Psyché analyse

Psyché analyse Frédéric Lemonnier, Psychanalyste et praticien en thérapies analytiques, à Compiègne en cabinet

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24/08/2025

Bonjour tout le monde,

C'est bientôt la rentrée !
L'atelier d'écriture partagée à Compiègne recommence le 10 Septembre 2025 à 19H.
Soyez les bienvenus : vous souhaitez vous inscrire ? N'hésitez pas à m'envoyer un mail pour plus d'informations. Il reste 2 places !

Histoire … En septembre 2020, j’entamais à Compiègne et Margny-lès-Compiègne l’animation d’un atelier d’écriture littéraire partagée à visée thérapeutique. Nous sortions d’une période lourde de conséquences, d’un confinement strict, suite au déclenchement de la Pandémie....

https://psyche-analyse.fr/linstant-en-psychanalyse/L’instant en psychanalyseEn psychanalyse, nous ne nous attardons pas ...
27/04/2025

https://psyche-analyse.fr/linstant-en-psychanalyse/

L’instant en psychanalyse
En psychanalyse, nous ne nous attardons pas assez sur l’instant : ce qui authentifie l’instant, lui donne son évidence, lui réserve sa propre temporalité.

Pourquoi devrions-nous nous y attarder quand d’autres recherchent l’origine de la souffrance ? Sa cause ?

Qu’est qui fait venir le patient si ce n’est la souffrance?

Et comme l’on se fourvoierait à en chercher l’origine de prime abord ! Comme cela serait caricatural !

1_ Origine, sphère et division

Il y a dans la mondanité de l’origine, un ça qui s’occulte et s’ignore. Le praticien qui veut absolument trouver tel un enquêteur le fin mot de l’histoire, qui veut aller vite, car finalement on lui demande d’aller vite, se réfugie alors dans sa dimension posturale, un rationnel de toute puissance, où le principe de raison rejoint le principe de plaisir : j’ai compris l’origine de votre mal, et j’en éprouve une telle jouissance !

La psychanalyse n’est surtout pas une vision du monde unifiante, unifiée par ce principe de raison imparable. Je me réfère ici à la ###Vème conférence d’Introduction à la psychanalyse de FREUD : « la psychanalyse est incapable de créer une Weltanshauung… elle ne prétend pas constituer une ensemble cohérent et systématique ».

C’est bien là l’écueil : vouloir expliquer à tout prix les méandres de la souffrance humaine par une seule et même origine. Qu’il est difficile de s’affranchir d’une vision du tout.

Car le regard veut embrasser l’ensemble, comme l’on contemple un paysage, un tout sphérique, comme celui du Timée de Platon.

Car déjà, cette perception fragmentée du bambin le conduit à unifier dans l’image du miroir, ou dans l’oeil de la mère, dans l’image spéculaire unifiée par l’imaginaire, un corps, un monde comme un tout sans aspérité.

Et c’est aussi ce que le patient recherche dans le regard du thérapeute, ce quelque chose d’embrassant, de consolant.

Il est bien évident que la douceur de cet accueil a son importance : il permet l’élaboration de la souffrance, que cette expérience de la souffrance soit enfin reconnue.

Et pour autant, il est primordial que se dise autre chose, sans même que la logique ou le raisonnement ait tracé sa nécessité.

Il faut d’une certaine manière, se désensorceler de la belle forme, de ce mythe de l’Un, pour éviter les écueils totalisants, fantasmés, qui transcendent le mouvement de la vie.

Alors bien sûr, il y a des structures, des systèmes, des postulats imparables, en psychologie et en psychanalyse, mais ils ne relèvent que de domaines théoriques, intellectuels, parfois rhétoriques, et ne disent rien du mouvement vital. Car il faut être dedans, si je puis ainsi m’exprimer. Car cela demande un engagement !

Il nous faut revenir à cette décomposition psychique du Sujet, dont les frontières du Moi, du ça, du Surmoi, de l’Idéal du Moi, du préconscient, du conscient, de l’inconscient, du refoulé, restent poreuses, indéterminées.

