Un temps pour Elles by Chloé

Un temps pour Elles by Chloé Réflexologie combinée
Au service de vos maux
’elles

Bonjour à tous, je vous propose des soins du 20 juillet ou au 20 août 2025? N’hésitez pas à prendre rendez-vous pour un ...
26/06/2025

Bonjour à tous, je vous propose des soins du 20 juillet ou au 20 août 2025? N’hésitez pas à prendre rendez-vous pour un moment de détente. 😊💆🏻‍♀️💆🏻‍♀️

27/10/2022
Merci Louise Gabard Réflexologue pour ce partage
03/11/2021

Merci Louise Gabard Réflexologue pour ce partage

Cet article explique par visualisation ce qui se passe dans notre corps lors d’une séance de réflexologie plantaire. Cela permet de mieux comprendre le sentiment de « mieux-être » et de légèreté que l’on ressent juste après.

11/10/2021

LES ANCIENS LE SAVAIENT ✨

Quand un bébé naissait, une femme de la famille ou non, emménageait chez la nouvelle mère et l'aidait pour tout.

Aujourd'hui, la société se moque des mères qui disent : "Je n'en peux plus".
Dans le meilleur des cas, on lui répond : "Tu voulais ce bébé, non ?".

Il y a des bébés qui ne dorment pas depuis des mois, mais la maman est une maman donc elle DOIT y arriver.
Comme si le fait d'être maman était une entité abstraite et magique qui s'empare de la femme et qui sait tout et peut tout faire...

👉 Alors... Soyez douce avec les nouvelles mères et surtout avant d'aller voir le nouveau-né et que la mère vous prépare du café, allez la voir et dites-lui : "Va te reposer, je vais faire."
Demandez-lui également s'il y a une machine à lancer, du linge à plier, si elle a eu le temps de manger aujourd'hui et préparez-lui des bonnes choses.

Les mères ne sont pas des super-héroïnes, bien qu'on aime le penser. ❤

20/09/2021

Ça ne se dit pas vraiment.
Mais ça se pense et ça ressort par les pores de la majorité : l'enfance et ce que cela implique, c'est chiant !
Ça prend du temps, ça t'enlève des libertés de planning, ça met l'accent sur l'interdépendance (carrément anxiogène quand on nous apprend à être autonome au plus tôt), ça demande beaucoup d'énergie et SURTOUT quand on doit gérer l'enfance de ses enfants, son boulot, son bien-être et l'harmonie familiale.

Gros choc : un enfant change une vie. Soudainement, tout s'accélère... Mais tout ralentit dans une dynamique totalement dévalorisée socialement.

N'as-tu jamais remarqué à quel point la qualité d'être efficace, orienté.e résultat, d'être performant, rapide sont TYPIQUEMENT des qualificatifs valorisés par notre société néolibérales ?

As-tu remarqué que tu devais bo**er environ 38h/semaine, normalement en étant efficace de manière identique à 9h ou à 15h (MDR !) ? Avec la même intensité au printemps ou en hiver.

As-tu remarqué qu'on parle de l'embarras de l'absence des gens plus par le manque de charge abattue plutôt qu'en inquiétude qu'iels aillent bien ?

As-tu remarqué que, comme beaucoup de mère décident de moins d'investir dans son activité pro au profit de leur famille, Celles-ci sont stigmatisées et jugées responsables de leur précarité ?

Nous sommes mis.e.s sous pression constante. Dans une société où seule prime la croissance, le moindre ralentissement est un problème à traiter. Le statut quo n'est même plus envisageable.

Notre corps nous témoigne par de multiples moyens que la pression constante n'est pas gérable à long temps.
La fonction du stress est de permettre une action à un instant T. Cela n'a pas vocation à faire tenir la performance sur la durée.

Alors oui, l'hiver induit un rythme plus cocooning.
Oui, le temps des grossesses et de la petites enfances ralentit les possibilités qui étaient alors socialement valorisées.
Mais n'est-ce pas là un rappel de notre besoin à varier les intensités de pression et à nous reconnecter à notre humanité plutôt qu'à notre efficacité perpétuelle (un leurre ...!)?

Et si nous réussissons à déconstruire tous ces conditionnements pour percevoir avec plus d'enthousiasme ces ralentissements inhérents à la vie en mouvements ?
Ralentir quand on en ressent le besoin sais se déprécier.
Ralentir quand la grossesse l'emporte sur le reste.
Ralentir quand la petite enfance demande d'être là tête en empathie plus qu'à l'efficacité rentable.

Nous ne sommes PAS de ressources humaines.
Nous sommes des êtres humaines ayant besoin que la société reconsidère notre humanité.

