19/09/2025
𝐄𝐭 𝐬𝐢 𝐨𝐧 𝐯𝐨𝐲𝐚𝐢𝐭 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐜𝐨𝐫𝐩𝐬 𝐝𝐢𝐟𝐟𝐞́𝐫𝐞𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐮𝐧 𝐢𝐧𝐬𝐭𝐚𝐧𝐭 ?
Imaginez-le comme une photocopieuse incroyablement sophistiquée.
Le document original, c'est notre ADN.
Chaque jour, cette machine fait des milliards de copies, nos nouvelles cellules.
Quand la machine est bien entretenue et l'encre (nos nutriments) de qualité, les copies sont impeccables.
Mais avec le temps ou le stress, elles deviennent plus pâles, plus floues, c’est ce qu’on appelle la sénescence.
Par contre en cas d'urgence, comme une blessure, c'est notre caserne de pompiers interne qui s'active, nos cellules souches.
Elles quittent la moelle osseuse et foncent vers la zone à problème pour réparer et reconstruire.
Le grand défi, c'est qu'avec l'âge, notre caserne perd des effectifs.
Pour vous donner une idée, à la naissance, on a environ une cellule souche pour 10 000 cellules.
Vers 75 ans, ce chiffre peut chuter à une pour 2 millions (Christian Drapeau, "Le pouvoir insoupçonné des cellules souches").
C'est là que la science moderne devient fascinante pour rééquilibrer la balance.
Des recherches sur un bioactif unique, extrait de l'algue AFA, ont montré qu'il aidait justement à ça.
C’est le fruit de deux prouesses mondiales.
La première, avoir réussi à cultiver cette algue fragile en photobioréacteurs, garantissant une qualité exceptionnelle.
La seconde, avoir maîtrisé la technique pour en extraire très précisément les bioactifs capables de donner l’ordre à nos cellules souches d’optimiser leur multiplication et leur déplacement dans le corps.
En gros, on ne se contente pas de prendre une cyanobactérie, on utilise le fruit d'une technologie de pointe pour en isoler son trésor le plus précieux.
Bien sûr, on n'oublie pas les autres soutiens comme la phycocyanine qui protège nos pompiers, ou les oméga-3 qui sont l'encre de qualité pour notre photocopieuse.
Mais tout cela ne remplace jamais les fondations.
Un terrain sain reste la base de tout, sommeil, gestion du stress, activité physique et alimentation variée.
Prendre soin de soi, c'est simplement être un bon manager pour son propre corps, en s'assurant que nos équipes de maintenance sont toujours au complet et bien équipées.
Parce qu’au fond, notre corps sait faire.
Encore faut-il lui offrir ce qu’il lui faut pour bien fonctionner.
Et si au lieu de chercher à tout réparer de l’extérieur, on apprenait à réveiller ce qui fonctionne déjà en nous ?
P.S Je m'appelle Olivier, je ne suis pas médecin, je suis un homme qui a cherché… et trouvé.
Ancien militaire, obligé un jour d’apprendre à vivre avec la douleur.
Aujourd’hui, je partage ce qui m’a permis de reprendre le dessus… pour que d’autres n’aient plus à subir.
Si mon parcours peut résonner avec le vôtre, parlons-en.
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