Thérapeute hypnose EFT - Florence Parmentier

Thérapeute hypnose EFT - Florence Parmentier Praticienne en hypnose ericksonienne et EFT
https://www.theraneo.com/florence-parmentier-therapeute

Pour l'ouverture de mon cabinet chemin des Pierrodins à Dijon, j'offre les 2 premières séances à demi-tarif (35 euros) p...
18/04/2025

Pour l'ouverture de mon cabinet chemin des Pierrodins à Dijon,
j'offre les 2 premières séances à demi-tarif (35 euros) pour les professionnels de santé et du bien-être et pour toute personne qui vient sur la recommandation d'un professionnel de santé ou du bien-être.
Contactez-moi au 07.71.41.36.66 ou f.parmentier.therapeute@gmail.com

formation complémentaire : Hypnose Conversationnelle Une semaine entière passée à l'Arche (école d'hypnose) avec les exc...
24/10/2024

formation complémentaire : Hypnose Conversationnelle

Une semaine entière passée à l'Arche (école d'hypnose) avec les excellents Aurélie Janot et Jean Dupré, une semaine riche et au plus proche de ce qui fait l'humain en chacun de nous et dans nos interractions.
7 jours entiers pour prendre le temps de se laisser bousculer : ce qu'on croit savoir, ce dont on est convaincu, et aussi tout l'inverse :)

L'hypnose conversationnelle avec l'Arche est loin des descriptions que l'on voit parfois (influencer, diriger, convaincre...) Elle revient au contraire de se permettre davantage de jeu dans l'accompagnement, d'être encore plus attentif à la relation avec la personne accompagnée, avec un souci toujours plus grand de laisser ou de donner à la personne elle-même le pouvoir de changer.
Le thérapeute n'a pas les solutions, il s'intéresse de près à ce qui fait le monde de son client, mais jamais il ne le connaîtra mieux que le client lui-même.
Il ne s'agit pas de pousser dans une direction quelle qu'elle soit, mais plutôt de permettre au client de démarrer, de faire un premier pas vers le changement, vers le futur désiré.
Avec l'hypnose conversationnelle, les pensées routinières limitantes dans lesquelles nous nous enlisons parfois sont plus facilement remises en question.
Une alchimie subtile entre la qualité d'une relation soutenante qui permet suffisamment de sécurité et l'impulsion déstabilisante parfois nécessaire pour sortir des habitudes de pensées et de comportements parfois bloquants ou délétères.

Cela n'est pas sans me rappeler les principes généraux de tout accompagnement et surtout en cas de psychotrauma : il s'agit finalement d'instaurer une relation suffisamment secure pour que la personne puisse aller revisiter ses mémoires traumatiques afin de pouvoir commencer à modifier les émotions et les blessures qui y étaient attachées. C'est ce que l'EFT et sa technique d'approche très en douceur du trauma permet déjà par lui-même, en partie.

Chaque formation me permet de me réapproprier des outils déjà connus et d'y ajouter une conscience plus fine de ce qui est utile, efficace, aidant, dans l'accompagnement.

Faut-il être psychologue pour être un bon psychothérapeute ?C'est le sujet de cette table ronde de Catherine la Psyhttps...
26/10/2023

Faut-il être psychologue pour être un bon psychothérapeute ?

C'est le sujet de cette table ronde de Catherine la Psy
https://www.youtube.com/watch?v=W9Sf62H12oQ

Etre un bon psychothérapeute ce serait quoi ?
* Savoir dans quel contexte le psychothérapeute a suffisamment d’expérience et de connaissance, reconnaître ses zones d’ombres et savoir envoyer à quelqu’un de plus compétent
* Savoir reconnaître ses vulnérabilités et continuer une thérapie personnelle pour être à jour de ses problématiques personnelles
* Savoir rendre compte de sa pratique, aller en supervision et oser partager ses difficultés en tant que psychothérapeute
* Savoir continuer à se former (après avoir bien creusé les outils de son courant thérapeutique de départ)
* Savoir reconnaître ses erreurs auprès du patient, dans l’après-coup.
Le bon psychothérapeute pour une personne en particulier c’est celui avec lequel la personne se sent écoutée, c’est celui avec lequel la rencontre est possible et pérenne malgré les difficultés qui peuvent apparaître
En résumé : il s'agit de garder une posture d’humilité, et de continuer à avoir une réflexivité sur son intervention.
Les auteurs conseillés, concernant le savoir-être du psychothérapeute : Bruce Wampold, Irvin Yalom, Viktor Emil Frankl

Le titre de psychothérapeute en France aujourd’hui implique pour une grande part surtout des connaissances en psychopathologie, en diagnostic, en dysfonctionnement (pathogénèse : comment le patient en est arrivé là).
Il serait intéressant d’équilibrer cette part avec celle des thérapies orientées davantage solution (salutogénèse : comment les patients vont aller mieux, la théorie du changement Aaron Antonovsky). La rencontre thérapeutique intersubjective est peu expliquée, enseignée, et peu intégrée, pourtant elle revêt une importance fondamentale.