Dans chaque partie, il y a un morceau d’obscur, de refoulé, une partie inaccessible, une « terre étrangère » et reprenant les termes de Freud, dans sa conférence ###Ième : « inaltérable », « qui demeure insensible au temps »..

La psychanalyse consiste en une offre différente, autre, qui décentre, et substitue à l’Un, un sujet divisé, qui échappe au mirage de l’Un. Toutes ces mouvances développementales de bien-être psychologique, de bonheur préfèrent occulter cette appréhension du Sujet, et promeuvent un idéal inatteignable _encore une sphère, un équilibre permanent : au cabinet, sur le divan, elles agissent comme un idéal frappeur qui matraque le moi du patient: comment ne puis-je pas être heureux? Donnez-moi des moyens de combattre mon mal !

2_ PLUTÔT QUE LA SPHÈRE, LA CIRCULARITÉ !
Dans l’instant psychanalytique, le mal s’exprime d’abord par une tension palpable bien sûr dans cette parole mais aussi dans ce geste, dans cette expression du visage, dans cette fermeture ou ce déversement émotionnel : silence ou cri, bradypsychie ou tachypsychie, ce mal se dit de plusieurs manières et se prolonge dans l’instant. Il se dresse ainsi comme « résistance au devenir ». (Rovere, Le Mal en face)

Dans le traumatisme, la reviviscence a figé le temps et empêche tout écoulement chronologique : la séance apparaît ainsi comme hors du temps, une mise entre parenthèses par rapport aux bruits mondains, un instant dans les plis du temps, grossissement vertical.

La névrose exprime sa souffrance par la répétition symptomatique d’une manifestation phobique, hystérique ou compulsive.

En butte au temps, manifestations itératives ou images hiératiques engrossent l’instant par leur circularité passive.

Il me parait inopportun de vouloir à tout prix aplanir cet instant par une chronologie où prime seulement le principe de raison.

Parce que souvent ce mal fleurit de manière multi-causale. Que cette chronologie ne permettrait pas de désenvouter cette tétanie voire qu’elle imposerait une autre forme de rigidité scientifique.

Il est certain que le patient vient quérir un diagnostic comme une seconde peau, comme une seconde vie, comme une seconde naissance, comme une seconde étiquette, comme l’explication, la justification aux débordements du ça. J’ai une dépression mélancolique, un trouble de la personnalité borderline. C’est pour ça que je vais mal. Pour autant, cela suffit-il à aller mieux ?

Il y a certainement un changement à opérer quant à l’effet linéaire de la thérapie. Car la souffrance entraine peu à peu la destitution du sujet : selon l’expression populaire, il perd ses moyens, il n’est plus lui-même. Cette structure ainsi posée, cette pathologie ainsi diagnostiquée, tendent à déstructurer le sujet de l’objet, a désassembler. La linéarité est inopérante face à la verticalité du chaos.

3_ La dynamique circulaire de l’instant
Dans l’instant psychanalytique du patient en souffrance, nous ne sommes plus dans cette conception horizontale d’une représentation future. Le désir reste recroquevillé, telle une larve dans sa coquille. Il est nécessaire de situer le soin dans une dynamique de délocalisation, du patient qui pâtit au patient qui souffre activement.

Cette dynamique implique nécessairement d’embrasser pour le thérapeute (comme pour le patient) les conditions du soulagement. La neutralité, ici n’est certainement pas distance ou froideur clinique : elle n’a que faire de l’objective vérité, à savoir, si le patient souffre réellement ou à quelle intensité. Le thérapeute partagera plutôt une qualité de présence, une dose d’amour humain pour ainsi mieux recevoir le témoignage d’une souffrance.

La plainte adressée au vide, à un Dieu, à la nature, témoin d’une déstructuration du sujet_ Dieu que cela fait souffrir, Dieu que je souffre ! circularité passive, devient dialogue telle la demande de reconnaissance de l’Autre. Qui elle-même, glisse peu à peu vers la reconnaissance de l’impuissance, de l’insuffisance humaine face à certaines épreuves de l’existence.

La circularité est maintenue par ce partage, par ce dialogue mais elle se désenclave du jugement négatif, de la valeur négative attribuée à l’expérience de la peine. Elle devient active en s’exilant de la plainte.