Haut les coeurs : je crois fondamentalement que nous sortirons tôt ou t**d de cette frénésie qui n'offrent aucun bénéfice sauf aux plus puissants.

Et toi, acceptes tu les baisses de régime et d'être au ralenti ?

17/07/2021
15/05/2021

15/04/2021

FREIN DE LANGUE ET REFLEXES

(NB : Cet article a été écrit à la base pour un groupe spécialisé, mais je pense qu’il peut également éclairer beaucoup de parents, alors bonne lecture :) )

FREIN DE LANGUE
Appelé ainsi dans le langage courant, nous avons tous un frein sous la langue. C'est le fait qu'il soit limitant qui doit interpeler. On parlera plus exactement de frein restrictif.
❔ Il s’agit d’une membrane trop courte et/ou pas assez élastique qui empêche la langue de bouger à sa guise et se placer comme elle devrait.
⚠️ Un frein de langue se détecte par un professionnel spécifiquement formé. Un pédiatre, une sage-femme ou une consultante en lactation ne le sont pas forcément.
Sachez qu’il existe aussi des freins de lèvre et des freins de joue.

CONSEQUENCES POSSIBLES 🔜
▪️ Un frein de langue entraine assez souvent un problème de succion, qui se remarque dans l’allaitement et parfois dans le biberonnage : difficultés à prendre ou tenir le sein, refuse/pousse toutes les tétines, s’endort/fatigue vite en mangeant etc.

◾️ Généralement cela induit très vite des symptômes tels que respiration buccale, reflux, fort besoin de succion, hypersalivation, gaz, hypersenbilité faciale, maladies ORL répétitives…

◼️ Si tous ces petits tracas passent inaperçus, en grandissant ils peuvent prendre une ampleur insoupçonnable. On citera entre autre : troubles du sommeil, problèmes dentaires et orthodontiques, problèmes ORL, troubles alimentaires, troubles du langage, névralgies diverses etc.

Pourquoi ? ➡️ Parce que le placement de la langue et sa mobilité impacte directement la formation de l’ossature de toute la face (crâne, palais, voies respiratoires...) et joue des rôles essentiels dans plein de fonctions comme nettoyer les dents, déglutir/digérer, respirer, prononcer…

IDEES PRE-CONCUES
• « Mon pédiatre m’a dit qu’il n’y avait pas de frein ».
Parce qu’on leur apprend juste à regarder anatomiquement s’il y en a. Mais pas à regarder avec manipulation, ni évaluer si les fonctions de la langue sont atteintes. En somme, si le bébé n’a pas un frein énorme, attaché tout devant et très nettement visible, on vous dira qu’il n’en a pas. Ce n’est pas forcément vrai.
• « Il a déjà été coupé » (généralement à la maternité).
C’est la partie la plus en avant, très visible, qui a été sectionnée. Donc premièrement cela n’est pas forcément suffisant, et d’autre part il n’y a aucun suivi pour vérifier l’amélioration effective (tensions, mobilité…).

QUELS ROLES ALORS AVEC LES REFLEXES ?
🟡 En tout premier lieu, la succion est un réflexe en soi. S’il n’est pas présent ou peu fonctionnel, il peut être activé correctement. À l’inverse après 3-4 mois il devrait avoir disparu ; il faut l’intégrer si ce n’est pas le cas. Souvent il est lié à un réflexe nauséeux. D’autres réflexes du visage peuvent aussi être associés, comme le fouissement ou encore le Babkin : les expériences sensorielles sur le visage et dans la bouche sont inconfortables (ou de fait insuffisantes) pour faire maturer correctement les réflexes.

🔴 On comprendra aisément que le stress - visible ou passé inaperçu - créé par un frein peut engendrer de l’anxiété. Les réflexes de sécurité, d’attachement voire d’enracinement peuvent donc être impactés. De plus, quand le frein est trop court, la langue ne stimule pas assez le nerf vague : cela renforce le déséquilibre du système nerveux et potentiellement les réflexes cités.

🟢 En terme de tensions, tissus, mobilité, on retrouvera beaucoup de liens.
D’abord parce que la motricité se faisant de bas en haut, et du centre vers l’extérieur, la souplesse du cou joue un rôle primordial dans l’acquisition du tonus et de la coordination. On pourra donc dérouler la liste des réflexes du cou.

🟠 De là, le développement psychomoteur peut être impacté. Or bon nombre de déplacements sont en soi des réflexes archaïques : retournement, rampé, quatre pattes, marche.
De plus le bébé avec un frein acceptera souvent mal la position ventrale et/ou dorsale, voire prendra des postures asymétriques. Cela est délétère pour les chaines d’extension/flexion (RTL, RTSC, landau…), mais également pour plein d’autres réflexes tels que les spinaux, RTAC...