Dans un monde idéal, pour être psychologue, il faudrait donc, selon les intervenants de cette table ronde
* avoir les connaissances théoriques enseignées à l'université, en psychopathologie, théories des émotions, pharmacologie (connaissance des médicaments)
* avoir appris et pratiqué une méthode d'accompagnement dans laquelle on croit.
* être au clair sur ce qui pousse le psychothérapeute à vouloir avoir cette pratique.

Le code de déontologie des psychologues existe mais les psychologues peuvent le transgresser sans qu'il y ait d'impact sur leur pratique.

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Je suis diplômée avec mention d'une licence de psychologie, mais, n'ayant pas (encore) de master en psychologie, je ne suis pas psychologue, ni psychothérapeute. Ce sujet est donc particulièrement brûlant dans ma pratique.

Je partage la vision donnée par les intervenants de cette table ronde. Sans avoir le titre de psychothérapeute, je pense avoir une expérience importante dans la rencontre intersubjective dans la relation de soin (du fait de mon expérience en orthophonie pour adultes), la volonté de me former en continu, avec des connaissances théoriques déjà solides et que j'ai à coeur de conforter. Ma pratique est supervisée par une psychologue. Je suis également en thérapie personnelle très régulièrement et je pratique un outil de psychothérapie efficace, et pas si simple qu'il en a l'air au premier abord : l'EFT.

Comment choisir son thérapeute ? Certain·e·s se fient au ressenti, d'autres aux diplômes. Faut-il avoir être psychologue et donc avoir un diplôme universitai...

"Seule une personne qui maîtrise bien la communication et comprend les mécanismes de la manipulation peut s'approcher d'...
23/10/2023

"Seule une personne qui maîtrise bien la communication et comprend les mécanismes de la manipulation peut s'approcher d'une communication éthique" - extrait du livret Arche Formation Cycle 1 Technicien 1

Si je n'avais qu'une seule motivation pour suivre la formation d'hypnothérapeute à l'Arche, ce serait celle-là.

Nous savons bien que la façon dont on communique à un effet sur la façon dont le message passe.

Nous savons que si je vous dis "ne pense pas à une girafe" vous pensez à cet animal en premier.

Et si nous changions tous nos "Ne t'inquiète pas" par "Rassure-toi" ou "tranquillise-toi", tous nos "Ne lâche rien" par "Reste bien concentré" ou "continue à te battre", et tous nos "tu vas tomber !" par "garde ton équilibre" ?

Et pour aller plus loin, lorsque nous sommes conscients des effets sur les patients de nos pré-supposés, nos inductions, nos questionnements ouverts ou fermés, ou de la confusion que nous pouvons parfois amener... alors (seulement) nous avons une vision plus juste de ce qui se passe en séance, de ce qui permet à la personne de trouver les solutions, et des mécanismes du changement.

https://pages.quantum-way.com/replay-webinaire-verite-trauma?vgo_ee=PLY%2F0OxVEveiKMZkzjWeAFmYLcJZL5%2BIJpwqnQnD7BH2f4KR...
20/10/2023

https://pages.quantum-way.com/replay-webinaire-verite-trauma?vgo_ee=PLY%2F0OxVEveiKMZkzjWeAFmYLcJZL5%2BIJpwqnQnD7BH2f4KR135JHun8HvNSUNBOXg%3D%3D%3AK8LPqHwx4i1rUJYGANH9Q0OXdXAyFx4R

Le replay du Webinaire de David Treleaven est disponible jusqu'au 29 octobre.

La pleine conscience est une moyen d'accéder à davantage de sérénité et peut être un moyen permettant la résilience dans le cadre de traumatismes psychologiques et émotionnels.

