Patricia Spécialiste en Approche Naturelle de Santé

Patricia Spécialiste en Approche Naturelle de Santé Naturopathe, passionnée de technique Energétique et de bien-être animal, je suis bénévole aux Écuries LR (SIRET : 829 559 236 00015).

Tous les paiements que je perçois sont intégralement reversés à l’association pour soutenir leurs projets équestres. Avec un cursus de 14 formations spécialisées (Shiatsu, massages, digipuncture, homéopathie, aromathérapie, gemmothérapie, aimantothérapie brevetée, phytothérapie, fleurs de Bach, magnétisme, radiesthésie , naturopathe…), j’ai développé une approche complète et cohérente du vivant. Depuis plus de 30 ans, j’ai eu la chance de collaborer avec des vétérinaires, ostéopathes et maréchaux, enrichissant ma pratique d’une solide expérience de terrain. Cela me permet aujourd’hui de poser des Evaluations en bioénergies précises et de construire des programmes de revitalisation adaptés à chaque cas, chaque pathologie — animale comme humaine. Je travaille aussi bien sur les animaux, les humains que leur environnement, en veillant à l’harmonisation des plans physique, émotionnel, énergétique et spirituel. Mon approche agit sur les déséquilibres visibles comme invisibles : carences, douleurs, inversions de polarité, désorganisation émotionnelle, tensions musculaires, mémoire cellulaire…

Je travaille principalement à distance, sur photo, mais je peux également accueillir vos chevaux dans nos écuries, si nécessaire. Chaque soin vise à rétablir l’équilibre global, recentrer l’énergie, et accompagner les processus naturels d’auto-régulation. Je prends un nombre limité de cas pour rester disponible et à l’écoute. Et parce que ce travail a une vocation de cœur, 100 % de mes bénéfices sont reversés à une association.

LES POLARITES DES ORGANES INTERNES ET EXTERNES: Fondements, Déséquilibres et Effets d’une Polarité Inversée.Le corps hum...
16/11/2025

LES POLARITES DES ORGANES INTERNES ET EXTERNES: Fondements, Déséquilibres et Effets d’une Polarité Inversée.

Le corps humain – tout comme le corps animal – fonctionne selon un système subtil de polarités énergétiques. Chaque organe, chaque tissu, chaque zone du corps possède une polarité spécifique : positive (+), négative (–) ou neutre. Ces polarités déterminent la circulation de l’énergie vitale, l’équilibre physiologique et la cohérence psycho-émotionnelle.

Lorsque ces polarités se trouvent perturbées, l’organisme peut entrer en inversion de polarité, un état de désorganisation énergétique qui influence autant le physique que l’émotionnel.
Cet article détaille le rôle des polarités, leurs interactions, les conséquences d’un renversement énergétique et les méthodes naturelles pour rétablir l’harmonie.

Les polarités des organes internes : un système d’équilibre subtil
Chaque organe physique possède une charge énergétique dominante. Ces polarités orientent les flux d’énergie et assurent la cohérence des fonctions internes.

Organes à polarité positive (+), Ces organes sont liés à l’activité, l’expression, la propulsion énergétique :
• Cœur : propulsion et rayonnement de l’énergie vitale.
• Poumons : expansion, prise de vie (inspiration).
• Thyroïde : dynamisation, régulation du métabolisme.
• Foie : transformation et activation.
• Estomac : puissance de digestion active.
Rôle : diffuser, propulser, activer.

Organes à polarité négative (–). Ces organes sont associés à la réception, l’intégration et l’assimilation :
• Reins : filtration, ancrage, stabilisation.
• Intestins : assimilation et tri de l’information (physique et subtile).
• Rate : absorption, intégration immunitaire.
• Pancréas : régulation, adoucissement des flux.
Rôle : recevoir, intégrer, équilibrer.

Organes neutres (±) - Ce sont des zones de passage, de régulation ou de médiation :
• Cerveau : centre de contrôle et de répartition.
• Système lymphatique : médiateur, agent de neutralisation.
• Système fascial : réseau de connexion.
Rôle : harmoniser, réguler, interconnecter.

Les polarités internes forment une géométrie énergétique cohérente, comparable à un champ électromagnétique biologique.

Les polarités externes : l’enveloppe énergétique

Le corps externe possède également des polarités déterminantes :
Hémisphère droit et côté gauche du corps : Polarité réceptive (–)
Associée au féminin énergétique, à l’intuition, à la perception subtile.

Hémisphère gauche et côté droit du corps : Polarité émettrice (+)
Liée à l’action, la logique, le rationnel.

Chakras : chacun possède une polarité propre et une direction d’absorption/émission (tourbillons énergétiques). Un chakra peut tourner :
• correctement (équilibré),
• faiblement (sous-activité),
• de façon excessive (suractivité),
• à l’envers : signe d’inversion structurelle.

