Magnétiseur, énergéticien, Coupeur de Feu Stéphane Agrain

Magnétiseur, énergéticien, Coupeur de Feu Stéphane Agrain Ensemble nous allons soulager vos symptômes physiques et émotionnelles en cherchant leur origine.

28/08/2025

PERSONNE EN DEVENIR SAGE.
Une personne en devenir sage, a accepté son histoire, a nettoyé ses travers, a traversé beaucoup d’épreuves et s’est relevée, ne s’att**de plus sur les détails, les broutilles, laisse partir ceux qui ne sont pas des enseignants, a apprivoisé la solitude, comprend que le chemin n’est jamais fini et qu’elle a encore à apprendre.
Une personne en devenir sage et évoluée n’est pas insensible, elle gère ses émotions, elle n’est pas crédule, elle a du détachement, elle dit, elle fait, elle est, c’est tout.
Une personne en devenir sage ne juge pas, ne condamne pas, elle connaît le besoin de domination de ceux qui attendent une valorisation, elle n’attend pas la reconnaissance, elle sait qui elle est, elle ne parle pas sur l’autre et reste souvent dans le silence en observant ce qui se passe, elle voit ce qui est caché et entend ce qui n’est pas dit.
Une personne en devenir sage a un but, une mission qui s’est souvent dessinée t**d dans sa vie, car elle avait des dépassements, des résolutions de vies karmiques à faire, un grand nettoyage transgénérationnel à effectuer.
Une personne en devenir sage a, grâce à toutes les expériences vécues, ouvert son cœur à l’essentiel, son esprit à l’apprentissage de nouveaux savoirs, à la connaissance de l’autre. Elle peut apporter un regard aimant, une parole douce, une écoute attentive, car elle connaît le chemin vers soi.
Une personne en devenir sage donne, reçoit, pardonne, accepte l’autre, mais elle sait aussi s’éloigner de la toxicité, fermer la porte à la manipulation, prendre du recul, tout en gardant sa rectitude, son intégrité.
Si votre désir est de devenir sage, accueillez la vie, le bon et le moins lumineux, respectez l’autre même si vous ne l’aimez pas, soyez en gratitude envers ce chemin de la liberté que vous vous donnez le droit de prendre, ouvrez les yeux sur les vraies valeurs de la vie.
Monique Damel. La Voie de l'Etoile.

02/06/2025

"La blessure de rejet : Quand l’enfance façonne l’amour que l’on se refuse

Le rejet, lorsqu’il s’infiltre dans le cœur d’un enfant, ne se contente pas d’être une simple expérience douloureuse. Il devient une empreinte indélébile, un prisme à travers lequel il apprendra à se voir lui-même et à interpréter le monde qui l’entoure. Un enfant qui se sent rejeté ne remet pas en question ceux qui le repoussent ; il se remet en question lui-même. Il se dit que s’il n’est pas aimé, c’est qu’il ne le mérite pas. Alors, il tente de compenser, d’être plus gentil, plus obéissant, plus utile… mais toujours avec cette peur sourde au fond de lui : « Si je ne suis pas assez, on me laissera tomber. »

C’est ainsi que naît la quête infinie de reconnaissance, ce besoin insatiable d’être validé par les autres, non pas par égoïsme, mais parce que l’amour de soi lui a été refusé avant même qu’il puisse l’apprendre. Ce rejet initial devient une racine, s’étendant à chaque relation future. L’enfant grandit en devenant un adulte qui donne tout, qui s’efface, qui s’épuise à vouloir être indispensable pour mériter une place, un regard, une caresse.

Il entre dans des relations où il ne sait pas recevoir, car recevoir implique de croire qu’il en est digne. Alors, il donne sans compter, pense aux autres avant lui-même, endosse le rôle du sauveur en espérant qu’en guérissant les autres, il guérira lui-même. Mais ce qu’il ne voit pas, c’est que ce rôle l’enchaîne. Car en sauvant pour être aimé, il ne s’autorise jamais à être aimé sans condition.

Le rejet, lorsqu’il est inscrit si profondément, fait naître une étrange contradiction : une peur viscérale d’être abandonné, mais une incapacité à réellement se laisser aimer. Car aimer suppose d’être vu, d’être accepté tel que l’on est, et pour celui qui a été rejeté trop tôt, cela semble toujours dangereux.

Alors, comment guérir ? En cessant d’attendre que l’amour vienne de l’extérieur. En osant, pour la première fois, s’accorder ce que l’on a toujours cherché ailleurs. Se choisir. Se respecter. Se donner ce qu’on a tant offert aux autres. Et comprendre, enfin, que l’amour que l’on mérite n’a jamais été conditionnel. Il a simplement été oublié."