David Treleaven, adepte de la pleine conscience, explique à quel point il a eu personnellement des difficultés à suivre les programmes de pleine conscience il y a quelques dizaines d'années. Il a creusé les raisons pour lesquels la pleine conscience peut créer des difficultés et des dysrégulations pour les personnes traumatisées.

Il a contribué à apporter des modifications aux programmes MBCT et MBSR afin de les rendre plus accessibles et plus respectueux de la sensibilité des personnes traumatisées. En particulier, il peut être très déstabilisant pour certaines personnes de se concentrer sur ses sensations corporelles, et en particulier sur la respiration. Cela peut avoir pour effet de submerger la personne en lui faisant revivre son trauma.

Il s'agit alors pour les instructeurs de pleine conscience [et j'ajoute, pour tout thérapeute souhaitant accompagner les personnes avec une approche psycho-corporelle] de proposer des ancres différentes de celles de la respiration : par exemple un endroit dans le corps qui apporte du soutien (une chaleur, un mouvement, une sensation ou des émotions agréables), ou à l'extérieur, sur un meuble, un arbre, ou encore sur un paysage mental s'appuyant sur un ou plusieurs sens (la vue, l'ouïe, le toucher..)

La respiration n'est pas une ancre d'attention neutre, elle est intimement liée au système nerveux sympathique et peut ramener directement les personnes à leur traumatisme.

Il est important de garder cela en tête lors d'un accompagnement thérapeutique, pour éviter que la personne accompagnée ne se sente incompétente, voire honteuse, de ne pas ressentir la détente que le thérapeute présupposerait qu'elle devrait ressentir lorsqu'elle est attentive à sa respiration, honteuse de ne pas pouvoir apprendre à méditer "correctement".

À l'heure où les conséquences des traumatismes sont largement répandues, les praticien·nes de la Pleine conscience ressentent de plus en plus la nécessité de reconnaître le trauma pour y répondre efficacement afin d’aider au rétablissement et éviter la retraumatisation.

20/10/2023

https://www.tiktok.com//video/7278751922939579681

Je reposte cette vidéo de Maria Pourchet pour ces mots : "moi qui n'aime rien tant qu'écouter les autres raconter le flou intérieur" et pour "la suspension du jugement" qui résonne avec l'épochè du thérapeute centré sur son patient, avec son réel à lui, d'une complexité déroutante.

Votre séance EFT avec moi ne sera jamais une séance EFT comme celles qu'on trouve sur internet pour régler vos problèmes en un coup de cuiller à pot, parce qu'elle raisonnera avec vos "raisons profondes" et le "tracé singulier de votre route".

* Un podcast de l'AFTD sur la dissociation * => qu'est-ce qu'une mémoire traumatique, comment peut-on s'en libérer ? app...
17/10/2023

* Un podcast de l'AFTD sur la dissociation *

=> qu'est-ce qu'une mémoire traumatique, comment peut-on s'en libérer ? apport des neurosciences le thalamus se situe à l'intersection des 3 cerveaux : c'est lui qui permet la déafférentation du cerveau lorsque le danger est trop grand.

La dissociation péri-traumatique me permet de ne plus ressentir de douleur, elle s'accompagne d'un sentiment d'irréalité, d'étrangeté de la situation. C'est comme si on ne sentait plus vraiment son corps.

Lorsque les événements me font sortir de ma fenêtre de tolérance, la mémoire somato-sensorielle (souvenir des ressentis et des émotions), qui aurait dû être intégrée dans le cortex, reste stockée dans les zones sous-corticales (reptiliennes ou limbiques).

La zone de tolérance, celle où on peut traiter les informations calmement, se trouve entre le *trop* et le *pas assez* d'activation, un peu comme un professeur à l'école, qui ne doit être ni trop menaçant ni trop calme pour que les élèves soient disponibles pour apprendre.
Dans le cas d'un épisode traumatique, le "trop d'activation" correspond à la décharge de neurotransmetteur qui permettrait de fuir ou de combattre. le "pas assez d'activation" correspond à la production d'endorphines et la déafférentation, qui permet le figement.

Certaines personnes vont digérer mieux que d'autre l'événement, s'en remémorer avec de moins en moins de stress. Comment font-elles ?
- La stimulation du système relationnel a un effet antagoniste au système du stress : faire un câlin, passer du temps avec ses proches. - Le fait de s'ébrouer comme les animaux après un stress intense pourrait être thérapeutique également : le sport peut être un bon moyen pour cela.
- Se connecter à la nature, la prise de conscience de la respiration, la méditation permet de se reconnecter aux informations stockées de façon dysfonctionnelle afin de les intégrer petit à petit.

