Med’Chine CyrielleK

Med’Chine   CyrielleK Cette discipline énergétique harmonise le Yin et le Yang et traite le corps dans sa globalité. Elle va chercher LA CAUSE des problèmes.

La MTC intervient en préventif: elle aide le corps à s’adapter aux changements (climatiques, après une grossesse, etc.) Elle peut agir également sur le stress, le sommeil, les maux de tête, les troubles digestifs, respiratoires, les soucis de peau, d’infécondité, les problèmes articulaires, émotionnels, les douleurs, etc. Elle est aussi un atout majeur pour accompagner les traitements lourds liés aux maladies chroniques, aux cancers.

30/08/2025

🙏 la gratitude 🙏

Tu peux pratiquer des années.
Faire des milliers de gestes.
Respirer chaque matin.
Méditer chaque soir.

Mais si tu oublies une chose essentielle,
alors toute ta pratique reste stérile.

Cette chose… c’est la gratitude.

Beaucoup pratiquent pour “aller mieux”.
Pour “se renforcer”.
Pour “trouver la paix”.
Tout cela est juste. Mais incomplet.

Car pratiquer uniquement pour soi,
sans gratitude envers la vie, les maîtres, la lignée, les saisons…
c’est comme couper un arbre de sa racine,
et s’étonner ensuite qu’il se dessèche.

Le Li Ki (Livre des Rites) nous rappelle avec force :

« La piété et la gratitude sont le fondement du Ciel et de la Terre. »

Autrement dit : sans gratitude, aucun lien véritable n’existe entre toi et le monde.
Le geste devient mécanique.
Le souffle se fige.
Le Qi ne circule plus.

Lao Tseu disait déjà :

« Celui qui se contente d’accumuler s’appauvrit.
Celui qui offre reçoit en retour. » (Dao De Jing, chap. 81)

C’est le grand paradoxe de la Voie : plus tu veux garder pour toi, plus tu perds.
Mais plus tu donnes, plus le Tao s’ouvre.

Dans le Huangdi Neijing, l’Empereur Jaune interroge Qi Bo :

« Comment le pratiquant peut-il prolonger sa vie ? »
Et Qi Bo répond :
« Qu’il honore ce qui lui a été transmis.
Alors le Ciel le couvrira de ses souffles. »

Ce passage est clair : la gratitude n’est pas un supplément,
c’est une condition pour recevoir la bénédiction des souffles.

Le Yi Jing, dans l’hexagramme 24 – Fu (Le Retour), enseigne aussi que tout ce qui s’éloigne doit revenir à la racine.
Et que le retour à la racine n’est rien d’autre que la reconnaissance envers ce qui nous a fait naître.

Tchouang Tseu, lui, l’exprimait à sa manière poétique :

« L’homme véritable se nourrit du Ciel comme l’enfant du sein de sa mère.
Il n’oublie jamais le lait qui l’a fait grandir. »

C’est cela, la gratitude :
se souvenir de ce qui nous a nourris,
et continuer à honorer cette source invisible.

Et Mencius le rappelle enfin, avec son pragmatisme confucéen :

« Celui qui oublie la reconnaissance attire sur lui le malheur,
car il ferme la porte que le Ciel lui avait ouverte. »

Alors, rappelle-toi :
le Nei Gong n’est pas seulement un entraînement.
C’est un rituel vivant.
Un acte de reliance.

Chaque geste est une offrande.
Chaque souffle est un remerciement silencieux.
Chaque pratique est une manière de dire :
merci à la vie, merci au Ciel, merci à la Terre.

Et plus tu remercies,
plus le souffle s’ouvre.
Plus le Qi se déploie.
Plus ton cœur devient vaste.

👉 Voilà pourquoi pratiquer sans gratitude,
c’est comme puiser dans un puits sans source.
Mais pratiquer avec gratitude…
c’est ouvrir en toi une fontaine intarissable.

Olivier ALLENO
Praticien et enseignant des arts du TAO et passeur d’héritage

27/08/2025

Croire que le Qi est une “chose”

On croit souvent que le Qi est une substance.
Une énergie invisible qu’on pourrait stocker, accumuler, posséder.
Comme de l’or qu’on enferme dans un coffre…

Alors on pratique pour “en avoir plus”.
On mesure ses sensations.
On surveille si le courant est fort ou faible, chaud ou froid.