Il s’agira ensuite de retrouver l’instant dans sa vibration charnelle, de retrouver la contemplation esthétique de l’instant, par là certainement de retrouver le sujet, acteur de son regard, désirant. Viendra après, la reconstruction d’une narration temporelle…

Conclusion
Voilà l’instant psychanalytique ainsi dessiné : sa dimension singulière, authentique, humaine, amoureusement humaine et dans le même temps son universalité. Il y a certainement dans ce désir thérapeutique de la psychanalyse, la puissance d’un élan pour rejoindre le mouvement de la vie dans sa spirale évolutive.

Frédéric Lemonnier, psychanalyste à Compiègne

24/04/2025

Frédéric Lemonnier Psychanalyste Compiegne pratique le métier de Psychopraticien à Compiègne en région Hauts-de-France : découvrez les avis, coordonnées (adresse, téléphone) et informations. Ajouter un avis. Poser une question

Le silence du Psychanalystehttps://psyche-analyse.fr/le-silence-du-psychanalyste/Il y a, selon moi, quelque chose d’inco...
19/09/2024

Le silence du Psychanalyste

https://psyche-analyse.fr/le-silence-du-psychanalyste/

Il y a, selon moi, quelque chose d’inconcevable, en psychanalyse : c’est le silence manipulateur, le silence castrateur du psychanalyste, le silence sur-joué. C’est un silence qui selon moi, s’identifie à un jeu pervers, du mauvais théâtre de boulevards.

J’ai entendu récemment dans un soi-disant cours de psychanalyse, au sujet d’un cas d’école difficile : « il faudrait installer plus de silences, vous voyez, la castration ! …. »

Alors non ! C’est oublier la nécessaire neutralité bienveillante du psychanalyste. Et le premier terme, neutralité revêt toute son importance dans l’itinéraire thérapeutique.
Pour reprendre la terminologie bartesienne, le neutre suspend le paradigme majoritaire, masculin, celui qui fait autorité, le jugement…
Et c’est dans cette finesse de l’analyse barthesienne qu’il faut comprendre cette neutralité bienveillante du psychanalyste ! Le psychanalyste, s’il est véritablement engagé dans le soin, et non dans l’autoritaire guérison, postule dans l’entrelacs des inconscients, ce neutre avant toute chose.
Il est bien évident qu’il n’est jamais atteint mais son écoute ne peut se construire qu’uniquement dans un désir de neutre sous-jacent.

Il est nécessaire de se préserver de l’arrogance, et rejoindre cette oscillation délicate qui permet le transfert : s’autoriser un pas de côté, une réserve non-jugeante.

Mais quel silence installer en psychanalyse ?
Il faudrait plutôt entendre quel silence s’installe en psychanalyse ? Celui de l’écoute bien sûr ! Le silence s’envisage ainsi comme un lieu, le lieu où repose la parole du patient, le lieu de la libre association, le lieu où la parole pleine surgit. Ce silence n’est certainement pas le lieu d’une conversation, qui laisserait aller un verbiage, une parole vide, sans consistance. C’est un lieu où repose l’Etre.
Il y a une réelle asymétrie qu’impose le cadre entre ce silence bienveillant et la parole du patient à qui il est enfin permis d’être.
Ce silence, bien qu’il puisse être perçu par le patient comme une consternation, s’impose plutôt comme un acte de parole : c’est une non-réponse à tout ce qui relève de la mondanité ou de l’opinion. Et peut entraîner par écho chez le patient adaptation et légèreté : le monde est moins lourd.

Au fur et à mesure de l’analyse, le thérapeute glisse vers l’écoute flottante, ou plutôt l’attention flottante, laissant libre cours tant à la répétition qu’à l’événement : il s’autorisera d’être surpris par tel lapsus, telle métaphore, tel symbolisme qu’il pourra mettre en exergue délicatement.
Ce silence est herméneutique : il permet ce cheminement interprétatif entre les signes et les symboles tout en ne tentant pas d’imposer la révélation d’un Saint Graal ! Ce serait péremptoire et contreproductif. Restez neutre surtout ! Car c’est au patient de se dire donc de se créer.