Ces pratiques permettent ainsi de réintégrer les élements somato-sensoriels constituant la mémoire traumatique dans leur mémoire autobiographique, de remettre le contexte du trauma dans une mémoire consciente, située dans le temps et dans l'espace.

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Je vous encourage à écouter ce podcast de très bonne qualité.

La nécessité de la phase de figement en particulier est très bien expliquée par Peter Levine, (Somatic Experiencing). Pour sa part il prend régulièrement l'examen d'un impala attrapé par un tigre, qui "fait le mort". Pendant que le tigre va chercher ses petits pour leur apprendre à mettre à mort l'impala, celui-ci revient du figement, et après un épisode de tremblements physiologique, avec un peu de chance, il pourra s'échapper et survivre.

Les informations comme la météo qu'il faisait, la température, la luminosité, le parfum d'un agresseur, un détail dans le champ visuel sont mal intégrées en cas d'épisode traumatique. Elles ne sont pas intégrées dans la mémoire épisodiques, la personne ne se souvient pas consciemment d'avoir ressenti ces éléments, mais elles provoquent chez la personne traumatisées des réactions automatiques qui génèrent un véritable mal-être qui reste parfois complètement inexpliqué pour la personne qui en souffre.

Grâce à des thérapeutiques comme l'EFT (ou l'EMDR), la personne dont les ressources naturelles (méditation, soutien social, intégration sensorielle) n'ont pas suffi à digérer le trauma va pouvoir revisiter l'épisode en étant en lien avec un thérapeute attentif et empathique. La relation thérapeutique est alors une ressource essentielle pour permettre à la personne traumatisée de libérer ses mémoires traumatiques et s'en libérer.

N'hésitez pas à visiter mon site et à prendre rendez-vous pour une séance d'essai EFT, en visio ou à mon cabinet à Bagneux. La première consultation (découverte) est offerte.
https://www.theraneo.com/florence-parmentier-therapeute

Avec l'EFT, nous chercherons à remonter en douceur à l'événement d'origine, guidés par les sensations corporelles. Cet événement n'aura pas à être revécu de façon traumatique, la personne n'aura pas à raconter tout ce qui lui est arrivé, et les tapotements permettront à la fois de s'approcher des moments traumatiques sans souffrance et de nettoyer petit à petit toutes les émotions désagréables ressenties sur le moment. Le soulagement après une séance EFT est mesurable et durable.

https://www.youtube.com/watch?v=JrswxH5X2ME&t=1598s

Comment la mémoire traumatique s'installe ?

https://www.youtube.com/watch?v=tPDDpWMWoaE&list=PLvVZnFqjzZlAnRagvCNcG6CwWwq7iSN38&index=50Kevin Finel (fondateur de l'...
17/10/2023

https://www.youtube.com/watch?v=tPDDpWMWoaE&list=PLvVZnFqjzZlAnRagvCNcG6CwWwq7iSN38&index=50

Kevin Finel (fondateur de l'école d'hypnose l'Arche) nous parle de la façon de se débarrasser des addictions grâce à l'hypnose

* explications en neuroscience concernant l'hypnose *

Kevin Finel définit l'hypnose comme un outil pour créer des chemins entre notre état de conscience habituel et des tas d'autres états de conscience possibles.
Rien que le fait d'amener une personne à faire ce travail et le faire revenir, c'est fait déjà beaucoup de bien. L'hypnose permet de vivre des expériences qu'on n'arrive pas à vivre dans notre état habituel de conscience.
Le praticien écoute l'intelligence du corps, qui bouge, qui réagit.
l'hypnose permet de modeler l'imagination, jusqu'à modifier nos perceptions. Un peu comme quand on est plongé dans un livre, un film ou un concert.