Mais déjà… le Qi s’est échappé.

Parce que le Qi n’est pas une chose.
C’est un mouvement.
Un processus.
Un souffle qui traverse tout ce qui vit.

Le Su Wen du Huangdi Neijing nous le dit clairement :

« Le Qi est le messager entre le Ciel et l’Homme. »

Ce n’est pas un objet, mais un lien.
Ce n’est pas une possession, mais une circulation.
Chaque fois qu’on essaie de le figer, on le perd.

Le Yi Jing l’exprime à travers ses 64 hexagrammes :

Le Qi change sans cesse, comme le Ciel et la Terre qui n’arrêtent jamais leur danse.

C’est le grand enseignement du Livre des Mutations : rien n’est immobile.
Tout est processus, transformation, alternance de Yin et de Yang.
Vouloir saisir le Qi, c’est vouloir arrêter la vague.

Dans le Dao De Jing, Lao Tseu ajoute une nuance essentielle :

« Le Tao est comme un puits : vide et jamais épuisé.
Plus on en puise, plus il coule. » (ch. 4)

C’est parce que le Qi est vide qu’il est inépuisable.
Le chercher comme une matière, c’est passer à côté de son essence : la vacuité qui nourrit.

Tchouang Tseu, fidèle à son humour paradoxal, disait encore :

« L’homme vulgaire croit tenir le Qi comme on tient un outil.
Mais le sage le respire comme on respire le vent. »

La différence est immense.
Car l’un veut contrôler… et l’autre se laisse traverser.

Le Li Ki (Livre des Rites) rappelle aussi que :

« Les souffles du Ciel ne se donnent qu’à celui qui les honore. »

Ce n’est pas une affaire de technique, mais d’attitude intérieure.
Ce n’est pas la force qui attire le Qi, mais la sincérité et la disponibilité du cœur.

Et le Livre de la Cour Jaune conclut avec simplicité :

« Le souffle vital est un hôte, jamais une possession.
Invite-le avec respect, et il demeure.
Enferme-le avec avidité, et il disparaît. »

Voilà le secret : le Qi n’est pas à nous.
Il circule à travers nous, comme un invité qui nous honore de sa présence.

Alors la prochaine fois que tu pratiques,
n’essaie pas de “faire venir le Qi”.
N’essaie pas de “sentir plus fort”.

Rends-toi disponible.
Laisse-toi respirer.
Et le souffle viendra,
non parce que tu l’as saisi…
mais parce que tu as su t’ouvrir à sa danse.

Olivier ALLENO
Praticien et enseignant des arts du TAO et passeur d’héritage

« Nous nous attendons les uns les autres » Histoire émouvante. On a besoin de + de Morris dans ce monde 🤗
24/08/2025

« Nous nous attendons les uns les autres »
Histoire émouvante.

On a besoin de + de Morris dans ce monde 🤗

« Je m’appelle Morris. J’ai 78 ans. Je vis seul depuis que mon Edna est partie, il y a cinq ans. Tous les mardis, je prends le bus de 10 h 15 pour aller à la bibliothèque. Même siège. Même trajet. Pendant des années, c’était le silence. Juste moi, les pigeons et ce vieux banc vert à l’arrêt de la rue Oak.

Puis, l’hiver dernier, j’ai commencé à remarquer les enfants. Pas en train de jouer. Pas en train de rire. Juste… assis. La tête baissée. Les doigts courant sur leurs téléphones. Même sous la pluie. Un mardi, une fille avec un sac à dos violet s’est assise, recroquevillée, les épaules tremblantes. Elle ne pleurait pas. Elle semblait simplement vide. Comme si le banc l’avait avalée. Ma poitrine s’est serrée. J’ai pensé à mon petit-fils, Liam, avant sa bourse d’études. Le même regard. Comme si le monde l’avait oublié.

Je suis rentré chez moi agité. Edna disait toujours : « Morris, tu répares ce qui est cassé. » Mais qu’est-ce qui est brisé ici ? Les téléphones ? Non. Les cœurs.

