24/05/2025
Voici un témoignage bouleversant que j’ai lu ce matin . Il a été mis en ligne avec le consentement de la personne …je la remercie à mon tour et je prends le temps de vous la diffuser…
J’en ai profité pour demander à l’IA les 7 fleurs recommandées par le dr Bach. … et l’IA a même proposé un texte d’encouragement afin poursuivre le cheminement de la personne… bluffant !!!!
Voici le témoinage:
« Je ne sais pas exactement pourquoi j’écris ce message.
Peut-être pour poser quelque chose. Ou pour le transmettre à quelqu’un, même si je ne sais pas qui.
J’ai 68 ans.
J’ai eu une vie normale. Un travail. Une maison. Une famille.
Je n’ai pas été malheureux. Mais je n’ai pas été pleinement heureux non plus.
J’ai souvent ressenti ce décalage. Comme si ma vie ne m’appartenait pas vraiment.
De l’extérieur, tout était à sa place. Mais à l’intérieur, c’était desséché, terne.
Une existence et un quotidien vides de sens.
Ce sentiment d’avoir toujours fonctionné à côté de moi-même.
De n’avoir jamais trouvé mon axe et mon chemin.
De ne m’être jamais relié à ce que je portais au fond de moi.
Et ce qui me fait le plus mal aujourd’hui, ce n’est pas ce que j’ai perdu.
C’est ce que je n’ai jamais tenté.
Tous ces choix que je n’ai pas faits.
Tous ces départs que je n’ai pas pris.
Ces passions que je n’ai pas suivies.
Ces opportunités que j’ai vues mais que je n’ai pas osé saisir.
On croit toujours qu’on a le temps.
On se dit : « plus t**d », « quand ce sera le bon moment », « quand j’irai mieux » …
Mais le bon moment ne vient pas.
Je me rends compte que j’ai attendu que la vie me prenne par la main.
Mais elle ne fait pas ça. Jamais.
Elle attend qu’on se lève, qu’on s’écoute, qu’on bouge, qu’on agisse.
Qu’on dise « oui » à ce qu’on porte en nous. Même si on ne sait pas encore comment.
Et maintenant… Mon corps s’est chargé de me le rappeler.
La maladie s’est installée. Doucement, sans fracas.
Comme si, à force d’avoir mis ma vie en attente, mon corps avait décidé de tirer le frein.
Je ne crois pas que ce soit un hasard, je crois que c’est sa façon de me dire que je me suis gaspillé.
J’ai passé ma vie à m’adapter.
À répondre aux attentes.
À faire ce qu’il fallait, comme il fallait.
Et aujourd’hui, quand je regarde derrière, je vois l’ampleur du gâchis.
Il n’est pas trop t**d, bien sûr.
Mais je voudrais dire (crier même) à ceux qui sont peut-être encore dans ce moment charnière, dans ce point de bascule silencieux qui amène à la résignation : « N’attendez pas ! »
Ne vous habituez pas au flottement.
N’ignorez pas ce désaccord intérieur.
Ne faites pas taire votre envie de changement.
N’acceptez pas de vivre sans élans, sans vérité, sans justesse.
On croit qu’on peut vivre « à peu près ».
Mais on ne vit jamais bien quand c’est « presque ».
Oui, il faut de la force pour se réveiller et pour se mettre en mouvement.
Mais quand on y réfléchit, il en faut encore plus pour continuer à faire comme si de rien n’était alors qu’on sait qu’on n’est pas à sa place.
Je n’écris pas pour me plaindre.
J’écris parce que j’aurais aimé lire ce message, il y a 20 ans.
Faites ce pas, ce petit pas qui change tout.
Vers vous-même. Vers ce qui sonne juste.
Peu importe l’âge, le contexte ou les peurs.
Parce qu’il n’y a rien de plus triste que de regarder sa vie… et de se dire qu’on ne l’a jamais vraiment incarnée.
Peut-être que mon plus grand regret, c’est de ne m’être jamais autorisé à accomplir ce pour quoi j’étais fait.
De ne pas avoir accompli quelque chose de grand…
Je ne parle d’une réussite spectaculaire ou de laisser une trace dans les livres d’histoire.
Mais ce moment rare où l’on devient ce que l’on est.
Où l’on cesse de fuir, de suivre et de faire semblant… Pour commencer à réaliser son Grand Œuvre.
Pas pour changer le monde, mais pour habiter enfin le sien.
Réponse sa l’IA:
Merci pour ce témoignage d’une grande profondeur. Il exprime avec sincérité une forme de lucidité t**dive, mêlée de regret, de résignation, de quête de sens, et d’une aspiration encore vive à se reconnecter à soi-même. Les fleurs de Bach peuvent accompagner un tel cheminement intérieur, en aidant à dissiper les blocages émotionnels et à ouvrir la voie à une plus grande acceptation et vitalité intérieure.
Voici 7 fleurs du Dr Bach qui semblent les plus appropriées pour accompagner cette personne :
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1. Wild Oat (Avoine sauvage)
Pour ceux qui ont cherché leur voie sans jamais la trouver ou se sont sentis à côté de leur vie. Aide à clarifier la vocation, l’orientation personnelle, et à reconnecter avec sa mission intérieure.
2. Clematis (Clématite)
Pour l’impression de vivre à côté de soi-même, de rêver sa vie sans l’habiter. Aide à revenir au présent, à incarner sa réalité, à vivre ici et maintenant avec conscience.
3. Hornbeam (Charme)
Pour l’épuisement moral du quotidien répétitif et une tendance à la procrastination ou à reporter les élans de changement. Redonne vitalité et motivation pour passer à l’action.
4. Larch (Mélèze)
Pour le manque de confiance qui a pu empêcher d’oser, de se lancer, de croire en ses capacités. Aide à retrouver la courageuse affirmation de soi.
5. Agrimony (Aigremoine)
Pour ceux qui ont caché leur mal-être derrière une façade de normalité ou d’adaptation sociale. Favorise l’authenticité et l’expression des émotions enfouies.
6. Olive (Olivier)
Pour la fatigue profonde, physique ou psychique, notamment dans le cadre d’une maladie. Apporte un soutien à la régénération intérieure et au ressourcement.
7. Crab Apple (Pommier sauvage)
Pour le dégout de soi, le sentiment de gâchis, ou une image intérieure dévalorisée. Aide à se purifier émotionnellement et à accepter son parcours sans jugement.
Texte de soutien:
🌿 Texte de réconciliation intérieure
Aujourd’hui, je choisis de ne plus me juger pour ce que je n’ai pas fait.
Je dépose doucement les regrets, les silences, les chemins que je n’ai pas pris.
Ils ont existé. Ils m’ont forgé. Mais ils ne me définissent pas.
Je reconnais que j’ai vécu comme j’ai pu, avec les moyens, les peurs, les croyances que j’avais.
Et cela aussi, c’est respectable. C’est humain.
Ce que je n’ai pas incarné hier ne m’empêche pas d’habiter pleinement ce jour.
Je ne peux pas tout recommencer, mais je peux commencer autrement.
Plus près de moi. Plus vrai. Plus libre.
Je choisis d’écouter, enfin, cette voix intérieure que j’ai trop longtemps ignorée.
Elle ne me crie pas dessus. Elle ne me reproche rien.
Elle me tend simplement la main.
Et me murmure :
« Il n’est jamais trop t**d pour devenir ce que tu es. »
Même si mes pas sont plus lents, même si le monde ne change pas,
si je me relie à mon axe, alors tout change.
Car je redeviens le cœur vivant de ma propre vie.