* explications concernant l'hypnose *

L'inconscient est constitué de tout ce qu'on a construit depuis notre naissance (et même avant), à partir de toutes les suggestions que l'enfant reçoit et que le cerveau a intégré, automatisé, appris
Nos actions sont le résultats de mécanismes ancrés, inconscients, de conditionnements. Consciemment, on se croit libre : en fait c'est plutôt qu'on "se raconte une histoire" qui valide le choix qui a été fait inconsciemment.
Notre cerveau, notamment, nous envoie de la dopamine pour qu'on ait envie de reproduire les comportements qui étaient nécessaires à notre survie, mais notre survie d'homme préhistorique. Par exemple, il était difficile de trouver du sucre dans la nature, alors lorsqu'on consomme du sucre, notre cerveau nous récompense très fort pour qu'on soit motivé (inconsciemment) pour en trouver et en consommer encore, pour éviter de mourir dénutri. Aujourd'hui les conditions sont bien différentes. Notre cerveau continuer à nous pousser dans certaines directions, et il est piloté par le bénéfice immédiat. C'est un des mécanismes le plus important dans les addictions.

Pour Kevin Finel, L'addiction peut se définir comme un conditionnement opéré par notre cerveau pour notre survie mais qui finit par créer l'inverse de l'intention initiale.

La vie humaine a en effet un côté chaotique et destructeur, mais c'est un côté qui permet également la création et l'art...
Si le bonheur existe, nous dit Kevin Kinel, c'est très probablement un équilibre entre ces deux pôles : l'ordre et le désordre. Il serait très intéressant d'éduquer les gens à leur propre instabilité et faire le deuil de la stabilité, et ainsi pouvoir regarder l'instabilité avec un œil neuf.

* comment sortir d'une addiction ? *

De même, penser qu'il suffit de vouloir pour pouvoir (arrêter la cigarette par exemple) c'est un mythe. Les gens qui se débarrassent de façon pérenne d'une addiction n'ont pas l'impression de faire un effort. En revanche la volonté reste importante pour sortir de l'addiction : pour se mettre en chemin, rechercher de l'aide, définir ses ressources, etc.

Pour Kevin Finel, et pour tous les formateurs de l'Arche, chacun de nous peut entrer en état d'hypnose. le professionnel va "accompagner grâce à sa méthode sur le chemin qui va défaire les oppositions internes, les résistances, créer de la compréhension, créer du changement."

En revanche on a jamais 100% de réussite.
Pour le tabac par exemple, il peut y avoir 50 à 70% des personnes qui ont une raison simple de fumer. Pour eux, ça va fonctionner et fonctionner rapidement. Si la personne a des raisons plus complexes, enracinées à des niveaux identitaires, peut-être que l'accompagnant ne trouvera pas la bonne façon d'accompagner. Un des grandes parties de la formation d'hypnose à l'Arche concerne la façon dont on créé le lien, pour que l'accompagnant puisse au mieux sécuriser la personne accompagnée et faciliter sa propre découverte d'une solution.

*comment traiter l'addiction en hypnose ?*

Avec l'hypnose on pourrait revenir à l'intention de la première cigarette par exemple. ça permet de devenir plus précis sur les intentions de ce jour-là. Cependant le travail de régression n'est pas toujours l'outil le plus pertinent pour traiter l'addiction ou un autre dysfonctionnement.
On pourrait aussi utiliser une futurisation pour que la personne à la fin de sa vie envoie un message à la personne du présent. On pourrait trouver grâce à l'inconscient d'autres solutions que la cigarette pour apaiser les émotions qui doivent l'être.

Le podcast discute du livre l'Allen Carr, la différence entre l'hypnose et l'auto-hypnose, Joe Dispenza, la méthode Coué, les faux souvenirs, les rituels des chamanes, l'éveil spirituel, la méditation, etc.

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Pour ma part, je fais le lien avec le travail que l'on fait le plus souvent en EFT : aller rechercher la raison pour laquelle on a eu besoin de sucre, de cigarette, de sexe, de travail, de sport à outrance. Ce besoin inassouvi demande à être compensé par une consommation de produit, ou par une activité. En EFT on partira à la recherche de cet état émotionnel et corporel désagréable lorsqu'on n'a pas encore cédé à la tentation, de façon à traiter l'origine du problème. Il n'y a pas de méthode comportementale en EFT. L'hypnose ajoute des techniques et des abords différents, et en même temps j'ai le sentiment que la regression est nécessaire lorsque l'addiction est ancrée, car c'est alors qu'elle touche le côté identitaire de la personne et qu'elle prend sa source très tôt dans la construction de la personnalité, avant 5 ans, si ce n'est avant 3 ans.

Visitez mon site pour connaître mon parcours et mes valeurs, et prenez rendez-vous pour une séance d'essai EFT, en visio ou à mon cabinet à Bagneux. La première consultation (découverte) est offerte.
https://www.theraneo.com/florence-parmentier-therapeute

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