Méridiens : Les méridiens Yin = polarité réceptive (–) et Les méridiens Yang = polarité active (+). Un déséquilibre sur un méridien modifie la polarité de tout l’organe associé.

Effets d’une polarité inversée sur une personne : L’inversion de polarité est un déséquilibre énergétique important. Elle se manifeste lorsque les pôles internes ou externes se retrouvent inversés, désorganisant la circulation énergétique.

Symptômes possibles d’une polarité inversée
• Fatigue chronique, sensation d’être vidé malgré le repos.
• Difficultés de concentration, confusion, brouillard mental.
• Irritabilité, anxiété, hypersensibilité sans raison apparente.
• Douleurs corporelles inexpliquées, tensions persistantes.
• Désalignement global, impression d’être "à côté de soi".
• Perte d’élan vital, baisse de motivation.
• Blocages énergétiques après des soins, thérapies ou blessures.
Cette inversion peut toucher un organe, un méridien, un système entier ou la globalité du champ énergétique.

Cette inversion peut être liée à différents facteurs internes ou environnementaux :
Chocs émotionnels et psychologiques : Stress intense, anxiété prolongée. Trauma non résolu. Deuils, ruptures, chocs affectifs. Ces émotions créent des "court-circuits" énergétiques.

Influences environnementales : Ondes électromagnétiques (téléphone, Wi-Fi…). Pollution (air, eau, alimentation). Lieux chargés ou géobiologie perturbée.

Déséquilibres énergétiques internes : Travail énergétique mal intégré. Méridiens ou chakras perturbés. Ancrage insuffisant (personne trop "dans la tête").

Facteurs physiques : Fatigue extrême, carences en minéraux (magnésium, fer…). Mauvaise hydratation. Manque de contact avec la nature ou les éléments.

Comment rééquilibrer la polarité naturellement ?
Reconnexion à la Terre (ancrage) : Marcher pieds nus sur sol naturel. Passer du temps en forêt, en montagne ou en bord de rivière. Exercices d’ancrage : respiration.

Hydratation et alimentation : Eau de source ou dynamisée. Alimentation naturelle, riche en minéraux. Réduction drastique des produits ultra-transformés.

Rééquilibrage énergétique : Radiesthésie, magnétisme, soins vibratoires. Travail sur les méridiens (shiatsu, acupression). Pierres d’ancrage.

Protection énergétique : Éviter les ondes électromagnétiques excessives. Éteindre le Wi-Fi la nuit. Visualisation d’une bulle de lumière protectrice.

Exercices de correction de polarité : Tapping sur le thymus : recentrage rapide de l’énergie. Mouvements croisés : restauration de la cohérence neurologique. Auto-reprogrammation énergétique.

Faut-il toujours corriger une inversion de polarité ?
Pas nécessairement. Certaines inversions temporaires sont adaptatives : le corps réorganise ses polarités pour compenser un stress, une lésion, une surcharge émotionnelle.

Quand faut-il corriger: lors d’une fatigue persistante, douleurs, confusion mentale, quand l’état ne s’améliore pas avec le repos, et/ou quand la personne se sent désorientée ou "déconnectée".

Conclusion
La polarité du corps est un langage subtil qui révèle l’harmonie ou les tensions entre le physique, l’énergie et l’émotionnel.

Comprendre les polarités des organes internes, des structures externes et de tout le champ énergétique permet de mieux accompagner la personne vers un équilibre durable.

Une inversion de polarité n’est pas un problème en soi, mais un signal qui indique qu’un réajustement, un apaisement ou une prise de conscience est nécessaire.

Avec des pratiques douces et naturelles, il est possible de restaurer un alignement profond, une stabilité émotionnelle et une vitalité équilibrée.

Patricia Spécialiste en Approche Naturelle de Santé
Mention légale – Contenu protégé (Article L122-4 du Code de la propriété intellectuelle)
Le présent texte, issu de mes recherches et de mon expérience en Approche Naturelle de Santé, est protégé par le droit d’auteur. Il peut être diffusé dans son intégralité à condition de mentionner clairement l’auteur. Toute reproduction partielle, adaptation, modification ou utilisation commerciale sans autorisation écrite préalable est strictement interdite et pourra donner lieu à des actions légales.

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Photo : PbE

POURQUOI LE SYSTÈME DES INTERLEUKINES PEUT IL ÊTRE AFFAIBLI ?Approche croisée : chevaux – humains**Le système des interl...
15/11/2025

POURQUOI LE SYSTÈME DES INTERLEUKINES PEUT IL ÊTRE AFFAIBLI ?

Approche croisée : chevaux – humains**
Le système des interleukines (IL) est l’un des piliers de la communication immunitaire. Produites par les cellules immunitaires, mais aussi par les tissus endothéliaux, musculaires et même le microbiote, elles orchestrent l’inflammation, la défense anti-infectieuse, la réparation tissulaire et la tolérance immunitaire.

