Combourg Somatopathie

26/09/2025

« Dans un monde où tu peux être n’importe quoi, sois bienveillant. »

24/09/2025

A lire avant de démarrer sa journée ☀️🌻

23/09/2025

La célèbre sculpture en bronze « L'Arbre de vie » à Matera, la plus ancienne ville d'Italie 🌳🌍🇮🇹

12/09/2025

Parfois, sans le vouloir, on demande à nos enfants de porter ce qu'on n'a pas vécu.
Et si on leur laissait la liberté d’écrire leur propre histoire ?

11/09/2025

🤍 L’étreinte qui a défié la mort

En 1995, dans le Massachusetts, naquirent Brielle et Kyrie Jackson, deux jumelles prématurées venues au monde avec douze semaines d’avance. Pesant à peine un kilo chacune, elles furent placées dans des incubateurs séparés, comme le dictait le protocole médical de l’époque.

Pendant vingt et un jours, tout sembla sous contrôle… jusqu’à ce que l’état de Brielle s’aggrave soudainement. Son cœur battait de manière incontrôlable, le taux d’oxygène dans son sang chutait en flèche et sa peau virait au bleu. Les médecins tentèrent tout, mais rien n’y faisait. Brielle s’éteignait.

C’est alors qu’une infirmière, Gale Kasparian, osa briser les règles. Guidée par son instinct, elle plaça les jumelles dans la même incubateur. Ce qui se produisit ensuite ressemblait à un miracle : Kyrie, la plus forte, tendit son minuscule bras et enlaça sa sœur. Brielle se blottit contre elle… et peu à peu, sa respiration se stabilisa, son cœur retrouva un rythme normal et sa peau reprit des couleurs.

Les médecins restèrent sans voix.
Cet instant fut baptisé l’étreinte salvatrice.

Depuis ce jour, le contact peau contre peau entre jumeaux prématurés est reconnu comme un outil médical essentiel.

Ainsi, au milieu des câbles et des machines, un geste aussi simple qu’un câlin n’a pas seulement sauvé une vie : il a changé l’histoire de la médecine.

29/08/2025

Monument à la femme qui « ne fait rien à la maison »
Tu la connais. Tu l’as vue des centaines de fois.
Elle ne crie pas. Elle ne se plaint pas. Elle ne demande pas.
Et pourtant, chaque jour, elle porte sur ses épaules toute la MAISON.
C’est l’image du travail invisible que personne n’appelle « travail », parce qu’il ne donne pas de salaire – seulement de la fatigue et du silence.

18/08/2025

09/08/2025

"Le problème de l’excès d’empathie, c’est que, tandis que nous sommes capables de comprendre les luttes des autres, les autres sont incapables de comprendre les nôtres.

Alors on devient ce feu de camp où personne n’ajoute de bois, mais où tout le monde vient se réchauffer les mains."

Ann Everestt

27/07/2025

Perdre sa maman…

C’est comme perdre les racines qui te soutenaient.
C’est rester sans ce lieu où tu revenais toujours,
sans cette étreinte qui guérissait tout,
sans cette voix qui apaisait même quand le monde s’effondrait.

C’est perdre l’origine,
une part de ton histoire,
la présence qui t’accompagnait depuis le tout premier souffle.

Et même si tu es adulte,
même si ta vie est bien construite,
l’âme se brise…
l’âme se sent orpheline.

Parce que personne ne t’apprend à vivre sans elle.
Personne ne t’enseigne à te relever
quand celle qui t’a toujours relevé… n’est plus là.

Perdre sa maman, c’est une forme d’abandon dont personne n’est responsable,
mais qui te laisse désemparé,
comme si, soudain, le monde devenait plus froid,
plus dur, plus vide.

Et l’on apprend à avancer…
mais on n’est plus jamais tout à fait le même.
Parce qu’il y a des amours qui, lorsqu’ils s’en vont,
nous transforment à jamais.

— Tina Pachuca Alarcón
Thanatologue, psychothérapeute, écrivaine 💜