Psychologue et sexologue, je propose un accompagnement psychothérapeutique et/ou de soutien aux adultes et adolescent•e•s en cabinet. J’anime également des ateliers et groupes de parole.
Je travaille depuis plus de 10 ans dans le champ de la santé sexuelle et depuis plusieurs années sur les discriminations et les violences. J’étudie particulièrement les conséquences de celles qui sont exercées dans le milieu médical.
Militante de la maison de naissance du CALM, je m’intéresse également aux bouleversements inhérents à l’arrivée d’un•e enfant et aux thématiques liées aux parentalités.
Attachée au travail en réseau, je m’appuie sur un tissu associatif et des professionnel•le•s de secteur pour accompagner de manière globale les personnes que je reçois.
Le cabinet n’est pas accessible aux personnes à mobilité réduite sans aide extérieure, des séances sur skype ou à domicile sont possible pour les personnes concernées.
Ma pratique est supervisée.
Et autour?
Après avoir assuré les consultations de sexologie dans un centre de dépistage (CeGiDD),
je propose désormais des séances au sein dans le cadre du programme d’éducation thérapeutique (ETP) d’une association de lutte contre le VIH et les hépatites et anime des groupes de parole et des ateliers “sexo” associatifs. Je suis également intervenante en éducation à la sexualité auprès de jeunes de lycées et centres de formation d’apprentis.
En parallèle, je développe mes activités de formatrice auprès des professionnel•le•s du médico-social, de l’éducation et de la prévention.
Avant?
Titulaire d’un Master 2 professionnel en Psychologie (2010) axé sur la psychologie de la santé et d’un DIU (Diplôme InterUniversitaire) d’Etude de la sexualité humaine (2012-2015), je m’’inscrit dans une démarche d’amélioration constante des pratiques professionnelles et participe régulièrement à des actions de formation continue. J’ai terminé en 2019 un DU de Psychotraumatologie (Diplôme Universitaire) à l’université Paris Descartes.
J’ai passé plusieurs années à me consacrer à la santé publique à l’Inpes (Institut national de prévention et d’éducation pour la santé) ou encore au Crips Idf (Centre régional d’information et de prévention du Sida d’Ile-de-France), avant de revenir à un travail de terrain directement auprès des personnes concernées en retrouvant une activité clinique.