Un affaiblissement de ce réseau — qu’il s’agisse d’une sous-activité, d’une sur-activité ou d’une dérégulation — conduit à un système immunitaire instable, peu performant ou au contraire inflammatoire.

Mes observations sur les animaux que je suis (IL affaiblies, microbiotes inflammatoires/hyperactifs, carences minérales, excès de certains oligo-éléments, perturbations hormonales ou hépatiques) concordent très bien avec les mécanismes décrits en recherche scientifique.

Les causes principales d’un affaiblissement du système des interleukines

Le rôle du microbiote (cheval et humain) - Le microbiote intestinal est la plus grande "usine" immunitaire. Quand il est :
• désorganisé,
• pauvre en diversité,
• hyperactif ou inflammatoire,
• agressé par toxines, mycotoxines, antibiotiques, excès de sucres ou d’amidons…
…il modifie fortement la production des interleukines :

Effets observés : Baisse des IL anti-inflammatoires : IL-10, IL-37 (cas que je peux souvent observer). Excès d’IL pro-inflammatoires : IL-1β, IL-6, IL-8. Dérégulation de l’immunité innée et adaptative.

Données scientifiques : Chez le cheval : une dysbiose induit une augmentation de l’inflammation systémique et modifie l’expression des IL dans les cellules immunitaires et la muqueuse digestive. Chez l’humain : même conclusion – la dysbiose est l’un des premiers facteurs d’altération du réseau des IL.

Les carences et excès nutritionnels : un facteur majeur
Le système immunitaire dépend d’une quantité précise de micronutriments pour produire et réguler les interleukines.
Carences les plus connues (cheval & humain) – Zinc : Indispensable aux IL anti-inflammatoires, Un déficit augmente l’ inflammation chronique

Fer héminique : cette carence baisse des IL, nécessaires à l’immunité innée et provoque une fatigue immunitaire.

Vitamine D : Régule IL-2, IL-10, IL-17, cette carence cause un dérèglement lymphocytaire et une susceptibilité aux infections

Vitamine B1, B9, B12 : Nécessaires à la synthèse cellulaire ces carences affectent lymphocytes et cytokines.

Acides gras essentiels (oméga-3 / oméga-6) : Les oméga-3 soutiennent IL-10 / IL-37, un excès d’oméga-6 stimule IL-1β / IL-6 et provoque l’inflammation. Ce déséquilibre est très courant dans les rations équines modernes.

Une interleukine ne se fabrique correctement que si plusieurs de ces cofacteurs sont présents .

Excès minéraux ou toxiques (ex : excès de sélénium)
un excès de sélénium ou de certains métaux peut perturber totalement :
• les IL anti-inflammatoires
• les IL pro-inflammatoires
• les enzymes antioxydantes
• la réponse des lymphocytes
Un excès de sélénium perturbe : Zinc, Cuivre, Fer, Soufre, Iode (via la thyroïde)

Un excès d’autres métaux peut perturber : Fer bloque Zn, Cu, Mn, Co - Cuivre bloque Zn, Fe, Mo, Zinc bloque Cu, Mn, Manganèse bloque Fe, Zn, le Calcium bloque Mg, P, Zn et le Soufre bloque Se.

Chez le cheval, les eaux de forage ou zones riches en sélénium modifient directement les cytokines circulantes.

Le stress et l’axe hormonal (cortisol, adrénaline)

Le cortisol est l’un des plus puissants modulateurs des IL. Si il y a un Stress aigu cela augmente IL-6 rapidement, affaiblit IL-12 et IL-2 et réduit la fonction lymphocytaire.

Stress chronique : Très courant chez les chevaux de sport, débourrés durement, ou animaux carencés. Les conséquences sont : une baisse IL-2, IL-10 avec une immunité affaiblie, une dérégulation IL-6 / IL-1β avec inflammation et une fatigue de l’immunité adaptative.

Chez l’humain, les mêmes mécanismes sont démontrés par immunologie clinique.

Les Pathologies silencieuses : infections, inflammation, douleurs : Toute infection chronique, même légère modifie la production d’IL.

Exemples chez le cheval : infections dentaires, dysbioses chroniques, inflammations articulaires ou tendineuses, poumons irrités (poussière, moisissures, emphysème)

Exemples chez l’humain : infections ORL, urinaires, intestinales, syndromes inflammatoires chroniques et maladies auto-immunes
Ces foyers détournent les interleukines, qui se retrouvent en excès dans un compartiment (inflammation locale), mais en déficit dans l’immunité générale.

Médicaments et facteurs iatrogènes : Certaines molécules perturbent directement les cytokines, et affaiblissement des IL.

Médicaments concernés : corticoïdes, anti-inflammatoires, antibiotiques, antiparasitaires répétitifs, vaccins rapprochés chez animal affaibli (temporaire)

Ces produits peuvent temporairement réduire certaines IL et augmenter certaines autres.

Facteurs environnementaux - Polluants, pesticides, mycotoxines (chevaux & humains) : perturbent la signalisation cellulaire, les IL inflammatoires et les lymphocytes T régulateurs.

