Diplômé d’un DESS Pychopathologie clinique de l’Université de Paris-DiderotParis 7, j’exerce la profession de psychologue clinicien et psychanalyste.Par ailleurs, je travaille dans des réseaux de soins en relation avec les centres hospitaliers aux alentours de mon cabinet : service des soins palliatifs, service d’oncologie. J’interviens également au sein des établissements scolaires; je suis le correspondant d’un organisme, l’IAPR, chargé de la prise en charge des salariés en souffrance professionnelle. Installé depuis 20 ans en activité libérale à Créteil et maintenant à Levallois-Perret, je vous reçois dans le cadre de thérapies adaptées à votre situation et votre âge : l’enfant, l’adolescent et l’adulte, mais également le couple. Je prends en charge un grand nombre de problèmes et de troubles que vous pouvez rencontrer au cours de votre vie :
troubles de l’anxiété, troubles dépressifs, troubles alimentaires, estime de soi, phobies, problèmes conjugaux, burn-out. Souvent l’entourage ne suffit pas à se sortir de cette situation de souffrance. Mon travail est alors de vous soutenir et de vous accompagner pour comprendre, faire des choix et aller vers la voie de la guérison. Je vous suis dans la compréhension et le cheminement de votre difficulté, de vos émotions. Au sein de mon cabinet, je vous propose un espace d’écoute et de soutien adapté à vos besoins. Nous regrettons amèrement l’hyperprésence du « psychologique » dans nos sociétés de média. Cela donne lieu à des interprétations que l’on qualifiera aisément de sauvages puisque la plupart d’entre elles ne respectent aucune Loi.
À trop vouloir faire appel aux psychologues, on risque de les retrouver dans un habit de « maître-nageur » comme le dénonçait très tôt le psychanalyste J. Lacan. Les uns et les autres, patients et thérapeutes, méritons mieux que ce grand bain surencombré. Pour cela il faut revenir à l’exercice précis et fonctionnel de cette profession. Le psychologue, qui est issu d’une formation universitaire, s’est formé à travers différents stages pratiques, des supervisions, des séminaires et des écrits tout en effectuant sa propre analyse de lui-même. Souvent, et cela a été mon cas, il débute en milieu hospitalier à l’AP-HP ou en institution où il travaille au sein d’une équipe (une garantie plutôt fiable). Il engage des psychothérapies avec des sujets en souffrance dans les dispositifs que nous évoquons par ailleurs. La psychothérapie est un bien précieux, elle se doit de respecter la singularité des personnes, d’écouter la souffrance psychique et de soutenir le travail de l’échange et la parole. Les échanges avec le thérapeute sont déterminants et incontournables. Nous ne concevons pas le silence dans ce dispositif. Il faut savoir se taire mais aussi parler… et inversement.