- Yolande Quéau (Psychopraticienne)

29/03/2025

🌿✨ La vraie spiritualité ne porte pas toujours des perles de mala autour du cou.
Elle ne se trouve pas seulement dans les grottes en haut d'un Himalaya ou les postures parfaites d'un stage de yoga.
Elle ne brille pas forcément dans la fumée d’un encens ou les prières sans fin récitées par coeur
Beaucoup d'entre vous me disent qu’elles ne se sentent "pas assez spirituelles"...
Parce qu’elles ne méditent pas pendant des heures.
Parce qu’elles n'ont pas le temps d’honorer une déesse ou de se plonger dans l'étude des Lettres Hébraïques ou de l'Araméen.
Mais ce n’est pas par paresse.
C’est juste qu'elles sont occupées à porter le monde chaque jour — un enfant sur la hanche, un parent vieillissant dont il faut changer les couches, une amie dépressive au bout du téléphone, un agenda qui déborde d’obligations bien terrestres.

🌾 La vraie spiritualité ne se mesure pas au nombre de retraites en Avalon ou de tambours sacrés collectionnés.
Elle palpite là où le cœur fait le choix de l'Amour, même au cœur du tumulte.
SURTOUT au coeur du tumulte.
La spiritualité authentique vit dans les gestes discrets : Chez l’aide-soignant·e qui tient la main d’un patient désorienté dans une unité Alzheimer.
Chez celle qui tend quelques pièces pour aider un inconnu à payer son pain à la caisse du supermarché.
Dans le regard tendre d’une mère à son enfant, même quand elle n’a plus une once d’énergie.
Dans cet homme qui, après un accrochage en voiture, demande d’abord : “Vous allez bien ?” avant de penser au rétroviseur cabossé.

🌙 La vraie spiritualité n’a pas besoin d’apparats, de robe longue de pseudo-prêtresse ni de tatouages boho sur tout le corps.
Elle est là, simple, humble et sacrée, dans l’humanité offerte, dans la parole vive retenue pour ne pas blesser, dans la main tendue même quand le cœur est lourd.

Et si c’était ça, être un Maître ?
Non pas fuir le monde, mais le supporter dans chaque battement, chaque imperfection, chaque instant ordinaire — sanctifié par la simple Présence.
✨ Vous êtes plus spirituel·les que vous ne le croyez.
Ne doutez jamais de la Lumière qui passe à travers vous,
même si vous n’avez pas vraiment le temps de la regarder.

Laurence, Alkhêmya. Onctions Sacrées et Arts Anciens des Myrrhophores.
www.alkhemya.fr

28/01/2025

LETTRE À MOI-MÊME
Chère-moi, je suis désolée.
Je suis désolée que tu aies tant tenté de réparer les autres, alors que tes propres mains tremblaient. Je regrette de ne pas t'avoir accordé assez de temps pour guérir, d'avoir laissé tes blessures saigner pendant que tu pansais celles de tout le monde.
Je suis désolée de tout le mal que je t’ai fait.
Je me rends compte aujourd’hui que je t’ai souvent manqué de respect, et que j’ai eu tort. C’est intolérable. Tu aurais pu me lâcher un million de fois, et malgré mon manque cruel de considération envers toi, tu tiens bon.
Je te demande pardon pour tout le mal que je t’ai fait. Pour t’avoir oublié, pour t’avoir placé au second plan, pour t’avoir même renié et fait paraître ce que tu n’es pas. Pour t’avoir camouflé, pour t’avoir fait porter des masques…
Je te demande pardon
Pardon pour toutes les fois où je ne t’ai pas écoutée, préférant retenir mille avis extérieurs plutôt que le tien, toi qui me connais et me comprends si bien.
Je nous ai fait perdre un temps fou à te répéter que tu avais tort, forcément. Si tu es la seule à penser ça, contre tous les autres, tu as forcément tort… Alors que non.
J’aurais dû prendre en considération le fait que ta voix est importante pour moi. Pour nous. Au lieu de ça, j’ai laissé les autres influencer nos choix, envers et contre ton meilleur jugement.
Je suis vraiment désolée d’avoir toujours pris pour acquis tous tes efforts, et toutes tes réussites, des plus petites victoires aux plus grandes batailles.
Jamais un merci de ma part, jamais une once de considération pour le chemin parcouru, le travail accompli, les étapes franchies, les marches gravies.
J’ai systématiquement regardé notre progression d’un œil négatif, extrêmement critique, et souvent dépréciateur. T’étais jamais assez bien. J’étais toujours trop sévère. Je croyais, avec arrogance, nous tirer vers le haut. La vérité, avec humilité, est que je nous enfonçais.
Cher moi, je te demande pardon pour avoir tant exigé de toi. Pour t’avoir fouetté avec des mots destructeurs et pour t’avoir critiqué lorsque tu ne répondais pas à mes attentes. Je sais que lorsque je discutais avec toi, j’étais loin d’être délicate. Lorsque tu attendais un geste affectueux de ma part, je te répondais avec froideur. Pardonne-moi. Au lieu de te prendre dans mes bras, je m’éloignais de toi et cela a créé une spirale de mal-être qui devenait de plus en plus profonde.
Je suis désolée qu'il y ait eu des jours où sourire te faisait mal, mais tu te forçais à rire pour que personne ne s'inquiète pour toi. Pardon de t'avoir donné tout ton temps et ton effort à des gens qui n'en faisaient pas autant. Je m'excuse pour les nuits où tu pleurais seule et que personne ne prenait la peine de comprendre pourquoi. Et je suis tellement désolée de ne pas t'avoir aimée, comme tu méritais d'être aimée.
Pardon et merci
Pardon pour tout le mal que je t’ai fait. Sincèrement.
Et merci. Merci pour ta patience, merci pour ta persévérance, merci pour ta résistance, merci pour ta résilience, merci pour avoir tenu bon, merci pour ta force, merci aussi pour tes faiblesses et ton humilité, qui m’ont gardée les pieds sur Terre et la tête sur les épaules.
Merci pour ta clémence, merci pour ton pardon.
Si je suis fière de nous, c’est grâce à toi. Merci pour ça.
À partir de maintenant, je souhaite que le lien que nous entretenons soit différent. Je veux te protéger, te découvrir, t’écouter et te respecter.. Je te propose donc un accord : parions sur nous, toi pour moi et moi pour toi. Soyons un. Soyons complices.
Je veux construire des ponts avec toi qui nous guideront vers le bien-être et l’acceptation. Que nous fassions qu’un plutôt que deux. Je veux que ce lien grandisse et nous remplisse de paix et d’amour. Je veux de nouveau te prendre par la main pour ne plus te lâcher.
Qu’en dis-tu ? Acceptes-tu cet accord ?