Les chevaux exposés à des foins moisis, poussières, ou céréales contaminées présentent systématiquement une dérégulation des IL.

Dérégulation des IL : en combien de temps ?

Première phase : quelques minutes à quelques heures, Dès que le cheval inhale des spores (Aspergillus, Fusarium…) ou ingère des mycotoxines : Activation immédiate des IL pro-inflammatoires, Réponse inflammatoire respiratoire quasi instantanée (bronches, muqueuses). Le microbiote réagit en 1–6 heures (perturbation, relargage de métabolites). Conclusion : la dysrégulation commence dès la première exposition, elle n’attend pas des jours.

Deuxième Phase : 24–72 heures - Après un contact répété (foin poussiéreux quotidien, grains humides) : Les IL anti-inflammatoires chutent. Les IL pro-inflammatoires restent élevées. Le cheval entre en mode inflammation chronique débutante. C’est généralement à ce stade que mes bilans énergétiques commencent à montrer les premiers déséquilibres, même si le cheval n’est pas encore symptomatique.

Troisième Phase : 1 à 3 semaines - Si l’exposition continue : Désorganisation de l’immunité innée et adaptative, Montée des IL pro-inflammatoires et baisse des IL régulatrices - Déstabilisation du microbiote (dysbiose) - Perturbation des métaux liés à l'inflammation (Zn, Cu, Fe fonctionnel) On pourra alors observer : des toux déclenchée, crottins irréguliers, mauvaise récupération, hypersensibilité générale.

Quatrième Phase: 1 à 3 mois - Installation d’un terrain inflammatoire profond, typique : certaines interleukines seront constamment hautes, alors que d’autres seront en sous-activité, Microbiote inflammatoire, Stress oxydatif et début d'altération pulmonaire et/ou digestive.

C'est la phase où il est développé :
• emphysème,
• "inflammation généralisée",
• baisse immunitaire.

Âge, récupération, cicatrisation
Que ce soit chez le cheval âgé, l'humain senior, ou après gros stress (débourrage, opération, infection), on observe naturellement sur les IL : une baisse, une perturbation et/ou une augmentation inflammatoire de fond.

Ce que je constates chez certains animaux correspond parfaitement à la littérature.

Conclusion : Pourquoi les interleukines s’affaiblissent ?

Comme indiqué dans les paragraphes ci- dessus, l’affaiblissement est la combinaison de plusieurs facteurs, et c’est pour cela que mes bilans énergétique montrent souvent un ensemble cohérent : entre dysbiose, carences, excès toxiques, stress, inflammation, médicaments tout cela selon l’Age et l’antériorité.

« Il est important de comprendre qu’on ne doit jamais traiter en aveugle. Chaque personne, chaque animal, chaque situation est différente. Arrêtons de tester tous les produits “miraculeux” simplement parce que c’est écrit sur l’étiquette : cela peut être inefficace, voire dangereux. La précision et l’adaptation sont essentielles. »

Photo: Gclavel

Patricia Spécialiste en Approche Naturelle de Santé
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Un grand merci à mes nouveaux followers ! Gypsi Du Clos Valéone, Amandine Cpns, Elodie Boisselet Pocard, Emilie Sauzet
12/11/2025

Un grand merci à mes nouveaux followers ! Gypsi Du Clos Valéone, Amandine Cpns, Elodie Boisselet Pocard, Emilie Sauzet

Lipoptena (la « mouche du chevreuil ») et maladies oculaires chez le cheval : piste vraisemblable à connaîtrePlusieurs b...
11/11/2025

Lipoptena (la « mouche du chevreuil ») et maladies oculaires chez le cheval : piste vraisemblable à connaître

Plusieurs bilans énergétiques et cliniques suggèrent qu’une origine parasitaire/ectoparasitaire mérite d’être considérée chez des chevaux présentant ophtalmie, uvéite récurrente ou ulcère cornéen dit « idiopathique ».

Les insectes hématophages comme Lipoptena peuvent déclencher des réactions inflammatoires locales et systémiques qui aggravent un terrain carencé ou toxémique, et dans certains cas précipiter des atteintes oculaires.

Cependant, la causalité directe n’est pas établie comme unique étiologie : l’uvéite équine est multifactorielle (infectieuse, auto-immune, traumatique, génétique).

Pourquoi suspecter Lipoptena dans certains cas ?

• Lipoptena (genre Lipoptena / Hippoboscidae) se fixe sur les mammifères, peut se trouver autour du garrot, de la tête et des yeux, et son contact répété libère des composants salivaires pro-inflammatoires.
• Des espèces du genre ont été documentées en France et en Europe.
• Chez un animal déjà carencé ou présentant un terrain inflammatoire (par ex. activité élevée de glutaminase — signe de stress neuro-inflammatoire — ou protéines plasmatiques filtrées basses indiquant difficulté de détoxification), la réponse locale à une piqûre ou à une salive insecte peut dégénérer en inflammation oculaire significative.
• Que disent les données vétérinaires générales sur l’uvéite ?
• L’uvéite équine (ERU) est souvent décrite comme une maladie récurrente, d’origine multifactorielle : bactéries (notamment leptospires), parasites, virus, traumatismes ou réactions auto-immunes peuvent être des déclencheurs initiaux. Les épisodes répétés entraînent des lésions progressives et peuvent conduire à la cécité.