🔵 Enfin, l’ensemble des fascias, nerfs et chaines musculaires étant liés entre eux, et beaucoup directement à la langue/nuque, tout peut coulisser sur n’importe quelle partie du corps. De là quasiment n’importe quel réflexe soumis à un stress/tension pourra être impacté, et vous retrouverez des symptômes aussi divers que posture, tonus, coordination, latéralité, graphisme, vision, mal de dos, entorses, bruxisme, oreille interne…

Emilie Druais
Consultante et Formatrice en périnatalité et développement de l’enfant
Naîtrance - Montessori - Réflexes archaïques - Oralité

Ce texte est soumis au Droit d’auteur.
Il est diffusable partiellement ou intégralement en mentionnant son auteur, afin de contribuer respectueusement et légitimement au travail de chacun.

22/03/2021

Si la parentalité cultive le doute et la culpabilité, elle est aussi vectrice d'une force rarement égalée : celle d'avoir des convictions et mettre une énergie infinie pour vivre "au mieux".

Au mieux, ça veut tout et rien dire.
Justement parce que tu es singulier.e et que ta façon de vivre les évènements ou les possibilités t'appartient à toi seul.e.

Parfois tu vivais insouciante une situation jusqu'à ce que quelqu'un.e vienne heurter de ses propres valeurs TA vie.
Te voilà renversé.e dans ton aisance, au point que ta confiance en ta capacité à être mère vacille.
Ce chamboulement vient détruire ce que tu avais construit jusqu'alors, remettant en question ce que tu faisais/pensais intuitivement.

Parfois, tu nages dans la cacophonie ambiante des informations autour de la périnatalité.
Le marché juteux de la culpabilité parentale est très efficace.
Autant les lobbies que les gens bien intentionnés s'engouffrent dans la brèche, tentent de grappiller une once de consommation.
L'inconfort est énorme lorsqu'on lit la distance entre certaines possibilité et ce qui est conseillé par des personnes ayant une position charismatique.
Cela vaut d'ailleurs de chaque côté du spectre.
Qui croire ?
Que penser de sa manière d'être parent ?

Et si...
Et si avant d'entendre les conseils, il y avait les témoignages et l'information.
Et si nous allions à la rencontre de ce qui nous attire?
Et si nous écoutions les témoignages pour ce qu'ils sont : UN vécu.

Il arrivera que tu aies eu les informations qui t'ont permis un choix éclairé.
Il arrivera encore plus souvent que tu aies fait des choix de fait.
Il peut y avoir des regrets et des remords...
Mais n'oublie pas que tu es libre !

Les informations données n'ont jamais vertu de devenir des injonctions.
Ce n'est pas parce que tu vis ta parentalité différemment des images lissées d'insta que tu n'es pas suffisamment bonne.

Savoir qu'une possibilité existe ne l'a rend pas obligatoire.
Le savoir est un pouvoir. Il n'est pas une contrainte.
Le plus important est de te connecter à ta confiance en toi !

Et toi, tu en es où dans ton sentiment d'être mère ?

05/01/2021

Le microbiote intestinal dicte-t-il notre humeur et nos comportements ?

Les scientifiques commencent seulement à prendre véritablement la mesure du rôle de notre microbiote, ces innombrables micro-organismes qui vivent sur et dans notre corps. Le tube digestif abrite à lui seul plus de 10 000 milliards de bactéries – majoritairement anaérobies, c’est-à-dire qui n’ont pas besoin d’oxygène pour vivre. Sans compter les virus, les levures et les champignons. L’influence du microbiote de l’intestin sur la régulation de nos fonctions vitales aurait ainsi été considérablement sous-estimé jusqu’à la publication des travaux décisifs de ces cinq dernières années.

La découverte la plus frappante est sans doute celle de liens entre les perturbations de cette flore intestinale et des troubles psychiatriques comme l’anxiété, la dépression, les troubles bipolaires, la schizophrénie, ou encore un trouble neurodéveloppemental comme l’autisme. Il est trop tôt, à ce stade, pour affirmer qu’il s’agit d’une cause, et non pas d’une conséquence de ces troubles. Néanmoins, l’hypothèse selon laquelle la communauté microbienne abritée par notre intestin détermine en partie notre humeur et nos comportements mérite d’être étudiée. Si elle venait à être confirmée, cela ouvrirait des perspectives de prévention ou de traitement inédites en santé mentale.