Ce silence donne lieu enfin au déploiement des élans pulsionnels : dans le cocon feutré d’un cabinet, se cachent le monstrueux, le refoulé, le désir primaire, ce qui fait angoisse, ce qui fait culpabilité. Et ce silence, celui de la psychanalyse, permet justement que la parole progresse vers cet impossible. Car il est à la fois sans opinion ni jugement : il se refuse à l’opinion, à la morale. Surtout, c’est là l’effet de la neutralité, il se refuse d’y répondre, mais laisse au patient la possibilité de déplacer ses éléments primaires vers l’émerveillement, le plaisir de la découverte que peut susciter l’analyse.

Tout autre pratique du silence, tel un mutisme exagéré, pseudo-lacanien ou un silence sur-joué s’apparente, selon moi à du sadisme ou de l’abus de pouvoir, manifestation incroyable de la toute-puissance de l’analyste et j’oserai même, à de l’esbroufe !

Bonjour tout le monde,C'est la rentrée ! L'atelier d'écriture partagée à Compiègne recommence le 25 Septembre 2025 à 19H...
18/09/2024

Bonjour tout le monde,

C'est la rentrée !
L'atelier d'écriture partagée à Compiègne recommence le 25 Septembre 2025 à 19H.
Soyez les bienvenus : vous souhaitez vous inscrire ? N'hésitez pas à m'envoyer un mail pour plus d'informations. Il reste 2 places !

L’estime de soi est souvent une valeur d’appréciation à reconstruire en thérapie que l’on soit face à des troubles dépre...
26/06/2024

L’estime de soi est souvent une valeur d’appréciation à reconstruire en thérapie que l’on soit face à des troubles dépressifs, ou anxieux, des troubles de la personnalité …
Elle apparaît souvent occultée, tue derrière un signe symptomatique patent. Parfois elle est à l’inverse comme un monstre aux mille pattes, traversant toute la structure du patient.
Mais il faut écouter, prêter l’oreille, observer, prêter attention, ne surtout pas se laisser aller à une interprétation ou une intuition trop rapide !

Dans une vision renouvelée de la pratique analytique, elle nécessite souvent un questionnement, une attention plus importante, plus intense : elle reste, selon moi, l’un des piliers indispensables à une bonne homéostasie psychique qui préserve de l’achoppement.

Une perception du regard parental tronquée, des carences affectives monstrueuses, de la maltraitance, ou pire l’absence manifeste d’amour d’une figure parentale peuvent entraîner une estime de soi affaiblie voire ravagée.
Il faudra pour moi envisager l’intégration d’un travail cognitivo-comportemental (ACT et/ou thérapie des schémas), d’une thérapie par l’écriture à une thérapie analytique.
Car la compréhension ne peut suffire à la réparation de cette estime de soi. Un changement de regard est nécessaire, une modulation des représentations, une revalorisation des qualités du patient permettent ainsi d’adoucir le regard. Ce processus est lent certes, parfois difficile (fatigant émotionnellement mais libérateur), mais pas irréalisable.

Le thérapeute devra se garder de tout excès de zèle, tout jugement péremptoire : il engage le travail mais ne fait pas le travail, il guide, conduit, questionne, suggère une autre interprétation mais ne dit jamais que c’est ainsi, il peut exemplifier, utiliser son expérience de vie, sans pour autant l’imposer.

On voit que la posture du thérapeute peut varier entre neutralité et bienveillance. Mais finalement, ce qui compte, est d’accueillir dans la douceur. Car l’émotion doit se dire, et plusieurs fois, et de plus en plus intensément riche et vibrante.

Il s’agit bien sûr de comprendre le noeud aporétique de toute cette mésestime, ou de cette dégradation de l’estime de soi. Mais il s’agira aussi de remettre de l’amour, de la connaissance objective et de l’acceptation, de l’honnêteté et de l’action, d’accepter, et l’échec, et la réussite, de s’affirmer, de changer son rapport à soi-même et à l’autre.