Certaines infections parasitaires (par ex. Onchocerca et autres nématodes) sont reconnues pour provoquer inflammation et lésions oculaires chez le cheval ; ceci montre qu’un agent parasite peut, biologiquement, produire des signes oculaires persistants.

Lipoptena est moins documentée comme cause directe d’uvéite chez le cheval, mais sa présence et ses effets locaux justifient la vigilance.

Signes cliniques qui orientent vers une cause vectorielle/parasitaire
• Apparition d’irritation/uvéite après sorties en forêt ou zones humides.
• Récidives asymétriques, épisodes liés à saisons d’activité des insectes.
• Présence d’ectoparasites visibles autour du poil/garrot/tête ; lésions cutanées en zones de fixation.
• Bilans biochimiques montrant un terrain déstabilisé (ex. anomalies de glutaminase, hypo-filtration protéique, carences en oligo-éléments).
Si ces signes sont présents, votre vétérinaire pourra orienter les examens.

Examens vétérinaires utiles
1. Examen ophtalmologique complet (lampes à fente, tonométrie, examen du fond d’œil).
2. Recherche d’agent infectieux/parasitaire : frottis cutanés, coprologie, sérologie (leptospirose), PCR/analyses oculaires si suspicion (cicatrices vitréennes, prélèvements).
3. Bilan sanguin complet et biochimique pour évaluer état hépatique/filtration et carences (tailles d’albumine, protéines liées, marqueurs inflammatoires).
4. Recherche/identification d’ectoparasites sur l’animal et l’environnement (pièges, collecte d’insectes).

Ces examens permettent de replacer la présence de Lipoptena dans un contexte scientifique et de vérifier si elle est la cause probable ou un facteur aggravant.

Que dire et quelle conduite tenir immédiatement ?
• Informer le vétérinaire de la présence d’ectoparasites ?.
• Protéger l’animal des zones à risque (forêt, hautes herbes) jusqu’à diagnostic précis.
• Examen ophtalmologique sans délai si douleur, photophobie, écoulement, ou baisse d’acuité visuelle.
• Ne pas conclure hâtivement : l’uvéite est souvent multifactorielle — Lipoptena peut être l’un des facteurs, pas nécessairement l’unique cause.

Signes cliniques évocateurs d’une atteinte oculaire liée à Lipoptena cervi

Chez le cheval, les symptômes qui peuvent orienter vers une origine vectorielle ou parasitaire ne sont jamais spécifiques, mais un ensemble de manifestations peut attirer l’attention lorsqu’ils apparaissent dans un certain contexte.

Les premiers signes sont souvent discrets, puis évoluent vers des formes plus marquées si le cheval reste exposé ou si son terrain est affaibli.
1. Irritation oculaire récurrente : rougeur, clignement fréquent, larmoiement clair ou légèrement purulent. Ces épisodes peuvent survenir après des promenades en forêt, dans les zones humides ou à proximité de cervidés.
2. Photophobie et inconfort à la lumière : le cheval cherche l’ombre, garde un œil mi-clos, et devient plus sensible au vent ou aux poussières.
3. Œdème palpébral ou périoculaire : gonflement des paupières, parfois accompagné de croûtes ou de piqûres visibles sur la tête et l’encolure, zones privilégiées de fixation de la mouche du chevreuil.
4. Récidives asymétriques : un seul œil atteint de façon répétée ou alternée, ce qui fait souvent évoquer un facteur externe plutôt qu’une simple maladie interne.
5. Ulcère cornéen ou kératite : si la surface oculaire est fragilisée, l’inflammation chronique peut dégénérer en ulcère superficiel. Dans certains cas, le vétérinaire note un aspect granuleux ou trouble diffus de la cornée.
6. Atteinte générale associée : fatigue, baisse d’appétit, irritabilité, signes d’inflammation cutanée ou d’hypersensibilité autour du garrot et de la tête. Ces éléments traduisent une réaction systémique au stress inflammatoire.
7. Saisonnalité : recrudescence des épisodes entre la fin de l’été et l’automne, période d’activité maximale de Lipoptena, ou après des séjours en milieu forestier.
8. Terrain prédisposant : chevaux présentant des déséquilibres énergétiques, des carences en acides aminés ou oligo-éléments, ou une immunité fluctuante, semblent plus sensibles aux formes inflammatoires prolongées.

