09/04/2025
𝑰̲̅𝒍̲̅ 𝒚̲̅ 𝒂̲̅ 𝒅̲̅𝒆̲̅𝒔̲̅ 𝒓̲̅𝒖̲̅𝒑̲̅𝒕̲̅𝒖̲̅𝒓̲̅𝒆̲̅𝒔̲̅ 𝒅̲̅𝒐̲̅𝒏̲̅𝒕̲̅ 𝒐̲̅𝒏̲̅ 𝒏̲̅𝒆̲̅ 𝒑̲̅𝒂̲̅𝒓̲̅𝒍̲̅𝒆̲̅ 𝒑̲̅𝒂̲̅𝒔̲̅
Des ruptures silencieuses, intimes, pas toujours officielles, mais qui laissent des traces
profondes.
Elles n’apparaissent pas dans nos conversations.
Mais elles changent tout.
Dans nos nuits, nos gestes, nos décisions.
Elles abîment doucement la manière d’être avec l’autre…
et parfois, avec soi-même.
Il y a un moment où ça ne parle plus.
Où chaque mot devient un test.
Où chaque silence devient une tension.
Ce moment… c’est souvent celui qui précède une rupture.
Et on essaie de “gérer” — en surface.
Avec des excuses, des ajustements, des compromis qui sonnent faux.
Mais ce n’est plus de l’amour.
C’est de la peur.
Du déni.
Un attachement à ce qui n’est déjà plus là.
Alors on attend.
On espère que ça passe.
On espère que ce n’était “qu’un passage”.
Mais il n’y a pas de retour en arrière.
Il y a ce qui est là maintenant.
Ce qu’on ressent. Ce qu’on cache. Ce qu’on sent flancher.
Et c’est là que j’interviens.
Pas pour “réparer” à tout prix.
Mais pour accompagner une prise de conscience réelle :
👉 Est-ce que cette relation vous tient encore debout…
ou est-ce qu’elle vous empêche d’avancer ?
Parce que oui, même les émotions les plus intimes peuvent nous faire perdre pied dans tous
les domaines de notre vie.
Et parfois, traverser une rupture, c’est aussi retrouver une stabilité intérieure.
Un socle. Un repère. Une direction.
📸 La photo ? C’est moi.
Pas une posture.
Juste une thérapeute… qui parle vrai.
Et qui est là quand c’est flou, fragile, ou foutrement inconfortable.