Les trois premières années de la vie, période clé :
Le microbiote intestinal se forme au cours des trois premières années de la vie. Il reste ensuite relativement stable au cours de la vie mais peut être transitoirement modifié, par exemple par un nouveau régime alimentaire, une infection intestinale ou un traitement antibiotique. Le rôle de cet écosystème est fondamental dans la motricité intestinale, c’est-à-dire la progression des aliments dans le système digestif. Il l’est aussi dans le développement du système immunitaire, protégeant l’individu contre l’agression de certaines pathogènes. Il l’est, enfin, dans le système métabolique, participant à la digestion, influençant l’absorption et la distribution des nutriments voire, en cas de maladie, des médicaments.

On estime actuellement que 90 % des maladies pourraient avoir un lien avec des perturbations du microbiote, les unes causant les autres ou inversement. On parle de « dysbiose », pour des situations dans lesquelles une altération de la biodiversité du microbiote peut occasionner des effets négatifs pour l’individu. La « paucibiose » fait référence à la perturbation quantitative du microbiote, c’est-à-dire une baisse du nombre total de bactéries, indépendamment du nombre d’espèces différentes.

Les effets de telles perturbations sur les comportements ont été mis en évidence, pour l’instant, par des études sur des modèles animaux. Ainsi des chercheurs ont fait naître des rats par césarienne, dans des conditions stériles, pour qu’ils aient le moins de contacts possible avec des micro-organismes présents chez leur mère ou dans l’environnement. Ces rongeurs développent rapidement des troubles comportementaux évoquant des maladies psychiatriques : le repli sur soi, une perte de poids, des troubles du sommeil, de l’anxiété, la perte de l’hygiène voire des automutilations.

Or ces troubles s’avèrent réversibles si on administre à ces mêmes rats des probiotiques (des bactéries bonnes pour leur santé) au cours des six premières semaines de leur vie. Au-delà, les troubles deviennent irréversibles, suggérant que le microbiote joue un rôle crucial dans la période de développement du système nerveux central.
Comment le microbiote influence le cerveau

Qu’en est-il chez l’homme ? Notre microbiote peut influencer notre cerveau par plusieurs voies. Il peut modifier la perméabilité intestinale (c’est-à-dire le passage des molécules à travers la paroi de l’intestin vers la circulation sanguine et de là vers le cerveau), moduler l’inflammation au niveau de l’intestin et dans le sang, l’absorption de nutriments bénéfiques ou essentiels pour le cerveau, et influencer le système nerveux autonome responsable des réactions d’éveil et de fuite. Ces phénomènes semblent être à l’œuvre dans plusieurs types de troubles.

À ce jour, les chercheurs ont surtout étudié le lien entre la perturbation du microbiote intestinal et l’autisme, un trouble neurodéveloppemental caractérisé par la diminution des interactions sociales et de la communication, avec des comportements stéréotypés et répétitifs. L’autisme s’accompagne très fréquemment de troubles digestifs. Les enfants autistes, comparés aux non-autistes, auraient dix fois plus de bactéries de type Clostridium, une augmentation des Bacteroidetes et Desulfovibrio, et une diminution des Firmicutes et Bifidobacterium.

Une augmentation de la perméabilité intestinale (l’intestin jouant moins bien son rôle de filtre retenant les pathogènes) a également été décrite dans l’autisme, ainsi qu’une élévation de marqueurs d’inflammation dans le sang. De nombreuses autres anomalies au niveau de la paroi de l’intestin et de la composition des selles chez ces enfants ont également été rapportées.

Le syndrome de l’intestin irritable associé à l’anxiété :
À l’inverse, des maladies inflammatoires chroniques de l’intestin, comme le syndrome de l’intestin irritable, sont associées à des taux très élevés d’anxiété et de dépression. De tels taux ne sont pas retrouvés dans d’autres maladies chroniques non-inflammatoires pourtant tout aussi difficiles à vivre au quotidien.

Chez les patients souffrant de troubles dépressifs majeurs, une faible sécrétion d’acide gastrique a été rapportée. Cette diminution de l’acidité gastrique a été associée à la croissance (réversible) du microbiote au niveau de l’intestin grêle, ce qui peut entraîner des troubles digestifs, une augmentation de la perméabilité intestinale, de la malabsorption des nutriments, des épisodes de diarrhée ou de constipation.