Ces signes ne prouvent pas à eux seuls la responsabilité de Lipoptena cervi, mais leur coïncidence avec une exposition avérée ou une présence parasitaire confirmée justifie toujours une exploration vétérinaire approfondie (ophtalmologie, parasitologie, hématologie).

Ils permettent aussi de replacer la question des « uvéites idiopathiques » dans un cadre plus large où l’environnement, l’immunité et les insectes vecteurs sont considérés comme des éléments interactifs.

Conclusion : La piste Lipoptena est plausible et documentable (présence en France et effets locaux), surtout lorsque le terrain immuno-métabolique est fragilisé. Elle justifie une investigation ciblée et un dossier complet associant bilans, photos cliniques et résultats vétérinaires qui renforcera la démonstration de corrélation/exposition.

Ces observations soulignent l’importance d’un bilan énergétique de santé, permettant d’évaluer les régulations métaboliques et immunitaires internes susceptibles d’influencer la réactivité oculaire et la sensibilité aux facteurs environnementaux.

Patricia Spécialiste en Approche Naturelle de Santé

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Sources et lectures complémentaires (France / articles accessibles)
• R***e générale sur l’immunologie de l’uvéite équine (PMC). PMC
• Merck Veterinary Manual — Equine recurrent uveitis (synthèse clinique). Merck Veterinary Manual
• Document français sur la découverte et présence de Lipoptena en France (projet PUPIPO / labo d’éco-entomologie). Laboratoire d'éco-entomologie
• Article vétérinaire sur ectoparasites de cervidés et cas rapportés (r***e vétérinaire française). canine-feline.le-nouveau-praticien-veterinaire.org
• Ressources pédagogiques françaises sur l’uvéite équine (fiches vétérinaires / grand public). Classequine+1

POURQUOI LE SYSTÈME HORMONAL PEUT IL ÊTRE AFFAIBLI ?Approche croisée entre données scientifiques, observations énergétiq...
09/11/2025

POURQUOI LE SYSTÈME HORMONAL PEUT IL ÊTRE AFFAIBLI ?

Approche croisée entre données scientifiques, observations énergétiques et cas cliniques chez l’humain et le cheval.

Le rôle central du système hormonal:
Le système endocrinien, ou hormonal, est constitué de glandes telles que la thyroïde, les surrénales, le pancréas, l’hypophyse et les gonades. Il régule des fonctions vitales : croissance, reproduction, métabolisme, équilibre hydrique, immunité et réponse au stress.

Chez le cheval comme chez l’humain, il constitue une interface essentielle entre le système nerveux et l’immunité. Toute perturbation hormonale entraîne donc des répercussions globales, à la fois physiques, émotionnelles et énergétiques.

Causes d’un affaiblissement hormonal? Parmi les causes physiologiques et environnementales, on retrouve :

• L’âge, qui entraîne une diminution naturelle de la sécrétion d’hormones comme l’insuline, le cortisol ou les hormones sexuelles.
• Une alimentation déséquilibrée, que ce soit un excès d’amidon, un manque d’acides gras essentiels, de zinc ou de sélénium, perturbant l’axe hypothalamo-hypophysaire.
• Les carences spécifiques, notamment en fer héminique ou dysfonction hépatique, qui diminuent la production de thyroxine et altèrent le métabolisme basal.
• L’inflammation chronique du microbiote intestinal, qui réduit la production de neuromédiateurs essentiels comme la sérotonine et le GABA.
• Le stress environnemental, qu’il soit physique ou émotionnel (travail excessif, isolement, traumatisme), provoque une suractivation du cortisol, suivie d’un épuisement surrénalien.

Chez l’humain, s’ajoutent des facteurs tels que l’exposition aux perturbateurs endocriniens, le manque de sommeil, des carences en vitamines et minéraux, ainsi qu’un stress chronique prolongé, qui entraînent fatigue, dérèglement métabolique et troubles hormonaux.

Les mécanismes énergétiques observés
Dans les bilans énergétiques, les chevaux présentant un déséquilibre hormonal montrent souvent une suractivité de l’artère mésentérique supérieure, une faiblesse de la thyroïde naturelle, du fer héminique et de la flore biotique, ainsi qu’une immunité innée et adaptative diminuée.
Ce profil correspond à des états post-traumatiques, à des déséquilibres microbiens ou à des inflammations hépatiques ou surrénaliennes.
L’observation énergétique confirme que lorsqu’une partie du système faiblit, l’ensemble du métabolisme s’en trouve impacté.

Les pathologies associées à un affaiblissement hormonal:

Chez l’humain, cela peut se manifester par des hypothyroïdies, le syndrome de fatigue chronique, des troubles du sommeil, des dysfonctionnements surrénaliens, le syndrome métabolique ou des troubles de la fertilité et de la libido.

Chez le cheval, on observe souvent la maladie de Cushing équin (PPID), le syndrome métabolique équin avec résistance à l’insuline et accumulation de graisses, une hypothyroïdie fonctionnelle, des carences multiples et parfois des troubles du comportement tels qu’hyperréactivité ou apathie.

