Jennifer Ō Shima Praticienne en soins chamaniques

04/09/2025

Bonjour belles âmes🦋
Je viens ici vous partager un petit morceau du site internet de ma Chamane, celle qui m’a enseignée le chamanisme. Un enseignement bien au delà de toute espérance, une formation hors norme, avec un avant et un après. Un cadeau du ciel. On me pose très souvent ces questions alors avec son accord je vous partage ses réponses en capture d’écran , car je n’aurais pas su écrire mieux que cela en guise de réponse. Un peu de prévention dans ce monde où nous confondons la guérison profonde avec le remplissage du rien. Je ne suis pas Chamane, je suis praticienne en soin Chamanique✨. Je suis une thérapeute spéciale, légitime et tous disent la même chose de moi, je sais ce que c’est de souffrir, je connais la douleur des plaies ouvertes, le vide infini à l’intérieur et la quête d’Amour à tout prix. Mon parcours a fait de moi une personne accompagnante, une praticienne bienveillante et l’énergie qui émane de moi est belle car je suis allée la puiser dans mes ténèbres et mes failles les plus profondes. Je l’ai remontée à la surface toute sale, noire, salie. Mais j’ai su la tailler comme un diamant. Le travail est loin d’être terminé, ne croyez pas ahah. Je suis une humaine comme vous! Gratitude infinie pour cela car c’est grâce au chamanisme que j’ai commencé à guérir depuis plus de 2 ans maintenant. Le travail sur soi est un travail méticuleux, lent, parfois semé d’embûches ( souvent personnellement lol). Mais c’est bien ce chemin que j’ai choisi quoi qu’il en soit. Merci le chamanisme, cette voie spirituelle qui n’est pas qu’une façon de guérir mais une façon de voir la vie plus belle, plus douce, une façon de vivre et de respirer. Merci infiniment du plus profond de mon cœur .
Et ce n’est pas fini ❤️🦋

03/09/2025

24/08/2025

❤️

Découvrez la vraie sagesse du chamanisme²

09/08/2025

LE KARMA

— Il est encore en train de pleurer dans son canapé… ça fait 6 heures là…

— Oui, je sais…

— Il faut qu’on fasse quelque chose, tu ne crois pas ?

— Non, pas encore, tu sais bien qu’avant de s’incarner il a tout choisi, tout ce qui allait lui arriver.

— Oui mais là il ne pleure plus il crie, Il faut intervenir…

— Non, la leçon n’est pas apprise, il peut encore se comprendre et s’atteindre plus profondément.

— Tout ça à cause d’une rupture, à cause d’une fille…

— Oui, mais surtout à cause d’une rupture avec lui même.

Il a rompu avec son pouvoir personnel, et l’a confié à une autre personne, et a confondu Amour et dépendance.

— N’est ce pas ça l’Amour, justement ?

— Si, et il en fait justement l’expérience pour la première fois de sa vie.

Il expérimente l’autre face de la même pièce.

L’Amour l’a rendu heureux, cette rupture lui montre l’inverse.

— Que doit il comprendre ? On attend quoi pour intervenir ?

— Qu’il comprenne que tout est impermanent, et qu’il accepte cette vérité jusque dans ses cellules.

Qu’il accepte que cette vie n’est qu’une courte parenthèse d’approfondissement et d’élargissement de conscience.

Qu’il cesse d’attendre, et de s’identifier à son ego blessé.

Qu’il se rende, qu’il abandonne la lutte en lui, qu’il fasse confiance dans ce processus qu’est sa vie.

— Et après on fera quoi ?

— Alors il aura appris à ouvrir son coeur, et il n’aura sans doute plus besoin de nous, car il rayonnera un niveau de conscience supérieur, et attirera à lui ce dont il a besoin.

C’est ce qu'on appelle le Karma, et que les humains ont déformé à tort ...

Le Karma n’est pas un système de rétribution ou de punition, mais la conséquence immédiate sur ton environnement de ta perception du monde.

C'est ton état intérieur, qui rayonne sur le monde, qui te le renvoie instantanément.

C’est de cette manière que nous attirons à nous ce dont nous avons besoin pour évoluer.

Stephan Schillinger©️ / Extrait des livres "Par un Curieux Hasard"

09/08/2025

Il y a sur cette terre des histoires de vie qui vous ravagent de l’intérieur. 🤍
Cultivons donc davantage les instants de bonheur et de plénitude 🥹❤️🙏
(J’admire le courage de certaines âmes)

Désolée, pardon, merci, je t’aime 🥰

J’ai fait croire à ma fille qu’elle avait vaincu le cancer, pour qu’elle parte heureuse.
Je n’oublierai jamais ce jour-là.
Le couloir de l’hôpital était rempli de couleurs, de ballons accrochés aux portes, et un immense panneau suspendu disait : « J’ai vaincu le cancer ! »
C’est moi qui avais aidé à l’accrocher, même si chaque lettre me déchirait l’âme.