Auteur inconnu

12/12/2024

— Je n’arrive pas à être moi-même, je ne suis jamais à l’aise en société, ni en groupe, ni même avec mes parents...
— Je t’invite à rencontrer ce que tu cherches à protéger. Tu n’as pas un problème avec le groupe, ou les autres, c‘est un problème de toi à toi-même, une tension dans le rapport à toi-même. Nous cherchons tous à nous tenir à distance de l’inacceptable à notre sujet.
Ce dont nous avons vraiment peur, ce n’est pas vraiment du regard de l’autre. C’est ce que le regard de l’autre nous dira sur nous- même. C’est voir dans son regard, ou son jugement, ce que nous ne voulons pas voir à notre propre sujet : être creux, être inintéres- sant, fade, insuffisant, etc.
Si nous ne sommes pas à l’aise avec cette éventualité-là, nous entrons en réaction défensive avec la possibilité qu’une personne nous le fasse ressentir. Nous ne voulons pas nous rencontrer nous- même, nous regarder et nous accueillir vraiment, à cet endroit désagréable, voire inacceptable.

— Oui, mais je ne veux pas non plus être le centre de l’attention, parfois j’aimerais disparaître...
— L’autre face de la pièce, implique qu’il est tout aussi inconfortable de découvrir, et d’accepter, que nous sommes un génie, une héroïne ou une prêtresse. Et endosser les responsabilités qui en découlent. Nous ne voulons ni voir, ni rencontrer, aucun de ces deux extrêmes, et nous nous confinons entre ces deux limites, que pourtant nous incarnons tous. Nous essayons d’atteindre une « perfection », en fuyant l’incarnation de ces deux extrêmes.

— Mais la quête de perfection n’est-elle pas souhaitable ?
— Elle est compréhensible, mais névrotique, car elle ne finit jamais. Je t’inviterai plutôt à la quête de totalité. Tu es à la fois l’ombre et la lumière, la co****se et la prêtresse, la p**e et la sainte, le maître et l’élève... Personne ne fait exception à cette réalité, mais nous essayons tous de la fuir, au lieu de l’englober dans la définition de qui nous sommes, et de nous assoir dans cette infinie nuance, dans laquelle la vie nous propose de respirer.

Retiens ceci : La qualité de la relation à l’autre est le symptôme de la relation à Soi. Le regard que tu portes sur toi-même te conditionne, et t’enferme, dans ton rapport à l’autre. Il empêche les autres de te rencontrer là où toi, tu refuses de te rencontrer. Le regard d’une personne libre d’être, englobe les deux insupportables extrêmes à son sujet. Il permet de s’assoir dans son ridicule, son pathétisme, son génie et sa grandeur. De faire face à son entièreté et se présenter au monde dans un état de nudité, et d’entièreté, sur lequel aucun masque ne pourra rester accroché.

🙏 Stephan Schillinger©️ 📚 Extrait des livres « Par un Curieux Hasard » disponibles sur curieuxhasard.com/boutique 🥰 Stages & conférences : curieuxhasard.com/retraites 📸 instagram.com/paruncurieuxhasard 🎬 youtube.com/c/paruncurieuxhasardstephanschillinger (illustration : anonyme)

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