Interactions entre système hormonal, immunitaire et nerveux:

Les hormones et l’immunité sont intimement liées : un excès de cortisol inhibe les lymphocytes et affaiblit l’immunité, la thyroïde régule la fonction mitochondriale et donc la vitalité cellulaire, et les hormones sexuelles modulent la perméabilité intestinale et la flore microbienne.
Le microbiote influence à son tour la production de sérotonine et de mélatonine, deux régulateurs hormonaux naturels. Ces interactions sont particulièrement visibles dans les déséquilibres énergétiques des axes foie-rates-reins.

Approches de rééquilibrage
Pour restaurer l’équilibre hormonal, plusieurs approches sont possibles :
• Rééquilibrer le microbiote avec des prébiotiques, des plantes amères et des probiotiques naturels.
• Soutenir les glandes endocrines grâce à des adaptogènes comme l’ashwagandha, la rhodiola, l’éleuthérocoque ou la maca, et par un apport ciblé en oligo-éléments et minéraux tels que zinc, sélénium, manganèse, iode et fer héminique.
• Moduler le stress par des approches douces : biothérapie ciblée, fleurs de Bach, homéopathie adaptée.
• Soutenir le foie et les reins, qui filtrent et régulent les hormones.

Pour le cheval : un apport d’oméga-3 naturels (lin, cameline) et d’acides aminés essentiels est recommandé, ainsi que l’utilisation de plantes de soutien hépatique et surrénalien telles que le chardon-marie, le schisandra et la réglisse, utilisées comme soutien fonctionnel, et non comme plantes détoxifiantes.
La réduction du stress environnemental (rythme stable, accès libre au fourrage, interactions sociales) et un travail énergétique sur le diaphragme, le sacrum et la base du crâne complètent le rééquilibrage.

Lien entre système hormonal et immunité : prudence sur la stimulation

Un système immunitaire affaibli peut parfois être hypersensible, réagissant de manière excessive à certains stimuli comme les vaccins, les compléments ou des infections légères.
Dans ces conditions, il ne faut pas stimuler directement l’immunité, car cela pourrait provoquer des réactions inflammatoires ou auto-immunes.
L’approche adaptée consiste à renforcer le terrain (foie, reins, microbiote, nutrition) et à utiliser des soutiens énergétiques doux, tout en surveillant régulièrement la réactivité immunitaire.

Impact des carences et des surdosages sur le système hormonal

Les hormones dépendent directement des vitamines, minéraux et oligo-éléments. Une carence affaiblit la synthèse hormonale et perturbe le métabolisme.
Les carences les plus fréquentes incluent l’iode (hypothyroïdie), le fer héminique (fatigue, immunité faible), le zinc (baisse de fertilité, poil terne), le sélénium (stress oxydatif, dysfonction surrénalienne), la vitamine D (faiblesse musculaire, immunité altérée), les vitamines B (fatigue, nervosité) et les acides gras essentiels (inflammation chronique, déséquilibre cortisol/testostérone).

À l’inverse, un excès de micronutriments peut aussi perturber le système hormonal : trop de vitamine A ou D peut entraîner des perturbations thyroïdiennes ou rénales, un excès de zinc, cuivre, sélénium ou fer peut provoquer un stress oxydatif ou bloquer certaines enzymes, et un déséquilibre calcium/phosphore interfère avec la parathormone et la régulation hormonale.

L’objectif est donc de corriger uniquement les carences réelles et de rester prudent avec les suppléments, surtout chez un organisme sensible ou immunitairement réactif.

Impact de l’amidon sur le système hormonal
Excès d’amidon
Un apport trop élevé en amidon (céréales, concentrés riches) peut provoquer :
• Pic de glycémie et sécrétion excessive d’insuline, entraînant une résistance à l’insuline si répété, ce qui affecte directement l’axe métabolique et hormonal.
• Dérèglement du cortisol, car l’excès énergétique et l’inflammation digestive mettent le système en état de stress chronique.
• Inflammation intestinale et perturbation du microbiote, réduisant la production de neuromédiateurs nécessaires au bon fonctionnement hormonal.
• Chez le cheval, ce déséquilibre peut contribuer à des pathologies comme le syndrome métabolique équin, les fourbures ou la fatigue surrénalienne.

Carence en amidon
À l’inverse, un apport insuffisant en amidon peut :
• Limiter l’énergie disponible pour les fonctions hormonales, notamment la production d’hormones stéroïdes (cortisol, testostérone, œstrogènes) qui nécessitent des précurseurs énergétiques.
• Entraîner une fatigue chronique, un ralentissement métabolique et une baisse de la capacité à gérer le stress physiologique.
• Chez le cheval, une carence excessive peut se traduire par un poil terne, une faible masse musculaire et une récupération lente après l’effort.

