pour signifier un sérieux dysfonctionnement et bien plus profond.

À l’instar des médecines millénaires, mieux vaut une révision globale et personnalisée de notre santé à chaque changement de saison, plutôt qu’un seul gros nettoyage annuel : le corps est un ensemble complexe aux mécanismes exigeants qui œuvrent 24 heures sur 24 et 365 jours par an !
Il faut donc être très prudent lorsque l'on fait une détox, et à plus d'un titre. Car il existe un phénomène de mode – de "suivisme" – alimenté par des médias plus nombreux qui surfent sur la tendance mais divulguent des infos souvent incomplètes ou carrément fausses. Ou simplement des particuliers qui ont découvert les bienfaits d'une détox et veulent les partager, mais sans maîtriser les connaissances basiques : ce qui convient à l'un n'est pas forcément bon pour l'autre. Mais il y a aussi un lobbying de la part de certains laboratoires sans scrupules qui manient mieux la publicité et le marketing que la qualité des produits et les conseils indispensables qui doivent l'accompagner de façon individuelle.
La santé n'est pas une tendance ni une dépense : c'est un état d'être pour lequel on investit, et ce, dans la régularité et la constance.

Prenez soin de vous.
© Francine Gaspari

30/12/2023

Tout est bien résumé. D'ailleurs, un médecin d'aujourd'hui, c'est un résumé : quelque chose (quelqu'un ?) de bref.

Une vidéo de Fabrice Jordan, de l'institut Ming Shan (avec lequel je suis un enseignement sur les arts taoïstes).Voici u...
23/11/2023

Une vidéo de Fabrice Jordan, de l'institut Ming Shan (avec lequel je suis un enseignement sur les arts taoïstes).
Voici une explication très utile, et très juste. Car beaucoup ont tendance à confondre les deux. Résultat, ils se perdent, souvent influencés par une "spiritualité" New Age.
La spiritualité est un chemin, long, subtil, mais jamais un acquis.

La distinction entre psychologie et spiritualité n'est pas toujours simple à définir. Cette vidéo interroge cette frontière grâce à l'aide de deux modèles di...

26/10/2023

REPARER LE MONDE…

Cette proposition, dont les termes les plus anciens ont nourri la littérature, m’est revenue à l’esprit lors d’une interview de Vincent Lindon, au sujet d’une série télé qu’il interprète. En dehors de la qualité humaine dont il a fait preuve, il a su rappeler cette proposition majeure, dont la puissance est liée aux valeurs qu’elle porte.

La profondeur de cette idée est infinie et dépasse toute pensée politique ou religieuse, ainsi que l’écrivait déjà Alexandre Gefen en 2017 (Réparer le monde, la littérature française face au XXIème siècle, éditions Corti). Réparer le monde est un concept humaniste dont le propos, vaste voire vertigineux, suggère de cicatriser les plaies, individuelles et collectives en dépassant le stade de la victime ou plutôt de la victimisation pour en faire un devoir de comportement. Et ce devoir est lui aussi individuel ET collectif. Il n’y est pas question de plaindre, de « pleurer avec » ou de sanctifier. Il s’agit de protéger le fragile comme sait le faire un tissu corporel.

Le corps répare la zone blessée pour la rendre forte à nouveau. Il le fait en mobilisant l’ensemble de ses moyens. Chaque organe, chaque cellule, participent à ce travail et aucune d’entre elles ne cherche à profiter de la situation (sinon cela s’appelle « cancer »). La cicatrisation est d’autant plus grande et rapide que chacune des composantes du corps y participe, directement et indirectement, et ce, quelle que soit la zone blessée. Rien ne se fait à sa place puisque c’est le tissu lésé qui le fait lui même. Le corps lui en donne les moyens. Il nourrit ce qui en a le besoin réel et sollicite ce qui est en capacité de le faire.

Tout cela ne peut exister ainsi, que parce qu’une conscience globale le dirige, à l’instar d’un chef d’orchestre. Et cette conscience n’a d’efficacité que par celle de chacun de ses musiciens. Un seul seul couac peut gâcher la symphonie. C’est la force de ce principe fondateur de la Médecine Traditionnelle Chinoise qui nous dit que « la maladie apparait dans l’organe, lorsque la conscience qui l’habite, le quitte ».

Si nous en revenons au champ philosophique, cette conscience suppose celle d’une culture « universelle » et d’un sens de l’éthique essentiels. Face à la blessure, il ne peut y avoir d’opportunisme ou de tentation d’un profit quel qu’il soit. Il ne peut y avoir de conscience dogmatique ou d’intérêt partisan. La rectitude de l’intention et la justesse de l’action s’imposent et ne peuvent pactiser avec les zones d’ombre de l’être humain ou la perversion possible de ses intention…

Réparer le monde est un acte quasi mystique et spirituel. Il appartient à la verticalité des êtres. Cela ne peut pas être dans cette horizontalité dominante qui ne connait que la lutte, l’inflation des égos et des petits Moi insécures. Réparer le monde, c’est accepter l’autre, dans son moment de fragilité tout en acceptant la part qui est la nôtre dans celle-ci. Mais c’est aussi ne pas accepter ses égarements ou ses folies, toutes ces pseudo-certitudes ou ces promesses mesphistophéliennes qui conduisent à la rupture de l’unité, en nous et avec le monde.

Un vaste programme qu’il nous faut reprendre au départ, à chaque fois et à chaque instant, comme un Sisyphe ordinaire. Si l’on arrête de pousser le rocher vers le haut, son irrépressible tendance à aller vers le bas nous emporte.

Adresse

5 Allée Du Cèdre
Châtillon
92320

Heures d'ouverture

Lundi 10:00 - 19:00
Mardi 10:00 - 19:00
Mercredi 10:00 - 19:00
Jeudi 10:00 - 19:00
Vendredi 10:00 - 19:00
Samedi 09:00 - 13:00

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Thérapie énergétique - Francine Gaspari publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter La Pratique

Envoyer un message à Thérapie énergétique - Francine Gaspari:

Partager

Share on Facebook Share on Twitter Share on LinkedIn
Share on Pinterest Share on Reddit Share via Email
Share on WhatsApp Share on Instagram Share on Telegram