Une autre observation plaide en faveur du rôle du microbiote intestinal dans la régulation ou le déclenchement des troubles anxio-dépressifs. Des bactéries sécrètent des substances qui sont aussi des neurotransmetteurs, c’est à dire des composés chimiques produits par les neurones pour agir comme messager en direction des autres neurones. Ainsi, certaines souches de Lactobacillus et de Bifidobacterium produisent de l’acide gamma-amino-butyrique (GABA). Les genres Escherichia, Bacillus, et Saccharomyces produisent de la noradrénaline ; Candida, Streptococcus, Escherichia, et Enterococcus produisent de la sérotonine ; alors que Bacillus et Serratia peuvent produire de la dopamine. Tous ces neurotransmetteurs jouent un rôle majeur dans les mécanismes de la dépression.

La schizophrénie et les troubles bipolaires, des maladies psychiatriques chroniques sévères, ont également fait l’objet de travaux. Une étude récente s’est intéressée aux marqueurs de translocation bactérienne anormale, des molécules qui, en temps normal, doivent être trouvées seulement à l’intérieur de l’intestin. Quand ces molécules sont trouvées dans le sang, cela peut être le signe d’une augmentation de la perméabilité de l’intestin. Ce phénomène a précisément été observé chez des personnes touchées par ces deux maladies.

La recherche sur le rôle du microbiote et son influence sur nos comportements en est à ses balbutiements. Ce champ de recherche apparaît aujourd’hui comme un possible chaînon manquant pour expliquer comment se déclenchent ou perdurent certaines maladies mentales. Des probiotiques, des prébiotiques (des substrats favorisant la croissance de souches de bactéries bénéfiques) et des approches nutritionnelles spécifiques sont utilisés actuellement dans certaines pathologies intestinales. Pourraient-ils trouver, un jour, une utilité dans le domaine de la santé mentale ? De nouvelles études seront nécessaires avant de pouvoir confirmer, ou infirmer, l’efficacité de telles interventions.

(Source : The conversation)

04/01/2021
31/12/2020

Comme je le contais déjà dans un article précédent, tout n’a pas été aisé dans ma maternité.
Je me suis posée des questions pour tout.
J’ai fait mille comparatifs de produits, vêtements, et autres.
J’ai consacré des heures à faire des recherches sur différents sujets qui m’ont passionné (et me passionnent encore).
J’ai parlé, sur les réseaux sociaux, avec des dizaines d’autres mères pour aider/être aidée.

J’étais très seule…
Alors j’ai culpabilisé de passer du temps sur mon smartphone, mon seul lien avec l’extérieur.
J’ai passé (et je passe encore) trop de temps dessus. Et aussi pendant les tétées.
Tout en ayant plein conscience que ce n’est pas l’idéal, durant les premiers mois, les tétées sont longues…
Ensuite, les tétées sont les seuls moments où je n’ai rien à surveiller.
Bref, smartphone : mon amour, mon ennemi !
Mais heureusement qu’on les a, dans la société actuelle où nous sommes toujours plus isolée.

J’ai aussi culpabilisé de la faire vacciner dès ses 2 mois car je trouvais ça trop tôt.
Sans faire de débat autour de ce sujet-là, elle a reçu les 11 vaccins. Avec des petites stratégies pour atténuer les effets négatifs… J’ai un amer souvenir de sa première vaccination sans cela et des 5 jours qui suivirent.

J’ai culpabilisé de ne pas lui faire voir assez d’enfant de son âge. Jusqu’à ce que je me rende compte que c’était un impératif créé de toute pièce (je ferai un post là dessus bientôt).

J’ai culpabilisé de l’avoir rattrapé de justesse en évitant au moins 2 grosses chutes faute d’attention.

J’ai culpabilisé de crier une fois, tellement fort que j’ai eu mal à la gorge (fatigue et désespoir chez chacune, aïe!).

J’ai eu peur d’être la pire des mères quand ma fille a eu des tempêtes émotionnelles totalement incontrôlables pendant une semaine après notre 2è déménagement en 6 mois. Spoiler : ça s’est arrêté spontanément avec de l’empathie, des câlins, de la prise de recul et beaucoup beaucoup de pleine conscience. OUF !

J’ai regretté, plus que je n’ai culpabilisé.
Je vais encore regretter des choix, des actes, et des approximations.
Mon objectif n’est plus d’être une mère exemplaire que je pensais possible. Je souhaite juste être la mère que j’ai envie d’être, GLOBALEMENT.
Parfois, ce n’est pas terrible mais en lissant l’ensemble, je suis celle que je voulais être.
Et ça, c’est déjà bien.
J’étais « Madame Culpabilité » et la maternité m’a donné la possibilité de prendre des distances avec cette tendance que j’avais. Sûrement pour préserver ma santé mentale !

Et toi, quel est ton rapport à la culpabilité ?

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