Principe clé : l’amidon n’est ni “bon” ni “mauvais” en soi, mais l’équilibre et la qualité sont essentiels. Il faut ajuster la quantité selon l’âge, le poids, le niveau d’activité et la sensibilité métabolique de l’animal ou de la personne. Pour les chevaux sujets à résistance à l’insuline ou à inflammation digestive, un apport d’amidon en faible quantité et bien réparti peut au contraire être bénéfique. Il fournit une énergie rapidement disponible pour soutenir le métabolisme hormonal, améliorer la récupération musculaire et soutenir la production d’hormones stéroïdes.

L’important est de contrôler la dose et la répartition sur la journée, pour éviter les pics glycémiques et l’inflammation digestive.

Pathologies et déséquilibres pouvant être associés à un système hormonal affaibli
Chez l’humain :
• Hypothyroïdie et troubles thyroïdiens (Hashimoto, goitre)
• Hyperthyroïdie ou dérèglement thyroïdien fonctionnel
• Fatigue chronique et syndrome de fatigue chronique
• Burn-out et épuisement surrénalien
• Syndrome métabolique, résistance à l’insuline, diabète de type 2
• Troubles hormonaux féminins (cycles irréguliers, infertilité)
• Troubles hormonaux masculins (baisse de libido, fatigue, déséquilibre testostérone)
• Troubles digestifs fonctionnels liés au microbiote (ballonnements, dysbiose)
• Inflammations chroniques ou auto-immunité légère à sévère
• Acouphènes liés à des déséquilibres hormonaux ou circulatoires
• Fibromyalgie et douleurs chroniques associées à fatigue et dysfonction endocrine
• Sarcoïdose, maladie granulomateuse potentiellement liée à dérèglements immuno-endocriniens
• Mélanomes et autres tumeurs cutanées : certaines données montrent un lien possible avec stress oxydatif, déséquilibre hormonal et immunitaire
• Troubles dermatologiques chroniques (eczéma, psoriasis)

Chez le cheval :
• PPID (maladie de Cushing équin)
• Syndrome métabolique équin (SME) avec résistance à l’insuline et fourbures
• Hypothyroïdie fonctionnelle et ralentissement métabolique
• Poil terne, perte musculaire, mauvaise récupération après effort
• Troubles digestifs (fermentation excessive, coliques, inflammation intestinale)
• Inflammation chronique ou faible immunité (prédisposition aux infections)
• Troubles du comportement (hyperréactivité, apathie, nervosité)
• Fatigue surrénalienne et stress chronique
• Sensibilité aux surcharges alimentaires ou aux variations énergétiques
• Mélanomes et sarcoïdes (Ce n’est pas une pathologie strictement hormonale, mais l’affaiblissement du système hormonal et immunitaire peut favoriser leur apparition ou leur croissance, un terrain affaibli favorise la prolifération cellulaire anormale).

Déséquilibres liés à la nutrition et aux micronutriments :
• Carences en iode, zinc, sélénium, fer ou vitamines B/D entraînant fatigue, immunité faible et troubles hormonaux
• Surdosages en vitamines A, D, zinc, cuivre, sélénium, fer pouvant provoquer stress oxydatif, toxicité hépatique et perturbation hormonale
• Excès ou carence en amidon provoquant déséquilibre glycémique, inflammation digestive ou baisse de production hormonale

Déséquilibres énergétiques :
• Blocages des axes foie-rate-reins, sacrum, diaphragme, base du crâne
• Dysfonctionnement global du système hormonal, immunitaire et nerveux
• Hyper-réactivité immunitaire ou hypersensibilité à certains stimuli

Conclusion : L’affaiblissement hormonal est rarement isolé et traduit une fatigue systémique globale, impliquant foie, reins, microbiote, système nerveux et immunitaire.

Chez le cheval comme chez l’humain, la restauration du terrain passe par :
• la remise en cohérence du métabolisme cellulaire,
• le soutien des glandes endocrines,
• la gestion du stress oxydatif et émotionnel,
• la stabilisation du système immunitaire,
• et la correction des carences micronutritionnelles sans excès.

Une approche globale et intégrative, combinant biologie, observations énergétiques et harmonisation, nutrition ciblée et soutien naturel, permet une véritable régénération du vivant.

Cette démarche ne se limite pas à traiter des symptômes, mais vise à rééquilibrer l’ensemble du système, en harmonisant les axes hormonaux, immunitaires et métaboliques, pour restaurer vitalité, stabilité et résilience.

🙏 Merci de votre lecture, bon dimanche à tous et à toutes.

Patricia Spécialiste en Approche Naturelle de Santé

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Pour parler de "radiesthésie", pour admettre, pour comprendre la radiesthésie, avant toute autre chose, il faut savoir, qu’il est très important de comprendre que TOUT est énergie. Même la matière paraissant la plus inerte n'est en réalité qu'une forme particulière et concentrée d'énergie".

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https://www.picbleu.fr/page/la-radiesthesie-la-tele-radiesthesie-et-le-pendule

De l'importance de pouvoir (savoir) tester...