Nous vivons souvent le présent comme engrossé, ankylosé, enkysté par le passé, par nos traumatismes et bien sûr ils sont vrais, ils sont présents, ils sont douloureux et la plainte itérative peut compromettre tout processus d’avenir. Il est nécessaire, à mon avis, de raviver l’entièreté d’une vie et non pas simplement des morceaux pour se réengager dans un être en devenir.

L’estime de soi est souvent une valeur d’appréciation à reconstruire en thérapie que l’on soit face à des troubles dépressifs, ou anxieux, des troubles de la personnalité … Frédéric Lemonnier, Psychanalyste

De la délicatesse : une psychanalyse existentielle & humaniste !Tout praticien qui exerce dans le domaine de la psyché, ...
11/03/2024

De la délicatesse : une psychanalyse existentielle & humaniste !

Tout praticien qui exerce dans le domaine de la psyché, doit user de délicatesse (ou tact psychique).

Précautions et délicatesse :

Cela ne signifie certainement pas prendre des précautions inutiles, ni faire preuve d’une distanciation ni d’une froideur outrancière. L’acte thérapeutique ne se crée pas dans la dispense d’un don de soi qui serait mortifère mais plutôt dans l’engagement de tout son être.

Ni mesure, ni condescendance, ni castration, ni diatribe intempestive, ni maladresse, le lien thérapeutique est réjouissance.

Cette délicatesse signifie bien sûr la finesse, la précision de l’analyse, mais elle ne peut s’écrire que dans la joie existentielle. C’est en tout premier lieu une existence que je rencontre mais plus en deçà l’Etre, la Vie.

Structures & délicatesse :

Qu’il nous est facile de traverser l’être, et de structures et de symptômes et de pathologies ! Cette clinique nous conduit souvent à la caricature, et nous éloigne rapidement des fondements de la thérapie. Parfois d’ailleurs, le patient, influencé par les médias et leur fameux développement au bien-être se stigmatise au préalable. Et il faut souvent désenchaîner ces artifices pour que le cheminement commence.

En outre, cette tendance à la stigmatisation est aujourd’hui contredite par la découverte d’une porosité structurelle, ou par la difficulté insurmontable de caractériser par ses seuls symptômes une pathologie.

Délicatesse et parole pleine :

Dans la pratique, il y a d’abord l’écoute non pas simplement du signe, mais de l’être qui surgit face à nous. Cette écoute qui se veut délicate doit être sans jugement, sans canon de la normalité ou de la folie, elle doit être entière comme la parole pleine et entière du patient. Je dirai même, il n’y a pas de parole pleine et entière du patient sans cette écoute délicate.

Il faut s’émerveiller de cette toute puissance de la Vie : tant la fragilité du patient, tant l’enchaînement répétitif des signifiants, que les déplacements et les substitutions symboliques expriment la Vie !

La délicatesse en thérapie comme en psychanalyse est le rempart à l’immuable et impossible réel. N’oublions pas que nous nous adressons au trauma, à cette effraction du réel à la conscience et qu’il nous faut explorer ce qui en suinte.

De la délicatesse : une psychanalyse existentielle ! tout praticien qui exerce dans le domaine de la psyché, doit user de délicatesse !

Psychanalyste et praticien en thérapies analytiques et comportementales, thérapeute en relation d’aide à mon cabinet de ...
27/02/2024

Psychanalyste et praticien en thérapies analytiques et comportementales, thérapeute en relation d’aide à mon cabinet de Compiègne, je vous reçois pour un soutien psychologique, une thérapie par la parole et par l’écriture selon votre demande et l’intensité de votre souffrance. Les thérapies analytiques permettent de se libérer des barrières psychiques et des obstacles inconscients qui entravent l’adhésion à une vie pleinement épanouie.

Psychanalyste engagé psychopraticien à compiegne en thérapies analytiques, privilégie une écoute attentive, neutre et bienveillante.

Adresse

36, Rue De Paris
Compiègne
60200

Heures d'ouverture

Lundi 09:00 - 19:00
Mardi 09:00 - 19:00
Mercredi 09:00 - 19:00
Jeudi 09:00 - 19:00
Vendredi 09:00 - 19:00
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