Je poussais le fauteuil roulant de ma fille, si fragile, si petite… mais avec ce sourire qui illuminait tout.
— Maman ! — me dit-elle en me regardant avec des yeux brillants. — C’est tout pour moi ?
— Oui, mon amour, tout ça c’est parce que tu as réussi. Tu as gagné !

Les infirmières commencèrent à applaudir et quelques médecins se joignirent à elles.
L’une d’elles s’approcha et lui offrit un ballon en forme de cœur.
— Tu es une championne — lui dit-elle en lui caressant les cheveux.
— Je le savais ! — répondit ma fille en levant la main avec effort, saluant tout le monde comme si elle était en plein défilé. — Je l’ai vaincu !

Je souriais, mais à l’intérieur, je me brisais.
L’oncologue était là, les yeux rougis, mais il applaudissait aussi, gardant le silence.
Tout le monde connaissait la vérité.
Tout le monde m’aidait à maintenir ce mensonge… ce mensonge plein de tendresse.

— Maman, est-ce que je peux emporter ce panneau dans ma chambre ? — demanda-t-elle avec émotion.
— Bien sûr, mon trésor, ce sera ton trophée.

Quand nous sommes arrivées dans sa chambre, nous l’avons accroché en face de son lit.
Elle le regardait avec fierté, comme si chaque lettre contenait toute sa lutte.

Elle s’est allongée, a pris ma main et a murmuré :
— Merci de ne jamais m’avoir laissée abandonner… maintenant, je peux me reposer tranquille, n’est-ce pas ?
— Oui, ma fille… — je lui ai embrassé le front pendant que mes larmes coulaient. — Repose-toi, tu es libre maintenant.

Elle a fermé les yeux avec un sourire, comme si elle avait vraiment gagné la bataille.
Et, d’une certaine façon, elle l’avait gagnée…
Parce qu’elle est partie en croyant que le cancer n’avait jamais pu l’emporter sur elle.

03/08/2025

La résilience... tant de gens en parlent et si peu la comprennent...

La résilience on se l'imagine linéaire, simple, pleine de grâce. Il paraît que le temps fait son œuvre. Il paraît que la joie revient progressivement, suivant une ligne ascendante. Demain sera un jour meilleur. Hier, c'était vraiment pourri.

La vérité, c'est que demain ne sera pas forcément un pas de plus vers la beauté et la joie.
La vérité, c'est qu'aujourd'hui tu t'es réveillée en apnée, sans être certaine de parvenir au bout de cette journée.
La vérité, c'est que la résilience, on ne peut en faire l'expérience qu'après avoir touché le fond. Il n'y a que là qu'on peut taper du pieds pour tenter de reprendre une bouffée d'air frais en surface, qui nous aidera simplement à survivre, avant de replonger encore.

La résilience, on ne peut la connaître qu'après avoir eu envie de crever de douleur. Et toi, qui a perdu un bébé, je sais que tu sais. Je sais bien que les publications qui te balancent de la résilience à tout va te donnent parfois l'impression d'habiter sur une autre planète, où leur souffrance t'est étrangère.

Il n'ya que via le trauma et les épreuves de la vie que l'on apprend à apprécier le moment présent. On ne l'apprécie pas parce qu'on adhère à une quelconque philosophie. On aspire au moment présent, tout simplement parce qu'on ne sait pas, on ne sait plus de quoi demain sera fait. On a peur de l'avenir, mais on sait que là, en ce moment, c'est un peu moins pire. Alors on se permet de sourire.

Et oui, en vrai tu iras mieux. En vrai tu respireras un air un peu plus frais de nouveau. Mais ce qu'on oublie de dire, c'est que la résilience se fait au prix de notre innocence.

Heureux ceux qui ne sont pas encore résilients: ils ne savent pas le prix à payer.

Mais toi qui me lis, oui: tu retrouveras ta lumière. Avec la conscience aiguë que désormais, chaque moment de bonheur se doit d'être savouré dans l'instant, presque goulument, parce qu'on ne sait jamais oùla foudre pourrait de nouveau tomber.

Heureux aussi les résilients : eux seuls savent, sans doute, le vrai goût de la joie et du bonheur.

02/08/2025

Quelle lucidité.