Le lendemain, j’ai ressorti la vieille tablette de mon petit-fils. J’ai passé trois heures maladroites à apprendre à faire des QR codes (merci YouTube, même si ce n’est pas pour des yeux de vieux !). J’ai imprimé de simples pancartes :

SCANEZ-MOI. RACONTEZ-MOI VOTRE HISTOIRE.
JE VOUS ÉCOUTE.

Je les ai collées aux coins du banc. Avec du ruban adhésif — le “remède miracle” préféré d’Edna.

La première semaine ? Rien. Les gamins passaient comme si les pancartes étaient des déchets. Mme Gable, du numéro 42, a ricané : « Quelle folie, Morris. Ils veulent des écrans, pas des vieillards. » Peut-être qu’elle avait raison.

Puis, un miracle. Un garçon, peut-être 12 ans, a scanné le code. Il est resté assis 20 minutes à taper. Plus t**d, j’ai vérifié le document Google partagé (oui, j’en avais créé un ! Edna en aurait ri). Ses mots disaient :

« Mon père est malade. Maman travaille la nuit. J’ai peur. Mais j’ai dessiné un dragon qui crache des paillettes. Il est dans ma poche. »

Mes mains tremblaient. J’ai acheté de la colle à paillettes et l’ai laissée sous le banc avec un mot : « Pour l’artiste du dragon. Continue de briller. —Morris (l’ami du banc) »

Le lendemain ? Un avion en papier plié est tombé à côté de moi. Dedans, un dragon scintillant. Et ces mots : « Merci. Papa sourit aujourd’hui. »

Le bouche-à-oreille s’est répandu. Les enfants ont commencé à venir tôt au bus. À scanner. À écrire. Une fille a confié : « Les brutes m’appellent ‘robot’ parce que j’adore coder. Mais les robots ne sont pas censés être tristes, non ? » Je lui ai laissé un livre : Ada Lovelace, la fille qui rêvait en code. La semaine suivante, elle a laissé des biscuits. « Les robots mangent du sucre aussi. »

Ce n’était pas parfait. La pluie effaçait les pancartes. Certains ignoraient le tout. Mais petit à petit… le banc a changé. Les enfants s’y asseyaient ensemble. Ils parlaient. Un ado a scanné et écrit : « J’échoue en maths. Trop honte de demander de l’aide. » Deux filles ont vu le message et lui ont répondu : « On t’aidera. Retrouve-nous ici samedi. » Elles sont venues. Maintenant, elles donnent des cours à trois enfants chaque semaine.

Puis est arrivé le grand froid. J’ai glissé sur la glace, me suis cassé la hanche. Deux semaines à l’hôpital. Je me sentais inutile.

Le jour où je suis rentré, j’ai boitillé jusqu’à l’arrêt de bus… et je suis resté figé.

Le banc était couvert. Pas de détritus — mais de mots, de dessins, de petits cadeaux. Un sous-verre tricoté (« Pour ton thé ! »). Un robot en Lego (« Du club de codage ! »). Une photo : des enfants tenant une pancarte « LE BANC DE MORRIS : NOUS TE VOYONS. »

Mme Gable était là, en train de fixer un nouveau panneau au poteau. « Il t’a fallu du temps pour guérir », grommela-t-elle. Mais ses yeux étaient humides. « On a ajouté une vraie boîte aux lettres. Pour les histoires trop longues pour les téléphones. »

Aujourd’hui ? Douze arrêts de bus en ville ont leurs “bancs d’écoute”. Tenus par des ados, des retraités, même le facteur grincheux. Pas d’applis. Pas de dons. Juste… un espace pour être entendu.

Hier, le garçon au dragon pailleté (il a 14 ans maintenant) m’a aidé à planter des soucis dans un pot près du banc. « Tu nous as appris, » a-t-il dit en tapotant la terre, « que la seule vraie chose qu’il faut réparer, c’est la solitude. »

Je pense à Edna. Elle dirait que j’ai réparé le banc. Mais la vérité ? Ce sont ces enfants qui m’ont réparé. Ils m’ont rappelé que les cœurs brisés n’ont pas besoin de grands gestes. Juste d’un lieu sûr où murmurer : « Je suis là. » Et quelqu’un prêt à répondre : « Je t’entends. »

Nous n’attendons plus seulement les bus. Nous nous attendons les uns les autres. Et ça ? C’est ainsi que le monde devient plus chaud. Une histoire scannée à la fois. »

16/08/2025

« Si tout le monde décidait de se changer soi-même, on changerait la société ! »

Je vais peut être tester ça dans ma salle d’attente ! Chocolat noir évidemment !!! 🍫 😂
14/08/2025

Je vais peut être tester ça dans ma salle d’attente !
Chocolat noir évidemment !!! 🍫 😂

🪶Hutte de sudation🪶Dimanche 5 octobre à Chaumont     La hutte de sudation,est un rituel sacré de purification qui existe...
12/08/2025

🪶Hutte de sudation🪶
Dimanche 5 octobre à Chaumont



La hutte de sudation,

est un rituel sacré de purification qui existe depuis la nuit des temps, dans la plupart des cultures et traditions de notre planète, sous différentes formes.
La hutte est une structure circulaire faite de branchages et recouvertes de couvertures.
Dehors est allumé un grand feu sacré dans lequel sont chauffées des pierres volcaniques.
Après un rituel et une connexion avec le feu à l’extérieur, les personnes rentrent dans la hutte et sont assises à même le sol, dans l’obscurité. De l’eau est versée sur les pierres, dégageant une forte chaleur humide.
A travers les chants médecines, les paroles déposées, le silence, la présence de chacun, le niveau d’énergie s’élève par paliers, nous permettant de contacter profondément nos différents corps : physique, émotionnel, mental et spirituel à travers les 4 portes symboliques de la hutte.

Sur le plan physique, comme dans un sauna, la chaleur intense stimule la circulation sanguine et la transpiration amenant à faire sortir les toxines du corps.
La vapeur vient purifier également notre corps émotionnel, permettant à nos émotions de couler, de s’harmoniser, à nos pensées et nos préoccupations de se calmer, à recevoir de la clarté dans nos croyances et nos schémas limitants.
Sur un plan plus profond, la vapeur est le canal du souffle de l’esprit, qui vient ouvrir des espaces en nous et guérir ce qui est prêt à l’être.
Nous nous reconnectons à qui nous sommes réellement. Nous pouvons rencontrer des parts de nous-mêmes, des ancêtres, des esprits d’animaux, guides spirituels, et recevoir ainsi une guidance, des compréhensions et directions pour notre vie.

C’est une médecine pour le corps, le cœur et l’âme.

18/04/2025

Notre nouvelle pépite Kiné ✨

Orsolya THUAYRE-JUHASZ masseur - kinésithérapeute, diplômée en 2005 en Hongrie.

Elle commence à exercer son métier dans son pays natal. Après 5 années d’expérience hospitalière ainsi que dans une station thermale, elle décide de venir s’installer en France. D’abord, elle travaille pendant deux ans et demi à l’hôpital de Chaumont puis elle continue son activité en libéral.

Passionnée par son métier, elle n’arrête pas de se former depuis son installation sous ce statut.
Elle participe, en autres, à plusieurs formations au sujet de la rééducation pelvi-perinéale dont elle obtient la spécialisation en 2022. Elle prend en charge les pathologies périnéales féminines, masculines et enfantines, elle s’occupe également de la rééducation ano-rectale et abdominale.

Orsolya ne se limite pas aux formations dédiées aux kinésithérapeutes, elle s’ouvre aux techniques complémentaires en souhaitant apporter une qualité de soins complète à ses patients.
Elle est certifiée en massage chi nei tsang, auriculothérapie, yin yoga et naturopathie féminine.

Contact: 06 18 42 21 03

Toujours mieux vous accompagner ☀️☀️

16/04/2025

’"Pardonner les gens en silence et choisir de ne plus jamais leur parler, ce n'est ni de la colère ni du ressentiment.
C'est une manière de se protéger.
C'est accepter de laisser partir ce qui appartient au passé, sans rouvrir la porte à une souffrance nouvelle.
Pardonner ne signifie pas oublier…
Cela signifie choisir la paix pour soi-même."

Keanu Reeves

Adresse

Chaumont-en-Bassigny

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Mardi 08:00 - 18:00
Mercredi 08:00 - 14:30
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Vendredi 08:00 - 18:00
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